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Commentaires

La presse US horrifiée par les primes des dirigeants d'AIG

La presse US est horrifiée par les bonus des dirigeants de l'assureur AIG, et la justice britannique empêche le Guardian de publier des recettes d'évasion fiscale.

Derniers commentaires

le résultat avec avec ce principe de "compacter" l'actualité en une revue de presse c'est de "compacter" les sentiments et pour cette semaine le mot clé c'est "écoeurement"

-d'abord avec le salaud autrichien qui nous rappelle qu'aucun pays n'a le monopole de la perversion ; "écoeurement" parce que pendant 24 ans ce malade a eu la possibilité de torturer une gamine sans être inquiété !
ce qui fait peur c'est pas que ça existe, ça on le sait, mais que les personnes de l'entourage puissent être soumises au point de se taire !!

-ensuite sur les "Oh" "Ah" "Mais non" horrifiés d'un Obama face aux bonus payés aux état majors d'AIG grace aux milliards payés par l'état américain pour renflouer les caisses et qui font sacrément penser aux cris de vierges effarouchées de nos politiques, suprême en tête, excellent acteur, face aux stock-options que vont se prendre, quoi qu'il arrive, les PDG de nos banques !

"écoeurement" car à aucun moment je ne crois qu'ils les abandonnent leurs stocks options, même si aujourf'hui ils obéissent à une demande des politiques pour calmer le péquin de base, nous quoi, et faire croire qu'ils ne les prendront pas ?!! ça n'est que partie remise évidemment !

grand moment comique à ce sujet hier soir chez Moati, Woerth affirmant que "Sarko avait "sauvé" (comme il y va et sans honte) le système bancaire français" !! rien que ça !
bon, avec mes milliards que je n'ai pas mais il l'a sauvé c'est tout !! j'ai bien ri........
Ripostes qui devient l'émission la plus drôle du dimanche (si l'on retire les introductions et conclusions du poète Moati bien sûr toujours aussi pénibles voire risibles !)

- et "écoeurement suprême" face à la condamnation par le pape du préservatif seul moyen de lutte contre le sida aujourd'hui, les traitements n'étant que des palliatifs une fois le virus installé dans le corps, c'est-à-dire trop tard ; que dirait l'église si tout à coup je venais me mêler de "croyance" pffff ;
que le pape s'occupe de "foi", clause exclusive de son contrat vaticanien, et nous on continue de s'occuper de "sexualité"....

merci Gilles Klein pour les revues de presse internationale, ça me passionne.....et finalement on se sent moins seuls tout à coup !!!
Juste une précision j'essaie d'expliquer pourquoi le journal italien donne son chiffre. D'autre part je mentionne le secteur public, il semble que les augmentations du secteur privé hors Smic soient du ressort des patrons du secteur privé, pas de l'Etat.

Bref, je ne donne pas ni mon avis, ni encore moins celui d'Arret sur Images.

Bref je renvoie les exégètes la lecture de l'article original.
Merci Gilles.

Pas une seule bonne nouvelle ! Si Obama, apparemment ne parle pas que d'un point de vue démagogue quand il s'adresse aux banques, comme ... qui ? Wait and see. Si le soleil pouvait se lever à l'Ouest .....

Sarkozy a des soucis, ben oui, les Français aussi.
@ Arnaud

Le quotidien italien donne quelques chiffres sur la France, en plus d'un panorama de smouvements sociaux. Le rapport : un état fortement endetté a peu de moyens pour satisfaire les revendications des employés du secteur public, ou injecter plus d'argent pour relancer l'économie.

@ Arnaud

Le rapport : un état fortement endetté a peu de moyens pour satisfaire les revendications des employés du secteur public, ou injecter plus d'argent pour relancer l'économie.

Ça c'est de l'idéologie pure ! Jean-Michel Aphatie, qui ne cesse de dénoncer le creusement de la dette publique, sévirait-il en Italie ?
Et pourquoi y-aurait-il une "bonne" dette, celle des Français étranglés par les organismes de crédit à qui on permet sans vergogne de se livrer à leur activité parasitaire et une mauvaise dette, celle de l'État ?
[quote=Gilles Klein]Le rapport : un état fortement endetté a peu de moyens pour satisfaire les revendications des employés du secteur public, ou injecter plus d'argent pour relancer l'économie.

En effet, c'est de l'idéologie, et votre réponse enfonce le clou !

- D'une part, il se trouve autant d'économistes (chevronnés, évidemment) et autres journalistes pour taper sur la dette publique française que d'économistes (chevronnés, évidemment) et autres journalistes (et également des... agences de notation) pour se satisfaire de la dette publique française.

- D'autre part, il se trouve autant d'économistes (chevronnés, etc.) pour défendre la thèse de la France, "État fortement endetté" (je vous cite) que d'économistes (chevronnés, etc.) et... d'agences de notation ! pour défendre la thèse d'une France endettée comme il faut. Bref, c'est une question énorme, que celle de la dette, et une question très (très) chargée d'idéologie. Mieux vaut éviter de l'utiliser de manière aussi lapidaire.

- Ensuite, quand bien même l'État serait fortement endetté, en quoi cela lui donnerait-il "peu de moyens" ? Les États-Unis, avec leurs déficits et leur dette monstrueuse, manquent-ils de moyens ? Non, évidemment, leur plan de relance surpasse tout. La raison du manque de moyens est donc ailleurs que dans la dette... (elle est, éventuellement, dans la confiance, dans la monnaie, etc.).

- Enfin et surtout : "satisfaire les revendications des employés du secteur public". Là je reste sans voix... J'aimerais bien savoir quelles revendications précises (et dispendieuses, donc, puisque nous parlons de moyens) ont percé dans ces manifestations... On pourrait renvoyer à la chronique de Judith Bernard cherchant à voir si la suppression du bouclier fiscal ne serait pas notre "nous", notre revendication mobilisatrice : une revendication qui ferait économiser de l'argent, donc...

Mais surtout j'aimerais bien savoir pourquoi "les revendications" sont ici imputées aux "employés du secteur public" ? Il me semble que, dans ces dernières manifestations, ce sont plutôt des "employés du secteur privé" qui ont "revendiqué", d'ailleurs votre papier parle des industries, des usines, de Renault Sandouville, etc. : bref, pas franchement du secteur public tout ça.

Qui a dit qu'Arrêt sur images roulait pour un seul camp et ne déployait d'idéologie que de gauche ?

Sans rancune aucune !
[quote=Gilles Klein]L'article constate qu'il y avait hier plus de manifestants mais moins de grèves. Un encadré estime le déficit de la France en 2009 à 104 milliards d'euros.

Quel est le rapport ?
Aujourd'hui : 130ème jour de détention pour Juien Coupat.

[large]"La presse US horrifiée par les primes des dirigeants d'AIG"[/large]

Pendant ce temps-là, en France : la presse, LE MONDE en tête, nous enfume en faisant passer des distributions scandaleuses de stock options à la SG pour un renoncement éthique.
Il y a du goudron et des plumes qui se perdent en ce moment. Et pas seulement pour les banquiers.

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