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Les lits connectés des étudiants, une "fake news" de Ouest-France ?

Des étudiants victimes d'un dispositif digne de 1984, le roman dystopique de George Orwell ? C'est ce que révèle un article de Ouest-France paru mercredi soir et qui met au jour un système de capteurs sur des lits de chambres étudiantes dans le CROUS Bretagne à Rennes. La start-up à l'origine du dispositif accuse le quotidien régional d'avoir manipulé la vérité... lequel maintient ses informations tout en reconnaissant une légère emphase. 

Derniers commentaires

J'ai un bon sujet sur les fake news :

Thomas Huchon spécialiste des fake news qui pour faire croire que les fake news ont une influence extraordinaire .... balance une authentique fake news :

https://www.youtube.com/watch?v=dENYfTegxEo&t=0s

Et le reste est à l'avenant ...
Fake news stricto sensu, pas d'accord. Extrapolation mal formulée, d'accord.
De ce que je comprends, le moyen de remonter à l'auteur de l'usure excessive d'une pièce est un peu trop facile à faire. Et il semblerait que déterminer la cause probable de l'usure semble aussi facile à faire.
À contrario, je doute que les CROUS aient attendu l'informatique pour déterminer quels sont les crétins qui utilisent des lits à des fonctions, heu, exotiques. Disons qu'avec la nouvelle méthode ils pourront le détecter plus tôt.
Quand au "flicage", s'il permet de déterminer qu'un lit est en surcharge absolue (genre 700kg...), il aurait du être déclaré ouvertement et ne me semble pas totalement illégitime. Ou alors il faut prévoir le facteur "bourrin" des étudiants et mettre des lits superposés résistants à 10tonne :-D.
Bref, plus bourde journalistique que fake news.
Reste que, sur un point le journal a eu raison d'alerter. Toute méthode de collection de données implique très souvent une perte d'anonymat et un risque élevé de fuite de ces données, a moins que des dispositifs lourds aient été prévus à cette fin. Ensuite il faut vérifier si les données présentent suffisamment peu d'intérêt pour qu'on soit tenté de les voler. Et il me semble légitime de prévenir les utilisateurs de l'impact potentiel de ces données, ce que très peu de dispositifs de collecte font.
Mais pourquoi donc "Fake News"?
Bidonnage aurait fait l'affaire.
Effet de mode? Soumission? Espérance de clics?

Selon Wikipedia : Les fake news (ou fausses nouvelles au Québec) sont des informations délibérément fausses ou truquées (fake veut dire en anglais « faux, truqué ») émanant en général d'un ou de plusieurs médias. Elles participent à des tentatives de désinformation, que ce soit via les médias traditionnels ou via les médias sociaux, avec l'intention d'induire en erreur dans le but d'obtenir un avantage financier ou politique. Les articles de fake news emploient souvent des titres accrocheurs ou des informations entièrement fabriquées en vue d'augmenter le nombre de lecteurs et de partages en ligne....

en vue d'augmenter le nombre de lecteurs et de partages en ligne. Je n'ose pas y croire de la part d'ASI.
Les fake news ne sont crues et,donc,ne se propagent que parce qu'elles sont VRAISEMBLABLES.Le videoflicage est partout,les compteurs Veolia et Linky,bientôt Gazpar communiquent à la minute nos données de consommation,les téléphones portables sont pucés et géolocalisés. On connaît mes trajets par ma carte bleue et accessoirement mes achats,centres d'intérêt...Inutile de continuer. Pourquoi pas des lits pucés?
...à l'avenir je souhaiterai que les boulons de ma bagnole soient aussi surveillés (entre autres boulons et vis que nous pouvons rencontrer quotidiennement , par exemple les vis des sièges parlementaires ou ministériels , celles des sièges directoriaux etc)...

J'avais fait la remarque à mon taulier lors d'un remplacement de bureau : "Dommage que vous remplaciez votre beau bureau en chêne par cette horreur en tôle , au moins le bois lui travaillait"...mine déconfite du boss !
Pour autant, le PDG d'Espace Loggia se défend de vouloir "fliquer" les étudiants. Ce n'est pas le but du dispositif.
Ce n'est pas le but, puisqu'il le dit.
Et si ça le permet, ce n'est pas de sa faute. D'ailleurs, il n'avait même pas imaginé que c'était possible.
Je viens quand même d'apprendre quelque chose : pour savoir si un matelas est pourri, il est indispensable qu'il soit connecté.

Et je comprends soudain mes insomnies.

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