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Commentaires

L'Express fait la pub d'un hôtel d'Alain Weill, propriétaire de l'Express

L'édition du 31 juillet de l'hebdomadaire vante, sur une pleine page, les mérites du "Lily of the Valley", hôtel de luxe récemment ouvert en Provence... en oubliant de mentionner que son propriétaire n'est autre que l'actionnaire majoritaire de l'Express, Alain Weill. Des journaliste de l'hebdo regrettent la "confusion inacceptable" induite par cette pub qui ressemble à un banal article.

Commentaires préférés des abonnés

Et l'on s'étonne de la disparition de la presse papier ?


C'était joli, pourtant,  "des briquettes", et plus adapté. Les chèvres, c'est subtil, on leur fait pas prendre du frêne pour du sureau.

Qui pourrait croire à un vrai article ? 


Je comprends que la SDJ manifeste son mécontentement mais faut pas prendre les lecteurs ( que je ne suis pas) pour des briquettes, et si par hasard certains ne repéraient pas la grosse ficelle on ne pourra(...)

Derniers commentaires

" la typo et la mise en page, qui reprend celle des pages "Style" du magazine (qui, elles, ne sont pas de la pub)."
Pas d'accord !
En fait, tout dans ces "magazines" est publicité, placement produit, geste commercial.
Comment en arrive t-on à "faire un article" sur de telles montres ? D'abord et avant tout parce que celui qui les commercialise dans la vraie vie a proposé "quelquechose" en échange du placement de ces photos de montres... qu'il a parfois lui-même fourni (c'est souvent le cas, même si parfois le magazine "produit" ses propres images).

On ne décide pas d'écrire un article sur les montres de plongée allant une fortune : sans doute y a t-il dans ce numéro du magazine, dans ceux 'après ou ceux d'avant, de belles pages de publicité pour des montres de luxe : l'article vient donc comme un moyen redondant mais différent de diffuser la dite publicité.
Et cela est négocié en haut lieu avec le magazine : "je vous prends 10 pages de publicité ce trimestre... mais j'attends de vous du "rédactionnel dans mon sens"...

J'ai été jadis photographe mode-beauté-luxe : oui à une époque on photographiait les vêtements et objets qu'on avait soi-même choisi en relation avec une styliste... mais aujourd'hui les confrères ne sont que des exécutants chargés d'orchestrer une minutieuse symphonie commerciale, où chaque chose qui se retrouve dans "le plan" a été monnayée en amont contre argent sonnant et trébuchant... ou retour d'ascenseur.
amen

Il y a encore environ 230000 numéros de diffusés  en France mais combien de lecteurs, lectrices. Y-a-t-il toujours des relecteurs,relectrices dans les rédactions ou les journalistes sont-ils encouragés à utiliser les correcteurs d'orthographe (y-a-t-il des correctrices d'orthographe ? ) ? De toutes façons de moins en moins de monde est perturbé par les fôtes d'orthographe.

Avoir son propre journal.... Un rêve eweillé

À part ça, près de 100 000 balles pour une montre, c'est quoi ce délire, je le crois pas... 

et combien de gens pourraient manger avec ça, il se le demande pas le mec qui s'achète ça ??

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Petite question qui n’a rien à voir avec le sujet de l’article, quoique...

Vous parlez toujours des « propriétaires » de journaux. Ce terme me dérange parce que si nous partons du principe qu’ils sont propriétaire., au sens de la propriété ( ce qui est à moi), ils peuvent bien en faire ce qu’ils veulent.. Dire ce qu’ils veulent voir divulguer et cacher ce qu’ils ne veulent pas voir divulguer ?


Par ailleurs, la notion de propriété pour un journal qui se veut généraliste me gêne un peu. On ne peut pas être propriétaire d’une information. Peut-on alors être propriétaire du média qui la transmet ? 

Qui pourrait croire à un vrai article ? 


Je comprends que la SDJ manifeste son mécontentement mais faut pas prendre les lecteurs ( que je ne suis pas) pour des briquettes, et si par hasard certains ne repéraient pas la grosse ficelle on ne pourrait qu’en conclure qu’ils ne sont pas bien malins de la tête. 

Quand c’est vraiment trop gros ça en devient drôle je trouve. 


Et l'on s'étonne de la disparition de la presse papier ?


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