Méduses à Gravelines : emballement médiatique ou enjeu du nucléaire ?
Les méduses ont eu leur heure de gloire dans les médias. Cette fois-ci, ce n'est pas pour s'être échouées sur les plages, mais pour avoir poussé à l'arrêt la centrale nucléaire de Gravelines, dans le département du Nord. Une information reprise en long, en large et en travers, de manière inégale dans les médias. De quoi questionner la manière avec laquelle le paysage médiatique continue de mal traiter les sujets associés au nucléaire.
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Pascal Prout va être médusé devant ce problème.
" Encore un problème de migration inopportune et d'invasion, et la volonté de réduire la capacité et l'énergie de notre France " dira-t-il ....
Merci pour l'étude détaillée de ce radeau qui a failli s'échouer en plein été.
Il faut dire qu'écrire "imprévisible", de la part d'EDF, c'était vraiment plus que maladroit, et quasi mensonger.
De un, le souci s'est déjà produit. En effet.
De deux,  (...)
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Merci pour l'étude détaillée de ce radeau qui a failli s'échouer en plein été.
Il faut dire qu'écrire "imprévisible", de la part d'EDF, c'était vraiment plus que maladroit, et quasi mensonger.
De un, le souci s'est déjà produit. En effet.
De deux, c'était déjà un scénario de crise ultra-classique, bien avant l'an 2000, du temps où le changement climatique n'était pas un sujet médiatique.
Peut être que les communicants d'EDF étaient aussi en vacances ?
Il suffisait d'expliquer comment EDF allait résoudre le problème - pas juste d'affirmer que les réacteurs allaient redémarrer rapidement et qu'en fait on n'avait pas besoin de ces 4 réacteurs (!!!) - pour que ce soit un non sujet.
Là, c'est vraiment circulez ya rien à voir rien à comprendre.
J'espère que l'autorité de sûreté, elle, trouvera à creuser...
Mon propos ne porte nullement sur l'article lui-même, mais une nouvelle fois sur l'état dans lequel il nous est donné à lire, à nous qui payons – j'insiste sur cet aspect – pour accéder à ces publications.
Au cours d'une seule lecture rapide, j'ai signalé une vingtaine (!) d'erreurs de ponctuation, d'orthographe, de typo, etc., dont certaines sautent pourtant aux yeux.
Qu'est-ce qui justifie cette situation ? Pourquoi cette précipitation à publier sans avoir relu et corrigé la prose des journalistes comme il convient de le faire ?
Pascal Prout va être médusé devant ce problème.
" Encore un problème de migration inopportune et d'invasion, et la volonté de réduire la capacité et l'énergie de notre France " dira-t-il ....