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Commentaires

Les juges et les cons

Dans la morosité ambiante, un sourire irrépressible

Derniers commentaires

Les prises de position du SNJ et du SNJ-CGT, relayés par Acrimed.

Et à propos de Taubira, avec toute l'estime que je lui porte, et cette estime est immense, je maintiens que sur ce coup-là elle a manqué de résistance. Je parle de "résistance" car (ai-je rêvé? quelqu'un peut-il confirmer -ou pas-?) il me semble que sa première réaction était très différente. Si c'est le cas, pourquoi a-t-elle changé de ton?

Comme je suis, envers Taubira, proche de l'approbation inconditionnelle, je suis restée un peu perplexe. Puis je me suis dit que non, un ministre de la Justice sort de son rôle en faisant, sur un ton aussi "père noble", la leçon à un syndicat, dont la liberté d'expression implique qu'il puisse défendre sa profession contre les attaques déloyales. On a entendu, récemment, sur les juges, des choses que rappellent furieusement le "meilleur" de Berlusconi. On comprend qu'un syndicat ait eu envie de clouer au mur les petits malins qui se sont permis ces dérapages. "Con" est un mot gentil, presque amical, dans ce contexte haineux.

Sur la neutralité des juges... mouarf. Ce n'est pas leur manque de neutralité qui indigne tous ces gens-là. C'est le fait qu'ils pensent et veulent les juges au service de LEUR classe, et que, s'ils s'écartent de ce rôle, c'est considéré comme une trahison. C'était très net dans les commentaires qui ont suivi la mise en cause de Sarkozy: quelle audace inouïe, de la part d'un (minable petit) juge, d'oser s'attaquer à un ex Président de la République!
Je ne comprends pas cette façon de se dédouaner de toute responsabilité, du côté de ce syndicat, en prétextant que ce "mur" était privé.
Y-a-t-il une comparaison, sous prétexte que le qualificatif "privé" peut visiblement leurs être accolé, entre ma salle de bain et le local d'une organisation syndicale ?
Je trouve condamnable les agissements d'Atlantico (tout comme je trouvais honteux le procédé des équipes de monsieur Pujadas de diffuser une conversation privée de monsieur Mélenchon dans l'émission "des paroles et des actes").
Mais je trouve aussi condamnables les agissements de ce syndicat.
J'imagine l'équivalent dans une salle de syndicalistes SNES d'un collège ou lycée : un mur avec la photo de tous les élèves (ou étudiants pour qu'ils soient majeurs) agrémentées de commentaires méprisants et injurieux.
Bien sur qu'entre professionnels on peut être, parfois, amenés à dire des horreurs. Ces horreurs prononcées permettent de se défouler et de ne pas s'embarasser de "chis-chis" quand on veut que cela sorte. Des caricatures permettent aussi de vérifier davantage encore si on partage la même opinion, à l'outrance et à l'ironie près, en forme de clin d'oeil ou d'exaspération (voir de colère).

Mais la différence que je fais avec ce syndicat, honteux en la matière, c'est qu'ils ne se contentent pas de paroles qui peuvent venir d'un coup de colère et que l'on peut oublier, relativiser, corriger....ils ont épinglé des photos et écrit des légendes. Comme chacun sait "les paroles s'envolent, les écrits restent". Chacun peut donc vérifier, en salle syndicale tenue par ses représentants, que certains personnages sont cons. au cas où vous pourriez l'oublier, ou penser différemment, on vous l'affiche au mur.
Ceux qui prétextent l'humour aggravent d'autant plus leur cas : n'avez-vous pas remarqué à quel point l'humour est devenue une des formes les plus puissantes d'injonction ? si cela ne te fait pas rire c'est que tu ne fais pas partie des nôtres, de notre monde, rabat-joie va !
L'humour, dans ce cas (très douteux), permet de chercher l'adhésion tout en condamnant les réticences et en ringardisant les oppositions.
On se pose souvent les questions "Peut-on rire de tout ?" et "Peut-on rire avec n'importe qui ?". Ces magistrats me font me poser une autre question "A-t-on le droit de ne pas rire ?" (sans être traité de facho ou d'anti-syndicaliste primaire)

Ce "mur" m'incite surtout à m'interroger, avec inquiétude, sur l'impartialité des magistrats issus de ce syndicat. Pourquoi épingler principalement des personnes de droite ? et pourquoi épingler le père d'une jeune femme violée et tuée ? (peut-être ce père a-t-il proféré des horreurs à l'endroit des gentils assassins de sa fille ?). J'ai cru comprendre que certains forumeurs, ici, pensent que les magistrats syndiqués n'ont pas à être impartiaux étant donné que nous sommes en lutte contre le fascisme....mais je me trompe certainement...
En effet, vous vous trompez, David Casy, en posant la symétrie de la droite et de la gauche, c'est-à-dire de ceux pour qui le mot justice a un sens, et ceux qui lui substituent l'ordre. De plus, en suggérant l'illégitimité du syndicat de la magistrature, vous ne craignez pas de vous ranger aux côtés de forces qui, si je vous ai bien lu ( je compte parmi vos plus fidèles lecteurs) sont peu recommandables. Enfin, vous ne vous prononcez pas sur le fond : La mission des magistrats est de faire apparaître la vérité. Prenons un exemple au hasard : Mme Morano figure en bonne place sur le mur des cons. Est-ce immérité ? En refusant le concept de connerie, ne craignez-vous pas d'évacuer aussi son contraire, l'intelligence ?
attention Morano attaque facilement en justice quand on est pas gentil avec elle sur les forums et le réseau social... Sûrement pour ça qu'elle est écoeurée par ce manque de gratitude de magistrats gauchistes alors qu'elle fait tout son possible pour que la justice ait une activité minimale.
Il m'avait pourtant semblé que les magistrats étaient attachés à deux choses :
- la présomption d'innocence (valable même pour des gens de droite)
- le respect des droits de la défense (règle du contradictoire et difficulté de délibérer en ayant que des arguments à charge)
Le principe d'un tel mur dans les locaux d'une organisation syndicale me choque. Il est un obstacle à l'impartialité des juges concernés. J'imagine plus difficilement, à cause de ce mur, un juge issu de ce syndicat, juger impartialement madame Morano (puisque vous prenez cet exemple) s'il part du postulat qu'elle est "conne". Je préfère, pour a part, juger des actes et des paroles à un instant T et non les qualités ou la personnalité supposée des personnes qui les commettent.

De se conduire comme une conne dans une dizaine de cas n'interdit pas que l'on ait raison lors du 11ème cas. Mais ces magistrats rendent plus difficile la rédemption pour une conne puisque son passé est retenu contre elle.
J'imagine (ans doute à tort) que plusieurs forumeurs se félicitant de la présence de madame Morano dans ce mur, se récrient contre l'application des peines planchers ou de la sanction des récidivistes.
Pourtant, ici, sans procès, madame Morano est estampillée "conne" avec la présomption de connerie que cela emporte. Cela ressemble à une condamnation arbitraire sans procès mais qui rendra, peut être évidente et plus sévère, la condamnation future s'il devait y en avoir une. Si madame Morano devait être condamnée à l'avenir serait-ce parce qu'elle a commis des faits condamnables ou parce qu'elle partirait avec cette à priori d'être conne ? Est-ce à elle de renverser cet présomption de connerie ? La connerie est-elle condamnable en soi ? Que permet-elle d'excuser ? A quoi permet-elle d'accuser si, toutes choses par ailleurs, le doute persiste ?

Je ne crois pas que la gauche ait le monopole de la justice et la droite celui de l'ordre. Je ne crois pas non plus que justice et ordre s'opposent, sauf si on souhaite les opposer du simple fait que ce sont des notions différentes.
Au delà des vannes que l'on peut faire sur Morano (ses réactions à ce mur de la connerie avec des trémolos dans la voix étaient risibles) je suis relativement d'accord avec vous.
Même si je pense aussi que ce mur ne préjuge pas non plus de la manière dont les membres du SM rendent la justice... Ensuite la méthode pour diffuser ce mur est plus que limite mais là aussi l'indignation sur les méthodes limites est à géométrie variable...
Enfin bref beaucoup de bruit pour pas grand chose quand même.
Et si un "mur de cons", dans les locaux d'un syndicat, avait contenu madame Taubira, madame Belkacem, madame Duflot, monsieur Montebourg, monsieur Valls, monsieur Demorand plus deux parents de jeunes ayant succombé suite à un affrontement avec les forces de l'ordre ?
Je pense qu'il y aurait encore bon nombre de commentateurs pour prétexter l'humour, il y en a toujours.
Mais je pense aussi que la gauche aurait, à raison, crié au scandal en convoquant "les heures les plus sombres de notre histoire". Je vois d'ici "le mur de la honte" ou même, si l'une des personnes devait être "issue de la diversité", des accusations en racisme.
Pour l'indignation à géométrie variable je crois que ni la gauche ni la droite n'ont le monopole.

Vous dîtes que ce mur ne préjuge pas de la manière dont les membres du SM rendent la justice : je ne partage pas cette opinion, mais j'aimerai être de votre avis. J'aurais pu être d'accord avec vous si le terme de "con" avait pris le sens presque affectueux (et condescendant) de personnes que l'on inviterait à dîner, par exemple. Mais j'ai cru comprendre que tel n'était pas le sens de ce mot. Pour la dirigeante de ce syndicat, ces personnes ont le principal défaut d'être de droite et donc de ne pas défendre des valeurs "d'humanisme, de défense des libertés publiques, d'égalité des droits devant la justice"....cela fait un a priori difficile à renverser quand on se retrouve entre les murs d'un tribunal. Ils désignent ainsi les ennemis des valeurs en lesquels ils croient. Ils sont, au passage, persuadés que leur façon de rendre la justice va dans le sens du respect de ces principes, alors que des magistrats de droite en seraient moins capables.....si ce n'est pas se prétendre dans le camp du bien, je ne sais pas ce que c'est.
raté, David Casy. Un mur de " cons de gauche" n'est pas possible, il ne serait simplement pas crédible comme l'est le mur de " cons de droite". Sans le savoir, vous avez touché l'essentiel : l'asymétrie gauche-droite. Au café du commerce ( que vous devriez fréquenter de temps en temps), on entend plus souvent le beauf FN que le mélenchonien militant. Il y a une idéologie dominante, elle est de droite, elle s'appelle le libéralisme : l'enrichissement de quelques uns fait le bonheur de tous, l'Etat nous vole, le travail est trop cher, etc. Bien sûr en face il y a des idées de gauche : mais elles sont minoritaires, donc dominées. Pas de symétrie dominants - dominés. Pas de symétrie cons de gauche - cons de droite.
Désolé Strumfenberg mais, vous faites fausse route ici.
Je partage tout à fait votre point de vue sur la domination (illégitime) de la vision libérale de droite comme "seule façon logique et scientifique" de voir les choses : mais seulement en économie.
Le sujet qui nous intéresse ici ne concerne pas l'économie, mais le droit et la justice. Cela touche au sociétal et, en la matière, la domination est bien de gauche. L'idéologie moralisatrice domine les débats avec le procès quasi systématique en fascisme ou en "faire le jeu du FN" à chaque fois que l'on se plein de l'insécurité ou lorsque l'on essai de défendre une conception de la société différente de celle prônée par la gauche. En matière juridique c'est bien l"idéologie de gauche qui domine (parfois heureusement, parfois non)
J'ai bien pris garde d'exclure la symétrie : je parlerais de "mur des cons" de gauche comparable. Substituez le défaut "réactionnaire" à celui de "bien-pensant" et le tour est joué : étant entendu que les partisans de la droite récuseront le sobriquet "réac" et ceux de la gauche récuseront le sobriquet "bien-pensant".
Oh david tant que je vous tiens.. Vous aviez raison sur a Rome on fait comme les romains la preuve : Et les français "étrangers" ?

Interessant non ? Cela inspire que ces maudits "français de papier" ne sont pas à la hauteur ?

Qu'en penser ?



PS : un peu hors sujet mais point trop.
justice et ordre ne s'opposent pas, c'est vrai. Mais accepter au nom de l'ordre une certaine dose d'injustice, s'oppose à l'acceptation, au nom de la justice, d'un certain risque de désordre. Bref, la gauche s'oppose à la droite, ce qui ne ressort pas clairement de vos propos. J' aime cette définition de la droite : est de droite qui juge périmé le clivage gauche-droite. Quant à Mme Morano, son omniprésence médiatique l'an dernier me dispense de toute pitié à son égard. Le " mur des cons" des magistrats de gauche est évidemment une initiative essentiellement humoristique, et si vous me répondez que l'humour syndical n'est pas la forme la plus raffinée de l'humour, alors seulement je vous approuverai.
Je ne suis pas d'accord avec l'articulation que vous faites entre ordre et justice. Ou tout du moins, la droite n'a pas le monopole du privilège de l'ordre sur la justice. Cela dépend du point de vue dans lequel on se place et de sa conception de la justice et de l'ordre. En cela je ne dis pas que tout se vaut et que les choses sont symétriques.
- quand Madame Taubira supprime les tribunaux correctionnels pour mineurs que privilégie-t-elle ? L'ordre ou la justice ? La justice pour qui ? Pour les mineurs que l'on peut exonérer de toute responsabilité pour leurs actes délictueux ? Pour les victimes qui n'obtiendront pas justice en raison de l'âge de leur agresseur ?
- je pense qu'une séparation entre la gauche et la droite est plus pertinente sur un autre point : la volonté affichée de privilégier la répression pour la droite et la volonté affichée de privilégier la prévention pour la gauche. Chacun ayant peur de passer pour l'autre : la gauche a peur d'être taxée de fascisme si elle met de pauvres individus discriminés en prison du simple fait qu'il ait commis un crime (alors que, c'est bien connu, commettre un crime dans une société policée ne saurait relever que d'une pathologie), la droite a peur d'être taxée d'angélisme et de laxisme si elle renonce à afficher sa fermeté (mais cette fermeté n'est pas si souvent que cela suivie d'effet, faute de moyens)
A bien y réfléchir, je dirais qu'aussi bien droite que gauche ont sacrifié l'ordre et la justice sur l'autel de l'économie : tout le monde se rejoint sur la prétendue nécessité de réduire les déficits. Cela arrange la gauche pour lui donner un alibi supplémentaire à sa culture de l'excuse (des délinquants et criminels) et cela arrange la droite qui ne veut pas passer pour fasciste en mettant trop d'individus en prison.

Je persiste à penser que si, dans cette forme d'humour, vous ne voyez que de l'humour, vous vous trompez. Placardez ainsi, comme un pense-bête, des visages de personnes condamnées à être connes est une invitation, une injonction à les trouver effectivement connes. L'humour de connivence va de paire avec la force de l'évidence dont il n'est plus nécessaire de discuter sérieusement. Je n'imagine pas ces magistrats regarder ce mur en se tapant sur les cuisses les yeux emplis de larmes de fou rire. Je les imagine plutôt commentant, de temps en temps, ce mur à grand renfort de sourires narquois et entendus. Cela rassure de se savoir du "même bord" : reste à savoir si une telle connivence méprisante et sarcastique est compatible avec l'impartialité des magistrats, je crois que non.

La dirigeante de ce syndicats m'a appris trois choses en lisant une de ses interview :
- La photo de ce mur des cons a été prise par un journaliste qui ne s'est pas introduit indument dans un lieu privé à l'insu des membres du syndicat. Les journalistes ont été placés dans la salle contenant ce "mur" pour les faire patienter avant dêtre reçus pour des interviews. La frontière entre lieu public et privée devient de plus en plus floue pour moi ici. Pourquoi faire attendre des journalistes dans une pièce où se trouve ce genre de brulot ? Parce que ces magistrats n'ont même pas conscience que ce "mur" peut choquer ? Parce qu'ils croient que tout le monde serait forcément d'accord avec eux ?
- La présence de la photo du père d'une victime violée et tuée est expliquée ainsi : il est devenu engagée en faveur de "l'institut pour la justice". Je ne connais pas toutes les prises de position ni tous les agissements de cet "institut", mais je sais qu'il s'insurge contre le laxisme de la justice, à l'endroit des criminels et déliquants. Je conviens que pour la présidente de ce syndicat cela puisse s'apparenter à un crime de lèse-majesté. Cela justifie pleinement à ses yeux d'être qualifié de con au même titre qu'hortefeux ou autres....
- Cette magistrate est bel et bien convaincu d'être dans le camp du bien et non dans celui de la justice. A la question, êtes vous de gauche ? Elle répond, en substance, que "oui, étant donné que l'humanisme, la défense des libertés publiques, l'égalité des droits devant la justice sont des valeurs classées à gauche"..j'avoue que cela me laisse sans voix....les bras m'en tombent....devant un tel "mur de cons", faire preuve d'une telle suffisance.....quelle belle marque de dignité (à l'image du courrier envoyer à la garde des sceaux, sans l'ombre d'un regret ou d'une excuse)

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L'histoire et le contenu de l'Institut pour la Justice sont consultables sur le net. A chacun de se faire une opinion. (Mais ignorer les tenants et les aboutissants de cette association serait une faute).
Je plussoie. L'Institut pour la Justice est autre chose qu'une simple association prétendant lutter contre le laxisme, renseignez-vous. Et ne mérite pas de comporter le mot Justice, car ce concept est absent de leur idéologie sectaire.
J'ai lu de nombreuses pages de leur site internet et je n'y trouve rien de choquant qui puisse mériter d'être traité de con en militant pour eux.
Que des victimes de crimes atroces commis par des multirécidivistes militent pour la perpétuité réelle, cela ne me choque pas. Que des victimes de délits ou de crimes commis par des adolescents militent pour la non suppression des tribunaux correctionnels pour mineurs, cela ne me choque pas non plus.

Après, on partage leurs revendications ou pas, mais je ne vois rien qui puisse faire honte à la justice, ou du moins, à une conception particulière de la justice. Je n'ai pas vu, non plus, d'idéologie sectaire, même si je n'ai pas tout lu.
De plus je pense que quand on est favorable à une association ou à un parti politique cela n'implique pas d'adhérer à toutes les idées ou revendications de ce parti ou de cette association : j'en sais quelque chose, j'ai voté pour Hollande et je suis un ferme opposant au MPT.
Rien d'exceptionnel voyons. Avoir voté pour Hollande et être contre le MPT ce n'est pas du tout antinomique.

Hollande fait une politique de droite et même ultra-droite libérale et le FN est également pour l'ultra-libéralisme. Au contraire vous êtes en phase avec la domination de la doxa ultra-libérale et les idées du FN dont vous dites qu'elles seraient séantes et de bon aloi.

Bien sur que vous ne voyez que les crimes des petits délinquants qui n'ont pas de "couleur "contrairement à ce disent les fhaineux mais vous évitez soigneusement de parler des immondes crimes des "cols blancs "ou des politiques dont "ceux" du FN ! Normal comme le président Hollande dit Normal 1 er et géométrie variable pour les crimes des uns face aux autres .

Donc rien de mal de votre part et si vous ne savez pas tout et bien a voir tout de même le lien ici sur le DPS et les barbouzeries de l'Etat, de l'utilité du FN en lien avec la police :

DPS, FN, socialistes et police, mafia liens consanguins..

Après le vote FN n'appartient pas au FN et donc la grande majorité des électeurs ont souvent voté : protestataire.

Inutile d'insulter une grande majorité de ces "votants malheureux " qui peux changer de point de vue selon la situation. Le FN a beau jeu de prétendre que ces voix lui appartiennent comme les "insulteurs" de la "pseudo-gauche " du vote factuel du FN ont exagérés en traitant de cons ceux qui n'ont pas eu le choix en vérité.

Le vote protestataire étant une des constantes vu le peu de cas que font les "politiques" de leur mandats. Ils oublient totalement ceux -ci dès qu'ils sont au pouvoir. ....
Désolé Yéza mais vous avez du vous tromper : votre commentaire ne répond absolument pas au mien.
Rassurez-vous cela m'arrive aussi parfois : je veux mettre un commentaire sur la racine d'un fil et il se retrouve en réponse au commentaire d'un autre forumeur.
Ce n'est pas grave.
Oui j'ai fait un "hors sujet" car je me rappelle plus ou on a parlé de "faire a Rome comme les romains" car ils arrivent que nous croisiont et donc je pensais que cela "vous parlerez " c'est tout. sur le MPT peut-être ?

Rien n'est grave pour l'instant ...
La réaction de Taubira est bien triste. Quand on nous a annoncé la composition du nouveau gouvernement, la seule bonne nouvelle, c'était elle. La vraiment mauvaise nouvelle, c'était Valls à la police. Il me restait quelques illusions ("comme l'espérance est violente"). J'ai imaginé que Taubira ferait le poids. Il semble que non.
D'après Libe ça serait un journaliste de France 3 ( " très marqué à droite") qui aurait filmé ce mur après avoir fait une interview d'un membre du SM et ce au grand dam de son équipe...

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Chez moi aussi, j'ai un mur du con, dans la salle de bain.
On peut dire ce qu'on veut, mais c'est bien pratique pour se coiffer et se maquiller.
En parodiant Jean François Kahn , lorsqu'il avait été traduit en justice après avoir précisément considéré qu'un journaliste ,dont j'ai oublié le nom, était un con ,et en découvrant certains noms de la liste du syndicat de la magistrature je me dis: Sont des cons ou est plus grave ?

Cependant, je suis d'accord avec Daniel Schneidermann: notre époque c'est la communication pour la communication, le slogan, l'information jetable, le "zappage",la téléréalité, le décervelage...

Dès lors, par capilarité, toute la société est contaminée...Puisse un jour se lever des républicains sincères redonnant envie de penser à long terme, de s'affranchir de cette écume puante du sensationnel excluant , à de rares exceptions près, l'analyse et la réflexion...
"Imaginons, dans les locaux d'un syndicat de magistrats ou de policiers de droite, un "mur des voyous", révélé par Mediapart, et regroupant journalistes, sociologues, élus, ministres, anciens ministres, tous les adversaires d'une politique pénale répressive."

Ouais ben c'est pas du tout la même chose. Aussi vicieux que de comparer amnistie syndicale et amnistie des élus coupables d'abus de bien social ou de corruption. La démocratie, c'est pas la neutralité, c'est le pouvoir au peuple. Aussi vicieux que de comparer la dénonciation des expulsions et la dénonciation de l'immigration. C'est un peu usant, cette manière de considérer que la démocratie consiste à attribuer la même valeur à toutes les opinions. Philippe Val, sors de ce corps.

Je connais pas le fond de l'affaire, je n'en ai eu des infos qu'ici, et j'ai aucune intention de chercher quoi que ce soit parce que je m'en fous totalement, mais cette phrase-là, pfff....
Punaise, la Corée du nord...
DS, demain, une petite chronique sur le sourire de Pujadas quand Mélenchon fulmine contre l'attaque misérable de ce couard d'Atalli qui crache son venin en se carapatant en coulisses..
Je crois comprendre que Môssieu Jacques Attali a écrit beaucoup de chose à ce sujet...
Citation: "Le plus drôle est de voir les "cons" ainsi épinglés, tempêter devant les caméras, et menacer de saisir la Justice, confirmant ainsi malgré eux l'information donnée sur le mur."
Confirmant qu'il y a un panneau les traitant de cons, ou qu'ils en sont ? Ce n'est pas parce que quelqu'un vous traite de con que vous l'êtes vraiment. Quelque fois, c'est même plutôt un compliment. Du moins, dans l'absolu, bien évidemment.

Maintenant que le masque est vraiment tombé, il faudra réorganiser la Justice pour que les juridictions soient toujours collégiales et composées d'un juge de gauche, d'un de droite, et d'un centriste. Ce dernier étant obligatoirement président.
Alors qu'il y a longtemps que la situation d'un grand nombre de personnes n'avait pas été aussi violente : chômage, précarité, pauvreté, et les raisons de se révolter aussi importantes, les hommes politiques et les journalistes n'ont jamais autant jouer les vierges effarouchées.
La rédaction d'@si aussi, à peine installée dans ses nouveaux locaux avait commencé son mur des cons sur un pilier ...

La preuve en images ici même.

A-t-il évolué depuis ? Mystère ...
Communiqué des Avocats de Dieudonné

Dieudonné se retrouve affiché sur "le mur des cons" bien fourni du local du syndicat de la magistrature qui se trouve dans un bâtiment du ministère de la justice.

Sous le coup de plusieurs procédures actuellement et jugé par des Tribunaux et Cours qui sont en charges de mesurer le degré d'humour auquel il a droit, il ne peut que s'émouvoir d'être, comme d'autres personnalités, une cible pour certains Magistrats devant lesquels il doit régulièrement répondre de ses performances humoristiques.

Que le syndicat de la magistrature qui n'est pas une troupe comique vienne s'auto-absoudre de cet infâme placardage en parlant d'humour potache et de blagues drôles laisse perplexe, lorsque Dieudonné est précisément condamné, dans l'exercice de son métier d'humoriste à de lourdes peines.

La communauté des gens rigolos vient donc de s'élargir à de nouveaux membres qui, dans le cadre de la procédure qui s'annonce, partagerons le même banc des accusés que celui souvent fréquenté par Dieudonné.

Ce sera l'occasion d'échanger quelques idées sur le thème de la liberté d'expression et s'ils disent alors qu'on a pas compris leur sens de l'humour, sûrement comprendront-ils mieux celui de Dieudonné.

Les Avocats de Dieudonné.


hé hé hé...
Pour en finir en chanson avec les c... !

"Le temps ne fait rien à l'affaire"... Pour en finir avec le sport national de la râlerie et vous détendre, réécoutez ces quelques strophes amusées du poète Brassens, dédiées à tous les CONS du monde.
Et que vive la POESIE i

A retrouver sur le http://lemigoblog.blogspot.fr/
http://lemigoblog.blogspot.com/2013/04/le-temps-ne-fait-rien-laffaire-le-temps.html
Faut arrêter avec la police de la pensée, et les prétextes pour chercher à faire des procès à tout va !
Pour ce qui est de la "crédibilité" des magistrats, en privé, dans ce cas, il faut interdire les salles de garde des grands hopitaux, ou nommer des robots magistrats ou que sais-je...
Ou exposer les pratiques sexuelles de certains cercles de notables...
OU ENCORE MIEUX OBLIGER DE FILMER LES "REUNIONS DU SIECLE" ou autres CEREMONIES et litturgies francs maçonnes, dans leurs temples laiques ...
C'est facile de s'en prendre à ces juges, et surtout TOTALEMENT HYPOCRITE !!!

Et puisque c'est la guerre de suspicion est déjà bien entamée , moi je suggère de pointer du doigt les plus indignés dans ce genre d'affaires et d'aller vérifier d'un peu plus près l'exemplarité de leur vie privée...

Et pour faire une petite provoc (à une époque ou faire référence à une citation biblique est devenue la plus grande subversion qui soit ):
Ceux qui jettent les premières pierres sont souvent les plus grands pêcheurs , espèrent ils ainsi expier leur propre faute !???

Bref, On dirait qu'on voulait une société Orwellienne avec des télécrans de surveillance dans tous les espaces privés , et bien bonne nouvelle! ça y'est on les a avec les téléphones portables dans chaque poche !

Il ya vraiment un climat de guerre idéologique en ce moment, dés qu'un "contre pouvoir" se fait connaitre, on cherche à l'étouffer...

Et si des proches de victimes sont des gros cons, tampis pour eux !
J'aurais trouvé ça encore plus drôle si ils en avaient fait un mur à fléchettes !
Il faut arrêter de jouer les vierges éffarouchées et de s'indigner pour un rien, on est en train de glisser vers l'age des cerveaux sous muselière ! GRRRR !
C'est fascinant, dans les reproches formulés par les abonnés d'@si, on retrouve en filigrane les points saillants de la personnalité de Daniel Schneidermann, conformes à l'impression que je me suis progressivement construite :
- très technique et en recherche d'objectivité, ce qui dégénère parfois en maniaquerie, en psychorigidité et en 'balai dans le cul'
- cherchant un juste milieu entre le doute sceptique et l'affirmation tranchante, ce qui dégénère parfois (lorsque le point d'équilibre n'est pas trouvé) en questionnements et raisonnements qui tournent en rond sans porte de sortie, ou à l'inverse en jugements à l'emporte-pièce, voire à l'arrogance.

Juste une remarque comme ça en passant :)
Le plus incroyable est la réaction des journalistes qui écoutent sans réagir certains de ces présumés cons attribuer la responsablité de ce mur à l'ENSEMBLE des magistrats du syndicat concerné. Leur conclusion indignée : ce mur reflète l'opinion de 30% des juges français, puisque 30% sont membre du Syndicat de la Magistrature. Autrement dit : tous les juges appartenant à ce syndciat sont passés devant le mur en question et en ont approuvé le contenu, voire l'utilisent comme une "liste noire" de personnes à mettre en examen en priorité. Un peu de sérieux....
Rappelons que le ministre Hortefeux a été relaxé en appel pour sa remarque raciste ("quand il y en a un ça va, . c'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes"), non pas parce que les propos tenus n'étaient pas racistes, mais parce qu'ils avaient été tenus dans un lieu privé, lors d'une réception de l'UMP à laquelle étaient conviés des adhérents. Et pourtant, il y a avait une caméra de Public Sénat.
C'est vrai que c'est plutôt potache, mais mettre la photo d'un père (même deux pères) ayant perdu sa fille !
Même avec l'explication d'Oriane Je ne suis pas très fana de ce genre d'humour. C'est même effrayant.
La dessus je suis en accord avec l'article de Jean-Dominique Merchet

http://www.marianne.net/blogsecretdefense/Philippe-Schmitt-est-il-un-con_a1017.html

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On me souffle à l'oreillette que Jean Quatremer, furieux de ne pas figurer en bonne place sur le mur des cons, attaque en diffamation le syndicat de la magistrature.
L'appauvrissement idéologique, justement. L'insulte potache substituée à l'analyse mobilisatrice et à la volonté de changer des choses. On ne combat pas les cons, on les punaise sur le mur. Ce qui, finalement, ne prête pas tellement à sourire

Jugement qui révèle un arrogance et une ignorance crasse. A force d'ouvrir sa gueule tous les jours sans prendre le temps de faire la moindre recherche on finit par pondre des énormités qui feraient rougir de honte Sophie de Menton.

Le mur n'est qu'une blague au sein d'un local privé, il ne remplace pas les textes divers du syndicat ni n'a vocation à exprimer sa grille de lecture ou ses valeurs.

Le fait qu'y figure le père d'une victime n'a rien de honteux quand on sait que celui-ci s'est servi de l'affaire pour légitimer un lobby qui a fait une grosse campagne pour le rétablissement de la peine de mort.

Vous auriez mieux faire de lire Les mauvais jours finiront, du Syndicat de la magistrature (ou regarder le film)... peut être que vous nous auriez épargné ce torchon qui fait office de chronique ce matin. Il aurait sans doute mieux valu que ce billet reste à l'état de blague affichée dans votre bureau.
Encore une position incompréhensible de 'vierge effarouchée' qui ne comprend pas l'outrance caustique, comme si celle-ci était incompatible avec la lutte factuelle ! Je trouve qu'@si développe une ligne assez austère et maniaque. On n'est pas forcément obligé de toujours peser ses mots, c'est ça aussi la démocratie et la politique ! Tout ne relève pas du journalisme ou de la littérature !

Quant au fait qu'un parent de victime puisse être un con, je ne vois pas ce qu'il y a de "moins drôle", tout le monde peut potentiellement être un con, non ? Surtout quand on sait que certaines circonstances, bien qu'atténuantes, peuvent rendre encore plus con. On a le droit de le dire, ce n'est ni drôle ni pas drôle.

Cette position d'équilibriste d'@si, cette objectivité recherchée dans le "soyons de gauche mais avec un balai dans le cul", ça me devient de plus en plus pénible. Surtout quand ça mène aux sophismes du genre "si les réacs avaient fait un 'mur des voyous' on n'aurait pas trouvé ça bien, donc le 'mur des cons' n'est pas bien non plus". Quelle tristesse ce raisonnement ! Bien sûr qu'on a le droit de trouver ça drôle et de rire des réactions indignées des personnes visées, puisqu'on est de l'autre bord ! Et bien sûr qu'on aurait trouvé ça lourdaud et stupide si ça avait été l'inverse, puisque ça serait venu de gens lourdauds et stupides ! On a le droit d'avoir un camp, non ? On est humain, non ?
Ayons une pensée émue pour quelques grands absents de ce mur.
Ils ont pourtant donné le meilleur d'eux mêmes mais n'ont pas décroché la timbale.
Claude Allègre, Henry Guaino, Jean-Marc Sylvestre et autres BHL doivent être mortifiés.
Y-a pas de justice serait-on tenté de dire en la circonstance.
Une lettre d'excuse à leur attention, ou un addendum du SM semblent s'imposer.
Qui se souvient du juge rouge de Hayange (déjà la Moselle et la siderurgie) qui citait Raymond Barre à comparaitre à la barre!
et a donné la parole aux murs: «Attendu que dans certaines circonstances, il est nécessaire que les murs prennent la parole», juge même cet enfant de Mai 68 à propos de graffitis" !
Voir l'article de libé:
http://www.liberation.fr/cahier-special/0101290722-jacques-bidalou-le-juge-rouge-d-hayange-revoque-attend-sa-retraite-content-de-n-avoir-pas-cede
ou sa fiche wikipédia:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bidalou
et qui se souvient des juges Renaud et Michel assassinés!
et le juge Charette qui en 1975 ordonne la détention provisoire d'un patron (Jean Chapron), pour homicide involontaire après un accident mortel du travail et Paris Match qui lance l'expression "les juges rouges".
La droite a fait le mur des fédérés, la gauche le mur des cons.
J'ai cherché Mélenchon sur le mur des cons : j'ai vu la Pen, je crois avoir deviné Plantu. De Méluche, rien. Juges vendus !
Lu quelque part à propos d'une "conne" (déjà le mot con n'est pas joli mais alors au féminin c'est pire) qui se fait appeller Frigide Barjot :
Le cul béni n'est pas loin du sacré con...
Et un mur avec photo et nom des salopards délinquants évadés fiscaux de la liste Falciani !!!
Pas tout de suite : http://www.mediapart.fr/journal/france/240413/fraude-fiscale-le-gouvernement-lance-un-assaut-mesure


Les cons du mur des magistrats, merci beaucoup, mais on les connait déjà !!!
A défaut d'avoir un mur de condamnés, ils ont fait un mur de cons damnés.
L'histoire elle-même est plutôt marrante.
Mais ce qui est atterrant, c'est la réaction quasi unanime des médias principaux, en particulier les chaînes d'info continue : on en a mangé toute la journée, avec presque exclusivement les cris indignés des cons épinglés et de leurs amis.
Ce qui aurait dû au maximum faire une brève a constitué "l'actualité" du jour, avec en plus un traitement extrême-droitier. Je ne crois pas que cela soit sans conséquences sur le formatage des esprits (la mise en condition? le lavage des cerveaux?), surtout après des semaines où on a vu défiler devant les caméras tout ce que le pays compte de réactionnaires, calottins ou crypto-fachos, qui ont pu réciter leur bréviaire haineux en toute impunité et sans contradiction.
Il y a des millions de murs de cons: Les murs Facebook.
Copé a enfourché un nouveau dada. Après le mariage pour tous où il n'a fait le nez devant aucun extrémiste,depuis hier il s'est mis à éructer contre ces syndiqués qui,quoique magistrats,ont CHEZ EUX,rigolé de ceux qui les avaient traités de petit pois. Il a raison,le chef autoproclamé du parti de DROITE.Peut-être va-t-il ainsi faire valoir ses capacités de "chef" auprès d'une autre clientèle.
[quote=Par fonction, le juge est impartial]

Absolument pas, c'est même tout le contraire sinon les juges seraient remplacés depuis longtemps par des distributeurs automatiques de sentence informatisés : "à délit commis, sanction automatique en rapport, suivant".
Tous les avocats vous diront qu'ils préfèrent tel ou tel juge parce qu'il est plus coulant, ou compréhensif en fonction du délit commis. Un exemple concret ? La diffamation, tellement vague juridiquement qu'en fonction du juge, vous pourrez être condamné, ou relaxé.

[quote=A l'évidence, la Justice qui met aujourd'hui Sarkozy en examen pour abus de faiblesse n'est plus la Justice d'hier].

Oui, pour rassurer le populo et le calmer en lui disant "voyez, même eux, on les poursuit". Poursuivre, c'est bien, faire condamner, c'est mieux. Combien de puissants condamnés ces dernières années ? (Je parle de vraies condamnations, pas des condamnations symboliques à du sursis comme Chirac et consorts).

[quote=On ne combat pas les cons, on les punaise sur le mur.]

Je comprends le désir du matinaute de clore son article sur une belle chute mais en quoi est-ce incompatible ?
"Appauvrissement idéologique" ou symptôme d'un gouffre qui sépare un certain nombre de magistrats d'avec le "système" ? Peut-être aussi un aveu d'impuissance... A quand des poupées vaudou à l'effigie des cons ?
"Et c'est bien la même personne."
Et même, parfois, un con.
Ah la Morano hier soir sur la 5 ! Elle mérite bien d'y figurer sur ce mur ....
Bravo texte passionant !!
Bonjour
Confondre un local syndical et la salle d'un tribunal c'est la même chose que de confondre la salle de bain avec le salon.
C'est bien le raisonnement simpliste d'une droite qui est en manque du pouvoir et s'accroche à des bâtons m….
On dirait bien que le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est con...
La télé n'est elle pas un "mur des cons" qui fonctionne en con-tinu et avec auto renouvellement ? (enfin pas toutes les télés, mais la plupart)
C'est surtout le côté "récidiviste" qui m'a fait sourire (vérifiez que le con n'y est pas déjà avant de l'ajouter). Mais c'est vrai que si la dénomination avait été le "mur des présumés cons", cela serait mieux passé...

Pour le reste, ne tombez pas dans le piège tendu par la droite et l'extrême droite qui n'ont pas d'idées et veulent faire feu de tout bois, franchement et par exemple, est-ce que parce que la femme de Luc Chatel s'est suicidée, cela fait de lui un saint ou un intouchable qu'on ne peut plus épingler ?

En fait, le pouvoir politique (de droite comme de gôche) n'a eu de cesse de limiter les moyens de la Justice : je ne sais plus au combien ième de rang des pays se trouve le budget de la justice, mais je crois qu'on doit être proche de celui du Montenegro... Et il faudrait en plus que les syndicats de juges disent merci ?

Redescendez sur terre DS ! C'est la lutte... Rendez-vous à la Bastille le 5 mai ! Vous verrez ce que c'est que des rouges !
il en manque de droite et de "gôche" !! (chez moi, en privé, je peux afficher ce que je veux ou je risque la censure, la dénonciation, la mise aux normes des Imposteurs ?)
un juge impartial dans une société impartiale ; un renard neutre dans un poulailler neutre
L'appauvrissement idéologique, justement. L'insulte potache substituée à l'analyse mobilisatrice et à la volonté de changer des choses. On ne combat pas les cons, on les punaise sur le mur. Ce qui, finalement, ne prête pas tellement à sourire

Incroyable de sortir un jugement pareil... ça va les chevilles??

Rêvons un instant. Et ensuite seulement, formons-nous notre opinion sur ce "mur des cons"

NON!!!!
Ce n'est pas la même chose. La neutralité dont VOUS rêvez n'existe pas. Rêvez plutôt à l'hypothèse qu'une personne qui croit en la justice et qui la voit bafouée jour après jours a besoin d'un exutoire pour avaler la pilule... Le mur des cons.

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