"Meloni-mania" : la presse de droite adore le "modèle" italien
Une partie des titres français érige la première ministre italienne en femme d'État exemplaire. Sans toujours pointer les revers de sa politique d'extrême droite ou les fragilités importantes de l'économie italienne. "Arrêt sur images" a interrogé plusieurs journalistes et spécialistes de l'Italie sur ce récit de "success story" incomplet, voire erroné. Enquête.
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L'explication la plus probable du progrès ( relatif ) de l'Italie par rapport à la France, c'est que les Italiens n'ont pas eu à subir l'impéritie de Macron ( et sa bande ) .
La borgne Meloni est ( peut-être ) moins médiocre que le non-voy(...)
Derniers commentaires
Vous savez comment ça marche chez les crocodiles quand ils ne pleurent pas ? Ils lèchent , ils lâchent , ils lynches .Pour l’instant les droitards serviles devant l’histoire et le romanesque , contrairement à la gauche et le réel , en sont encore à se lécher les babines du dernier repas démoulé de la meloni . Après si ça aide le petit neuneu à sa mère à chat , c’est toujours ça de pris !
Analyse très fine de Romaric Godin, je retiens l'idée de "deal" de la politique melonienne, "qui consiste à dire à la droite néolibérale : «je vous donne économiquement ce que vous voulez, mais vous me donnez les mains libres pour le reste et notamment la bataille culturelle".
Encore et toujours la droite (néo)libérale qui collabore.
L'explication la plus probable du progrès ( relatif ) de l'Italie par rapport à la France, c'est que les Italiens n'ont pas eu à subir l'impéritie de Macron ( et sa bande ) .
La borgne Meloni est ( peut-être ) moins médiocre que le non-voyant et non-comprenant Macron ( et ses affidés ).
Je n'irai pas ( cependant) à avoir le moindre respect pour la borgne Meloni qui me fait penser à un autre borgne....( en moins vilain )
La presse de droite qui adore les femmes et hommes politiques de droite...
Étonnant non .
Le problème est que l'on cherche en vain des quotidiens, radios ou télévisions de gauche.
Pour trouver des médias de gauche, il faut s'exiler sur internet ou les réseaux sociaux que le pouvoir aimerait tant censurer.