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Le 20 heures de France 2 découvre la précarité des CDD

Rendez-vous compte : "désormais en France, 84% des embauches se font en CDD", a annoncé David Pujadas jeudi 28 août. Et qui dit CDD, dit forcément précarité. Le 20h de France 2 a rencontré des salariés inquiets de se retrouver au chômage à l'issue de leur contrat saisonnier. Ce sont des agents de loisirs ou des maîtres nageurs. Etonnamment, pas un seul journaliste. Pourtant, les CDD, ce n'est pas ce qui manque à France Télévisions...

Derniers commentaires

J'ai l’impression que les cdd se développent au rythme du chômage. Il s'agit de mettre la pression sur les travailleurs, de mener la guerre de classe contre eux!
Il faudrait interdire les licenciements.
On peut additionner au nombre de CDD les chiffres de l’intérim pour évaluer la précarité totale dans le domaine du salariat.

C’est chouette, tout ça !
Houlala... les intervenants de ce forum m'ont l'air d'aimer la précarité, et de la souhaiter pour tout le monde...
Vivement la VIe République, le coup de pied dans l'U.E. et dans le cul du MEDEF.
;o)
Et pourquoi vouloir que la norme soit la minorité de 15% ? Lorsque tout le monde sera en contrat précaire, quelQue chose changera. Sinon, c'est encore et toujours les brahmanes contre les intouchables.
Je suis désolé de sans doute mettre les pieds dans le plat, mais, sans esprit de guerre polémique ouverte, je me permets de demander dans quelle mesure les conditions de licenciement d'un employé en CDI étant particulièrement difficile, ce système de protection du travailleur n'a pas tout simplement créé son propre malheur. Autrement, dit, un assouplissement des conditions de licenciement pourait-il avoir pour conséquence imaginable que les autorités politiques, en contrepartie, exigent par la loi la réduction des CDD à une toute partie des embauches ? Dans les cahiers de la prochaine Constituante peut-être ?
Pourquoi l'insécurité devrait être la règle? Car c'est ça qu'évite JUSTEMENT la protection du travailleur avec le CDI... Pourquoi le travailleur devrait vivre tout le temps dans la peur du lendemain, son avenir totalement soumis au désir d'un Patron? Ce que j'aimerais dans les cahiers de la prochaine constituante, c'est la SÉCURITÉ pour tous, plutôt que l'insécurité pour tous sauf une petite élite oligarchique...

Parce que le bonheur devrait être un droit inaliénable... Et que le devoir pour tous est la souffrance, la peur et le malheur..
Merci de m'accorder cette réponse :) Pardon de ne pas la trouver exactement en relation avec ma question, qui est de savoir dans quelle mesure le CDI actuel pourrait contribuer à sa propre déchéance, en l'absence de garde-fou légal, si l'on prend en considération les critiques sur l'impossibilité qui en résulterait de licencier pour de justes motifs (que je ne saurais expliciter, mais ils doivent bien exister). On cite parfois l'Eden que représenterait les pays nordiques en termes d'emploi, et cela serait dû entre autre à la facilité de licenciement admise par la loi et les employés eux-mêmes, disposant d'aides à la formation continue et à la reconversion professionnelle. Les travailleurs seraient donc enclins presque naturellement à changer d'emploi, et leur "employabilité", leur adaptabilité et leur civisme leur permettraient de relever victorieusement le défi du chômage.

Si vous saviez mon envie de sécurité... Je ne suis pas loin de penser qu'elle m'a toujours bouché l'esprit, et j'ai découvert avec difficulté cette phrase qui dit : Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. Que faire alors, devant cette pensée singulière ? S'agissant de la sécurité de l'emploi et (ou par la qualité) du CDI, vous prêchez un converti de la première heure, si je puis dire... Si bien que j'évoque l'hypothétique Constituante dans le même sens progressiste que vous, me semble-t-il. Je ne dirais pas que le bonheur devrait être un droit inaliénable : le spectacle de l'Humanité en guerre rend cette phrase surréaliste à mon esprit. Et pourtant, vous avez raison, évidemment.
dans un monde idéal ou simplement "harmonieux", et sur un plan personnel, certes cette argumentation est entendable, mais, et c'est là que le bât blesse, c'est que cette précarité développée à travers les CDD par exemple, ne s'adresse pas à un besoin de sécurité des employés en temps que tel, mais correspond à une lutte contre une baisse orchestrée du coût du travail qui, avec ce cortège insensé d'emploi à temps partiel, de paiement sous le salaire minimum, maintien des salaires à bas coût, etc, est couplé à des redistributions massives aux actionnaires; sans oublier bien sûr, ceci dans un contexte à la fois de pénurie organisée d'emploi (concurrence déloyale, délocalisation, exploitation des pays "émergents"), expression d'une guerre idéologique d'obédience libérale, voire ultra libérale. Sinon je pense que tout le monde, ou disons une quasi majorité de personnes serait d'accord avec ce que vous dites et qui est une autre appréciation du développement personnel incluant une certaine liberté de choix et de décision.
[quote=saison ll]développement personnel incluant une certaine liberté de choix et de décision.
Vous employez là un vocabulaire totalement inconnu de votre interlocuteur. Plus exactement, il fait partie de ceux qui pensent que plus on est libre, moins on est rentable sur le marché [s]aux esclaves[/s] de l'emploi.
Qui est l'interlocuteur en question, je vous prie ?
Tout porte à croire que c'est vous. :-)
Le droit à licencier a largement augmenté il y a quelques années de ça. Et il n'y a eu aucun résultat ni effet coup de pouce à l'embauche.
Vous ne connaissez rien à l'histoire du droit du travail, mais vous vous permettez de véhiculer des croyances, à partir d'affirmations gratuites de patrons (cherchant surtout à se poser en tout-puissants) du style "si je pouvais licencier librement, j'embaucherais".
Bien sûr que la protection du travailleur pure et dure a ses limites, et que l'emploi se doit d'avoir une finalité autre que l'occupation d'un chômeur, mais ouvrez un peu les yeux sur l'état des ressources humaines dans les entreprises "globalement", et constatez que plus l'emploi est précaire et plus l'entreprise est intolérante à la différence de rendement et aux personnalités atypiques, plus elle veut élaguer et ne garder que le top de son personnel en faisant son choix à coup de CDD et de périodes d'essai, moins elle y arrive.
Voyez-vous, plutôt que de vous adresser à moi comme si vous deviez me remettre en place les idées, autrement dit par provocation "en tuant le messager", vous faites en partie une bonne chose qui consiste à répondre aux questions que je pose, alors même que vous et d'autres partez d'une condition biaisée. Je m'efforce, au fil de 900 messages écrits ici, de donner des gages à tous les beaux penseurs de ma loyauté envers la solidarité humaniste et la "vraie gauche". Je m'efforce de concevoir, non sans peine, que l'on m'impute malgré ces éléments une pensée ultra-libérale assortie d'une naïveté (pour le moins) ou d'une bêtise particulières. Et si je suis ici pour mon édification, pour me construire aussi, pour me regarder vivre, partagé entre orgueil et dégoût, s'il m'arrive donc de fauter gravement en exprimant des doutes, des questions et sentiments intimes, je rêve que ce lieu soit moins interdit à cette démarche que d'autres.

Pour ne pas préjuger de l'évidence que je serais cet interlocuteur, là aussi je pose la question. Après tout, se pourrait-il que ce forum, truffé de grands esprits humanistes, donne vie à suffisamment d'intelligence, de recul et de tolérance pour que ces "débatteurs" intraitables admettent que certains modes de pensée ou d'expression étrangers aux leurs nécessitent une lecture plus attentive, et qu'ils prennent plus que jamais garde à ne pas tomber dans le procès en sorcellerie si banal qu'il peut devenir la première manière d'aborder l'inconnu, ici ou dans la rue ? Certes, je dois comprendre, aujourd'hui si possible mieux qu'hier, que la question à laquelle je pense depuis toujours en me relisant : – ce texte est-il seulement lisible, compréhensible – doit me guider plus que jamais. Tout de même ! Je l'ai dit, j'apprends et je me nourris de beaucoup des discussions ayant cours ici, tant j'admire les connaissances et l'humanité de nombre des asinautes, leur pertinence, leur clairvoyance, leurs engagements. La plupart du temps donc, je ne dispose guère plus que d'une opinion personnelle ou d'une question à formuler sur un sujet ou un autre, et non pas des moyens intellectuels ni de la culture nécessaire pour participer à un débat de fond. Mon domaine d'intervention, ce sont mes "croyances" certes, mon espoir d'un monde plus équitable, mes peurs. Tout ce qui peut-être se proscrit dans toute discussion.

Explications :

- je m'interroge, et donc espère des éclaircissements de cette communauté dont je connais les compétences, dont tout lecteur tirera parti et non seulement moi, sur le procès que certains employeurs font au CDI, dont les clauses rendraient le licenciement quasi impossible. Ce pourrait être la cause de sa quasi disparition. Cela pourrait nécessiter en conséquence de meilleurs garde-fous légaux pour rétablir la prééminence du CDI sur le CDD, et peut-être faudrait-il espérer qu'une Constituante permette au peuple de changer la règle. Tout ceci est écrit plus haut. Note en passant : nous ici appartenons bien évidemment à une classe de personnes d'une honnêteté irréprochable ; cependant, il existe, m'a-t-on dit, des individus malhonnêtes qui pourrissent la société, et parfois même l'entreprise.

- j'aimerais en savoir plus à propos de l'organisation du travail dans les sociétés nordiques. Je crois comprendre que la formation continue et la réorientation professionnelle y sont soutenues, et la société peut-être disposée à s'appuyer sur de tels atouts, considérant qu'une entreprise devenue obsolète pour diverses raisons (technologies, équipement dépassés, domaine de production devenu inutile, dépeçage par la concurrence ou l'actionnariat, bref des réalités auxquelles il faut apporter une réponse) ne peut survivre ad vitam aeternam. Vous savez, la fameuse branche malade : ce sont là des questions que je (me) pose.

- je commets une fois de plus la grave erreur qui m'a valu tant de profondes blessures, d'insultes, de procès sur le web : j'exprime des doutes existentiels, des peurs, des espoirs, et non des convictions que l'on pourrait circonscrire sans effort et incendier ou célébrer. Je m'imagine que ma sensibilité exagérée et ma sincérité seront reconnues, et qu'en conséquence on m'épargnera la condescendance, l’excommunication ou l'attaque ad personam. Ma phrase "Si vous saviez mon envie de sécurité... Je ne suis pas loin de penser qu'elle m'a toujours bouché l'esprit" témoigne de cette réalité. J'aimerais faire comprendre le peu de crédit que j'accorde à ma perception des réalités du monde, et l'intérêt que je porte par conséquent aux exposés que l'on voudra bien apporter en réponse à des questions légitimes.

Réaction espérée donc à la suite de mon premier texte, de la part de nos experts humanistes à qui je reproche leur manque de discernement : l'exposé des causes, développements, mécanismes, conséquences, solutions envisageables autour du problème de l'emploi. C'est aussi une invitation au questionnement personnel (sinon à l'autocritique) : que se passe-t-il en France pour que le domaine du travail, qui est mieux vécu peut-être ailleurs (interrogeons-nous, renseignons-nous, partageons les expériences), fonctionne aussi dramatiquement mal dans ce pays ? Avons-nous en France raison sans partage... Celui qui m'impute une démarche ultra-libérale que je ferais passer de la sorte se met la branche malade dans l'oeil jusqu'au coeur. Je conclus dans l'ultra personnel : je fus artisan, formé et employé durant 27 ans dans une mini entreprise, qui licencia son personnel le jour des 65 ans de son propriétaire. J'avais 44 ans, mon naufrage fut total et tout espoir abandonné à 58 ans. La sécurité, la liberté, parlons en encore...

édit : n'étant pas complètement benêt tout de même, il y a des réalités sociales qui ne m'ont pas échappé, au sujet desquelles je me suis abondamment exprimé déjà. L'oubli de mes prises de positions ici me préoccupe en fait...
Vous parlez à qui, poisson, saison II, Lea Andersteen, Cultive ton jardin?

Je ne crois pas que ce soit à moi, je n'ai pas l'impression de "tuer le messager", je suis même certaine que non:
- un (vous) dit que le système de protection du travailleur a créé le malheur du travailleur.
- j'entre dans la conversation bien après pour répondre à une interrogation vous concernant, à laquelle personne ne répond.
- et j'ajoute une remarque sur ce que vous dites du système de protection du travailleur. Car loin de prendre votre début dans la conversation pour de la provocation*, il me saute aux yeux que vous nous servez un argument qui nous est servi depuis 30 ans. Un argument dont on a déjà testé le néant de la puissance.

* Une provocation pour moi prend le contre-pied de façon outrancière, assumée ou innocente, et agit comme révélateur du conformisme des idées en vogue. Ce n'est pas parce qu'on pense le contraire d'une personne qu'on fait de la provocation, aucune personne ne pense tout pareil qu'une autre personne sur tout. On a le droit d'être de différents avis. Et si on essaye de convaincre c'est en dévoilant ce qu'on prend en compte pour croire une chose et pas une autre, un argument. C'est ce que je fais.
Ne vous croyez pas mise en cause parce que je réponds quelque part à ceux que vous citez, ou de manière plus large ; cela me semble un peu sommaire comme interprétation, dans le contexte et vu la teneur de ma réaction. L'endroit où je crois apporter une réponse globale prête à confusion, j'en conviens, pour l'esprit cartésien plus que pour un autre probablement. L’esprit cartésien devrait parfois lâcher prise (je ne vous soupçonne pas personnellement de manquer à l'une des joies de la démission heureuse, n'est-ce pas). J'ai publié à la suite de votre post avec le pressentiment de commettre une transgression, un acte manqué, l'abandon d'une rigueur impérieuse, une erreur de lieu et de temps. Aurais-je une fois encore écrit en vain ? Merci de me le rappeler, d'ici trente ans, je serai en phase avec ce jour.

En effet, ce n'est pas à vous en personne que je m'adresse, mais à moi en premier (pourquoi pas, coupons court, second degré inside, mais que je suis peu sérieux).
Je vous remercie de répondre à une interrogation sans réponse, je ne m'en suis pas avisé assez clairement pour vous en faire part, c'est regrettable. Si ma sincérité devait transparaître, alors je vous dirais merci.
Les arguments vieux de trente ans sont-ils à jeter dans le puits de l'Histoire pour la seule raison qu'ils ont déjà été formulés et entendus par des gens particulièrement avisés ; est-il concevable que de naïves personnes "apprenantes" s'en avisent elles aussi, tardivement, alors que n'importe qui devrait les avoir classés depuis bien longtemps au rayon des vieilles rangaines ; est-il d'ailleurs acceptable qu'il faille encore et encore répéter le baba, alors que l'alphabet fut inventé il y a trois mille ans; en quoi servirais-je, en deux acceptations, cet argument-vieux-de-trente-ans, plutôt que je ne le mettrais en cause ; toute réflexion sur ces questions irrésolues, abondée par l'expérience des trente années passées est-elle par conséquent invalide...
La provocation révélateur de la pensée dominante, je vais tenter d'y réfléchir : de prime abord, je crois y voir un axiome plus que le résultat d'un théorème remarquablement résolu. Je m'interdirai évidemment toute provocation à venir, par principe de précaution (en espérant que l'ironie elle reste tolérée).
J'espère encore que l'esprit (!) de mon témoignage, de ma réflexion, puisse intéresser plus que le mot à mot que l'on tiendrait à démonter par obsession, heu, par amour du débat pour le débat, que je différencie notablement de la disposition au dialogue.
En ce domaine, j'ai aussi de grands progrès à faire, mais aux maîtres l'honneur de la magnanimité et de l'élévation de pensée.

Bref, là où j'ai la crédule impression de pouvoir faire part de mon désarroi dans un monde extrêmement dur, je me ramasse fréquemment la déferlante des revendications des intellectuels les plus mordants (on ne lâche rien...). Je me demande alors pourquoi je m'y frotte et pourquoi ils semblent souvent imperméables à mes spéculations, et j'en conclus régulièrement que je devais me taire. Je ne sais pas m'y résoudre.
Très émouvant, pas de doute.
En (re)lisant cette tribune Comment virer un salarié sans difficulté, manuel à l'usage de l'employeur, la réminiscence du procès en sorcellerie subit et que je n'ai pas accepté me revient, et avec ce témoignage, la confirmation que lorsque l'on a quelque chose à démontrer, une conviction, l'attaque ad personam est une erreur coupable. On apporte au contraire patiemment, pédagogiquement, sans se lasser jamais, des éléments dépassionnés et factuels, ou imagés si l'on veut, comme le texte cité en lien. Des réponses. Du partage de l'information à laquelle on croit ou dont la pertinence est bien établie. Venant d'interlocuteurs dont je respecte beaucoup la ligne de pensée, une telle interdiction, lorsqu'elle survient, est d'autant plus frustrante (ou douloureuse, selon la faiblesse dont on se croira autorisé à faire part).

édition : et pour avoir été licencié en 2000 d'une entreprise de 3 salariés et n'avoir jamais pardonné à mon "patron" ni retrouvé de métier ni d'emploi, je connais le long travail qui pourrait mener à la pesée équitable des destinées humaines, et offrir la faculté de sortir de son cadre conceptuel pour envisager peut-être la position de l'employeur. C'est très difficile, voire impossible parfois. Mesurons la souffrance du licencieur
Bonjour
Je vois que vous êtes pour l'optimisation des tâches.
Un peu comme si vous construisiez vos chiottes à chaque fois que vous en avez besoin. A quoi bon payer des m2 qui ne servent qu'une à 2 fois par jour !!!
Vives les règles de rentabilité on se sentira moderne.
C'est en effet le cas pour les journalistes, mais ça l'est pour les autres... tous les autres... les "grouillots".
De mon temps, les CDD avaient un CDI s'ils avaient du piston. J'en avais (je le reconnais... je suis venue dans les bagages d'un directeur de la Rédaction). Les autres devaient attendre ... un certain temps (comme le fût du canon). Mais c'était assez facile...
Petit à petit, c'est devenu difficile pour les CDD de passer en CDI... Il fallait souvent passer par les Prud'hommes et les syndicats.
Quand j'ai quitté la boîte, c'était généralisé : les CDI étaient triés sur le volet. Et comme la majorité des programmes sont produits par des boîtes privées, ça élude ainsi le problème. Sauf qu'en effet, il y a la rédaction, qui nécessite pas mal de personnels en tous genres.
Mais tout ça, Pujadas s'en "tape le coquillard" si je puis me permettre d'être vulgaire... lui, ce qu'il veut, c'est son assistante personnelle à disposition, et surtout que tout soit fait pour que "son journal" se déroule bien... Les contrats, les journalistes et présentateurs s'en fichent un peu, surtout s'ils sont en CDI... C'est la DRH qui gère ... et très mal (de mon temps)... sur l'air du "faut pas que ça bouge"...
Mais bon, j'avais des amis à TF1, c'était pire...

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