Les locales du Parisien, fécondes mais menacées
L'affaire Théo ou la pétition de Priscillia Ludosky, ce sont les localiers du Parisien qui les ont révélées. Pourtant la direction, affolée par l'état des finances, semble vouloir pérenniser la disparition des "cahiers départementaux" amorcée pendant le confinement.
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"L'affaire Théo à Aulnay, le scandale de la maltraitance dans un Ehpad d’Arcueil, la pétition(...)
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"L'affaire Théo à Aulnay, le scandale de la maltraitance dans un Ehpad d’Arcueil, la pétition de Priscilla Ludosky – fer de lance des Gilets jaunes - contre la hausse du prix des carburants en Seine-et-Marne, l’affaire du viol sans coupable de Champs-sur Marne qui a conduit Marlène Schiappa à légiférer sur le consentement sexuel, l'interview exclusive de Mamadou Gassama – le sauveur du balcon, le boom de la prostitution en ligne, le licenciement de l’éboueur Adama Cissé..."
Ce serait pas justement ce palmarès de qualité qui a conduit la direction à profiter de l'occasion pour se débarrasser d'une section locale dangereusement proche du réel?
Plus généralement: une tendance de "nos" zélites en tous genres d'éloigner autant que possible les centres de décision, d'information, d'action, de création du "local". Le local, voilà l'ennemi.