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Terroristes aujourd'hui, résistants demain ?

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Finalement l’AFP ne fait que confirmer la position de LFI dès le lendemain du 7 octobre.


Comme disait Arthur Schopenhauer

« Toute vérité passe par trois étapes, d'abord elle est ridiculisée, ensuite elle est violemment combattue et enfin elle est accep(...)

"Nous sommes le peuple de la lumière", dit le Premier Ministre israélien.


Sans doute, fait-il allusion à une nuit de septembre 1982, à Sabra et Chatila, au Liban.

Israel avait sous-traité la découpe des civils palestiniens aux milices chrétiennes des p(...)

De la même manière , peut-être pourrait-on accoler aux noms de E. Lévy et J. Weintraub , les qualificatifs de  journalistes partisanes ?


E;t aux noms de certains journalistes de Franc-Tireur,  le qualificatif de "Franche crapule ";



(...)

Derniers commentaires

J'ai entendu un type , un instruit , qui disait , on peut etre résistant et utiliser le terrorisme comme arme  .Après peut etre que sa voix elle compte pas a celui là , c'est une espece d'arabe de perse .Ce qu'il y a quand meme de dingue , c'est qu'il y a des gens qui sont incapables de penser ce concept ...Après pour etre dans le mouv' des gens qui comptent ,faut hurler avec enthoven , kaie kaie kaie ....Eh , vous croyez quoi , que c'était un loup le mec ?

Encore heureux qu'il est mort, Léonard Cohen, il se serait trouvé des gens pour le clouer au pilori, parce qu'on reconnait bien qui est qui à l'heure actuelle dans la chanson.


There were three of us this morning
                   Nous étions trois ce matin
I'm the only one this evening
                   Il n'y a plus que moi ce soir
But I must go on ;
                   Mais je dois continuer ;
The frontiers are my prison.
                    Les frontières sont ma prison.

Oh, the wind, the wind is blowing,
                    Oh, le vent, le vent souffle,
Through the graves the wind is blowing,
                    A travers les tombes, le vent souffle,
Freedom soon will come ;
                    La liberté viendra bientôt ;
Then we'll come from the shadows.
                    Puis nous sortirons de l'ombre.

Les allemands étaient chez moi,
                     Ils m'ont dit : "résigne-toi",
Mais je n'ai pas peur ;
                     J'ai repris mon arme.
J'ai changé cent fois de nom,
                     J'ai perdu femme et enfants
Mais j'ai tant d'amis ;
                      J'ai la France entière.
Un vieil homme dans un grenier
                      Pour la nuit nous a caché,
Les allemands l'ont pris ;
                      Il est mort sans surprise.

Oh, the wind, the wind is blowing,
                      Oh, le vent, le vent souffle,
Through the graves the wind is blowing,
                      A travers les tombes, le vent soufle,
Freedom soon will come ;
                      La liberté viendra bientôt ;
Then we'll come from the shadows.
                      Puis nous sortirons de l'ombre.


Chanson écrite en russe par Anna Marly pour les partisans russes. On trouve sur youtube Anna Marly qui raconte elle-même l'histoire. C'est à mes yeux l'histoire d'une femme qui se fait spoliée, parce que femme. Face à Kessel et Druon, elle garde sa propre traduction en cours dans sa poche. Dire à propos des amis, "j'ai la France entière" au lieu de "partout en France" laissait présager le gros mensonge d'après guerre. C'est cette non unanimité française qui ressurgit aujourd'hui, déjà on la cachait.

Ajoutons que les qualificatifs de terroriste et de résistant ne s'opposent pas nécessairement et que l'on peut être les deux en même temps !

 

Par exemple, résister à un occupant en usant de la terreur vis-à-vis des populations civiles...

Pour faire disparaitre le Hamas deux solutions conjointes ou dissociées : éliminer physiquement donc militairement le Hamas et/ou éliminer les causes qui permettent à une organisation politique et militaire d’exister. 

Israël a favorisé l’émergence et le renforcement du Hamas pour neutraliser l’O.L.P., et diviser les Palestiniens. Il y a réussi. À ses risques et périls envisagés comme des avantages pendant un temps, mais qui sait peut-être encore.


Israël est un État du camp dit démocratique qui peut produire et porter au pouvoir des partis extrémistes qui n’ont rien à envier aux fondamentalistes islamistes et on peut le prouver par un certain nombre de textes (dont un des derniers la Loi fondamentale d'Israël de 2018 dans laquelle figure outre l'aspect évoqué dans un commentaire précédent, « L’exercice du droit à l’autodétermination nationale dans l’État d’Israël est réservé au peuple juif »; cette dimension : "l’État considère le développement de la colonisation juive comme un objectif national et agira en vue d’encourager et de promouvoir ses initiatives et son renforcement »), de déclarations et d’actes.

La démocratie élective est aussi celle qui peut engendrer des monstres. Il n’en manque pas dans la période. C’est presque une généralité et pas si loin de "chez nous", et déjà "chez nous".


Israël tue plus de manière continue que le Hamas en une fois, de trop certes. Un comptage macabre annuel peut facilement le démontrer (pour ne prendre en considération que cet aspect), ce qui ne rend pas plus justifié les actes du  Hamas, mais qui n’exonère pas Israël d’avoir installé un tel ennemi à cote de chez lui. À moins qu’il ne soit plus utile qu’on ne le pense que le Hamas existe et qu'il continue de sévir, quand on continue de sévir soi-même en désespérant toujours plus, et sans horizon que cela change, des populations entières, un peuple tout entier.


Sans compter le désespoir en Israël même pour ceux des israéliens qui voudraient un autre Israël et qui sont sommés de se taire, de faire union, de renoncer à la paix, pas pour un jour, pas pour 15 jours, pour toujours.

Facile, et le terme de "terrorisme" y est utile, de poser une équation à 2 termes (Israël et le Hamas) en éliminant l’inconnue : les Palestiniens. Comme de ne considérer la question de la violence et de la guerre qu’à l’occasion d’un passage à l’acte brutal, sanguinaire, afin d’oublier un état de violence et de guerre sanguinaire aussi et permanent, et de manière binaire à dire le bien, le bon, le juste, l’ignoble, le cruel, le mal absolu, celui qui se passerait de cause, qui ne serait qu’un pur effet d’une idéologie (religion, groupe "racial" ?) mortifère qui n’aurait besoin ni de cause, ni de mobile sauf celui d’une cruauté sans fin.

L’inconnu (les Palestiniens),  reste lui dans le néant des analyses, de la réalité tout simplement. Il ne mérite pas d’attention, à peine une mention. Il n’est pas innocent, ni coupable. 


Il n’est pas tout simplement.


Et s’il est, l’occasion et prétexte sont trop tentants, de s’en débarrasser une bonne fois pour toute.

Comme on ne peut les envoyer dans la lune comme le souhaitait déjà Levi Eshkol (premier ministre israélien travailliste  en 1967), qu’il en meure le plus grand nombre sous les bombes, que le reste débarrasse le plancher!

La terre, là-bas, devenue vide, elle reviendra à qui Dieu l'a promise et donnée ainsi que le proclament ceux des israéliens qui, au pouvoir, conduisent les opérations de justice sommaire : œil pour œil, dent pour dent, 10 pour 1 et plus si possible.


Les expressions de la médiocrité et la débilité désespérantes, pour ne pas dire criminelles, des débats politico-médiatiques sont redevenus binaires de type bushien d'après le 11/09/2001 et se déclinent selon une logique effrayante :

- Civilisé/sauvage.
- Camp du Bien/camp du Mal.
- Humain/inhumain.

On peut cependant y introduire, d'autres types d'oppositions que masquent les précédentes :
- Camp des riches/camp des pauvres.
- Camp des Blancs/ des non blancs.
- Camp des Puissants/ celui des faibles.
- Camp des Possédants/ celui des dépossédés.
- Camp des Dominants/celui des dominés.
- Camp des Occupants/ celui des occupés.
- Camp des colonisateur/ celui des colonisés.

- etc., etc.



Une dernière : au droit de se défendre, on doit opposer, et il devrait être imposer, le devoir de respecter les droits d'autrui et le droit international qui doit en être le garant et qu'Israël foule aux pieds. Depuis 75 ans.


Dans Peau noire, masque blanc, Fanon, donne une définition pour les blancs occidentaux qui pratiquent ou pire ? soutiennent le colonialisme et/ou l’apartheid : des salauds. Ça fait désuet, mais cela leur va bien !

On peut reprocher à Sartre (dans la préface des Damnés de la Terre) de ne pas être aller plus loin que les blancs racistes qui pratiquent le colonialisme ou pire, le soutiennent : il n’a pas voulu aller jusqu’à parler lui-même des israéliens (je fais attention aux qualificatifs, pour la majorité électorale des israéliens)  qui sont assimilés à des blancs, voir plus blanc que blanc ! aujourd'hui on ne va pas demander à Sartre de prolonger cette hypothèse, on ne refait pas l’histoire, mais on peut toujours l’actualiser en présence des faits ! D'une certaine manière, Daniel fait ce pas de plus ! c'est courageux ! merci ! mais attention, en traversant la rue dans les passages cloutés.


Ce que je trouve particulier avec le mot "terrorisme" c'est qu'il devienne un point de crispation alors que comme tout mot, il a un sens. On ne devrait pas s’exciter pour si peu, par contre débattre sereinement oui car c’est intéressant. D’ailleurs voici quelques réflexions que je vais essayer de rédiger du mieux que je peux et loin du climat anxiogène de crime par la pensée imposé par la sphère médiatique réactionnaire, le tout afin de mieux utiliser le concept de terrorisme au quotidien.


Si on prend la définition du Larousse : "Ensemble d'actes de violence (attentats, prises d'otages, etc.) commis par une organisation ou un individu pour créer un climat d'insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l'égard d'une communauté, d'un pays, d'un système.", il s'agira alors de savoir si le Hamas cherche à créer un climat d'insécurité ou d'autres intérêts. Je ne vais pas répondre à cette question car je ne suis pas expert du Hamas mais la question se poserait plutôt sur la préexistence du climat d'insécurité dans lequel finalement le Hamas se serait construit et auquel il participe avec d'autres (colonie, extrême droite israélienne, Iran ...). C'est plus une hypothèse qu'une affirmation péremptoire.


Le CNRTL lui donne une définition plus complète, rappelant que le sens premier est le sens historique "Politique de terreur pratiquée pendant la Révolution" et par extension : "Emploi systématique par un pouvoir ou par un gouvernement de mesures d'exception et/ou de la violence pour atteindre un but politique". Ici on ne peut pas s'empêcher de penser à notre  gouvernement qui utilise des mesures d’exception (49.3) et de la violence (répression gilets jaunes ,Sainte Soline ...).


Le second sens du CNRTL est : "Ensemble des actes de violence qu'une organisation politique exécute dans le but de désorganiser la société existante et de créer un climat d'insécurité tel que la prise du pouvoir soit possible." Et bien là encore quand on regarde avec quelle véhémence se déchainent médias et politiques relevant du "bloc bourgeois" pour faire en sorte de créer un climat d'insécurité tel que la gauche rendue inaudible ne puisse prendre le pouvoir, le tout en promouvant le RN, se pose encore la question : notre gouvernement est-il terroriste ?


D'un point de vu parfaitement subjectif, je constate que le terrorisme au sens "extrémiste qui provoque une tuerie", finalement ne me terrorise pas tellement. Au fond des abrutis il y en a et si le terreau est fertile ils prospèrent. Dégouté je le suis, triste ou en colère également mais terrorisé pas tellement. Vous me direz, c'est normal, t'es bien au chaud tu ne crains rien donc facile de ne pas avoir peur. Peut-être mais nos situations sont-elles si confortables ? Nos positions sont-elles si aisée à assumer face aux caricatures ? N'avez vous pas l'impression qu'il faut sans cesse se taire, surtout en entreprise ? Avez vous l'impression qu'on vous respecte quand on vous fait passer pour un défenseur du Hamas ( ou islamo-gauchiste ) si vous osez prendre le temps de la réflexion ? Vous rendriez vous sur une manif sociale ou type A69 sans craindre pour votre intégrité physique ? Au fond qu'est-ce qui nous fait le plus peur : le psychopathe que l'on a autant de chance de rencontrer que de gagner au loto ou nos gouvernants qui nous menacent en permanence ?


Qu'en pensez-vous ?

Par vrai souci d'objectivité sémantique, l'AFP aurait pu (dû?) évoquer les "attentats à caractère terroriste commis par des francs-tireurs énervés, issus de la branche armée pacifique du Hamas, organisation palestinienne islamiste radicale de résistance pacifique à la domination colonialiste des juifs sionistes dominateurs." Un peu comme Mandela, du coup. Pour le côté pacifiste. 

Du coup.


Pour ma part, quand les injonctions sont fortes à ce point comme :


-Condamnez la violence

-le Hamas est terroriste

-les états unis sont la plus grande démocratie du monde

-Melenchon est nuisible à la vie politique française

-LFI est antisémite et d'extrème gauche
etc. (liste non-exhaustive)


ça me donne envie de défendre le point de vue inverse.
Ce qui ne veut pas dire que j'ai raison dans tous les cas.

Je remets le lien de la BBC qui n'emploie pas le mot "terroriste" et explique pourquoi : 

https://www.bbc.co.uk/news/world-middle-east-67083432


A lire et à partager :


L’Israélien Michel Warschawski : «Je vois en France des débats minables !»

L'écrivain et journaliste israélien Michel Warschawski.


Par Houari A. – De plus en plus de voix s’élèvent contre le niveau dramatiquement bas auquel sont arrivés les responsables politiques et les médias occidentaux, au premier rang desquels ceux de France. «Je vois en Occident, notamment en France, des débats minables, qui ne sont pas à la hauteur de l’extrême gravité du moment. Au lieu d’utiliser tous leurs leviers pour imposer un cessez-le-feu immédiat, de nombreux dirigeants politiques préfèrent prêter allégeance à Israël. Ils sont sous les yeux du monde entier les complices d’un crime contre l’humanité», s’est indigné l’écrivain et journaliste israélien Michel Warschawski, dans un entretien à Mediapart.

Ce militant israélien de gauche estime que le régime de Tel-Aviv a dépassé les crimes de guerre. «Nous sommes face à un crime contre l’humanité à Gaza», a-t-il affirmé, en appelant la Cour pénale internationale à «s’en saisir». «Je refuse la symétrie entre les deux parties. Il y a un occupant et un occupé. Même si l’occupé peut utiliser des méthodes intolérables qu’il faut dénoncer. N’oublions jamais : Israël est l’occupant, il a les clés de la solution. Les Palestiniens sont poussés à bout, par le désespoir, mais aussi par un sentiment de dignité : puisqu’on doit crever, crevons en nous battant pour notre terre», a expliqué le président du Centre d’information alternative de Jérusalem.

«Cette idée selon laquelle nous aurions gardé beaucoup trop de Palestiniens sur notre territoire obsède notre gouvernement. C’est dans la continuité de la loi fondamentale qui a été votée il y a deux ans : Israël comme peuple-nation, comme Etat-nation du peuple juif. Il s’agit non seulement de ne plus reconnaître les droits nationaux palestiniens, mais aussi de s’en débarrasser le plus vite possible. C’est terrifiant», s’est alarmé l’ancien président de la Ligue communiste révolutionnaire marxiste israélienne, convaincu qu’«on ne peut pas mettre deux millions de personnes dans une cocotte-minute à Gaza et ne pas comprendre que ça va exploser tôt ou tard».

«Deux millions de personnes sont enfermées dans un minuscule territoire et soumises à un blocus depuis plus d’une décennie», a-t-il rappelé, en soulignant que «ces deux millions de personnes ont des droits, à commencer par le droit d’exister, de respirer». «Israël les soumet désormais à un siège complet en représailles, leur coupe l’eau, la nourriture, les médicaments, l’électricité, Internet, les télécommunications. Sa riposte est inacceptable», s’est-il scandalisé.


Les journalistes de l'AFP, ont ils un texte de soutien de "Reporters sans frontières" pour leurs collègues qui décèdent à Gaza.

À voir, dans le prolongement de votre juste analyse, le dernier (et puissant) film de Scorsese, Killers of the flower moon, où les sauvages d’hier sont les sages d’aujourd’hui. Pour ce qu’il en reste.

Sinon, un concours est ouvert entre libé et le monde pour savoir lequel écrira le plus grand nombre d'articles anti Mélenchon, LFI et NUPES.

Le poulailler médiatique est d'accord l'homme à abattre c'est Mélenchon.  Le mouvement à "amender" c'est la FI. L'alliance à casser c'est la NUPES. Acharnement médiatique open bar.

Vu le déchaînement médiatique (voir article de Serge ALimi dans le monde diplo dd ce mois) ont comprend que Melenchon est un caillou dans la chaussure du bloc bourgeois. 

Il y a une troisième raison, outre les deux mentionnées dans ce billet : l'AFP est un nid de mélenchoniens.

Merci de réserver ce petit jet de bile non étayé (et sans intérêt)  à Twitter, où il est devenu la norme, et où vous aurez votre petit succès.

Hum... La remarque de Davesnes me semble plus marqué du sceau du 2e degré qu'autre chose...

Oups, au temps pour moi, j'ai les nerfs en pelote avec ce qu'on doit supporter en ce moment... mes excuses à Davesnes donc (et merci pour m'avoir remis sur les rails sans acrimonie)

En effet comme ont déjà infiltré l'ONU.

Ils sont même arrivés jusqu'au Daghestan.

Demandez à Ervé, il sait tout.

"Terroriste", "islamo-gauchiste" (ou "ultragauchiste" ça marche aussi), "antisémite", "wokiste"... décidément le catalogue des termes à utiliser pour discréditer ses adversaires (de gauche, la précision est presque inutile) quasiment à coup sûr s'étoffe toujours plus. Le tout sans jamais la moindre consistance, ni la moindre justification, cela va sans dire.


Et il va falloir faire très attention à ne plus utiliser certains mots donc.

"Camp" donc parce que que "camp", ça ne peut que faire référence à "camp de concentration".

Et "travail" aussi ? Parce que "Le travail rend libre" ? Et "libre" dans la foulée et pour la même raison.

Je ne sais pas, je demande avant de me faire traiter d'antisémite au détour d'une quelconque phrase dans laquelle je viendrais à utiliser le mot "travail" ou bien le mot "libre" ou même, honte suprême, les deux.

La carte des pays qui considèrent le HAMAS comme une organisation terroriste est intéressante mais quel est son niveau de fiabilité ?

De l'utilité de se tenir informé de l'actualité : hier, j'ai appris que le Daghestan est la principale république russe de Ciscaucasie et que sa capitale est. Makhatchkala.

"Nous sommes le peuple de la lumière", dit le Premier Ministre israélien.


Sans doute, fait-il allusion à une nuit de septembre 1982, à Sabra et Chatila, au Liban.

Israel avait sous-traité la découpe des civils palestiniens aux milices chrétiennes des phalangistes.


Pas d'intervention directe de Tsahal ,qui s'était contenté de tenir la chandelle, en combattant les ténèbres au moyen de fusées éclairantes.

Le peuple de  la lumière...

Finalement l’AFP ne fait que confirmer la position de LFI dès le lendemain du 7 octobre.


Comme disait Arthur Schopenhauer

« Toute vérité passe par trois étapes, d'abord elle est ridiculisée, ensuite elle est violemment combattue et enfin elle est acceptée comme une évidence. »


On attend toujours le qualificatif d’état terroriste concernant Israël qui effectue un génocide à Gaza, un nettoyage ethnique dans ses colonies

 On attend aussi une condamnation d'Israël par Jupiter, une rupture des relations diplomatiques de l’UE avec Israël, l’application de sanctions économiques, un embargo sur l’exportation des armes, et la traduction de  Netanyahou devant la CPI

Je me permets de relayer un de vos X sur la position d’une ministre Espagnole Podemos 

https://x.com/d_schneidermann/status/1718719239429787813?s=20



A commencer par les israëliens ....

Le Général De Gaulle n'était-il pas, considéré,   par certains, comme  le Chef des Terroristes ....


Après 56 ans d'occupation a-t-on le droit d'être Résistant ( ou terroriste ).

De la même manière , peut-être pourrait-on accoler aux noms de E. Lévy et J. Weintraub , les qualificatifs de  journalistes partisanes ?


E;t aux noms de certains journalistes de Franc-Tireur,  le qualificatif de "Franche crapule ";



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