61
Commentaires

Maldives, Courchevel : visitez les palaces des patrons de presse !

Des journaux, mais aussi des palaces. Revenant sur la prise de contrôle du Nouvel Obs par le trio BNP (Bergé-Niel-Pigasse), le chroniqueur de L'Humanité, Jean Stern, relève que Xavier Niel investit également dans l'hôtellerie de luxe. Et à ce petit jeu, Niel fait de la concurrence à un autre patron de presse, Bernard Arnault (Les Echos), qui a investi dans plusieurs palaces. A l'occasion de la publication de cette chronique de L'Humanité, @si vous propose un petit tour d'horizon de ces destinations de luxe plébiscitées par ces patrons de presse (histoire de vous aider à choisir vos vacances).

Derniers commentaires

Courchevel ? Une heure trente de route. Si je veux, quand je veux.
Mais si Niel veut m'avoir pour client, qu'il commence par virer de son hôtel les milliardaires russes et leurs putes.
Passer des nuits blanches à cause du voisinage des adeptes du zapoï, très peu pour moi.
IL est important pour ces pitaines d'industrie de posséder des journaux dans lesquels des journalistes vont nous assurer qu'il n'y a pas d'autre choix possible que l'austérité, la diminution des charges, l'augmentation de la pauvreté, la disparition des services publics, etc... tous les maux qui mettent les peuples à genou, qu'il est normal que l'argent aille au capital et non au travail. Qu'ils c.....t dans leurs palais.
Tous ces médiocres,ces minables qui ont beaucoup travaillé dans leur vie et n'ont pas 1800 euros à fourguer dans une nuit d'hôtel devraient se cacher ,se taire ,et faire moult salamalecs aux ambitieux, aux battants,aux admirables qui ont eu pour seul but de s'enrichir sur la bête avant de barboter dans les luxueux jaccuzzi des palaces ...
Comment une fois encore dénigrer une industrie qui permet à notre pays de rayonner dans le monde tout en donnant des emplois divers et variés, reconnus socialement au service de grands investisseurs, artistes, patrons , chefs d'état qui dans leur immense majorité s'engagent pour que notre pays puisse resplendir sur la scène internationale.
Il est si facile de se gausser des investisseurs pendant qu'une majorité de fonctionnaires freinent les réformes courageuses d'une gauche réaliste qui a enfin saisi les enjeux économiques et financiers de la mondialisation.
Qui ici peut dire qu'il n'aimerait pas profiter des plaisirs d'un jacuzzi à Courchevel ou déguster un brunch délicat dans un palace parisien.
Evidemment pour cela, il faut se retrousser les manches, être un battant, avoir de l'ambition et ne pas se contenter de la médiocrité.
Un challenge qui semble bien difficile à relever pour certains jaloux et envieux qui s'exprilment ici !
C'est bien joli de taper sur ces patrons riches (donc forcément égoïstes, cupides et probablement mangeurs d'enfants), m'enfin si c'est juste pour faire des comparaisons absurdes et démagos ça pisse pas loin.

La comparaison du montant à l'augmentation d'un cours d'action à un moment donné est particulièrement malhonnête, puisqu'elle donne l'impression que le mec gagne continuellement des dizaines de millions tous les quarts d'heure, alors que le cours d'une action est évidemment instable : on peut tout aussi facilement trouver des moments où il perd des millions.

Et puis cette chronique "oublie" la possibilité toute bête que ces patrons préfèrent sans doute les investissements rentables (j'imagine que c'est le cas des hôtels de luxe), ou plus modestement ceux qui ne leur font juste pas perdre trop de fric. Mais vaut mieux pas dire ça aux gens, il risqueraient de comprendre ou pire, être d'accord.

Il y a certainement pas mal de problèmes sérieux posés par la concentration des médias entre quelques mains, et notamment les mêmes mains qui dirigent des secteurs industriels considérables, mais c'est vrai qu'il vaut mieux parler des hôtels de luxe des patrons, ça au moins ça fait réagir.
Ce sont les largesses de ces hommes d'affaires qui donnent des chances de survie à des coins de montagne reculés, ou à de petites îles en cours de submersion. La France est leader mondiale des " industries du luxe", et chaque trois étoiles michelin fait vivre des dizaines d'artisans guettés par l'invasion des fast-foods. Versailles ruina jadis la France, il en fait maintenant la fortune. Soyons reconnaissants envers cette petite minorité qui, en entretenant les activités luxueuses, nous entretient nous-mêmes. Je suis sûr que Consensus 39 approuverait ce message.
Le "raisonnement" de Stern est débile. Niel &co engrangent-ils des dividendes de la part des journaux qu'ils rachètent ? Non. Dès lors, en quoi leur vie (luxueuse) a quoi que ce soit à voir avec les plans sociaux à Courrier international ou au Monde ? Si ces journaux vont mal, ce n'est pas parce que Niel a un hotel à Courchevelle ou que Pedriel vit dans le luxe.

Que la presse commence par essayer de ne plus perdre d'argent. Pire, exigeons qu'elle soit à l'équilibre sans les subventions de l'état (comme @SI). Et pour arriver à un tel objectif, il va falloir que les journalistes fassent leur boulôt plutôt que de ressasser les mêmes idées dans leurs éditos ou copier/coller des dépêches AFP. C'est seulement alors que les lecteurs auront envie de payer le juste prix de l'info.
Pour un luxe de gauche; un luxe partagé, accessible à tous. Mais la suppression du luxe, outre qu'elle est absurde, serait bien pire que le luxe lui-même.

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Devenir
Asinaute

5 € / mois
ou 50 € / an

Je m'abonne
Asinaute
Généreux

10 € / mois
ou 100 € / an

Je m'abonne
Asinaute
en galère

2 € / mois
ou 22 € / an

Je m'abonne
Abonnement
« cadeau »


50 € / an

J'offre ASI

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.