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Commentaires

Un papa, une maman, une bombe et un gâteau

"On était au dessert. Et on avait le plus beau gâteau au chocolat que vous ayiez jamais vu.

Derniers commentaires

Rien compris.

Ceci aurait-il un lien avec cela :
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2017/05/31/forte-explosion-a-kaboul_5136326_3216.html
Les enjeux sont clairs : nous avons une camps dont je fais partie qui cherche à couler le régime républicain français actuel et qui pour cela cherche une aide extérieur comme pour toute révolution ambitieuse !

Et les autres tenants de l’ordre établit qui s’accroche comme il peuvent aux mamelles des USA qui les abreuvent des illusion pseudo démocratique qu'elle répande depuis temps à travers tout le globe à coup de bombe largué sur la gueule.

Le problème dans cette situation c'est que pour ma part je suis très très mal à l'aise dans le conflit d'idée...je suis mieux avec une arme entre les mains.
Profitons d'une des dernières chroniques pour une lien musical.
Peter Ford à la BBC le7 avril 2017 : https://www.youtube.com/watch?v=926LaN1ZZgc
"Je ne laisse pas mon cerveau à la porte lorsque j'analyse une situation"...
à l'attention de nos chiens de garde parisiens !!
Un article de Médiapart sur l'attaque au gaz sarin de La Ghouta en août 2013

https://blogs.mediapart.fr/jpm2/blog/190316/le-gaz-sarin-de-lattaque-de-la-ghouta-venait-de-turquie
Ci-après le lien vers une contribution en géopolitique éclairante d'un blogueur du club de Médiapart, Olivier Tonneau. Ceci n'engage en rien la rédaction de Médiapart, qui serait de toutes façons, à de très rares exceptions près, bien incapable de produire des textes de cette qualité.
La 2e partie fait le lien la position de JLM par rapport à ce qui a été analysé dans la première.

C'EST ICI
Et le pays de Moab, c'est, dans la Bible, l'actuelle Jordanie. Et Ruth, une des ancêtres du roi David, était une Moabite convertie au judaïsme. La connotation orientale et messianique de ce nom ne devrait échapper à personne....

USA is back !

Quelle cata !
J'adorerais que les personnes de l'écris écrivent précisément, j'en ai marre du langage d'écolier pour designer des mâles adultes et des objets qui tuent, qui violent, qui blessent . 'C'est un beau joujou' non 'est une BOMBE qui tue, arrêtez de tout infantiliser ça ne nous permet pas d'agir, à force de parler de cour de récré, alors que ces types nous pillent , vous désamorcez notre saine colère, et empêchez l'action.
Un bombardement de la coalition a eu lieu( 4Avril) près de Der-ezzor sur un entrepôt de Daech contenant des armes chimiques dont du sarin:une centaine de morts.
J'ai cru comprendre que Bachar était responsable du bombardement de Khan Chergoun car il était le seul dans la région à disposer de gaz sarin.
Que faut-il penser?On est dans une intoxication médiatico-politique infernale? Et les autorités de la France toujours en pointe d'une morale aux facettes multiples qui nous ridiculise et nous discrédite!


http://www.reuters.com/article/us-mideast-crisis-syria-gas-idUSKBN17F18D
'US strike hit Islamic State poison gas depot, killed hundreds', US denies
http://www.jacques-tourtaux.com/blog/syrie/un-raid-us-bombarde-un-entrepot-chimique-de-daech-faisant-des-centaines-de-victimes-dont-des-civils.html
Et pour faire dans l'apocalyptique avec la France et nos chers amis acheteurs d'armes : la France va-t-elle offrir un labo P3 ou P4 à l'Arabie Saoudite ?
Ces labos sont ceux travaillant sur les agents pathogènes les plus dangereux, anthrax, peste, Sras, ebola etc.
Normalement, c'est de la recherche médicale mais même les USA ont refusé de donner un coup de main aux saoudiens sur ce projet. Une fuite ou un terroriste est si vite arrivé...
Lord of War
Au moins avec Trump, il n'y aura plus d’ambiguïté : les U.S. seront en guerre avec la planète entière....mais "c'est pas personnel, c'est uniquement les affaires !" !...
Et on se retrouvera dans un pays qui aura éliminé le chômage en créant des usines d'armes de guerre !..
Ça s'appelle le principe de répétition !...
Bonjour,
Enfin le nom de l'Afghanistan, mais à quel prix! Et ce qui nous intéresse, c'est Trump...
Annoncé par CNN, les réseaux sociaux, notamment la page Kabul Security Now sur Facebook a annoncé la nouvelle. C'est une page qui sert uniquement à informer par les membres et quiconque sur la situation de Kabul : qui a entendu une explosion, dans quel quartier, etc. Et les nouvelles du soir de Tolonews, une grande chaîne de télévision afghane y ont consacré une bonne partie des news de la nuit.
Tout commence par un flou terminologique.
En vrac, les Russes depuis des mois soutiennent les talibans, puis le nient. Aujourd'hui, Daesh est la vedette de la violence politique. Que certains talibans se soient joints à Daesh ne change rien à la réalité.
Les médias afghans s'échinent, dans des conditions très difficiles, bloqués par la rétention d'informations du côté du gouvernement, au prix de leur vie interrogent les spécialistes - connaisseurs et du terrain et de l'histoire - pour savoir si l'Afghanistan ne risque pas de devenir la prochaine Syrie.
Dans ce sens la bombe qui vient de tomber sur Daesch - talibans et forces venues du Pakistan - amplifie ces discussions.
Dès que la situation s'échauffe - elle l'est quotidiennement - un dirigeant de l'OTAN ou un responsable américain jette de l'huile sur le feu et accuse la corruption évidente du pays et de ses meneurs. Ces amis du pays évitent de se demander comment ceci est possible sous leur contrôle et avec leur aide. Il est clair que stratégiquement, la guerre en Afghanistan doit continuer.
Une nouvelle répartition des zones d'influence est en cours. Et devient de plus en plus claire à lire entre les lignes des positions.
Un activiste très suivi sur les réseaux sociaux parle - en dari - s'adressant aux Afghans pour appeler une prise de conscience de défendre leurs bénéfices comme le font les autres pays. Les médias afghans s'adressent aux Afghans et Afghanes, car ils ont compris que le reste du monde s'en moque et le mot est faible.
Ayant vécu la majeure partie de ma vie en Europe et, suivant depuis les dernières élections tous les jours les nouvelles afghanes, grâce à ma connaissance de la langue, je suis désespérée et me sens parfois honteuse de notre manière de traiter ce pays et le reste du monde de manière.
Depuis quarante ans de guerre, on peut parler de discrétion et d'aveuglement volontaire. Il y aurait une belle place pour la critique des médias.
Pour terminer sur une note optimiste, notre inculture dominante, concernant tout ce qui n'est pas nous, dans les différentes facettes de leur réalité n'est pas une fatalité.
Lien direct vers la page que vous mentionnez (merci de me corriger si ce n'était pas celle-ci) : groupe Facebook, Kabul Security Now.
Et si vous avez d'autres indications sur où s'informer au sujet de l'Afghanistan par la voix d'Afghans (en français ou anglais), je suis preneur.
Merci beaucoup de votre intérêt.
Je compte sous-titrer en français - en partie du moins - les émissions de l'activiste Shafie Ayar - fin analyste de l'histoire et de la politique et de la religion en Afghanistan. Il fait ses émissions hebdomadaires en dari. Et récemment une deuxième émission en direct où il répond aux questions. L'art de mettre les gens ensemble et de les faire dialoguer. Il a passé, jeune, cinq années en prison pour raison politique. Il habite aux Etats-Unis et met sur pied une grande organisation. Ses émissions sont controversés et très suivies. Il s'attaque aux Mollah confrontant leurs lacunes sur le Coran, par exemple. Avec grand succès. Depuis cinq ans, il a su faire avancer les mentalités afghanes. Un personnage courageux, intelligent et audacieux.
Merci Sima, pour ces informations.
Merci à vous.
J'essaie de saisir où en est la situation à un moment où on voit des réfugiés afghans dormir dans les rues de Paris. On ne sait presque rien d'eux notamment si ce sont certaines régions qui sont plus concernées par les départs ou la situation globale du pays qui provoque ça.
Bon, pour Shafie Ayar, je viens de jeter un oeil à cette présentation et j'avoue que sa prise de position en faveur de Trump en 2015 me laisse dubitatif. Je ne sais pas si il a évolué depuis mais il m'étonnerait que la politique de Trump soit la plus à même de réduire les mouvements vers le radicalisme.
C'est un grand provocateur et creuse le fond des problèmes. Sa thèse est que tous les Etats du monde cherchent leur bénéfices et les sacrifices des autres pays comme la Syrie ou l'Afghanistan qui pourrait se transformer en une nouvelle Syrie leur est égal. C'est pourquoi, il centre ses émissions sur les problèmes spécifiques à l'Afghanistan. Notamment la manipulation des "ethnies" - création à mon sens que nous avons offert au monde - pour diviser les Afghans et rendre encore plus complexe un gouvernement d'union nationale, tel que signé dans l'accord entre John Kerry pour les US et les deux élus.
C'est une situation qui a été exploitée avec l'aide du Pakistan allié de la Grande Bretagne et des US et l'Otan, bref. Et puis le vent de la stratégie a lentement tourné. L'axe de l'insécurité du pays s'est déplacé vers le Nord, les anciennes républiques soviétiques, proches de populaitions afghanes. À moins qu'on l'ait déplacé vers le nord du pays.
Pour Shafie Ayar, quand il avait parlé de Trump, c'était pour faire comprendre aux Afghans que quand Trump disait avoir un problème avec l'Islam, il avait raison. Dans le sens où la situation de l'Afghanistan - le reste intéresse moins Ayar parce qu'il défend les intérêts des Afghans - tient beaucoup à un réseau de talibans et d'agitateurs incultes en religion qui soufflent sur les braises.
Là où il est très fort, il tourne l'attention des Afghans vers l'inculture religieuse des fanatiques, qui gaillardement font tout ce qu'ils disent interdits dans l'Islam.
Depuis belle lurette, tous les Afghans qui perdent de la famille ou dont es sauvages prennent la maison, disent, y compris les religieux responsables et lettrés que cela n'a rien à voir avec l'Islam. Ce débat existe dans les médias afghans régulièrement.
C'est là que l'absence totale des nouvelles afghanes, à l'exception de tous les aspects négatifs, et encore, est grave pour le moral des Afghans à l'intérieur et à l'extérieur.
Les fraudes électorales ont mis au gouvernement avec l'aide de l'US et de la "communauté internationale" deux incompétents notoires, mais maniables et qui travaillent pour eux-mêmes.
Shafie Ayar réussit à dire à ses téléspectateurs qu'il faut s'occuper de la situation du pays et que seul cette intelligence politqiue peut sauver à moyen ou long terme le pays.
L'indifférence médiatique de notre part et notre incompétence à lire la carte du monde est dangereux pour tous.
J'ai rencontré des réfugiés afghans et leur ai parlé de l'histoire du pays - du moins ce que je sais de certain - et leur ai conseillé de garder la tête haute et de s'appuyer sur leur culture.
Depuis des années, une moyenne de 200'000 étudiants et étudiantes sortent des Universités afghanes. Mais le travail manque. Le gouvernement actuel après bientôt trois ans n'a pas réussi ou plutôt voulu former son cabinet de ministre.
Il n'y a pas de programme. Les nouvelles élections pour le parlement ont pris du retard. Et les présidentielles se profilent dans deux ans.
Mais je répète que les médias afghans mettent tous les jours sur la table les problèmes irrésolus, à leur risque et péril. Et je peux vous dire que j'apprends plus sur la Syrie à la télévision afghane que dans nos médias.
Les Républicains américains ont toujours soutenu qu'il ne fallait pas quitter l'Afghanistan. C'est une constante et Trump ne pourra renverser ce mouvement.
L'épouvantail du radicalisme se réduit à la tuerie à la force des armes qui ne sont certes pas fabriquées en Afghanistan.
Le pillage de l'Afghanistan, on n'en parle pas. La guerre est un écran de fumée. Les vies humaines ont perdu toute valeur dans le monde. Le fond des choses est claire. Quelqu'un l'a très bien analysé quelque part, mais qui écoute tout cela?
Il y aurait tant de choses à dire de ces réalités. C'est d'une injustice totale d'exporter la guerre de cette manière. La guerre qui ne dit pas son nom disent les Afghans.
Merci de tous ces renseignements. Quand vous aurez commencé à sous-titrer ces émissions, faites-le savoir sur le forum, je suis également très intéressée.

Toutefois, je ne voudrais pas être désagréable, mais vous attendez quoi exactement des occidentaux ?

Je pense qu'ils sont en Afghanistan pour les pipe-lines qui achemineront le pétrole venu d'Asie Centrale, pour contourner la Russie, et qu'ils vont maintenir la pression tant que ces pipe-lines ne seront pas construits et sécurisés.
Donc le climat de guerre civile dans le pays ne les arrange pas, car c'est compliqué dans ces conditions de sécuriser les pipe-lines.
En fait, ils agissent, de façon très violente, et ça provoque sur les populations "autochtones" des effets extrêmement délétères, qui plongent les pays dans des situations abominables. C'est le cas en Irak comme en Afghanistan.

Mais ils ne sont pas tout-puissants, et se retirer après avec agi et provoqué des catastrophes, ça a été la politique d'Obama, et ça a été pire, avec le vide politique et l'apparition de l'Etat Islamique.
Une fois que vous avez induit des catastrophes, en sortir est long et difficile.

Surtout que c'est l'intérêt des Russes et des Pakistanais d'attiser les tensions, les premiers parce que les pipe-lines leur nuiront géopolitiquement, et les seconds parce qu'ils aimeraient contrôler le pays.

La solution, elle est avant tout chez les Afghans, et ce pays exsangue a encore de la ressource d'après ce que vous dites.
Merci de votre message.

La situation a toujours été complexe vu la géographie du pays et les nombreux passages y compris les soldats d'Alexandre dont certains sont restés. Le bouddhisme et tant d'autres cultures qui font encore la richesse du pays.

La Grande Bretagne n'a pas pu rester en Afghanistan et à deux reprises a été boutée hors du pays fin du XIXe. Le Pakistan est sous influence britannique, notamment ,et soutenu par les Etats-Unis dont c'est aussi une sorte de satellite. C'est la source de tous les conflits en Afghanistan. Le gouvernement américain a été le premier à reconnaître celui des talibans. Et ce soutien a changé de statut, mais n'a pas vraiment faibli.

Avant d'aller plus loin, je n'attends rien des Occidentaux, ni les Afghans qui ne sont pas stupides, loin de là. Je suis venue en Europe à l'âge de 13 ans avec déjà une formation humaine très poussée. J'ai la chance que ma mère ait choisi un pays trilingue. J'ai donc une culture occidentale aussi et vis en Europe depuis plus de cinquante ans et vote ici. Je pense que c'est là la richesse de mon point de vue sur le monde. J'écris de temps en temps des brèves afghanes sur FB ou sur mon site www.simadakkus.net, mais la matière est trop intense et je dois m'organiser autrement en attendant le livre que je veux écrire avec ce double point de vue et cette double fidélité. Je suis chroniqueuse dans un journal indépendant en ligne Suisse, lameduse.ch, on travaille sur une rubrique consacrée à ces brèves afghanes. Voilà pour situer ma personne.

Il ne s'agit pas de mes attentes, mais de celle des Afghans et les intérêts de l'Afghanistan. Je défends nos intérêts européens qui sont aussi les miens ien étant une citoyenne engagée et active, mais n'oublie pas le reste du monde où repose une partie de mon coeur. J'ai choisi la voie artistique ou elle m'a choisi, allez savoir. Théâtre, chants notamment en dari, mais aussi plurilingue, écriture, journalisme, etc.

Il faut savoir que les Afghans n'attendent plus rien du reste du monde. Les ressources pillées sont des pierres précieuses, des minerais, or, etc., de l'eau, toutes les ressources naturelles d'un pays au climat continental dont l'exportation est bloquée, retardée par les voisins. Anecdote, si c'en est un, les fruits qui partent du pays sont bloqués à la frontière pakistanaise et se défraichissent, autant dire qu'ils sont perdus, un petit exemple parmi tant d'autres.

Le voisin achète des tapis afghans à bas prix et les vends sous l'étiquette pakistanaise à des prix autrement élevés. La monnaie est le caldar dans le sud du pays à la frontière et non l'afghani.

Ce que nous pouvons faire, ici en occident, et je suis abonnée à @si aussi pour cette raison, c'est être plus en éveil, non seulement sur ce qui nous est proche, mais franchir les barrière de notre conscience sur le monde qui est devenu très petit. À ce titre, le silence sur l'Afghanistan, terrain de jeu de gue-guerre, est une responsabilité. Le droit d'être informé et le devoir de s'informer vont de pair!

Un mot sur les médias afghans que je défends pour leur courage, leur ténacité, leur diversité aussi. Tolonews, par exemple est une télévision importante qui ne cesse d'interroger et d'informer les Afghans. Inlassablement. L'an dernier, les talibans ont tué 7 journalistes dont deux femmes et cinq hommes de la chaîne. L'information afghane est prise en étau par les forces conservatrices qui toutes ne sont pas religieuses, loin de là, et un gouvernement qui dit une chose et en fait une autre, notamment la rétention d'informations d'intérêt général. Le président actuel a vécu quarante ans aux Etats-Unis et a fait une thèse en anthropologie, ce qui me fait craindre le niveau des universités de ce grand pays. Même l'Afghan le moins instruit connaît son incompétence. C'est notoire et les résultats sont catastrophiques.

Mais même quarante ans de guerre n'a pas détruit complètement le pays. À genoux oui, mais pas anéanti, mais cela ne saurait tarder. C'est un pays jeune à 60%. De plus en plus d'Afghans et d'Afghanes étudient malgré l'insécurité et la misère qui n'a cessé d'augmenter. Sans parler de toutes ces vies perdus, sans même qu'aujourd'hui les amis de l'Afghanistan doivent invoquer des faux-semblants moraux.

La propagande règne en maîtresse. Je ne peux expliquer toutes les finesses dans un message. Comme dans les romans comme on n'en écrit plus, les espions grouilleraient en Afghanistan en mettant leur grain de sel et l'expression cinquième colonne apparaît fréquemment.

Je tiendrai au courant les intéressés à la question. Pour faire une conclusion courte, on a partagé le monde après la seconde guerre mondiale, zones d'influences réparties entre les puissances. La chute du mur a bousculé tout cela et redistribué les cartes. Je suis les nouvelles afghanes depuis les dernières élections. Et j'ai vu naître un glissement stratégique où la répartition du gâteau "monde" se fait sur le dos des pays comme l'Afghanistan. La crainte exprimés depuis longtemps par les médias et les spécialistes afghans est que ce pays, déjà meurtri, ne devienne la prochaine Syrie.

De l'éveil, voilà ce que je nous souhaite, où que nous soyons. Il en va du dessin futur de l'humanité et de sa signification.
"La bombe américaine larguée hier dans l'est de l'Afghanistan visait les tunnels des terroristes dont la construction avait été financée par la CIA", a écrit Edward Snowden sur son compte Twitter.
oui maman bombe! C'est rassurant!
Comme l'était "little boy" ( La bombe du "petit garçon" ) larguée sur Hiroshima!
Toujours des histoires de quéquette en fait et là en plus on se défausse derrière la maman du vieux système patriarcal encore debout!
C'est du joli ça, pan pan cucul!
Vilain vilain!
C'est pas bien ça "petits garçons" de pas assumer ses prurits testiculaires à ce point!
Merde par réflexe conditionné de la médiasphère officielle j'ai voté pour votre chronique Daniel, alors que pour le coup je la trouve très peu fine ce matin. Merci de vous enlever un point svp
Bonjour
Ce que vous écrivez Daniel est hallucinant… et c'est pourtant réel.
On n'est pas sorti le cul des ronces !!!
Et bien, il va falloir un sacré gros gâteau avec beaucoup de chantilly quand Donald utilisera sa première bombe nucléaire tactique (je crois qu'il ne faut pas avoir peur d'affronter le tabou du nucléaire tactique, il faut faire preuve de modernité et ne pas rester perclus dans le conservatisme des pensées rétrogrades du siècle dernier, mais bien sûr dans un esprit de justice et de responsabilité) !
À noter que l'expression "the mother of all..." s'emploie fréquemment en anglais et presque toujours pour qualifier un phénomène négatif (the mother of all storms par exemple), donc je ne suis pas sûr qu'un anglophone qui lit ça l'associe avec la douceur de la mère. D'accord par contre pour dire que la reprise par les médias non anglophones sans préciser cela est un peu différent (une traduction littérale en fait), mais bon c'est pas la première fois non plus que lesdits médias font montre de leurs difficultés en langues étrangères (voire avec les mots tout court).
Kubrick était tristement visionnaire.
Le plus triste est que Hillary Clinton n'aurait sans doute pas faire "mieux" en la matière ...
36 combattants tués donc...
A un coût estimé de 16 millions de dollars l'unité (avec un coût de développement estimé à 300 millions), ça fait plutôt cher l'ennemi tué (presque 450.000 dollars).
C'est curieux quand même... Sauver des banques de leur propre incurie à coups de milliards ou payer de dangereux et dispendieux joujoux aux militaires, c'est toujours ok. L'éducation ou la santé pour tous par contre, c'est toujours beeeeeeaaaaaaaaauuuuuucoup trop cher.
Quelques réflexions en vrac :

1) Les Folamour américains aiment bien donner des petits noms (et le faire savoir) à leurs engins de mort : à Hiroshima, c'était Little Boy et à Nagasaki Fat man.

2) L'une des raisons (attention, je ne dis pas la seule!) de ce bombardement pourrait être le besoin de tester les nouveaux outils en conditions réelles. Ce besoin assez général des marchands d'armes pourrait d'ailleurs participer à l'explication de situations obscures pour le commun des mortels, comme l'obsession hollandaise de bombarder la Syrie avec des Rafale. Ou l'encagement des palestiniens de Gaza par Israël.

3) Une autre raison de ce bombardement (et/ou de sa médiatisation) pourrait être le souhait de faire oublier les questions qui se posent à propos des 59 missiles Tomahawk, dont presque la moitié a purement et simplement disparu, et les autres n'ont - semble-t-il - pas été très efficaces dans leur mission de destruction.
Les bavure américaines.
Les massacres russe.
Attention Daniel, vous êtes sur la pente savonneuse du poutinisme. C'est avec ce genre d'article qu'on devient site complotiste et/ou qui ne vérifie pas assez ses sources.
Oui, je lisais ça sur le site du Parisien, la mère de toutes les bombes, et je ne comprenais pas. Aussi, merci, avec vous, à présent je sais. Néanmoins, 36 victimes, comme 36 chandelles, ça me semble peu pour un si gros engin, elle est où l’entourloupe ?
Sinon n’est-ce pas, tout compte fait, la grosse Berta, le retour...

Combien d’années déjà, la guerre en Afghanistan ?
ça me rappelle 1991 et la première guerre du golf ou le monde s'extasiait devant les missiles de croisières "tomahawk" et les formidables images de frappes chirurgicales presque magiques qui ne faisaient aucun mort parmi les civils tout en réduisant a néant l'ennemi. le mythe de la guerre propre.... "don't be a skud be a patriot" qu'ils disaient.

25 ans ont passé et apparemment il y a prescription puisque les couleuvres sont de retour.
Ce qu'on retiendra c'est que c'est la Russie qui a la plus grosse.
"On ne sait pas si c'est Trump en personne qui vient, quelques jours plus tard, d'ordonner de larguer la plus grosse bombe non-nucléaire de l'arsenal américain sur des Talibans, en Afghanistan."

Si ce n'était pas Trump qui avait donné cet ordre, c'est qu'il y aurait eu un coup d'Etat aux USA...
Super chronique merci, à défaut de donner la bonne humeur c'est vraiment bien écrit.
Vous reprendriez bien un peu de missiles... Je voulais dire de gâteau.
Vive Poutine (un papa) ! Vive l'Alliance bolivarienne (une maman) ! Vive Bachar (une bombe) ! Vive Mélenchon (un gâteau ?) !

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