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Les sagas du "Monde"

Vous voulez connaître la liste complète des amants de Rachida Dati ?

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La liste des décisions européennes qu’un état national, en principe souverain, choisit de ne pas appliquer, elle est aussi longue que celle des avoirs de Mamie Zinzin et des amants de Rachida D. (respectons avec ce pudique D. sa vie si publiquement privée).

Le gendarme Valls pouvait donc ne pas obéir à son ami le gvt espagnol et faire comme les képis qui avaient imprudemment arrêté la voiture de Xavier Bertrand pour excès de grande vitesse au lieu de choper des manouches (smiley !) comme d’hab. Déchirer le pv.

« Oui mais eu, et la culture en pot du terrorrisse ? Et ma super cote au ps et chez les électeurs de droite, mes futurs électeurs en 2017, quand il s’agira de prendre la place de Haroun El Toumouh ? »
Vous êtes sérieux, Daniel, quand vous dites "Pourquoi pas, si ça intéresse les lecteurs" ? C'est l'idée que vous vous faites du journalisme ? Faut-il décidément que la presse devienne ce qu'elle est ailleurs, une entreprise de racolage et de voyeurisme ? Nous y allons tout droit hélas, en perdant au passage le peu de respectabilité et de retenue qui faisait la spécificité de la presse sérieuse en ce qui concerne la vie privée…

Voir à ce sujet l'avis amusé d'un animateur étazunien sur cette horrible France aux mœurs arriérées

Ne vous rattrapez pas en disant "D'accord, mais pas que, etc…" Ça sent le sophisme !
Si ces billevesées vous amusent, moi pas. Même pour Mme D., que je n'apprécie guère, pourtant. Et l'argument de la personne "publique", je vais vous dire, je le trouve un peu bidon.
J'ai l'article sous les yeux :

"Parmi ces relations, il y aurait « , un ministre, un PDG, un premier ministre espagnol, l’un des frères de Nicolas Sarkozy, un procureur général qatari, l’héritier d’un empire du luxe et un critique des médias qui essayait par ce moyen de récupérer son émission hebdomadaire ».

Daniel, vous avez ici un devoir de vérité : est-ce vous ?
Bonjour
Vraiment Daniel, vous croyez aux histoires lues dans le Monde.
Moi j'en suis resté à la "correction" de la lettre des 120 économistes contre les orientations pro-libérales de lUE et aux reportages non partisans sur les régimes socialistes en Amérique du Sud.
On s'en branle complétement des amants de rachida dati!!!! Va-t-il y avoir bientôt quelque chose de sérieux sur Aurore Martin sur @si??????
"Ou bien, faire vraiment l'enquête sur l'arrestation et la remise à l'Espagne de la militante basque Aurore Martin. Que savait vraiment Valls, qui assure n'avoir "pris aucune décision", tout en reconnaissant avoir été "informé" ? Comment a-t-il employé son week-end, minute par minute ? A-t-il été influencé par sa femme ? Ce sont deux idées parmi bien d'autres."

D.S.a-t-il le moindre début d'information lui permettant de suggérer que Valls aurait pu être influencé par sa femme ?
Bel exemple d'amalgame où, d'un article assez pipeul du Monde magazine, on saute à ND des Landes puis à Valls (évidemment pour étriller le vilain Ayrault et l[large]'abominable Valls[/large], et sa femme au passage).

Mais, si le grand chroniqueur avait un tant soit peu investigué - je ne sais pas, en tapant peut-être Mandat d'arrêt européen sur un moteur de recherches - il aurait appris que quoi qu'ait fait Valls de sa fin de semaine avec son épouse il n'avait de fait aucune compétence à intervenir dans une affaire uniquement judiciaire. Incidemment, il aurait aussi appris qu'Aurore Martin avait épuisé tous les recours, y compris auprès de la Cour de Cassation ou la Cour européenne des Droits de l'Homme, en consultant des sites d'information. Accessoirement, il aurait pu se rappeler que Franco est mort il y a 37 ans et que l'Espagne est un état de Droit.

Lourdes investigations, je le concède !
.... Je veux parler de l'image qui illustre ce 9-15? on peut jouer? poser des questions? donnez vous des indices? :-)
Pour le 9.15, j'ai une suggestion: plutôt que de nous dire de quoi ils ont tort de parler (et donc d'en parler aussi), éplucher la presse pour trouver de quoi ils ont tort de ne pas parler (et en parler à leur place). J'ai bien aimé le concept de "ce qui se passe SOUS le radar des médias". Mais ça demande un peu plus de recherche, et le goût du risque, car le choix sera, évidemment, contestable et surtout contesté.

Je reconnais que les amours tumultueuses de Lady Dati accrochent beaucoup plus l'attention, et je dois moi-même me censurer pour ne pas lire ce qui concerne cette nouvelle tarte à la crème. Humaine, trop humaine, ou contaminée par de longues années de harcèlements papotins, je ne sais. Mais c'est comme les bonbons bourrés de colorants et d'additifs divers: faut pas me les mettre sous le nez, sinon je vide la boîte.
Personne n'est intéressé par la Saga Téléphone ?

Au point que personne n'ait cliqué sur le lien ? Le lien renvoie de nouveau à Desseigne, donc pour les péripéties du groupe mythique mais néanmoins ancien, zéro ! C'était le seul sur lequel j'ai cliqué.

Mince !
Sirius est devenu bien pâlot.
Je me suis régalé avec "le mystère Desseigne", car j'ai enfin compris pourquoi Rachida Dati prenait autant l'avion payé par le ministère de la Justice pour des missions borderlines jusqu'à Doha. Le contribuable paie les frasques de certains politiques, mais Desseigne a dit qu'il "ne lâcherait rien". Et j'avoue que j'ai apprécié cette attitude.

Dans un même registre, mais avec un petit préjudice de 39.000 euros, il y a le procès de P. Palmade et son aventure nocturne marécageuse.
Ha ça c'est sur! vive le journalisme à la française ,c'est le tip top !.On a vu ça avec Aurore Martin. Une femme qui n'a commis aucun délit en France déportée, en Espagne pour delit d'opinion , car on extrade pas une française vers l'étranger et hop! terminé on en parle plus aujourd'hui de ce scandale gouvernemental. Ouf heureusement que ça c'est présenté en France pays des droits de l'homme ...parce que si c'etait en Russie on aurait des choux gras pendant des semaines. On a vu ça avec les Pussy Riots. Bienvenu au pays du capitaine de pédalo. On a pas fini de boire la tasse.
Pas un secret, que la promotion, depuis toujours, doit beaucoup à certains meubles, notamment le canapé...
Il faut cependant reconnaître que cette dame (R.D.) a tout de même frappé très, très, fort...Chapeau "l'artiste"!
Hola hola hola hola… Une véritable investigation, c'est 100 micro-trottoirs qui disparaissent. Une vraie démarche journalistique, c'est 10 à 20 chroniques sur la position absurde de l'église sur le mariage gay qu'on n'entendra pas. Une vraie enquête, c'est autant d'animations de débats passionnants sur la positions intime de chacun de nos politiques pour savoir s'ils aimeraient bien nous laisser consommer du cannabis ou s'ils trouvent ça trop nul*.

Bref, avec vos idées, ce que vous voulez vraiment, c'est mettre fin au journalisme à la française, tout simplement. Et ça, je dis non. On a son exception culturelle où on ne l'a pas.

* Cela ne concerne en rien l'émission d'@si, pour être bien clair.
Aucun secteur de la vie artistique, économique, sociale, ne devrait être à l'abri de ces enquêtes d'investigation au long cours
Même l'affaire du stagiairegate d'@si ? Parce qu'une petite autoenquête, même courte, même si elle "sert la cause du client" de l'avocat-chroniqueur qui tentera de défendre @si, nous intéresse. Et il me semble que cela n'a toujours pas été fait.

Reprenons, donc :
- Daniel, pourquoi lancer une offre de stage sur Facebook, non rémunérée, pour un projet court qui est manifestement lié à la surcharge de gestion des adhérents qui a lieu en fin d'année, lors du renouvellement des adhésions ? Pourquoi une offre de stage non rémunérée et pas un stage rémunéré ou, mieux encore, un CDD/intérim, qui correspond mieux au travail en question ?
- N'y a-t-il pas contradiction entre l'[s]exploita[/s]-utilisation d'un stagiaire payé en cailloux et les valeurs d'@si ?
- Le retrait brutal de l'annonce est-il un moyen de contrôler les réactions des @sinautes (avec un gros échec à la clé, effet Streysand oblige) ou cela veut-il dire que l'annonce est pourvue ?
Bonjour,

Un mot sur notre politique de stages, bien que ce soit hors sujet, mais puisque la demande en est faite avec insistance.

Nous recevons dans l'équipe des stagiaires apprentis journalistes, pour une durée, en général, d'un mois. Pas plus d'un à la fois -ce qui nous conduit à refuser beaucoup de demandes- pour avoir le temps et les moyens intellectuels de l'encadrer. Nous passons beaucoup de temps à réécrire les articles avec eux, à leur apprendre le fonctionnement de tous nos appareils barbares, et à répondre à leurs questions. J'en ai vu passer des dizaines. Je les vois tous en tête à tête à la fin du stage. Tous (je dis bien tous) étaient ravis de leur stage, et avaient l'impression d'avoir appris beaucoup. Ils nous avaient donné autant qu'on leur avait donné.

Une grande partie des collaborateurs qui ont ensuite été embauchés en CDI, avaient commencé par un stage dans l'équipe. Dans l'équipe actuelle, citons Maja (qui s'en souvient ?) arrivée un beau matin de 2003, pour un stage. Et les non journalistes ? Même si les stages sont moins fréquents, je les considère aussi comme une porte d'entrée éventuelle dans l'équipe. Mireille Campourcy, notre webmastrice, a commencé par un stage. François Rose, notre responsable de tout et du reste, a commencé en tamponnant des chèques pendant quinze jours (en jargon, ça se dit: le service clients), avant de faire dans l'équipe la fulgurante et slobodanesque carrière que l'on sait. Je n'ai jamais rien trouvé de mieux qu'un stage, pour voir comment travaille un débutant, qui n'a pas encore eu l'occasion de faire ses preuves ailleurs.

Nos stages sont généralement non rémunérés (même si comme toute bonne règle, celle-ci suppose des exceptions). Nous considérons que les stagiaires sont encore en formation. En échange de leur travail, nous tentons de leur donner le complément de formation qu'ils viennent chercher. Je sais parfaitement que ce n'est pas le cas dans toutes les boites, et que beaucoup abusent des stages non payés. Mais chez nous, en conscience, je considère que l'échange est équitable. On m'aurait proposé ce genre de deal quand j'avais 20 ans, j'aurais sauté sur l'occasion.

Enfin, à propos de telle ou telle formulation maladroite d'annonce, ce qui peut nous arriver comme à tout le monde, vous souffrirez que nous fassions, en interne, les recadrages nécessaires.

J'ajoute (mais est-ce bien la peine ?) que tous nos stages sont encadrés par des conventions, et dûment tutorés.

Bonne journée à tous !
Un stage peut-être rémunéré aussi peu que 436,05 euros, et je doute que les charges soient très élevées. Ça paraît un très bon compromis entre le travail effectif du stagiaire et le temps passée sur sa formation, et on ne parle vraiment pas ici de rémunérer quelqu'un au SMIC alors que vous allez perdre du temps à le former sur une courte durée. De plus, votre annonce laissait entendre que vous aviez réellement besoin d'un stagiaire.

Que les stagiaires soient contents je n'en doute pas. Mais j'espère qu'à l'avenir vous n'oublierez pas de mentionner les gens qui sont contents de travailler le dimanche, de faire des heures sup' ou de travailler de nuit dans vos articles sur ces sujets. Parce qu'il y en a vraiment et qu'ils sont rémunérés, eux. Sinon, on ne pourra s'empêcher de penser qu'@si c'est un peu "faîtes ce que je dis, pas ce que je fais".
On retrouve les sempiternelles explications type Rue89, L'Express avec les blogueurs : "on les paye pas mais ils sont contents, on leur offre de la visibilité, c'est un échange, on ne les force pas, ce sont eux qui viennent" etc... Et le coup du "on m'aurait proposé ça à 20 ans j'aurais sauté dessus" c'était l'argumentaire développé par Beigbeder (Charles) chez Guillaume Durand pour justifier les stages payés au lance-pierres (quand ils le sont !).
Ceci dit, @SI propose des abonnements ajustés aux moyens financiers des personnes désireuses de s'informer correctement et peu de sites le font c'est à saluer.
Mais le discours de gauche d'un côté et les pratiques moyennement sociales de l'autre, ça fait parfois grincer des dents.
Mais le discours de gauche d'un côté et les pratiques moyennement sociales de l'autre, ça fait parfois grincer des dents.


Sans faire grincer des dents, la situation ne manque pas d'ironie.

Le site a manifestement un réel besoin de personnel, temporairement, mais se justifie de ne pas le payer parce qu'il lui offre une formation et que de toutes façons, ça ne dérange pas le stagiaire. J'adorerais voir les réactions si Laurence Parisot invoquait ce genre d'arguments lors d'un débat sur la rémunération des stagiaires.

J'adorerais voir les réactions si Laurence Parisot invoquait ce genre d'arguments lors d'un débat sur la rémunération des stagiaires.


C'est le parallèle que je faisais avec le discours de Beigbeder qui fait partie du MEDEF, ou des sites qui ne paient pas les blogueurs. Si un directeur d'usine (automobile par exemple) expliquait que s'il payait tous ses ouvriers l'usine n'existerait pas, ça ferait hurler à juste titre tout le monde, à commencer chez @SI.
La vraie question c'est : si on avait proposé à Maurice Duchmolle, il y a 20 ans, de construire gratuitement des voitures chez Renault en échange d'une formation sur le serrage des boulons, aurait-il dû sauter sur l'occasion sans hésiter ?
C'est quoi le smiley pour "éclat de rire" ?
Au Moyen-Age, des types comme DS maniaient le fouet sur les galères.
Quand il se regarde dans le miroir, DS voit des petites moustaches apparaître. Brrr...
Celles d'Edwy Plenel ?

Il s'en passe de bonnes, au Club de Médiapart. Plenel, au nom de l'utopie auto-disciplinaire, refuse de donner aux blogueurs le pouvoir de virer eux-mêmes les commentaires insultants*. Résultat : certains comme Marie-Christine Porteu se font pourrir par des trolls et des, comment dire, vous savez, là, islamochoses. Et quittent MdP en nombre le 5 novembre, au grand soulagement de Plenel, un bon islamochose.

* Et refuse de faire comme sur ASI : suspendre ou bannir les compulsifs de l'insulte, se bornant à censurer leurs posts au risque (voulu, je pense) de rendre le fil des commentaires aberrant. Ils lui sont sans doute trop utiles...
MATL ! Aurais tu fait un passage sur "Marianne" par hasard ? Car sur Marianne apparemment c'est à géométrie variable aussi ..Tu peux islamophober adonf sans trop d'inquiétude, et même c'est encouragé car des articles racoleurs y sont en permanence très tendancieux, sous Sarko. Je dis cela car ton pseudo me dit quelque chose ou alors je me trompe bien sur. C'était il y a quelques années : 2008 et 2009 jusqu'à 2010 .....

A la fin je suis parti aussi même si moi-même j'ai beaucoup déconné en mettant en scène un "ex-militaire forumeur" le thème du texte imaginatif :
" je le représente se faisant violer avec plaisir par son peloton de toute les façons possibles" ce qui m'a valu que ce "carcajou" demande mon éviction (avec menaces de plainte, pour humiliations etc... ) , bien que d'autres ont "bien ri a ses dépends", tellement il était con.

Je me rappelle qu'iI y avait Elie Arié sur le forum à l'époque qui intervenait parfois ..

Bref on peux rigoler de tout mais pas avec des "militaires pète-secs et fascistes", surtout si on imagines des "textes quasi-interdits". Alors on laisse bien insulter une "minorité" mais on ne doit pas toucher à d'autres, plus sacrés.

Même si le publique t'acclame c'est un "blasphème" quoi ...Bref la vie de forumeur habituel mais il y a des préférences pour des sujets tendancieux qui m'ont dégoutés de Marianne.

.J'avoue que parfois moi-même j'ai écris des trucs juste pour rigoler sur les sujets tabous mais que je me suis amusé aux dépends de certains trop insulteurs . Dommage."mais je suis pas un exemple là" .

Un stage peut-être rémunéré aussi peu que 436,05 euros, et je doute que les charges soient très élevées.

En effet, les indemnités de stage sont même exonérées de charge, tant qu'elles ne dépassent pas ce montant.
@Daniel : merci pour ces explications, tardives mais complètes.
C'est un peu facile. Même si la formation fait partie du stage (et cela ne devrait pas être un motif de justification puisque c'est le principe même d'un stage), il n'empêche que les stagiaires fournissent un véritable travail et devraient recevoir au minimum une indemnité.
Peu importe qu'ils soient contents ou que ce soit une belle opportunité (heureusement, d'ailleurs) : être content de son travail n'est pas une raison pour ne pas être payé.
Quoi qu'il en soit, une émission sur le suje serait intéressante !
Avec DS on a droit au discours patronal tel qu'enseigné au MEDEF. Les stagiaires sont contents. Grand bien leur fasse. Je vous conseille la lecture d'un bouquin d'Accardo "Journalistes précaires". Au fil des pages, on se rend compte que la plupart des pigistes, qui galèrent, avec des tarifs de piges de plus en plus bas (la moitié des nouvelles cartes de presse gagnent moins que le SMIC), une concurrence exacerbées, des horaires et des conditions de travail épouvantables, tiennent tous des discours du genre "on a choisi d'être pigiste, c'est la liberté..." Comme dit Accardo, "ils font de nécessité vertu" parce que la plupart des pigistes heureux de l'être, si on leur propose un CDI quelque temps après, sautent dessus en oubliant le discours sur "la pige c'est la liberté".

Voir cette interview de Gilles Balbastre, le co-auteur des "Nouveaux chiens de garde".

Voir cette interview de Gilles Balbastre, le co-auteur des "Nouveaux chiens de garde".


Ou le témoignage d'une pigiste reccueilli par Acrimed qui a bossé pour Newsring, le site soi-disant participatif dont Taddei est le parrain. Une belle arnaque bien cynique où le droit social est foulé aux pieds et sans gène.

(...) il n'empêche que les stagiaires fournissent un véritable travail (...)

Des fois oui, des fois non. Et 50 nuances de gris entre les deux.
L'annonce d'@si impliquait clairement un véritable travail à effectuer.

On ne parle pas ici du cadre des stages d'observation, qui sont un problème complètement différent.

L'annonce d'@si impliquait clairement un véritable travail à effectuer.
On ne parle pas ici du cadre des stages d'observation, qui sont un problème complètement différent.

Je ne parlais pas de l'annonce, que je n'ai pas vue, puisque manifestement elle a disparu.
Il s'agissait de la remarque générale - et péremptoire - sur le travail effectué par les stagiaires (ou même plus largement sous des contrats d'apprentissage en alternance, parce que ça revient finalement un peu au même).
Ça dépend du type de boulot (trier des chèques n'est clairement pas pour moi un sujet de stage, écrire des articles, ça peut) et du public. La réglementation n'est pas si mal faite, dans le sens où les contraintes de rémunération sont croissantes sur la durée. Et rentabiliser un travail de stagiaire sur une durée courte, sur des tâches un peu élaborées, c'est pas facile, ça suppose beaucoup de qualités, à la fois de la part du stagiaire et de l'encadrement.
Après les abus, on les connait. Les formations alibis qui sont là que pour permettre de signer des contrats de stage. Les employeurs qui font des rotations de stages longs sur le même poste, qui proposent des stages dans l'encadrement, des stages a des personnes qui ont déjà effectué de très nombreux stages, qui sont plus si jeunes et dont on sait pertinemment qu'ils sont déjà formés ; ceux qui ne font aucun encadrement, etc.
De là à désigner comme exploiteur capitaliste sanguinaire masqué, chaque employeur proposant des stages...
[quote=OuvreBoîte]Il s'agissait de la remarque générale - et péremptoire - sur le travail effectué par les stagiaires (ou même plus largement sous des contrats d'apprentissage en alternance, parce que ça revient finalement un peu au même).


Il s'agirait alors de faire une distinction entre des stages d'observation et le reste. La législation est mal faite justement parce qu'elle considère que le travail effectué par un stagiaire dépend de la durée de son stage. C'est juste stupide. La rémunération d'un stagiaire devrait juste dépendre du fait qu'il réalise ou non un véritable travail.

Il s'agirait alors de faire une distinction entre des stages d'observation et le reste. La législation est mal faite justement parce qu'elle considère que le travail effectué par un stagiaire dépend de la durée de son stage. C'est juste stupide. La rémunération d'un stagiaire devrait juste dépendre du fait qu'il réalise ou non un véritable travail.

La durée est une grandeur objectivement et facilement mesurable. La notion de "véritable travail", en revanche...
Il y a souvent un rapport entre la durée et la possibilité de fournir un véritable travail, donc non les principes qui sont dans la législation ne sont pas si bêtes. Les moyens alloués aux contrôles sont insuffisants.
Ah oui pardon : "J'ai du mal à mesurer la pression artérielle, alors on va prendre la température pour établir un diagnostic, parce que ça c'est facile à mesurer.".

Non, il n'y a pas forcément un rapport entre la durée du stage et la possibilité de fournir un véritable travail. Cela dépend énormément du métier, des enjeux du stage et du niveau de l'étudiant. Par contre, il y a une différence très claire entre un stage d'observation et un stage "réel".

De plus, je vois mal en quoi cela justifie le fait de mettre une barrière absurde : 3 mois de stage = vrai travail.

La législation sur les stages en France est juste honteuse. Tout travail effectué mérite un salaire en contrepartie, et il revient à l'entreprise et au candidat de déterminer dans quelles mesures s'articulera l'aspect formation et l'aspect travail afin d'optimiser les bénéfices pour les deux.

Et sérieusement, une entreprise qui ne peut payer 430 euros par mois un stagiaire est soit une entreprise qui va mal, soit une entreprise qui abuse de la législation française.

Ah oui pardon : "J'ai du mal à mesurer la pression artérielle, alors on va prendre la température pour établir un diagnostic, parce que ça c'est facile à mesurer.".

Hey, monsieur Diafoirus, tu le mesure comment le "travail véritable" ? C'est facile de sortir des analogies foireuses avec des mesures médicales absolument sans rapport avec le sujet, pour lesquelles on a des instruments et une méthodologie connue depuis des lustres.


Non, il n'y a pas forcément un rapport entre la durée du stage et la possibilité de fournir un véritable travail. Cela dépend énormément du métier, des enjeux du stage et du niveau de l'étudiant. Par contre, il y a une différence très claire entre un stage d'observation et un stage "réel".

De plus, je vois mal en quoi cela justifie le fait de mettre une barrière absurde : 3 mois de stage = vrai travail.

Un seuil rigide appliqué partout, ça a de grosses limites mais empiriquement ça tombe pas si loin de la limite entre la partie formation et le début d'une production utile, dans un cas moyen.


La législation sur les stages en France est juste honteuse. Tout travail effectué mérite un salaire en contrepartie, et il revient à l'entreprise et au candidat de déterminer dans quelles mesures s'articulera l'aspect formation et l'aspect travail afin d'optimiser les bénéfices pour les deux.

Déjà il y a une grosse faille dans votre raisonnement, le stage, contrairement au contrat de travail, est une relation entre trois parties : le stagiaire, l'employeur et l'organisme de formation (école, université ou autre).
Le candidat, qui est par définition peu expérimenté, ne devrait pas être seul à déterminer avec une entreprise quelle est la partie formation et la partie "travail" (si tant est qu'il soit possible de séparer les deux de manière aussi nette).
Ensuite le problème principal n'est pas la législation, qui est perfectible à bien des niveaux, mais les moyens de contrôle. La plupart des abus actuels sont largement sanctionnables dans le cadre actuel, mais le sont rarement parce c'est très peu vérifié. D'une part il y a de grosses disparités dans le suivi par les responsables de la scolarité des conditions de déroulement des stages, d'autre part les entreprises sont très peu contrôlées sur place.


Et sérieusement, une entreprise qui ne peut payer 430 euros par mois un stagiaire est soit une entreprise qui va mal, soit une entreprise qui abuse de la législation française.

Ou les deux à la fois.
Sérieusement, une entreprise qui ne paie pas pour un stage inférieur à 6 semaines, si elle donne les tickets resto et la demi-carte orange règlementaire, c'est pas d'une grande générosité, mais c'est pas les Thénardier non plus.
[quote=OuvreBoîte]Hey, monsieur Diafoirus, tu le mesure comment le "travail véritable" ? C'est facile de sortir des analogies foireuses avec des mesures médicales absolument sans rapport avec le sujet, pour lesquelles on a des instruments et une méthodologie connue depuis des lustres.


Comme je l'ai dit : on laisse les parties en question le déterminer. Oui, j'ai oublié la 3ème partie, au temps pour moi, mais ça ne change rien au final. Je sais bien qu'en France un tel laxisme semble inacceptable, mais ça l'est sûrement moins que d'autoriser sciemment le travail gratuit.

Un seuil rigide appliqué partout, ça a de grosses limites mais empiriquement ça tombe pas si loin de la limite entre la partie formation et le début d'une production utile, dans un cas moyen.


Cas moyen que vous déterminez de façon bien pratique au pifomètre. Il ne vous est pas venu à l'idée que pour le "cas moyen", le temps de formation et le temps de production utile devait se déterminer en fonction de la durée du stage ?

Votre raisonnement est idiot parce qu'il part à l'envers. Vous décidez des proportions formations/travail utile avant de fixer le seuil, et après vous vous étonnez de devoir faire des contrôles pour éviter l'abus de stage gratuit.

Sérieusement, une entreprise qui ne paie pas pour un stage inférieur à 6 semaines, si elle donne les tickets resto et la demi-carte orange règlementaire, c'est pas d'une grande générosité, mais c'est pas les Thénardier non plus.


Et qu'est ce qui force l'entreprise à donner des tickets resto ? Et pour la demi-carte orange, quelle générosité : "on te paie pas, mais ça te coûtera deux fois moins cher de venir travailler chez nous".

Comme je l'ai dit : on laisse les parties en question le déterminer. Oui, j'ai oublié la 3ème partie, au temps pour moi, mais ça ne change rien au final. Je sais bien qu'en France un tel laxisme semble inacceptable, mais ça l'est sûrement moins que d'autoriser sciemment le travail gratuit.

C'est naïf. Le stagiaire est dans un rapport de force inégal avec son "employeur/formateur" potentiel. Dans la plupart des secteurs le rapport offre/demande lui est défavorable, et il est en situation d'infériorité par rapport à sa connaissance du "monde du travail", des conditions contractuelles applicable à leur relation, et de sa compétence professionnelle (que l'on suppose logiquement supérieure chez le tuteur que sur le travailleur débutant - oui je sais, il y a des exceptions).
Durcir la législation sans moyen de contrôle supplémentaire ne fera que contribuer à la prolifération des abus impunis.


Cas moyen que vous déterminez de façon bien pratique au pifomètre. Il ne vous est pas venu à l'idée que pour le "cas moyen", le temps de formation et le temps de production utile devait se déterminer en fonction de la durée du stage ?

Bof ; entre le pifomètre à toise universelle imposée à tout le monde et la pseudo négociation qui va revenir à une fixation unilatérale, la première solution est moins porteuse d'abus.


Votre raisonnement est idiot parce qu'il part à l'envers. Vous décidez des proportions formations/travail utile avant de fixer le seuil, et après vous vous étonnez de devoir faire des contrôles pour éviter l'abus de stage gratuit.

De toute façon vous éviterez pas un niveau significatif d'abus sans contrôles.
C'est naïf. Le stagiaire est dans un rapport de force inégal avec son "employeur/formateur" potentiel. Dans la plupart des secteurs le rapport offre/demande lui est défavorable, et il est en situation d'infériorité par rapport à sa connaissance du "monde du travail", des conditions contractuelles applicable à leur relation, et de sa compétence professionnelle (que l'on suppose logiquement supérieure chez le tuteur que sur le travailleur débutant - oui je sais, il y a des exceptions).


Pardon, j'ai raté la partie où cet argument justifiait de ne pas rémunérer tous les stages ? Je propose que le stagiaire dispose d'un revenu minimum quoi qu'il arrive au bout de la négociation, et vous proposez que, en dessous d'un délai complètement arbitraire, le stagiaire n'aie même pas cet acquis.

Durcir la législation sans moyen de contrôle supplémentaire ne fera que contribuer à la prolifération des abus impunis.


Oui, bien sûr, des milliers d'entrepreneurs vont prendre le risque débile de signer des contrats de travail illégaux avec des écoles d'ingénieur et des BTS ? Oh oui, je connais les délais d'audience au Prud'Homme, mais quand l'issue du procès est certaine, ça rassure.

Enfin, je reste quand même très fan de l'argument : "ils ne les paieront pas de toutes façons : autorisons-les".

Bof ; entre le pifomètre à toise universelle imposée à tout le monde et la pseudo négociation qui va revenir à une fixation unilatérale, la première solution est moins porteuse d'abus.


Oui : vous préférez légaliser les abus pour les éviter.

De toute façon vous éviterez pas un niveau significatif d'abus sans contrôles.


Mais au moins, les gens seront payés ou seront dans leurs bons droits s'ils dénoncent un abus.

Pardon, j'ai raté la partie où cet argument justifiait de ne pas rémunérer tous les stages ? Je propose que le stagiaire dispose d'un revenu minimum quoi qu'il arrive au bout de la négociation, et vous proposez que, en dessous d'un délai complètement arbitraire, le stagiaire n'aie même pas cet acquis.

Non ; vous proposiez de soumettre la rémunération à un critère flou de "travail véritable" dont la quantification serait fixée préalablement par négociation bi-partite entre un stagiaire et une entreprise, et je vous critiquais là dessus.
Maintenant vous souhaitez que TOUS les stages soient rémunérés. Soit. Mais si vous changez de pied au milieu du gué, assumez ou faites-le de manière moins voyante.
Dont acte ; souhaitons donc bon courage à tous les élèves de 3ème qui devraient désormais selon vous trouver des employeurs prêts à les indemniser. Déjà que c'était pas gagné au départ. Et puis ceux qui voulaient découvrir le travail dans la fonction publique, bonne chance pour trouver une ligne de crédit dans le budget de l'état.


Oui, bien sûr, des milliers d'entrepreneurs vont prendre le risque débile de signer des contrats de travail illégaux avec des écoles d'ingénieur et des BTS ? Oh oui, je connais les délais d'audience au Prud'Homme, mais quand l'issue du procès est certaine, ça rassure.

Bien sûr, les stages de fin d'étude de ces cursus, qui sont déjà sur des durées supérieures à trois mois et déjà rémunérés sauf à être dans l'illégalité, c'est l'enjeu de la discussion.
Bien sûr les prudhommes vont traiter en cascade de procédures sur des stages de 2 mois pour savoir si un jeune a été lésé ou non de 450 euros d'indemnité en fonction de la proportion de "travail véritable" effectué durant son stage.
Exact Freudqo même dans le médical en structures hospitalières, Cliniques ou maisons de retraites médicalisées privées on a bien abusé des stagiaires en les mettant à la place de potentiels "soignants" ils étaient inclus dans le planning alors que normalement cela ne doit pas être le cas. Ce qui fait qu'ils font tout le sale boulot et ont peu de réelles formations. Et pas un kopeck à la fin. Vraiment les stagiaires sont encore plus abusés dans le privé que le publique ou au moins on ne leur donnait pas le travail à faire alors qu'ils auraient dû être formé et instruits.

Citation:
L'annonce d'@si impliquait clairement un véritable travail à effectuer.

On ne parle pas ici du cadre des stages d'observation, qui sont un problème complètement différent.

Je ne parlais pas de l'annonce, que je n'ai pas vue, puisque manifestement elle a disparu.

Il s'agissait de la remarque générale - et péremptoire - sur le travail effectué par les stagiaires (ou même plus largement sous des contrats d'apprentissage en alternance, parce que ça revient finalement un peu au même).

Ça dépend du type de boulot (trier des chèques n'est clairement pas pour moi un sujet de stage, écrire des articles, ça peut) et du public.

Trier des chèques n'est certes pas un sujet de stage, mais par contre, c'est un travail. Et dans ce cas payé au smic.
Je ne parlais en effet pas des stages d'observation, mais des stages tels que celui proposé par @si, où l'on demande au stagiaire de fournir un travail (aussi peu intéressant soit-il), encadré et supervisé certes (ce qui justifie une indemnité et non un salaire), mais un travail tout de même.
Citation:
(...) il n'empêche que les stagiaires fournissent un véritable travail (...)

[quote=OuvreBoîte]Des fois oui, des fois non. Et 50 nuances de gris entre les deux.

Si vous interrogez les employeurs de stagiaires, ils vous diront tous qu'ils sont du côté du blanc avec leurs stagiaires.

Citation:
(...) il n'empêche que les stagiaires fournissent un véritable travail (...)

Citation:OuvreBoîteDes fois oui, des fois non. Et 50 nuances de gris entre les deux.

Si vous interrogez les employeurs de stagiaires, ils vous diront tous qu'ils sont du côté du blanc avec leurs stagiaires.

Quelqu'un qui embauche des stagiaires en prétendant leur faire réaliser un travail qui lui est utile et qui se retrouve systématiquement avec une perte sèche est soit un maso soit un recruteur ou un encadrant incompétent. Après si la culture du patron moyen en France c'est de choisir s'afficher comme un imbécile pour éviter de payer ses charges, la compétitivité continuera à couler, rapport après rapport...
Une tempête dans un verre d'eau, au final. On peut penser ce que l'on veut des stages, il reste que la pratique d'@si n'a rien de scandaleux ici. En comparaison, j'ai des potes qui se sont véritablement fait exploiter dans le cadre de stages (dans le bâtiment, notamment) : stages juste assez longs pour qu'il n'y ait pas l'obligation de payer, surcharge de travail ingrat et inutile, aucun encadrement, aucune formation... bref du vrai travail gratuit pour l'employeur.
Et moi j'ai plein de potes qui ont fait des stages pour lesquels leur employeur les a payés sans y être obligé, qui ont en plus reçu une formation intéressante. Bref, ils ont effectué un travail et, oh miracle, ils ont été payés pour ça.
Voui, quelques centaines d'euros par mois pour le stagiaire, ça serait pas cher dépensé
[quote=François T]Voui, quelques centaines d'euros par mois pour le stagiaire, ça serait pas cher dépensé

Ce problème est peut-être à mettre en regard avec le refus de DS d'accepter l'argent public pour sa petite entreprise. Comme si cet argent là était honteux. Si l'entreprise à actionnaire unique ASI est aussi vertueuse que son PDG l'affirme, ne vaut-il pas mieux utiliser l'argent public pour payer les stagiaires plutôt que tout laisser à Libération (pour combler son déficit budgétaire budgétaire malgré les pubs pour les produits de luxe), au Gala pour les riches (Le Nouvel Observateur, dixit Joffrin) ou aux magazines télé et people ? Les aides à la presse étant distribuée n'importe comment, pourquoi avoir des scrupules dès lors qu'on prétend faire plus et mieux que les autres en matière de déontologie journalistique et de service aux lecteurs ?

il reste que la pratique d'@si n'a rien de scandaleux ici

J'ai pas du tout les mêmes critères de jugement. J'attends d'@si une éthique irréprochable, bien au delà du simple respect de la loi ou de la norme. Comme souligné par d'autres asinautes, les arguments de DS sonnent très MEDEF et ne justifient rien. Payer un minimum les stagiaires, pour qu'ils puissent au moins payer leur déplacement et leur nourriture, est un minimum. Si @si ne peut se le permettre, alors que le problème soit soumis aux asinautes. Je préférerais qu'une rubrique soit sacrifiée, ou mieux, payer mon abonnement quelques euros de plus pour ça (sachant que l'abonné au faibles moyens peut être exonéré de cotisation, et je félicite @si pour cette politique).
J'attends d'@si une éthique irréprochable et un abonnement pas trop élevé?
Soit je comprends pas la remarque, soit vous avez mal lu mon post...
Je n'ai jamais rien trouvé de mieux qu'un stage, pour voir comment travaille un débutant, qui n'a pas encore eu l'occasion de faire ses preuves ailleurs.

y a un truc qui s'appelle "période d'essai" je crois. Je ne comprends pas le stage qui consiste à tamponner des chèques.
Autre sujet d'enquête : qui tenir et par quoi pour devenir ministre. Homme ou femme.
Stéphanie Marteau, c’est pas la suceuse de cadavres qui a exhibé sur Marianne l’intimité de Madame Dupont de Ligonnès, ci-devant défunte ? Cette saleté fit un tel barouf chez les commentateurs que Marianne dut fermer ses forums pour un temps non négligeable. Ah, se faire du fric avec le vice et avec sa dénonciation, c’est un must dans lémédias…

Revenons à plus important que les coucheries multiples et successives de Madame D.

http://www.lemonde.fr/culture/article/2012/11/01/russell-banks-aux-etats-unis-on-en-revient-toujours-a-la-question-raciale_1784527_3246.html

Certains écrivains ont une lucidité supérieur à la moyenne.

Mon point de vue : la Américains ont mille raisons de ne pas voter Obama, et une de voter pour lui : la Romneysie.

PS Au fait, quid de la stagiaire furtive ?
Pas question que je m'abonne au Monde pour connaître la liste complète des amants de Rachida Dati.
D'ailleurs, si vous aviez un minimum de considération pour vos @sinautes, vous l'auriez publiée dans ce neuf-quinze

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