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Commentaires

Malaria et paludisme : "Le Monde" fait la promo de la tisane Artemisia

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Bientôt dans Le Monde :

- une étude sur l’Élixir du docteur Doxey (réf. : Lucky Luke)

- les petites pilules Carter

- la boldoflorine

- l'anthroposophie  et la biodynamie (ah non, ça c'est fait).

Et dire qu'ils vont vendre leurs conneries au pays du sud. Quand j'étais enfant, c'était une semaine de traitement préventif à la nivaquine fin août, après la grande saison des pluies, afin de réduire au maximum toute crise durant l'année scolaire.

(...)

Derniers commentaires

Voila l'étude la plus complète !

Ce qui est amusant , c'est l'édition du livre de la dentiste chez Acte Sud ... anthroposophie quand tu nous tiens !

Bientôt dans Le Monde :

- une étude sur l’Élixir du docteur Doxey (réf. : Lucky Luke)

- les petites pilules Carter

- la boldoflorine

- l'anthroposophie  et la biodynamie (ah non, ça c'est fait).

il y a des  docteur Raoult et  botanistes. une pas savoir quoi en faire ici .. pas   besoin des savants américains .....

Vous n'êtes pas honnête avec la publication de l'INSERM.
Au final, la conclusion est "ouverte" :

La plante ouvre donc des pistes de recherche intéressantes, mais en l’absence de données robustes ou d’études à plus long terme avec des doses contrôlées d’extraits d’Artemisia annua, elle ne constitue pas pour le moment un traitement contre le Covid-19. Des essais cliniques très rigoureux, menés de manière pluridisciplinaire avec une méthodologie solide sont donc plus que jamais nécessaires pour arriver à une conclusion dans cet épineux débat.

Ce qu'il faut savoir, c'est que les labos comme GILEAD font la chasse aux solutions "low cost" et naturelles. Ce sont eux qui obligent les revues et organismes à relativiser toute solution qui ne répond pas aux standards scientifiques "à comité de lecture".
Ce qu'on sait aussi, en Afrique et en Asie, c'est que si une plante médicinale guérit, les gens se fichent bien de savoir si LASCIENCE explique comment et pourquoi ça marche.

Un jour on comprendra et on aura de vraies preuves scientifiques bien officielles, en attendant les Africains et Asiatiques "boivent la tisane" (anti inflammatoire, anti cancéreux, anti Covid...) et se portent à merveille quand les Occidentaux tombent comme des mouches...  ;o)
N'est ce pas le plus important ?

Et dire qu'ils vont vendre leurs conneries au pays du sud. Quand j'étais enfant, c'était une semaine de traitement préventif à la nivaquine fin août, après la grande saison des pluies, afin de réduire au maximum toute crise durant l'année scolaire.

Comme je l'ai écrit dans le fil correspondant à votre emission PROXY, vous faites erreur en luttant contre cette plante extra-ordinaire : cela va me prendre un certain temps d'en apporter ici les preuves, mais je vais m'y coller avec bienveillance.
(A SUIVRE)

je vous aide!

"Plusieurs molécules antipaludiques peuvent être utilisées en prévention "

le soin, viendra peut-être d'un vaccin à l'ARN messager

en prévention, la dissémination de moustiques génétiquement modifiés dont la progéniture ne sera plus en mesure de transmettre la maladie, est prometteuse

depuis la Covid ( et pas que)  les meilleurs résultats sont à mettre à l'avantage de l'Institut Robert Koch

la meilleurs thérapie reste un vaccin

dommage qu'ici nous soyons encore au XXIe siècle, infesté par tout un tas de miasmes sans doute responsables de cancers sans que nos fleurons internationaux de la pharmacie soient capable de nous fournir un remède ou alors très très cher, tout juste bon à licencier leur personnel "et racheter leurs actions pour augmenter le profit de leurs actionnaires!

et notre Jupiter capricieux voudrait accueillir les chercheurs américains! les préfèrerait-il aux turcs et hongrois?

La controverse ne date pas d'aujourd'hui. Voir Mohamed Larbi Bouguerra, La recherche contre le tiers-monde, PUF, 1993. Notamment le chapitre VI : Le scandale du paludisme, pages 147-202, où l'auteur parle du destin dévolu à la plante chinoise Qinghaosu.

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