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Méduses à Gravelines : emballement médiatique ou enjeu du nucléaire ?

Les méduses ont eu leur heure de gloire dans les médias. Cette fois-ci, ce n'est pas pour s'être échouées sur les plages, mais pour avoir poussé à l'arrêt la centrale nucléaire de Gravelines, dans le département du Nord. Une information reprise en long, en large et en travers, de manière inégale dans les médias. De quoi questionner la manière avec laquelle le paysage médiatique continue de mal traiter les sujets associés au nucléaire.

Commentaires préférés des abonnés

Pascal Prout va être médusé devant ce problème.


" Encore un problème de migration inopportune et d'invasion,  et la volonté de réduire la capacité et l'énergie de notre France  " dira-t-il ....

Comme on ne m'a pas encore coupé le sifflet, je me dois d'intervenir.


Il est évident que ce déferlement de méduses a été organisé par l'internationale islamo-poutinienne avec l'appui des crypto-gauchistes de LFI afin d'affaiblir la France alors qu'ell(...)

Merci pour l'étude détaillée de ce radeau qui a failli s'échouer en plein été.

Il faut dire qu'écrire "imprévisible", de la part d'EDF, c'était vraiment plus que maladroit, et quasi mensonger.

De un, le souci s'est déjà produit. En effet.

De deux, &nbsp(...)

Derniers commentaires

il faudrait étendre la zone de pêche interdite plus loin en mer autour de la centrale pour favoriser ses prédateurs

Comme on ne m'a pas encore coupé le sifflet, je me dois d'intervenir.


Il est évident que ce déferlement de méduses a été organisé par l'internationale islamo-poutinienne avec l'appui des crypto-gauchistes de LFI afin d'affaiblir la France alors qu'elle est à genoux devant les marchés financiers qui lui vendent leurs sévices (c'est pas une faute de frappe) de plus en plus cher.


Mais Consensus39 va avec son brio habituel dire ce qu'il nous faut penser de tout cà.


Ce fut mon chant du cygne champ du signe.


On est sur une période de proprarisation du nucléaire. Le nucléaire est une énergie propre face à tout ce qui émet du CO2 et des particules fines. On ne va pas faire paniquer avec des pseudo-problèmes collatéraux : défaut de refroidissement (le Rhône surchauffe aussi), déchets radioactifs quasiment éternels, fuites... tout est maitrisé, même le bouton "on-off" de la fission ! 

La surpêche est-elle hors de cause ?

ça reste à démontrer...


https://reporterre.net/Les-meduses-envahissent-les-mers

Merci pour l'étude détaillée de ce radeau qui a failli s'échouer en plein été.

Il faut dire qu'écrire "imprévisible", de la part d'EDF, c'était vraiment plus que maladroit, et quasi mensonger.

De un, le souci s'est déjà produit. En effet.

De deux,  c'était déjà un scénario de crise ultra-classique, bien avant l'an 2000, du temps où le changement climatique n'était pas un sujet médiatique.

Peut être que les communicants d'EDF étaient aussi en vacances ?

Il suffisait d'expliquer comment EDF allait résoudre le problème - pas juste d'affirmer que les réacteurs allaient redémarrer rapidement et qu'en fait on n'avait pas besoin de ces 4 réacteurs (!!!) - pour que ce soit un non sujet.

Là, c'est vraiment circulez ya rien à voir rien à comprendre. 

J'espère que l'autorité de sûreté, elle, trouvera à creuser...

Mon propos ne porte nullement sur l'article lui-même, mais une nouvelle fois sur l'état dans lequel il nous est donné à lire, à nous qui payons – j'insiste sur cet aspect – pour accéder à ces publications.
Au cours d'une seule lecture rapide, j'ai signalé une vingtaine (!) d'erreurs de ponctuation, d'orthographe, de typo, etc., dont certaines sautent pourtant aux yeux.
Qu'est-ce qui justifie cette situation ? Pourquoi cette précipitation à publier sans avoir relu et corrigé la prose des journalistes comme il convient de le faire ?

Cher Jean Windows. Tout d'abord, un grand merci pour le temps accordé au signalement des coquilles qui se glissent dans nos papiers. Les corrections nécessaires ont été faites. Je précise simplement, afin de ne pas induire en erreur les personnes qui liraient votre commentaire, que vous semblez vous reposer sur une charte orthotypographique différente de la nôtre. Ainsi, un certain nombre de vos signalements (très précis) concernaient des choix de ponctuation conformes à notre référentiel (sur les italiques par exemple, ou la manière d'insérer des liens). Pour le reste : j'ai bien évidemment ajusté. Je précise qu'Arrêt sur images fonctionne sans secrétaire de rédaction et sans logiciel pour nous épauler dans la correction. Si la chefferie (Robin et moi-même) fait son maximum pour parfaire les articles, il n'en reste pas moins que ça n'est pas notre métier et que des défaillances subsistent. Nous faisons de notre mieux avec le peu de moyens à notre disposition. Cordialement. 

Pour ma part je n'avais signalé que "sensé" où il aurait fallu écrire "censé" mais c'est une faute récurrente qu'aucun logiciel ne saurait détecter.

Chère Alizée, 



Merci d'avoir pris le temps de me répondre.

Concernant votre charte orthotypographique, et sur les italiques en particulier, j'en suis le premier désolé, mais "vos" règles ne sont pas appliquées. D'un article à l'autre, et le plus souvent au sein d'un même article, on peut trouver les graphies "le Monde", "Le Monde", "le Monde", "Le Monde", etc. Ce n'est pas si grave, mais de toutes les publications auxquelles je suis abonné, c'est la seule à se distinguer par un tel amateurisme (vous confiez vous-même que ce n'est pas votre métier). À mes yeux, ASI est devenu un blog en accès payant, ce que je n'aurais jamais dit il y a deux ans. Et je connais des blogs en accès gratuit, sans publicité, bien mieux édités (celui d'Acrimed, notamment).


Bref, je continuerai, la mort dans l'âme, de signaler toutes les corrections à apporter, mais j'y réfléchirai à deux fois avant de renouveler mon abonnement l'an prochain.

Bonne journée à vous.







Je vous signale que "continuer à" aurait été plus adapté.

L'un ou/et l'autre se dit ou se disent...


Selon l'Académie Française , l'usage de la préposition " de " serait plis littéraire....

Il existe une autre différence que le registre, mais elle est assez subtile.


"Continuer à" désigne une action se poursuivant sur une certaine durée, mais sans notion de fréquence, et qui trouvera une fin prévisible.

"Continuer de" désigne une habitude.


Exemples :

Il a continué à boire jusqu'à ce que son verre soit vide.

Il a continué de fréquenter ce commerce malgré ses tarifs excessifs.


Cette distinction est (était ?) parfois enseignée lors de l'étude de certaines langues étrangères, lorsque celles-ci possèdent des formes verbales qui l'appuient directement. Le moyen mnémotechnique que nous avait fourni la prof était "continuer de => quelque chose qu'on ne cesse pas de faire".


Et pour être complet, on a aussi apparemment privilégié sur le temps long l'usage de la préposition "de" lorsque le "à" se trouvait suivi d'une voyelle pour fluidifier la prononciation, s'en s'occuper donc de cette distinction.

Merci!


Je n'ai pas osé parler de subtilité, mais reconnaissez que dans le cas présent, "à" était plus adapté.

Comme la prévisibilité de la fin n'est pas absolue (la personne envisage d'arrêter son abonnement l'an prochain), j'aurais personnellement opté pour "de". Mais peut-être que la présence de l'an prochain fait pencher la balance vers "à", quand bien même la décision n'est pas définitive ? Je ne suis pas de mon côté assez calé pour trancher.


* Dernière ligne de mon message précédent : "sans s'occuper" évidemment, et non "s'en occuper".

"il n'en reste pas moins que ça n'est pas notre métier et que des défaillances subsistent"

ah bon ? Ecrire dans un français correct ne fait pas partie du métier des journalistes ?

Et pourquoi le webmaster ne met pas au point un petit script qui corrige un certain nombre d'erreurs de saisie (espace insécable devant les doubles ponctuations par exemple) à travers lequel passerait automatiquement chaque article avant d'être mis en ligne ? Je l'ai fait pour un client dans le cadre d'un cms customisé.

Pour info, le moindre GPT écrit et met en page de manière impeccable...

Franchement Alizée cela me désole que vous perdiez du temps à répondre à ce type de commentaires.


"Parfaire les articles" est un travail collaboratif, la fonction "corriger" existe pour cela.


Je l'utilise parfois et n'en ai jamais attendu un quelconque remerciement.

"la fonction "corriger" existe"

C'est quoi ? C'est où ?

J'ai sélectionné le mot méduses et voilà ce qui s'affiche au-dessus.

Ensuite vous cliquez sur le A coché à droite et vous pouvez corriger le terme "méduses".

C'est envoyé et traité.


C'est le même type de fenêtre que pour les signalements.


Par contre ça ne doit être que pour les humains voire humaines...


♪♫♪♪♫♫


Il existe un lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie Nationale, avec une certaine disponibilité sur internet...

https://mrm.edu.umontpellier.fr/files/2016/02/SI-fiche-typographie.pdf

C'est un usuel pour tous les étudiants censés rédiger un mémoire de fin d'étude, et j'imagine, toutes les professionnels de l'écrit...

Pascal Prout va être médusé devant ce problème.


" Encore un problème de migration inopportune et d'invasion,  et la volonté de réduire la capacité et l'énergie de notre France  " dira-t-il ....

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