"L'Informé" et Patrick Sébastien pris au piège des "reprises" des médias
Lorsque "L'Informé" sort une information selon laquelle la société qui PRODUIT le show de Patrick Sébastien est en faillite, et que les sites people reprennent faussement l'info en prétendant qu'il s'agit de la société DE Patrick Sébastien, c'est tout l'écosystème des "reprises" médiatiques qui s'emballe : confusion, manque de vérification, absence de correction… et même blâme du média qui, à l'origine, ne s'était pas trompé. On rembobine.
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Commentaires préférés des abonnés
Bref, n'achetez pas ces merdazines et ne lisez pas la presse people.
C'est malheureusement très humain. Lors d'un accrochage en voiture, par exemple, c'est souvent celle ou celui qui est en tort qui rouspète le plus fort. C'est une défense un peu minable mais réconfortante ; on engueule l'autre pour amenuiser sa propr(...)
Je sais qu'il ne doit pas être évident pour les journalistes d'ASI de trouver des sujets d'articles suffisamment nombreux et divers pour faire marcher quotidiennement le site.
Mais là, avec un article de plus de 1400 mots centré sur Patrick Sébastien (...)
Derniers commentaires
Le journalisme, cet art moribond...
Manquerait plus qu'on nous sorte un article sur Emile ou sur Pierre...
Franchement, vous pourriez faire plus court !
1.- Citer la phrase exacte de "l'informé"
2.- Citer les sites "people" qui interprètent faussement cette information avec 3 critiques principales sur leurs erreurs
3.- Émettre de gros doutes sur la qualité des dits journalistes ou pigistes voire des rien du tout qui ne comprennent rien à ce qu'ils lisent. Ces gens ne signent pas leurs articles ?
Parce que, s'ils ne sont pas ou mal payés par les sites "people", c'est tout ce qu'ils méritent. Pas l'anonymat mais la misère
Si vous envisagez de poursuivre dans cette voie, ce sera sans moi.
Je sais qu'il ne doit pas être évident pour les journalistes d'ASI de trouver des sujets d'articles suffisamment nombreux et divers pour faire marcher quotidiennement le site.
Mais là, avec un article de plus de 1400 mots centré sur Patrick Sébastien et basé sur des références à Biba, Voici, Purepeople, Le Journal des Femmes, ou Melty, on en vient à se demander jusqu'où ASI va placer le curseur du remplissage.
En tout cas, ASI pourra évaluer l'intérêt des asinautes pour ce genre de billet à l'aune du nombre de commentaires (10, plus le mien, 29 heures après sa mise en ligne)...
Typique de ce qu'est la presse aujourd'hui, "Café du commerce" et "téléphone arabe"...
le twitter mentionne un abonnement a "l'informe" a 9.99. il semble si je clique sur le lien que l'article était uniquement visible aux abonnes donc ca voudrait effectivement dire que les autres medias n'ont tout simplement pas lu l'article et on extrapole sur l’entête.
Pauvres chroniqueurs d'ASI ! Si vous deviez écrire des articles pour faire part des calembrenaines racontées par Voici et des carabistouilles publées par People, sans parler des billevesées répandues par les magazines du même genre, vous y passeriez votre vie entière.
Je suis rassuré. (humour)
Qu'espérer d'autre de "journalistes" ultra précaires et payés au lance pierre ?
Comme disent les anglais : you pay peanuts, you get monkeys.
Bonjour, je me demandais, la presse people recoit-elle des aides à la presse ?
c'est un délire cette écosysteme
Bref, n'achetez pas ces merdazines et ne lisez pas la presse people.
C'est malheureusement très humain. Lors d'un accrochage en voiture, par exemple, c'est souvent celle ou celui qui est en tort qui rouspète le plus fort. C'est une défense un peu minable mais réconfortante ; on engueule l'autre pour amenuiser sa propre erreur. On peut citer aussi les parents qui, après le ouf de soulagement, engueulent copieusement le gamin qui s'est perdu dans le supermarché... parce qu'ils ont manqué de vigilance, tout absorbés qu'ils étaient. Monsieur par la fin du match sur son téléphone et Madame par sa lourde responsabilité de nourrir cette tribu de décérébrés (surtout Monsieur, qui est vraiment un boulet) avec des moyens limités.
Les journalistes qui ont commis une grosse boulette n'échappent pas à la règle. Leur naturel est en outre souvent encouragé par des directions pour lesquelles admettre qu'on s'est trompé est inenvisageable. Et ça donne ces corrections discrètes dont les abonné·es ne sauront jamais rien, ou ces arguments étonnants selon lesquels on ne s'est pas trompé, on a juste relayé la mauvaise information. Un peu comme un chirurgien qui ne se serait pas trompé et qui aurait "juste" amputé la mauvaise jambe (c'est à dire la bonne, celle qu'il fallait garder).
"Mais quel est l'abruti qui a mis cette table de nuit sur la trajectoire de mon gros orteil ?"
Une histoire presque incroyable.
Il y a vraiment des « journalistes » sans vergogne.