Terrorisme, immigration, violences sexuelles : l'AFP et le choix des mots
L'Agence France Presse est connue pour sa couverture "impartiale" de l'actualité. Une information "sans jugement de valeur", revendique l'agence, à laquelle les médias clients peuvent ajouter des informations ou qualificatifs selon leur ligne éditoriale. Mais dans l’urgence, comment choisir les mots "neutres" ? Faut-il dire "révolte" ou "émeute" ? "Hexagone" ou "métropole" ? "Otage" ou "prisonnier" ? "Arrêt sur Images" a questionné l'AFP sur son rôle prescripteur et sa responsabilité sémantique.
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Commentaires préférés des abonnés
"après le 7-Octobre et le début de la guerre,"
pour l’AFP tout a commencé le 7 octobre
Et les prisonniers Palestiniens ne sont pas des otages. Appellation réservée aux seuls détenus israéliens
Avec de tels biais on pourra bientôt la surnommer l’ag(...)
Le genre de papier "dans les coulisses" passionnant. Merci
Derniers commentaires
Merci pour la chronique.
Madame Lopez propose parfois des justifications capillotractées (les otages israéliens VS les prisonniers palestiniens)...
Et puis cette petite perle : "Vous ne trouverez pas de "dit-iel", "constate-t-iel" dans une dépêche de l'AFP"
Heureusement ! les deux verbes sont à la troisième personne du singulier, il n'y a donc qu'un sujet : soit "elle", soit "il"
"après le 7-Octobre et le début de la guerre,"
pour l’AFP tout a commencé le 7 octobre
Et les prisonniers Palestiniens ne sont pas des otages. Appellation réservée aux seuls détenus israéliens
Avec de tels biais on pourra bientôt la surnommer l’agence française de propagande
Pas étonnant :
.
Le genre de papier "dans les coulisses" passionnant. Merci