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"Pillage" dans "Politis" : relaxe pour Toto face à De Cock

L'historienne Laurence De Cock voulait faire cesser les allégations de plagiat formulées à maintes reprises par le fondateur de la revue martiniquaise "Zist", Zaka Toto, à propos d'une chronique qu'elle avait écrite pour "Politis". Visé par deux plaintes en diffamation, Zaka Toto a été relaxé par le tribunal judiciaire. Laurence De Cock ne fera pas appel.

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Ce n’est pas brillant.  L’avocat de la plaignante chipote sur le motif du non-lieu en pretendant que l’accuse, reconnu de bonne foi par le tribunal et relaxe de toutes les 3 plaintes, n’a pas apporte la preuve de la non diffamation ; alors que c(...)

Ça fait deux fois qu’en lisant le résumé je ne comprend pas bien la situation.

Affaire lamentable de bout en bout. Laurence De Cock qui se dit affectée par l'affaire judiciaire alors que c'est elle qui porte plainte. 

Comme souvent ce genre d'histoire prend des proportions incroyables parce qu'un protagoniste n'a pas voulu (...)

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Antoine Perraud, quoi... ce type est la raison principale pour laquelle je me suis désabonné de Médiapart. Pas mécontent de le voir enfin désavoué.

Il s'agit d'un véritable compte-rendu judiciaire.


Merci beaucoup pour l'emploi du "Je".


Je crois qu'il vous aurait été possible d'obtenir une copie du jugement. Les décisions du Conseil Constitutionnel sur son interprétation et sa lecture de l'article 49 alinéa 3 de la Constitution sont disponibles sur son site internet et sur Légifrance. La situation est identique pour la Cour de cassation et le Conseil d’État.


Je ne sais ce qu'il en est des jugements en matière d'infractions de presse rendus par la 17ème chambre correctionnelle du Tribunal Judiciaire de Paris.


Il reste à savoir si de telles audiences pourront être diffusées dans l'émission Justice en France sur France 2.

Affaire lamentable de bout en bout. Laurence De Cock qui se dit affectée par l'affaire judiciaire alors que c'est elle qui porte plainte. 

Comme souvent ce genre d'histoire prend des proportions incroyables parce qu'un protagoniste n'a pas voulu reconnaître une erreur (en l’occurrence citer le travail de la revue Zist). 

Il y avait juste à ajouter un addendum, reconnaître son erreur et présenter des excuses mais il faut croire que c'était trop pour une grande universitaire. 


"Les juges retiennent bien que les "similitudes" entre les textes "ont légitimement pu laisser penser à Zaka Toto, auparavant mis en garde par un universitaire et personnellement concerné par les faits relatés, que la partie civile s'était appropriée son travail, sans le citer, ce qui correspond à l'une des formes reconnues de plagiat dans le milieu universitaire". "



Ça fait deux fois qu’en lisant le résumé je ne comprend pas bien la situation.

La vraie question : y a t-il eu plagiat ou pas ? Tout le reste découle de ça!

Bonsoir,


Il me semble qu'une petite coquille s'est glissée dans le second paragraphe, il manquerait peut-être bien un petit de...


[...]Il avait riposté en révélant l'existence ces plaintes en février 2022, rappelant leur coût financier[...]


Merci pour cet article.


Ce n’est pas brillant.  L’avocat de la plaignante chipote sur le motif du non-lieu en pretendant que l’accuse, reconnu de bonne foi par le tribunal et relaxe de toutes les 3 plaintes, n’a pas apporte la preuve de la non diffamation ; alors que c’etait a sa cliente d’apporter la preuve de l’infraction : Actori incumbuit probatio. Apporter la preuve de son innocence est d’ailleurs impossible. C’est connu depuis l’Antiquite qui qualifie cela probatio diabolica. Cette histoire donne une image bien sombre du petit monde germanopratin. Triste et dramatique. Ou sont passees les Lumieres ? Qu’en ont-ils fait ? Ils les ont echangees contre une invitation du grand bavard ? Un verre de mauvais mousseux tiede  et des petits fours perimes sous des lambris de la republique ?

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