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Royal, préférée des socialistes...internautes

Depuis quelques mois, on n'entend parler que d'eux

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Jaurès, Clemenceau et Valls
par Gilles Candar

À l’issue de son dernier livre (Pour en finir avec le vieux socialisme… et être enfin de gauche, Robert Laffont, 2008), Manuel Valls évoque le débat Jaurès / Clemenceau à la Chambre des députés de juin 1906 et il indique que ses préférences vont vers le président du Conseil Clemenceau, et ses « cathédrales républicaines » patiemment construites, non vers le fondateur de L’Humanité Jean Jaurès et ses « palais de fééries ».(...)

Prendre au mot Manuel Valls pourrait s’avérer cruel : de quoi est-il question dans ce fameux débat de 1906 ? Les mineurs se sont mis en grève, après la catastrophe de Courrières. Onze cent victimes environ, catastrophe nationale qui pose le problème de la sécurité, du profit et des vies humaines… Vingt mille soldats sont envoyés dans le Nord-Pas-de Calais pour reprendre le contrôle de la situation. C’est le moment clef qui voit Clemenceau, champion de la gauche radicale et ardent dreyfusard, se muer en « premier flic de France », bientôt « le Tigre », ministre de l’Intérieur efficace et promoteur de ce que je proposerais d’appeler « une gauche d’ordre ». En ce même printemps 1906, Clemenceau, « le briseur de grèves » pour reprendre une expression de Jacques Julliard (Clemenceau briseur de grèves, Julliard/Gallimard « archives », 1965), mate aussi un mouvement social chez les postiers (ces fonctionnaires ne sauraient avoir le droit de faire grève), bloque le déploiement syndical du 1er mai en plaçant Paris dans une sorte de « petit état de siège » (45 000 soldats contrôlent la capitale avec de nombreuses réquisitions militaires) tandis que le secrétaire général de la CGT, Griffuelhes, est arrêté et poursuivi pour complot contre la sûreté de l’État, en compagnie de quelques militants monarchistes (cf. Frédéric Monier, Le Complot dans la République, La Découverte, 1998).

C’est contre ce comportement assurément nouveau de la part du pouvoir radical, qui tranche en tout cas avec celui des années du Bloc des gauches, que s’élèvent Jaurès et les socialistes.(...)
On se croirait à un remake du congrès du PS !
Ce que j'observe c'est une grande "objectivité" dans les commentaires dont le fond implicite est: "Royal n'est pas mon CHAMPION et, évidemment, c'est MON CHAMPION qui est le meilleur, na! "

L'objectivité du commentaire de D Schneiderman, qui ne fait qu'énoncer une réalité évidente - sauf pour ceux qui refusent de voir ou d'écouter, et les journalistes, nous le savons ont mille yeux et autant d'oreilles, d'où que l'on soit interpellés par cet "oubli" d'information sur l'écart important du nombre de signataires aux contributions, écart à faveur de la contribution présentée par Royal et son équipe - donc, je disais l'objectivité de Daniel n'est pas compromise puisqu'il ne se prononce surtout pas pour Royal mais donne lumière à une information sortie, oh! confusion sur un blog du Figaro!

Pour ma part, militante socialiste, je trouve très bien Moscovici; j'ai apprécié en son temps l'opiniâtreté d'Aubry à imposer les 35 heures, et j'ai excusé certaines maladresses du dossier par le fait de tant d'opposition à son encontre et le peu de temps devant elle; je ne connais pas Delanöe, mais c'est sans doute un grand esprit socialiste et un bon maire d'une très grande ville; j'apprécie Royal à cause de sa fermeté, rigueur, détermination et honnêteté politique, jusqu'à preuve du contraire, cette dame est la seule à avoir mis en accord le principe sur le non cumul de mandats dont beaucoup de nos sieurs s'en gargarisent.

Donc, je voterai en mon âme et conscience et ce n'est pas l'argumentaire manipulateur sarkozyste avec tous les "rats" qui sortent pour dénigrer et injurier avec des mots lamentables le PS et ses responsables dès que le nom Royal est prononcé; ce ne sont pas les sieurs Raffarin ou Sarkozy qui vont choisir pour moi le prochain premier secrétaire et pour eux leur prochain concurrent à la présidentielle et ce ne sont pas les bayrouistes qui comptent sur les décus du socialisme pour renflouer le bateau Bayrou qui coule (et pourtant j'ai beaucoup de sympathie pour F Bayrou). Nous sommes en démocratie et en République Française et malgré des dérives, l'esprit français empêchera toujours que l'on devienne une république bananière.

Ce que nos chers journalistes oublient souvent aussi d'énoncer, c'est le nombre de personnes qui écoutent et acueillent lors des déplacements les responsables politiques, et là, il n'y a pas photo, n'internet !.
Bien sûr que notre Daniel n'est ni pour l'un ni pour l'autre des candidats... Je suis fasciné (si si... comme devant un serpent à sonnette) par les commentaires qui ne peuvent se défaire de la haine rancie de 2006-2007 : tout, sauf "la petite-bourgeoise-catho-et-réac-de-province"... Quelle hauteur de pensée ! On dirait du Mélenchon le Chon ou du Devedjan... Parlez-moi de ces deux-là... ça c'est des cakes ! Quand je pense que le Mélenchon nous a comparés aux "p'tits blancs" grincheux. Tiens, aujourd'hui, il cause au Pape, dans Le Monde ! Purée !
C'est en partie faux ce que vous dîtes.


Je suis à désirs d'avenir (et au ps), et on s'est mobilisé pour récolter aussi les signatures de personnes qui n'ont pas internet et ne peuvent pas signer en ligne.


Les militants savent parfaitement qu'il y a des contributions et qu'on peut les signer (simplement parce qu'ils les ont tous reçu par courier). S'ils n'ont pas internet (mais quelqu'un qui n'est pas "internaute" est-il forcément quelqu'un qui n'a pas du tout internet ?), ils peuvent toujours signer sur leur lieu de travail où demander à un autre militant de le faire pour eux.


Donc c'est totalement réducteur de dire que les contributions ne recueillent que les signatures de militants "internautes". Surtout que vous faîtes en plus le jeu des anti-royal en disant celà (le même argument a été repris pour expliquer sa désignation en 2006). Bientôt, va-t-on venir nous dire qu'elle est soutenue par des militants virtuels ??
Bonjour Daniel,
cette chronique me mets mal à l'aise, elle me fait penser à certaines interventions hautes en couleurs de Roger Karoutchi, au moment où M. Sarkozy perdait plusieurs point de popularité dans les sondages chaque semaine, qui aimait à s'indigner publiquement du silence des média lorsqu'un sondage par miracle indiquait une légère inversion de la tendance. La comparaison peut certes sembler peu flatteuse, mais après avoir relu plusieurs fois cette chronique, j'ai du mal à y retrouver le recul et la finesse qui vous caractérisent. J'y vois plutôt un texte (trop) partisan.

Amicalement
Faut-il rappeler que s'il n'y avait pas eu de front sexiste de la part des éléphants de papier socialistes
60% des français ne regretteraient pas aujourd'hui le résultat des dernières élections
66% des français ne seraient pas en train de développer une irruption de démangeaisons a la vue de Sarkozy
faut-il rappeler le désastre pitoyable de Jospin et son incapacité a gérer la pression.

mon repère en politique est simple et pragmatique: je me fou d'une France numéro 1, je me fou de gagner plus que nécessaire, ce que je refuse a tout prix c'est l'idée qu'il faille en France des pauvres pour faire vivre les riches, qu'une partie du monde doive crever de faim pour que nous puissions vivre correctement en occident.

cette idée nauséabonde semble agréablement titiller l'odorat des pro Sarko et ... malheureusement ...
les socialistes ne sont même plus sûrs qu'il puisse y avoir une autre solution.
Ségolène Royal en est convaincue. Je suis persuadé que c'est son humanisme qui a rassemblé.

et la moindre des choses serait que la gauche la remercie pour avoir fait le meilleur score depuis Mitterand

heureusement il y a des politiques qui pensent encore que l'Homme prime sur le marché. et pas seulement au PS
personnellement j'arrête de voter systématiquement pour un parti. et au train ou ils vont les socialistes auront encore une voix de moins.
Il y en a marre des partisans de SR qui joue encore le martyr de la candidate victime de la soi disant mysoginie des éléphants. Après sa victoire lors des primaires, sans appel, c'est bien elle qui n'a pas fait les gestes, qui n'a pas eu les discours qu'il fallait pour rassembler le parti. Péché d'orgeuil, elle croyait pouvoir gagner toute seule. Elle a même créé un moment une forme de comité de campagne des leaders PS, qui ne s'est jamais réuni !
La grande majorité des militants PS qui n'avaient pas voté pour elle au cours des primaires a fait la campagne, ne serait-ce parce qu'en face, il y avait Sarko !
De même, comment faire une campagne collective quand les mots d'ordre partent d'on ne sait où, sans explication vers la base et les autres leaders. Je pense notamment au simili CPE, qui était sorti dans la presse, une idée d'un conseiller un peu abruti, qui n'était pas dans le pacte presidentiel... En face, les arguments étaient rodés, préparés, et répétés mot pour mot inlassablement dans les mass medias.

Il y a aussi une erreur factuelle dans l'article : si les militants l'ont choisi au terme des primaires, c'est avant tout à cause des sondages, et pas l'inverse ! Dans ma section, au cours des primaires, l'argument principal de ses partisans était "parce que c'est la seule qui peut battre Sarko". Et pourquoi ? Parce que les sondages le disaient... Il y a eu un véritable emballement médiatique au cours de la campagne des primaires, parce que l'affiche Sego-Sarko, ça avait de la gueule. Et les militants ont suivi.

Attention, les militants du PS ne sont pas (seulement) des moutons qui suivent bêtement les sondages. C'est un peu plus compliqué que ça. D'abord, le PS était à l'époque (et est toujours) dans le flou complet sur la ligne idéologique, sur la stratégie politique. Donc le phénomène Ségolène - qui apportait une certaine nouveauté, c'est vrai - pouvait apparaitre comme une bonne option. Et puis, surtout, il y a la mécanique propre du parti. Le PS est un parti d'élus ou d'aspirants élus, de barons locaux, qui ne pensent rien depuis des années, et qui attendent juste de voir dans quel sens souffle le vent. A partir du moment où la machine s'emballait, ils sont nombreux à avoir soutenu la candidature de SR, pour se placer, ne pas rater le coche. Ces barons locaux ont de l'influence dans leurs fédérations, parfois une certaine aura, et surtout la main mise sur les candidatures aux scrutins suivants. Donc, en général, les militants suivent, presque comme un seul homme...
Donnez m'en un de sondage ! un seul !

(je suis gentil il y en a eu 1)

SARKOZY A TOUJOURS ÉTÉ EN TÊTE. Toujours. Seulement beaucoup pensaient (et ça s'est vérifié) qu'elle rassemblait le plus (les OUI & les NON, Le centre & la gauche de la gauche etc.)

Donc il faut arrêter un peu avec les grands mythes ou bien être un peu plus solide. Si elle avait fait le quart de ce que lui ont fait les "éléphants" pendant que Jospin expliquait qu'il n'était pas socialiste personne ne serait aller inventer que Jospin n'était pas assez gentil.
j'ai bien compris
- elle a été méchante elle a pas caressé les éléphants quand elle a gagné
et les éléphants ben ça supporte pas quand on s'occupe pas d'eux.
- la grande majorité des militants n'a pas voté pour elle pourtant elle a été choisie !!! par l'opération du saint esprit sûrement. et c'est moi qui parle de Martyr????
- votre section! :) voila une bonne raison de ne jamais devenir militant. j'ai connu la vie en section dans le temps, a l'armée, on passait notre temps a se bourrer la gueule en hurlant qu'on était ceux qui avaient la plus grosse... section bien sûr. je vois que quelque soit l'institution le fonctionnement reste le même.
- votre attitude qui consiste a cracher sur tout ceux qui s'expriment ne fait du mal qu'a vous
je vous conseil de relire votre message pour peut être vous rendre compte que vous avez en quelque lignes attaqué absolument tout le monde y compris les militants ne faisant pas parti de votre section. Bravo!

La grande majorité des militants PS qui n'avaient pas voté pour elle au cours des primaires a fait la campagne, ne serait-ce parce qu'en face, il y avait Sarko !


Ouiiiiii, c'est bien de croire à ses propres mythes. Il n'y a eu aucun militant DSK incitant les citoyens à voter Bayrou, parce que ce n'était pas la bonne candidate. Pas non plus de tactique à la mord-moi-le-nœud : "c'est foutu pour 2007 et si elle gagne, c'est aussi foutu pour 2012, donc faisons-la perdre"


Il y a aussi une erreur factuelle dans l'article : si les militants l'ont choisi au terme des primaires, c'est avant tout à cause des sondages, et pas l'inverse ! Dans ma section, au cours des primaires, l'argument principal de ses partisans était "parce que c'est la seule qui peut battre Sarko". Et pourquoi ? Parce que les sondages le disaient...

Ce fut sûrement un argument supplémentaire, et pas seulement fondé sur les sondages. Dans votre section peut-être mais pas partout, ou peut-être même êtes-vous tout simplement à tout argument en faveur de la lus grande compétence de S. Royal. Par exemple sur le nucléaire iranien ?



Ces barons locaux ont de l'influence dans leurs fédérations, parfois une certaine aura, et surtout la main mise sur les candidatures aux scrutins suivants. Donc, en général, les militants suivent, presque comme un seul homme...


Là aussi, erreur. Vous avez une vision dépassée du PS, c'est d'ailleurs pour cela que vous ne comprenez pas pourquoi S. Royal a tant de succès parmi les militants. Il existe au PS une "majorité silencieuse" qui ressemble en fait aux Français, même s’ils sont adhérents. Ils s'expriment peu, n'ont pas d'ambition et sont très légitimistes. C'est sur ceux-là que la "majorité Hollande" a vécu pendant 10 ans. Vu l'échec monstrueux d'Hollande et de ses alliés (qui déjà ? DSK, Fabius), ils s'en sont (enfin) détachés et choisissent en toute conscience celle qu'ils jugent la meilleure pour les représenter. Les traiter de godillots, c'est non seulement vous tromper, mais les renforcer aussi dans leur choix de ne pas vous suivre.
Effectivement, petite erreur factuelle : en section, les représentants de la contribution "Combattre et proposer" recueillent des signatures papier et les transmettent par mail aux administrateurs du site. Idem pour les autres contributions (enfin, on l'espère pour eux).

Idem, seuls les militants sont signataires : les adhérents Désir d'avenir non adhérents au PS ne sont donc pas comptés. (mais ça, cen'est pas DS qui l'a écrit).
Wouaouh !
Je ne pensais pas déclencher de telles réactions, aussi violentes. Peut-être aussi y suis-je allé un peu fort, je vais donc essayer de préciser mes propos.

1. Je persiste à penser que la victoire de SR au cours des primaires s'est jouée sur le fait qu'elle marquait une réelle nouveauté d'approche (discours sur la sécurité, démo. participative....) et qu'elle avait la faveur des sondages. Ces derniers ne disaient pas qu'elle battrait Sarko à tous les coups (encore que certains lui étaient favorables durant l'été 2006) mais surtout qu'elle avait plus de chances de battre Sarko que DSK ou Fabius. C'était le principal argument, le plus décisif. Celui qui était au centre du débat, puisque pour le fond, le parti avait adopté un projet présidentiel, censé s'imposer au candidat (et il s'est imposé d'ailleurs, cf le smic à 1500 € présent dans le Pacte et renié ensuite par l'ex-candidate).

2. De ce que j'ai vu de la campagne présidentielle, au cours de laquelle j'ai été très actif, il me semble bien que le militant de base, quel qu'ait été son choix au cours des primaires, a activement fait campagne pour SR. J'en veux pour preuve une présence très importante dans les manifestations, meetings, diffusions de tracts, etc. Bien entendu, ici ou là, il y a pu avoir des partisans de DSK ou de Fabius qui ont tiré contre leur camp, mais je pense que c'était une minorité.

3. Je pense que la campagne présidentielle a été très mal menée, et que SR en est la principale responsable. Effectivement, à un moment donné (en décembre), symboliquement, il aurait fallu réunir son camp, et elle ne l'a pas fait. Le PS est un parti de grosses têtes, qui a un goût prononcé pour le débat, la discussion, l'effort de conviction. Ce n'est pas et ne sera jamais un parti du genre RPR-UMP, avec un chef et aucune tête qui dépasse. Ce ne sera jamais non plus un parti de supporters, mais bien de militants. Il fallait comprendre celà. Au cours de la campagne, aucune concertation n'était organisée, on naviguait à vue. Derrière les grandes annonces (genre VIème République), il était difficile de savoir ce qu'il y avait derrière, parce que ça sortait de l'équipe de campagne, d'un coup, sans info en direction de la structure PS.

4. Mais au risque de vous étonner, je considère qu'aucun autre candidat n'aurait fait mieux, peut être différemment, mais de toute façon, cette élection n'était pas gagnable, car elle s'est jouée sur le fond, et le PS (et la gauche) avaient perdu depuis belle lurette la bataille idéologique. Face au "travailler plus pour gagner plus" de Sarko, le PS n'avait pas de vision idéologique simple et percutante de l'avenir, de notre modèle de développement (pour aller vite).

5. Concernant l'attitude des militants : j'ai effectivement forcé le trait, peut-être un peu caricatural, pour marquer le coup. Sachez que je n'en veux pas au militant de base. Dans leurs grande majorité, ils y croient encore, se mobilisent comme ils peuvent au cours des campagne, et subissent la vie du parti. Non, j'en veux surtout à tous ces barons locaux et leaders plus ou moins importants, qui ne pensent qu'à leur gueule, qui ne pensent plus rien, qui changent de convictions au gré du vent, qui ne pensent qu'à leur réélection, au statu-quo. Quitte à nuire au concurrent interne. Cette critique vaut pour tout le monde, y compris SR, y compris les autres éléphants.

6. Voila le fond de ma pensée. En ce qui concerne l'objet premier de mon post, je regrette les réactions épidermiques déclenchées par les moindres critiques vis à vis de SR. J'attendais de sa part une autocritique, pour au moins comprendre ce qui n'a pas marché au cours de la campagne, et pourquoi, et cette autocritique n'est jamais venue (elle l'avait pourtant annoncé). J'espère maintenant que les partisans de SR vont sortir de leur position victimaire, pour regarder les choses de manière plus objective, et surtout, au final, traiter du fond (le fond idéologique, la stratégie).

3. Je pense que la campagne présidentielle a été très mal menée, et que SR en est la principale responsable. Effectivement, à un moment donné (en décembre), symboliquement, il aurait fallu réunir son camp, et elle ne l'a pas fait.


Bien sûr pour voir Fabius et DSK encore plus souvent tirés la gueule au 1er rang de ses meetings, avec Bartolone qui en rajoute une 2e couche sur le thème "ce sont des vieux routards, c'est normal qu'ils s'ennuient pendant les discours".
Ils ont été d'une nullité honteuse. Aucun professionnalisme, aucun sens de l'intérêt commun.


4. Face au "travailler plus pour gagner plus" de Sarko, le PS n'avait pas de vision idéologique simple et percutante de l'avenir, de notre modèle de développement (pour aller vite).


è perchè ?
peut-être parce que certains préfèrent s'allier avec n'importe qui pour obtenir une majorité au congrès, et après, nommer leurs affidés aux instances. Personnes recrutées pour leur soutien et non pour leur compétence ou leur capacité à travailler et indéboulonnables même s'ils n'en font pas une ramée (les virer mettrait le pseudo équilibre politique de l'alliance).
Vous 'en avez pas assez des instances qui ne travaillent pas ? vous les entendez, les ministres du gouvernement fantôme que le groupe socialiste à l'AN nous a fièrement présenté en juin 2007 ?
Mais si ce mode de fonctionnement vous convient, tant mieux pour vous.


5. Sachez que je n'en veux pas au militant de base.


Le peuple de militants de base (dont vous ne faites pas partie apparemment) est rassuré ! Il avait vraiment très peur que vous lui en vouliez.
Le "militant de base" est sûrement plus intelligent que vous, tout basiste qu'il est.


6. J'attendais de sa part une autocritique, pour au moins comprendre ce qui n'a pas marché au cours de la campagne, et pourquoi, et cette autocritique n'est jamais venue (elle l'avait pourtant annoncé). J'espère maintenant que les partisans de SR vont sortir de leur position victimaire, pour regarder les choses de manière plus objective, et surtout, au final, traiter du fond (le fond idéologique, la stratégie).


Là vous êtes carrément de mauvaise foi, ou alors vous ne lisez rien. Et dans ce cas, vous écrivez sans savoir.
Si Royal gagne, cela voudra dire que Joffrin a écrit plein d'articles pour rien....

Cela n'a rien à voir, mais à Paris, une femme est morte renversée par un motard (de la compagnie qui accompagne les personnalités) en mission, et personne, aucun journaliste ne se pose la question de savoir quelle était la mission ? S'agissait-il d'une personnalité politique importante ?
Etrange ce manque de curiosité...
Le goût des Français pour la volaille ne se dément pas : entre poulet et pintade leur coeur balance !

Seuls les Corses balancent les volatiles à la flotte, mais ils ne font jamais rien comme les autres...

***
si tout le monde parle des autres-aubry,delanoé,moscovici,guerini etc...c'est toujours leurs stratégies contre royal qui sont analysées,soupesées.personnellement,j'ai voté m g buffet au premier tourde la dernière présidentielle,et me suis abstenu au second,après la rencontre de madame royal avec bayrou.j'ai peu d'illusion sur la finalités des programmes concernant les concurrents de royal pour prendre la tête du ps,à part mélenchon qui reste sur des positions clairement à gauche,les autres n'auront aucun mal avec le pragmatisme de la marge brute...
les éditorialistes et les sondages,n'en n'ont pas fini avec la présidente de poitou-charente,nous non plus hélas.
Aaaah non , c'était elle dans la Porsche !
Si je suis bien sûre d'une chose,
c'est que Schneidermann n'est pas soluble dans le fan club d'aucun candidat,
c'est bien simple, c'est pas dans sa structuration mentale, ça, afficionader.



http://anthropia.blogg.org
Je suis internaute mais non-royaliste.
Ou suis-je ?
Tant que miss Poitou Charente, et sa non-présence, sa non-réflexion, son incohérence, sa langue de bois, ses discours tellement monotone qu'une moule se tirerait une balle tient le haut du pavé du partit socialiste, je donne pas cher de leur peau. Je comprend vraiment pas sa popularité, une Martine Aubri que je porte vraiment pas dans mon coeur est un bon millier de fois plus compétente à tout les niveaux que la dame-qui-a-perdu-mais-qui-a-quand-même-gagné (rien que ce dernier point donnerait à réfléchir sérieusement). D'autre part, je trouve ça drôle que les socialistes se tirent dans les pattes à coup de trop à droite ou trop à gauche alors qu'il n'ont pas un début de discours politique cohérent depuis Jospin (c'est dire si ça remonte à loin).
Si vous me permettez cette remarque, il me semble qu'inclure dans "les militants socialistes" les 80 000 adhérents à prix d'ami de son réseau paralelle Désir d'avenir est un peu fort de café, d'autant qu'on sait maintenant qu'ils n'ont pas réadhéré, pour la plupart, et qu'ils n'étaient finalement là que pour imposer Ségolène, selon je ne sais quel délire ségomane. C'est même rageant pour ceux qui essaient de tirer le PS à gauche depuis 30 ans... de voir une armée de touristes débarquer et imposer la barre à droite en quelques mois.

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