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Commentaires

La semaine où prince Jean est devenu une star mondiale

La presse internationale a beaucoup parlé de la France, cette semaine, entre Mitterrand et Jean Sarkozy.

Derniers commentaires

C'est quand même dingue que les médias se fassent encore piéger systématiquement pas les effets d'annonce de Sarkozy.
A chaque fois la meme tactique fonctionne: cette fois-ci on annonce Jean Sarkozy Président de L'EPAD pour crééer le scandale, et à la fin on finit par le nommer administrateur, et tout le monde trouve cela normal.
Mais c'est un scandal qu'il soit administrateur.
La presse parle d'une reculade de SArkozy alors qu'il s'agit d'un véritable succès!
Si au depart on avait annoncé Jean Sarkozy comme administrateur, cela aurait déjà été un scandale.
C'est à dire qu'au lieu de faire un pas en avant, Sarkozy fait toujours trois pas en avant et finit par reculer de un.
Au final il a avancé de deux, reculé de un et tout le monde est satisfait.
exemple pratique : Je propose de vous couper les bras et vous n'êtes pas d'accord donc vous vous opposez.
Maintenant je propose d'abord de vous couper la tete, et finit par vous dire que je ne vous couperai que les bras.
Bilan de l'opération , je vous coupe les bras et vous me remerciez.

et c'était la même chose pour l'enfermement des mineurs, les retraites..... et Sarkozy ne fait jamais les premières annonces lui meme
Traduction de l'article du Economist publiée sur le site d'ASI:
"Ses mots ont pris un sens particulier, après que mr Mitterrand, homme de télévision qui est traité comme un trésor national, se soit déclaré choqué par l'arrestation en Suisse, du réalisateur Roman Polanski."

Commentaire: "après que" ne peut être suivi du subjonctif puisqu'il s'agit d'un fait et non d'une hypothèse.
Embauchez des traducteurs ! Ce n'est pas un métier qui s'improvise. Je le sais, je suis traductrice mais je ne vous donne pas l'adresse de mon site, sinon on dira que je fais de la publicité sur les forums. ;-)
Bonjour,
J'aimerais pouvoir lire les articles dont vous vous appuyez pour établir vos revues de presses internationales.
Nous pourrions ainsi, par la même occasion, réviser nos langues étrangères.
Merci par avance du traitement que vous donneriez à ma demande...
Bien à vous.
Comment ne pas rigoler devant la victoire du gros Douillet...Un fief de droite-Un tiers des électeurs se déplacent -Un peu plus de la moitié pour dire oui à L'ump!!! Et ils triomphent. Il faut croire qu'ils sont bien bas pour se réjouir d'un tel résultat.
Très remarquable billet, à lire jusqu'au bout : "Un pervers, deux fantasmes et des millions de victimes" ("Betapolitique")

Et Michèle Delaunay : "La révolte durable"
@ Batiste Kolenc

Discours de Nicolas Sarkozy
Congrès de l’UMP
Dimanche 14 janvier 2007

extraits :
[…]
Ma France, c’est celle de tous les Français sans exception. C’est la France de Saint-Louis et celle de Carnot, celle des croisades et de Valmy. Celle de Pascal et de Voltaire. Celles des cathédrales et de l’Encyclopédie. Celle d’Henri IV et de l’Edit de Nantes. Celle des droits de l’homme et de la liberté de conscience.
Ma France, c’est celle des Français qui votent pour les extrêmes non parce qu’ils croient à leurs idées mais parce qu’ils désespèrent de se faire entendre. Je veux leur tendre la main.
Ma France, c’est celle des travailleurs qui ont cru à la gauche de Jaurès et de Blum et qui ne se reconnaissent pas dans la gauche immobile qui ne respecte plus le travail. Je veux leur tendre la main.
Ma France, c’est celle de tous ceux qui ne croient plus à la politique parce qu’elle leur a si souvent menti. Je veux leur dire : aidez-moi à rompre avec la politique qui vous a déçu pour renouer avec l’espérance.
Ma France, c’est celle de tous ces Français qui ne savent pas très bien au fond s’ils sont de droite, de gauche ou du centre parce qu’ils sont avant tout de bonne volonté. Je veux leur dire par-delà les engagements partisans que j’ai besoin d’eux pour que tout devienne possible.
Bien sûr il y a la droite et il y a la gauche. Mes valeurs sont les vôtres, celles de la droite républicaine. Ce sont des valeurs d'équité, d’ordre, de mérite, de travail, de responsabilité. Je les assume. Mais dans les valeurs auxquelles je crois, il y a aussi le mouvement. Je ne suis pas un conservateur. Je ne veux pas d’une France immobile. Je veux l’innovation, la création, la lutte contre les injustices. J’ai voulu faire entrer ces idées dans le patrimoine de la droite républicaine alors même que la gauche les délaissait.
Mais au-delà de la droite et de la gauche, il y a la République qui doit être irréprochable parce qu'elle est le bien de tous. Il y a l’Etat qui doit être impartial. Il y a la France qui est une destinée commune.
Etre de droite c’est refuser de parler au nom d’une France contre une autre. C’est refuser la lutte des classes. C’est refuser de chercher dans l’idéologie la réponse à toutes les questions, la solution à tous les problèmes. C'est refuser de voir dans le contradicteur un ennemi mais un citoyen dont on doit entendre les arguments.
Ma France, c’est une nation ouverte, accueillante, c’est la patrie des droits de l’homme. C’est elle qui m'a fait ce que je suis. J’aime passionnément le pays qui m’a vu naître. Je n’accepte pas de le voir dénigrer. Je n'accepte pas qu'on veuille habiter en France sans respecter et sans aimer la France. Je n'accepte pas qu'on veuille s'installer en France sans se donner la peine de parler et d'écrire le Français.
[…]
Je veux une démocratie irréprochable.
La démocratie irréprochable c’est la participation de chacun à la définition du destin de tous.
La démocratie irréprochable c’est celle où il n’est pas nécessaire de voter pour les extrêmes pour se faire entendre. Celle où il n’est pas nécessaire de descendre dans la rue pour crier son désespoir. Celle où chacun reconnaît dans la politique de son pays une part de lui-même.
La démocratie irréprochable ce n’est pas celle où l’enfant d’un de ces quartiers dans lesquels s’accumulent toutes les difficultés qui regarde la télévision trouve qu’aucun homme politique ne lui ressemble.
La démocratie irréprochable c’est celle qui permet aux enfants de tous les quartiers de ressentir qu’ils ont quelque chose en commun.
La démocratie irréprochable c’est celle qui permet d’arracher le poison de l’extrémisme du cœur de tous ceux qui se laissent entraîner par leur colère et par leur peur parce qu’ils se sentent exclus.
La démocratie irréprochable ce n’est pas une démocratie où les nominations se décident en fonction des connivences et des amitiés mais en fonction des compétences. C’est celle dans laquelle l’Etat est impartial. Si l'Etat veut être respecté, il doit être respectable. Je ne transigerai pas. Pour certains postes il ne doit pas y avoir de nomination sans qu'au préalable celui que l'on envisage de nommer ne soit contraint d'exposer ses vues stratégiques pour l'entreprise ou l'organisme qu'il veut présider. Et de surcroît cette nomination doit être ratifiée par un vote des commissions parlementaires concernées.
Le fait du prince n'est pas compatible avec la République irréprochable.

La démocratie irréprochable ce n’est pas une démocratie où l’exécutif est tout et le Parlement rien. C’est une démocratie où le Parlement contrôle l’exécutif et a les moyens de le faire.
La démocratie irréprochable c’est un Président qui s’explique devant le Parlement. C’est un Président qui gouverne. C'est un président qui assume. On n'élit pas un arbitre mais un leader qui dira avant tout ce qu'il fera et surtout qui fera après tout ce qu'il aura dit !
La démocratie irréprochable ce n’est pas celle où l’indépendance de la justice se confond avec l’irresponsabilité des juges. C’est celle où les juges sont responsables comme n’importe quel autre citoyen des fautes qu’ils commettent. Au moins que le drame d'Outreau ait servi à quelque chose.
La démocratie irréprochable c’est celle où le gouvernement définit la politique pénale et où le peuple participe à la décision de justice. Je souhaite que les jurys populaires jugent certaines affaires correctionnelles comme ils le font déjà dans les procès d'assises.
La démocratie irréprochable c'est celle qui punit durement le crime et qui traite dignement les condamnés. Je veux que nos prisons soient rénovées, trop d'entre elles ne sont pas digne de la France.
Notre démocratie n’a pas besoin d’une nouvelle révolution constitutionnelle. On change trop notre Constitution. Il faut arrêter de dire qu'elle est bonne et proposer tous les trimestres une nouvelle modification. Mais nous devons changer radicalement nos comportements pour aller vers davantage d’impartialité, d’équité, d’honnêteté, de responsabilité, de transparence.
La démocratie irréprochable ce n’est pas celle où la représentativité syndicale est présumée en fonction du comportement patriotique durant la Seconde Guerre Mondiale. C’est celle où la représentativité se prouve dans des élections où chacun peut librement se présenter dès le premier tour.
La démocratie irréprochable ce n'est pas seulement la démocratie Française, c’est aussi la démocratie européenne parce que les deux sont indissolublement liées. Après le « non » au référendum sur la Constitution européenne on ne peut pas continuer à faire l’Europe de la même manière. Je veux être le candidat qui dit à celui qui a voté « oui » : « j’ai voté « oui » aussi et comme vous, je crois à une France ouverte sur le monde et à une Europe qui permettra à la France d’être plus grande. Comme vous, je crois que rester immobile serait mortel quand tous les autres avancent. » Mais je veux lui dire aussi qu’il serait plus mortel encore de juger celui qui a voté « non » au lieu de chercher à le comprendre. Je veux lui dire que la France qui gagne perdra tout si elle méprise la France qui ne se sent pas bien. Je veux lui dire que tous nos destins sont liés, que tout ce qui divise les Français affaiblit la France, que tout ce qui affaiblit la France affaiblit chacun d’entre nous. Je veux dire à celui qui n’a pas peur parce que tout va bien pour lui qu’il doit tendre la main à celui qui a peur de l’exclusion, à celui qui vit dans la hantise du déclassement, parce que nul n’est à l’abri des accidents de la vie, parce que notre capacité à vivre ensemble, à nous comprendre et à nous respecter est notre bien le plus précieux.
Pour ceux qui ne sont pas chaud pour lire un discours, mais veulent écouter le show sarkozien.

Discours Nicolas Sarkozy – 1ère partie :
« Mes chers amis… »
Discours Nicolas Sarkozy – 2ème partie :
« Ma France, c’est celle… »
Discours Nicolas Sarkozy – 3ème partie :
« je veux être Président… »
17:40 « La démocratie irréprochable… »
19:25 « Le fait du prince n'est pas compatible avec la République irréprochable. …»
Discours Nicolas Sarkozy – 4ème partie :
« La démocratie irréprochable (suite)… »
L'ennui, c'est justement que je ne suis pas tout à fait persuadé qu'il y ait là fait du prince, contrairement à ce qu'on pourrait croire. Et quoi qu'il en soit, favoritisme ou pas, Jean Sarkozy est légitime à ce poste (même si j'y verrais bien mieux Patrick Jarry). Ceux qui parlent des résultats scolaires du fils Sarko, ou de son manque de compétences, me semblent hors-sujet.

Qu'un simple bachelier accède à la tête de l'EPAD n'est pas par définition une mauvaise chose. Je rappelle qu'on n'attend pas du président de cet organisme des compétences en droit (ces questions là sont sous-traitées à des spécialistes, qui eux sont payés) mais une vision politique. Et jusqu'à preuve du contraire, des jeunes peuvent (heureusement) en avoir une.

J'avais été choqué par cette phrase du porte parole de l'UMP, qui disait que JS à l'EPAD, ben ça montrait que l'ascenseur social fonctionnait en politique.

C'est vrai que c'est culotté de sortir ça. Mais en même temps, il n'a pas tort. Moi qui me sens de gauche radicale (oui oui, ça surprend), je me dis qu'avec un département à gauche, un ouvrier qui ne sort pas de l'ENA mais qui a été élu au Conseil Général pourrait mener une politique différente.

Ça me réjouit pas particulièrement de voir ce blondinet décider de l'aménagement d'un des quartiers les plus importants de France, mais faut se dire qu'il existe d'autres établissements publics comme l'EPAD en France. Les jeunes, et les gens qui ne sortent pas de l'ENA devraient aussi y être présents.
@ Batiste Kolenc

Tu as raison, Nicolas Sarkozy n’est pas un « despote » et il n’y a pas « fait du Prince », et on n’est pas dans la fiction « Robin des Bois », mais plutôt dans « Dracula ».

Voir ou revoir « Sarkozy, vampire des médias », un reportage TEMPS PRESENT de la télévision suisse
Comme dirait Maradona, Sarkozy, il peut nous...

Non, en fait cette blague est nulle.
Citation :
« Non, en fait cette blague est nulle. »
Pas tout à fait, car le sucé, si cette attitude perdure, n’apprécie pas le suceur
Comme il est expliqué ici.
Bravo pour cette archive désopilante Stan !

Exceptionnelle liste de promesses et de déclarations de bonnes intentions qu'il s'est chargé de jeter dans les corbeilles du Fouquet's le soir de son élection...

Même s'il n'est pas très malin il a fréquenté Chirac qui lui a au moins appris que : "Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent" !

***
Monsieur Klein, bon boulot. Cela a dû vous prendre du temps. Bravo.
Cher Gilles Klein, @sinautes, contributeurs et journalistes d'@si... J'ai écrit cet article ce matin après vous avoir lu ici, et mes autres journaux en ligne comme je le fais matin et soir... j'y parle de vous :D !!!!

« Comment No Comment » la presse écrite sous le coup des commentaires.

Le fond, la forme, le modèle économique… la presse écrite évolue avec son temps, pour le meilleur : XX1 et pour le pire : Closer… Les supports, off-line, on-line ou les deux mon capitaine, le buzz, la COM, l’intox, les sites communautaires, participatifs, etc… Le grand mixeur médiatique brasse aujourd’hui beaucoup d’information dont il ne reste au final pas grand chose de concret. Attention aux courants d’air, ça va souffler force 8 sur les plates-formes et c’est la faute au réchauffement médiatique !

Si ce début vous intéresse, la suite est ici : http://www.dianetell.com/le-net-en-clair-premiere-partie/

bien à vous, Dianaros
Apparemment, la polémique sur Jean Sarkozy serait depuis le début un faux débat. Après avoir interrogé le directeur d'une importante agence d'urbanisme, et un chercheur CNRS en Science Po, spécialiste des collectivités locales et départementales, je me suis rendu compte de plusieurs choses.

D'abord, l'EPAD est un établissement public qui s'occupe principalement d'aménagement... D'urbanisme... Ce genre d'organisme est géré par tout un tas de spécialistes, compétents dans tout un tas de domaines... Mais son Conseil d'Administration, LUI, est réservé au POLITIQUE. C'est à dire que du président du CA, on n'attend NI des compétences en urbanisme, NI même en droit. Pour être élu au poste, il faut être conseiller général, point barre. Et on peut-être conseiller général en n'ayant jamais eu aucun diplôme. Que Jean Sarkozy soit un redoublant multi-récidiviste, on s'en contrefiche ! Ce n'est pas important.

Or, Jean Sarkozy EST Conseiller Général des Hauts de Seine : il a été élu aux cantonales. Il est même le chef du groupe UMP au sein du département. Sachant que c'est en général aux leaders de groupes majoritaires qu'est donné ce genre de poste (président du CA de l'EPAD), je pense que Jean Sarkozy y est légitime à 100%. En plus, gros atout : il bénéficie des réseaux de son père, ce qui est peut-être injuste, mais très utile. Au final, je ne vois pas pourquoi on se met à croire que Jean Sarkozy a été placé à la tête de l'EPAD, quand on comprend que c'était presque logique qu'il arrive là.

Au passage, président du CA de l'EPAD, ce n'est pas forcément le genre de poste auquel tout conseiller général pense en se rasant le matin. On y siège une fois par trimestre et ce n'est pas payé (il y a peut-être de petites indemnités remarquez... Mais rien de bien folichon).

En fait, comme me l'expliquait le chercheur en Science Politique, ya bien un problème, mais il n'est pas là. Jean Sarkozy, là où il en est, et malgré le manque d'expérience politique qu'on peut détecter en lui, est légitime à ce poste, c'est un fait. Mais méritait-il vraiment de siéger au Conseil Général, au départ ?

Je m'explique. Le Conseil Général, on le remplit pendant les cantonales. Ces élections se jouent sur des enjeux locaux peu importants, et on y vote souvent plus pour la bouille et le nom des candidats que pour leurs programmes. Pourtant, le Conseil Général agit à l'échelle du département sur des thématiques beaucoup plus importantes... Comme l'aménagement d'un des premiers quartiers d'affaire européens, dans ce cas précis.

Ce que je veux dire, c'est que c'est à l'élection de Jean Sarkozy au Conseil Général des Hauts de Seine qu'il fallait voir du népotisme. Mais ce népotisme est partout en France, il n'est pas exceptionnel. Les cantonales, dans beaucoup de circonscriptions, sont une affaire familiale.

L'accession de Jean Sarkozy à la tête du CA de l'EPAD devrait susciter un débat, effectivement. Mais un AUTRE débat : quand réformera-t-on la façon dont sont dirigés les départements ? Il est moins glamour comme débat, c'est vrai. Mais je pense qu'il est plus utile au perfectionnement de notre démocratie...
Un petit ajout personnel à la date du 13 octobre :

Sarkozy Defends Son's Nomination for Plum Job - (Sarkozy défend la nomination de son fils à un boulot en or)

:)
Nicolas Sarkozy: my son Jean was “thrown to the wolves
“The prize for flattery went to Patrick Balkany, a baron of the sleaze-tainted Hauts-de-Seine council, who is Sarkozy junior's main mentor. "Jean Sarkozy has perhaps even more talent than his father had at his age," Mr Balkany said.”
« Le prix de la flatterie revient à Patrick Balkany, un baron maffieu du conseil des Haut-de-Seine, qui est le conseiller principal de Sarkozy junior :
“Jean Sarkozy a peut-être plus de talent, que son père avait à son âge”, a déclaré M. Balkany. »

Le Baron Balkany est comme le rappelle wikipédia un spécialiste du blanchiment des coups foireux.
« En mai 1996, Patrick Balkany a été condamné (décision confirmée en appel le 30 janvier1997) par la 9e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre, à quinze mois de prison avec sursis, 200 000 francs d'amende et deux ans d’inéligibilité. Il avait rémunéré aux frais du contribuable levalloisien entre 1985 et 1995 trois personnes désignées comme des employés municipaux mais qui ne s’occupaient que de son appartement de Levallois-Perret et de sa résidence secondaire près de Giverny.
En 1997, l’une de ses subordonnées l'accuse publiquement de l’avoir forcée à pratiquer une fellation sous la contrainte d’un revolver, puis retire sa plainte. Aucune suite judiciaire ne sera donnée à cette accusation. »


Tout comme certains mafieux, Patrick Balkany est un « parrain ».
Famille recomposée

Sachant que notre Président fut marié à Cécilia, elle-même ancienne épouse de Jacques Martin, qui précédemment avait épousé Danielle Évenoux, actuelle épouse de Georges Fillioux, on devrait voir Albert Dubourrin, petit-neveu par alliance de ce dernier (et qui a brillamment réussi son passage en 1ère à 22 ans) prochainement nommé à la tête de la Caisse des dépôts et consignations …
Décidément Gilles, j'adorrrrrrre votre chronique !!! Un tour d'horizon indispensable pour nous sortir de notre autosatisfaction hexagonale.

Petit clin d'œil au "Capitaine" : cet effort salutaire et hebdomadaire de Gilles devrait être automatiquement placé dans les contenus d'utilité publique, afin que les non @sinautes puissent se rendre compte de la différence de traitement de certaines affaires (aujourd'hui celle du petit prince en l'occurence) dans la presse étrangère et dans la nôtre.

Euh ... je ne trouve rien d'autre à dire pour le moment ; je crois que le café n'a pas encore fait effet. ;)
Houlaaaaa, ça fait visiblement plus de mal à l'étranger qu'en France où nos pompiers-ministres-UMP/collabos ont quasi réussi à étouffer l'affaire !
La réputation qu'il va avoir !!!!!!
Le pire, c'est que, du coup, nous sommes tous dans sa galère ! Mitterrand risque d'avoir du mal à voyager à l'étranger !
Il y a des jours, je me surprends à aimer la "presse à scandales", mais étrangère ;o))

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