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Un rapport préconise la baisse immédiate de la TVA sur les sites de presse

La TVA à 2,1% pour les sites de presse en ligne, et une volonté de promouvoir les projets collectifs entre les éditeurs: voilà les principales préconisations du rapport sur les aides à la presse rendu à Aurélie Filippetti, jeudi 2 mai. Quelques dents pourraient grincer.

Derniers commentaires

-- Sincèrement, ça me fait plutôt chier que mon argent puisse aider des entreprises dont le fond de commerce est de proclamer à longueur de colonnes la théorie libérale qui veut la réduction des aides et des interventions de l'Etat dans l'économie et pour laquelle une entreprise qui n'a pas trouvé assez de clients sur le marché pour survivre doit disparaitre.

-- Finalement non, je trouve ça plutôt jouissif. Peut-on trouver meilleure preuve de l'inconsistance de leur théorie...
Le privilège d'un taux super-réduit de T.V.A. devrait servir à la promotion de contenus informatifs d'intérêt public.
Mais je ne pense pas que le développement du buzz, du parti prix idéologique et de l'auto-référencement corresponde au cahier des charges en matière d'information.

Les problèmes de financement de ce secteur d'activité sont sans doute passionnants mais cela revient à jeter de l'argent (ou des taxes) par les fenêtres si personne ne réfléchit à l'amélioration de la qualité de la presse.

Il faut une pluralité et une diversité des journaux et publications mais cela conduit souvent à l'opposé du but recherché : chacun creuse son sillon de plus en plus profondément pour satisfaire son lectorat. Les journaux se comportent de plus en plus en militant d'un courant de pensée et de moins en moins en média d'information. Le cycle infernal : satisfaction des lecteurs / ventes en hausse / recettes publicitaires en hausse....finira bien par avoir raison de toute aide publique quand l'U.E. aura décidé que la demande exprimée est le seul critère observable de la qualité d'une publication.

La seule parade à la fuite des lecteurs est de leurs apporter ce qu'ils veulent et cela au détriment de l'objectivité et donc, de la qualité. Les annonceurs qui peuvent financer les journaux se frottent les mains : des journaux partisans renforce l'impact de leurs message en leur offrant un contexte de connivence. Les intérêts converge donc fatalement : l'offre rejoint la demande et la concurrence libre et non faussée devient logique donc souhaitable (mais pas par moi)

Comme pour tous les marchés, ce n'est qu'une question de temps.
La seule parade à la fuite des lecteurs est de leurs apporter ce qu'ils veulent et cela au détriment de l'objectivité et donc, de la qualité.

Les journaux ne suivent pas le lecteurs au contraire.Il me semble que 90 % des journaux étaient pour le traité de Lisbonne.il faut prendre le problème à l'envers.Il y a une désaffection des lecteurs car il y un fossé entres les journalistes et ses derniers.

Qui à envie de lire, libération ou le monde aujourd’hui?'
"Qui à envie de lire, libération ou le monde aujourd’hui?'"
Les convaincus de chacun de ces camps (avec le Figaro). Quand vous lisez les articles du "Monde.fr" ou d'autres périodiques ayant migré, en partie, sur Internet, vous ne lisez pas des informations mais des faits au travers d'une ligne éditoriale, véritable filtre idéologique. Chaque média s'interdit de mettre en lumière tel ou tel fait dans toute sa complexité. Il faut donner au lecteur ce qu'il attend sans le déranger dans ses convictions. Après tout la réalité n'existe pas, il n'existent qu'une multitude de regard sur cette réalité.

Quant au traité de Lisbonne je vous suis parfaitement : il y a des valeurs fondamentales simplistes que l'on veut faire ingurgiter au peuple comme en s'adressant à des dégénérés.
"Si vous être contre ce traité, vous êtes contre l'Europe et donc vous êtes un dangereux xénophobe réactionnaire avide d'en revenir à la seconde guerre mondiale."
On avait beau leurs objecter que nous ne nous opposions qu'à "ce traité et qu'à cette évolution là de l'Europe"....rien n'y fit.
Je ne sais pas si les journalistes parviennent à s'autopersuader que certaines idées sont bonnes en soi sans aucune discussion possible ou s'ils n'ont qu'une approche cynique de leur métier en se demandant "comment vendre leur came" ?.

En tout cas, ce qui cimente la profession, chacun dans son camp toutefois, c'est bien le sentiment de faire le métier le plus utile du monde. Dommage que nombre de journalistes ne soient intéressés que par le statut supposé que confère ce métier : les obligations en termes de rigueurs et de déontologie ne sont souvent que des postures ou des contraintes qu'il est malin de contourner (c'est le jeu ma pauv'dame)
je plussoie Mon Komodor ..Exact ce que vous dites. Et c'est itou aux states pays de la liberté ou les lecteurs ont parait-ils trop tendance à ne lire que les médias dits alternatifs face aux médias dominants ou mainstream" comme on dit ...Normal il y a d'un côté la propagande "Pravda" et de l'autre une autre voie qui est plus en accord avec celles des masses ou du bas peuple c'est selon ...

La désafection est telle que de grands journaux (grands par l'$£ € qu'ils reçoivent !) parlent en mal de "cette" presse et "ceux "qui la lisent les traitant de complotisme, conspirationnisme et voir selon Sieur Joffrin dangereux pour la démocratie..

.C'est vous dire !
Les derniers sondages montrent qu'il y a une rupture entre les citoyens et les médias.
Le consentement de l'opinion est de plus en plus difficile à mettre en œuvre

"Aucun gouvernement, mais surtout aucun mode de vie, régissant les relations entre les hommes, ne peut avoir quelque durée, sans l’accord tacite, sinon explicite, de tous ou du plus grand nombre. La vie normale d’une société suppose le consentement de ses membres aux valeurs qui la supportent et la définissent." Alain Girard

La machine de propagande est cassée , les gens n'adhèrent plus et forcement la presse périclite.
"La machine de propagande est cassée , les gens n'adhèrent plus et forcement la presse périclite."
J'aimerai que vous ayez raison. Mais malheureusement, je crois que la résilience de ce système est plus importante que cela.
La presse papier périclite certes mais les grands groupes migrent sur Internet et les dérives augmentent encore (instantanéité de l'information, baisse des coûts fixes qui permettent de multiplier les articles.....)

Quand la convergence d'intérêts si puissants est à l'oeuvre les difficultés de la presse ne sont qu'un épiphénomène. Le peuple veut du cirque (médiatique, politique, people) et du sang et les "organes d'information" sont disposés à leurs en offrir, moyennant finance, évidemment.
Le citoyen moyen veut des loisirs et "qu'on ne le saoule (sic) pas avec tous ces trucs qu'il ne comprend pas, surtout après ses 8 heures de boulot". Le citoyen engagé veut alimenter son engagement avec des idées simples et mobilisatrices qui ne s'encombrent pas de compromis ou de nuances. tout cela va, j'en ai peur, dans le même sens.
Oui je suis conscient que le problème est vaste mais :

on s'est aperçu que ce sont les classes les plus aisés les plus influencées par les médias.
http://www.youtube.com/watch?v=SYUyzro6-EQ (4 mn 25)
Il y a une résilience populaire.

Je suis d’accord avec vous le peuple veut du cirque ce que bernard Stiegler nomme le capitalisme pulsionnel
http://www.youtube.com/watch?v=yMSnTV-S-WQ (9mn 20)

Je suis partager il est vrai que le citoyen moyen ne s'informe pas assez.
Mais à la limite l'homme de la rue n'a pas besoin de comprendre le jargon économique pour savoir qu'il y a une crise financière.

Je pense ce que ce qu'il manque c'est un projet commun pour réunir tous les citoyens.
Et ça c'est un vrai problème car c'était plus facile avec une société homogène ouvrier et paysan d'un coté et patronat de l'autre.
Merci pour ces liens.J'ai tout de même noté quelques petites choses dans ces extraits.

Les adeptes de Chomsky m'intriguent en s'agroupant autour de lui en attente de ses lumières et de "ce qu'il faut penser de....". Cela ne manque pas de sel venant d'individus souhaitant rester vigilants contre tous les procédés d'influence.

Monsieur Stiegler cite Philippe Mérieux comme une de ses sources pour montrer que les capacités d'attention des élèves diminuent. Peut-être ne cite-t-il monsieur Mérieux que par rapport à cette information chiffrée, en tout cas je l'espère. Parce que s'il cite Mérieux en tant qu'autorité en matière d'éducation, il se tire lui-même une balle dans le pied. Philipe Mérieux est l'un des pires faussoyeurs de l'enseignement en France.

De plus je ne suis pas du tout d'accord avec Monsieur Stiegler quand il présente l'influence du marketing comme une volonté de manipuler les pensées ou les pulsions. Cela me fait penser au fameux "neuro marketing" qui est une des plus vastes fumisteries qui ait existé. Des professionnels étudient ce que nous aimons et comment nous nous comportons pour nous proposer les biens que nous désirons (ou semblons désirer) : et on nous manipulerait ??

Je crois, au contraire, que monsieur Stiegler est un peu aveuglé par son désir de voir l'homme guidé, par nature, par de nobles passions (lecture, culture, politique). Si l'homme consomme "mal" ce ne peut être que parce qu'il est manipulé. Je me trompe peut-être mais, je crois que c'est surtout une façon de déculpabiliser les consommateurs, paradoxalement, et de se bercer d'illusions.
La tentation est grande d'expliquer aux consommateurs que s'ils désirent le dernier i-phone ou le dernier tee-shirt ou le dernier paquet de céréales c'est parce que, en dernière analyse, sans qu'ils n'en soient responsables, les méchants types du marketing manipulent leurs cerveaux.

Dormez bien braves gens : vous n'êtes responsables de rien, vous êtes maniipulés.....et pendant qu'on y est, comme vous êtes manipulés, vous n'avez pas à culpabiliser de consommer ce que vous voulez (biens, services et informations). Culpabiliser d'être, peut être, manipuler par des idéologies dont on se fout après sa journée de 8 heures de boulot et avant son week end chez tata lucette....et pourquoi cela ?
Culpabiliser d'être un consommateur qui achète ce qu'il ne faut pas, qui regarde ce qu'il ne faut pas, qui mange ou boit ce qu'il ne faut pas.....mais vous êtes fou non ? C'est de notre quotidien, de notre vie qu'il s'agit : mais heureusement que vous n'êtes pas responsables, manipulés que vous êtes......où comment lutter contre l'influence du marketing pour en justifier l'existence déculpabilisante.
1)Pour Meirieu vous prêchez un convaincu, mais comme vous le dites il le cite pour les chiffres.

2) Pour Chomsky je suis d'accord avec votre analyse mais je ne me sens pas concerné ,ce n'est pas mon gourou.

3)Pour Stiegler je pense que son analyse reste très pertinente.En gros il plus facile de mettre pornotube que de lire encyclopedia britannica .Vous avez peut être une forte personnalité pour canaliser vos pulsions,mais pour beaucoup d'autres (moi compris) c'est de plus en plus difficile.C'est pour ça que dans l'histoire il y toujours eut des interdits.

Je ne nie pas que les gens ont leurs responsabilités, mais elles sont clairement partagées.Les sciences cognitives même si elles ont été galvaudé aujourd’hui, ont un réel impact sur les gens.
Je connais peu de personne avec réel esprit critique.On a tous nos limites.Vous mêmes vous avez eut des influences.Il y a un coup psychologique trop important pour se remettre ses croyances question comme la marginalisation ou subir l’opprobre et ça peu de personne sont capables de le supporter.
Regarder Thierry Meyssan par exemple qu'ont fait passer pour un cinglé.( je vais avoir le droit à des commentaires sur le forum)

Pour finir vous demander au gens d'avoir un comportements sain,mais ça devient de plus en plus difficile aujourd'hui dans des familles décomposées qui habitent dans des tours en béton avec la TV allumé toute le journée que pour un paysan il y à 100 ans.
Pour prendre mon exemple personnel j'ai eut du mal à sortir de mes influences (famille, école, média, mœurs du pays de l'époque) et de remettre tout à plat sur ce que je croyais savoir sur la religion, l'histoire, la politique etc....
Je comprends aisément que beaucoup n'y arrive pas.
1)Pour Meirieu vous prêchez un convaincu, mais comme vous le dites il le cite pour les chiffres.

2) Pour Chomsky je suis d'accord avec votre analyse mais je ne me sens pas concerné ,ce n'est pas mon gourou.

3)Pour Stiegler je pense que son analyse reste très pertinente.En gros il plus facile de mettre pornotube que de lire encyclopedia britannica .Vous avez peut être une forte personnalité pour canaliser vos pulsions,mais pour beaucoup d'autres (moi compris) c'est de plus en plus difficile.C'est pour ça que dans l'histoire il y toujours eut des interdits.

Je ne nie pas que les gens ont leurs responsabilités, mais elles sont clairement partagées.Les sciences cognitives même si elles ont été galvaudé aujourd’hui, ont un réel impact sur les gens.
Je connais peu de personne avec réel esprit critique.On a tous nos limites.Vous mêmes vous avez eut des influences.Il y a un coup psychologique trop important pour se remettre ses croyances question comme la marginalisation ou subir l’opprobre et ça peu de personne sont capables de le supporter.
Regarder Thierry Meyssan par exemple qu'ont fait passer pour un cinglé.( je vais avoir le droit à des commentaires sur le forum)

Pour finir vous demander au gens d'avoir un comportements sain,mais ça devient de plus en plus difficile aujourd'hui dans des familles décomposées qui habitent dans des tours en béton avec la TV allumé toute le journée que pour un paysan il y à 100 ans.
Pour prendre mon exemple personnel j'ai eut du mal à sortir de mes influences (famille, école, média, mœurs du pays de l'époque) et de remettre tout à plat, sur ce que je croyais savoir sur la religion, l'histoire, la politique etc....
Je comprends aisément que beaucoup n'y arrive pas.
Je comprends aussi cette agacement de votre part avec cette démagogie à faire passer le peuple,pour un bon idiot qui n' est responsable de rien.Je suis d'accord avec vous mais Tocqueville dans la démocratie en Amérique notait que les gens se sentaient plus responsable quand la ville était l’échelle humaine, palpable en quelque sorte.Aujourd'hui comment se sentir concerné par ce Léviathan qui se trouve à Bruxelle.
Je vous suis sur vos nuances : les choses sont complexes et les points de vue diffèrent autant que les opinions.
Rassurez-vous je ne sous-entendais à aucun moment que vous eussiez pu faire partie des "adeptes inconditionnels" de Chomsky.
Votre évocation de Thierry Meyssan est, pour moi, révélatrice : je n'ai absolument pas l'intention de vous en faire grieffe, bien au contraire. Je partage votre opinion sur le fait que l'on devrait pouvoir parler de tout et que rien ne devrait être tabou. Que l'on soit d'accord ou pas avec ce que dit ce monsieur je trouve idiot de le disqualifier par principe (et le moindre de ses arguments) en le rangeant dans la case infâmante de complotiste : le voilà ostracisé et, par la même, tous les arguments dont d'autres que lui pourraient s'emparer.
J'ai, dans mes connaissances, un ancien pilote de ligne, devenu expert en analyse des catastrophes aériennes. Il me confirme, selon son expérience et sa connaissance du dossier, que les faits (du 11 septembre) sont beaucoup plus que troublants. Beaucoup s'étonnent juste de la ridicule ampleur de l'enquête qui a suivi de tels événements : il n'y a absolument rien d'équivalent en la matière. c'est tellement gros que ça en est absurde.

Mais le système médiatique qui impose ses tabous ainsi que le poids de l'émotion balaient toute volonté de raisonner. Bigard et d'autres en ont fait l'amère expérience : se contenter de demander l'ouverture d'une enquête plus sérieuse et approfondie (sur un tel événement) vous condamne à l'ostracisme médiatique. Certains ont fait machine arrière. Je ne les crois pas "revenus à la raison" mais plutôt soucieux de garder leurs entrées dans ce petit cocon des médias people de masse.
Certains ont fait machine arrière. Je ne les crois pas "revenus à la raison" mais plutôt soucieux de garder leurs entrées dans ce petit cocon des médias people de masse.

Clairement oui ce sont des employés comme les autres d'une certaine façon .
Peut-être pas tant que ça non ? Petite image détournée pour montrer la situation des médias en ce moment et ce depuis longtemps : médias pravda ! Il y a quand même des gens qui savent que ce qu'ils entendent, lisent ou voient n'est pas la réalité mais celle qu'on veux bien leur faire avaler ...
C'est en rappor avec la sans T financière ?
Je regrette que l'article emploie le terme "récréatif" pour tout ce qui n'est pas reconnu comme IPG ! Je ne suis pas certain, par exemple, que lever le lièvre, comme nous l'avons fait (La Tribune de l'Art), de l'absence de certificat d'exportation pour les hypothétiques tableaux de Claude Guéant, soit "récréatif", pas davantage que nos enquêtes sur le vandalisme patrimonial ou les scandales dans les musées... La position du SPIIL est d'ailleurs de s'opposer à ce type de classement.
Quant à la remarque de AirOne, je suis content d'apprendre que, comme certainement la grande majorité des "patrons de presse" membres du SPIIL, je suis multi-millionnaire...
" la " presse, "les" media. Qu'est-ce que-c'est que ce boulgi-boulga ? Est-il si difficile d'imaginer une modulation des taux de TVA en fonction des taux d'impartialité, de neutralité, d'objectivité, d'honnêteté de nos médias chéris ?
[quote=Un rapporT préconise la baisse immédiate de la TVA sur les sites de presse].

Je l'ai déjà écrit ici, je ne vois pas pourquoi des patrons de presse multimillionnaires bénéficieraient de taux de TVA réduite et d'aides à la presse alors même que dans leurs colonnes ils appellent l'Etat à réduire les dépenses publiques...pour les pouilleux bien sûr.

Nous avons martelé et interpelé 20 fois avec d'autres forumeurs que le SPIIL qui demande de l'équité et de la justice a accueilli en son sein Rue89 qui a basé une partie de son business model sur le travail gratuit sans avoir contesté ne serait-ce qu'une seule fois ce qui ne serait pas toléré si ça venait du MEDEF ! Dans la catégorie "révolution démédias" on a déjà vu plus audacieux.

Enfin, dans le lien proposé dans le corps de l'article de David Medioni, je m'amuse beaucoup de lire :
- [quote=Au moins autant que la presse papier (n'allons pas plus loin pour ne vexer personne), la presse en ligne joue un rôle indispensable à la démocratie. Il est équitable qu'elle joue au moins à armes égales.] C'est très bien de le penser, et de l'écrire, mais selon la position d'@SI, la presse tradi, ça sent le formol et la poussière. Elle redeviendrait indispensable à la démocratie...quand il est demandé que le même taux de TVA s'applique ? Et en quoi la presse papier et en ligne jouent-elles un rôle "indispensable en démocratie" ? Par quel chemin intellectuel parvient-on à mettre dans le même sac celle qui sert les intérêts des puissants et du système, et celle qui les combat ? Toutes indispensables à la démocratie ? Vraiment ? J'attends la démonstration de cette ritournelle avec intérêt.
- [quote=Nous voulons croire que la juste cause triomphera, et nous nous considérons donc comme virtuellement bénéficiaires. Et en signe de foi en l'avenir, nous avons donc décidé de verser une prime d'intéressement à l'équipe. Non mais !] "Nous" ? Je croyais jusque que DS était le président et associé unique du site. Le "je" est devenu "nous" ? Il faudrait mettre la page "a propos" à jour si ça a évolué...
Merci pour ce billet bien fourni, David.

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