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[Avent 2021] "Hollande respecte les feux rouges de la République"

18 mai 2012. "Normal." Un gouvernement simple et normal, vertueux, et surtout un gouvernement qui se démarque le plus possible du gouvernement précédent. Les premiers signes envoyés par le nouveau pouvoir socialiste ont tous raconté la même chose. Mais cette histoire est-elle vraiment nouvelle, ou bien l'intronisation d'un nouveau pouvoir obéit-il à des rituels qui sont toujours les mêmes ? Est-ce qu'il y a un storytelling de l'installation d'un nouveau président en France ? Sur notre plateau ce 18 mai 2012, pour décrypter les signes de l'investiture de François Hollande, la sémiologue Mariette Darrigrand, l'historien Jean Garrigues, ainsi que Jean Michel Ribes, directeur du théâtre du Rond-Point, metteur en scène, qui fut aussi invité à l'Élysée pour cette cérémonie.

Derniers commentaires

Emission interessante, notamment les interventions de la sémiologue... Cependant, le "jean" à C.Duflot !!! Alors là, voir tout le monde deviser doctement là-dessus ! C'est à mourir de rire. La principale interessée a bien dû rire aussi si elle a vu ça...

Et Ribes assénant : "finalement, elle était plutôt moche ce jour là " ... Mais s'est-t-il bien regardé dans une glace !! On se pointe sans cravate à l'Elysée, et on s'érige professeur de maintien... ! pour les bonness femmes bien sûr...
JC L
@SI ne devrait pas toujours se concentrer sur ce que font les médias parce que quand l'actualité m'ennuie, les émissions d'@SI aussi!
J'ai adoré le commentaire, lors de l'intronisation de Sarkozy, "le compositeur Albert Nice" pour Albeniz ...
Une émission normale. On respire en France...
Je viens de trouver une video qui montre l'arrivee de Giscard a l'Elysee, sur le site de l'INA:
http://www.ina.fr/video/CAB8100404801/septennat-de-valery-giscard-d-estaing.fr.html
La video est de 1981, avec des extraits de reportages entre 1974 et 1981.
Cette émission est d'une vacuité hallucinante...
Et puis alors Ribes... Je rejoins les commentaires précédents. Je ne me suis pas abonnée à Gala/Voici, que je sache...
Quel est l'intérêt de savoir ce que Ribes pense des vêtements de Cécile Duflot ? S'il vous plaît; évitez maintenant d'inviter M.Ribes : suffisant, inintéressant et somme toute très conformiste..
Agnès Guillemin Siffre
Le remplaçant de DSK voulu par l'oligarchie pour limiter les exigences de gauche est très bien, très convenable, voire même un brin différent c'est sûr. Je tremble sincèrement en pensant à dans 5 ans!
La lecture des commentaires est particulièrement éclairante: en donnant la parole à des interlocuteurs de qualité, développant des thématiques de fond allant à l'encontre de la doxa, DS a attiré des auditeurs exigeants et engagés - on est bien loin du DS cherchant à polémiquer avec Bourdieu il y a plus de 10 ans.
Du coup, une grande partie des auditeurs - si l'on en croit ceux qui s'expriment sur le forum - manifestent clairement leur appartenance à la gauche de la gauche. C'est une conséquence logique: si @si est une émission authentiquement critique, elle est d'une façon ou d'une autre du côté de la gauche radicale qui s'oppose au consensus bipartisan. Et elle l'a suffisamment montré, quelles qu'aient été les intentions de DS à ce sujet.

Du coup, quand Schneidermann nous pond une causerie à la Taddeï-C dans l'air, à propos de la "communication politique", concept niant le politique par essence, comme de nombreuses des ses propres émissions précédentes l'ont montré, c'est la curée. Tout le monde est déçu, car on s'en fout.
En invitant en plus l'archétype de la "gauche morale" et culturelle qu'est Ribes, dont on espère qu'une chose à gauche, c'est que ces gens-là soit dégagés illico de leur position de donneurs de leçons consensuelles, car plus personne ne supporte leur fonction systématique de rappel d'une gauche vers des valeurs vaguement humanistes, afin de mieux esquiver la question sociale, DS ne peut que décevoir et créer une émeute sur le forum.

C'est à DS de choisir: ses anciens démons peuvent le faire revenir vers une analyse proprette et sans conséquences des dispositifs de communication dominante, sachant que le pouvoir est revenu à gauche. On peut comprendre aussi qu'il répugne à se trouver catégorisé aux côtés d'une secte de gauche radicale, qui faisait le boulot dans l'ombre bien avant lui. Ou peut-être au contraire aura-t-il compris qu'en diffusant une approche radicalement critique de la doxa, il s'est attaché justement des auditeurs exigeants qui étaient prêts à lui pardonner ses erreurs de jeunesse, où il s'agissait de complaire à tout le monde sans prendre de risque, à commencer aux forces sociales dominantes.
On était en train de l'aimer compte tenu de la haute tenue critique de certaines émissions, mais il est possible que la victoire de Hollande le ramollisse.
Il serait cependant dommage qu'après avoir parcouru une telle trajectoire, DS nous resserve la soupe tiède qui avait marqué ses débuts désastreux: tout ce chemin pour revenir au point de départ?

Mon hypothèse est qu'ayant goûté aux joies de la critique authentique, sincère et intelligente dans de nombreuses émissions, et en s'entourant de chroniqueurs(euses) clairement dans cette veine, DS a bien du se rendre compte qu'ils nous avait servi là un gros plat de merde consensuelle et superficielle sans grand rapport avec la tonalité génrale d'@si. Très difficile selon moi pour lui de revenir durablement en arrière, même si ce n'est pas exclu: pour reprendre les termes de Bourdieu, en s'éloignant du champ de la doxa, DS a trouvé aussi une niche intellectuelle susceptible de lui fournir des profits symboliques de reconnaissance, qui le "payent" d'une autre manière que celle dont les journalistes serviles sont payés aujourd'hui.
En ayant courageusement déplacé son propos vers une critique générale de la pensée dominante, il serait dommage que DS revienne vers la recette frelatée du "décryptage des media" pour étudiant(e)s en première année du CFJ ou du CELSA...
Déjà qu'il n'y avait plus grand chose sur ASI, voilà qu'il n'y a plus rien. Cette émission ressemble à de la vraie télé : sujet aussi frivole, invités lourdingues (sémiologue aux commentaires attendus et creux, un historien dépassé par le présent, normal puisque le présent n'est pas son métier, et un courtisan digne de la Mitterrandie ou de la Sarkosie). Et moi, la vraie télé, je l'ai quittée depuis longtemps, et c'est pas pour la retrouver ici. Très déçu parce que vous produisez de moins en moins de débats, et que le peu que vous proposez se résume à de l'analyse de sujets de surface.
Une bonne détente, enfin, et un pied de nez aux pisse-vinaigre , ça va très bien dans ce moment où, en effet, nous respirons un peu mieux, mais dans l'attente de ce qui va se faire...... attendre, voir, critiquer peut-être, mais demain svp, et j'ai souri et même ri avec ce "cabotin", déjà pas si mal !

de la part de Candide
A cette émissin trés interessante il a manque le regard d'un psychanalyste.
car un point aurait pu être soulevé le pouvoir comme lieux de jouissance.
et le pouvoir commme lieu d'expiation pour les femmes de président.
en effet nombreuses sont celles qui ont remboursé une dette symbolique à la vie

madame chirac a dans sa vie personelle une enfant qui se suicide pieces jaunes pour les hopitaux et enfants malades.
carla bruni à un frére mort du sida elle conduit une action contre le sida dans le monde .
bref que fera la compagne d'hollande alors qu'on sait que le pouvoir pour hollande sera tout sauf un lieu de jouissance la preuve en est cet arret au feu rouge !!!
Merci également de ne pas inviter des sémiologues. Ils sont aux sciences sociales ce que les sourciers sont aux sciences dures.
Emission totalement inintéressante.
ASI ne se démarque en rien sur ce sujet des autres analyses bidon.

Vous n'êtes pas C dans l'air.

Arretez s'il vous plait avec la politique.

LA PSEUDO ANALYSE POLITIQUE ON EN A EU OVERDOSE ENCORE DEPUIS PLUS D UN AN. MERCI DE PARLER D AUTRE CHOSE AUSSI. C EST DE LA PURE PERTE DE TEMPS DE PARLER DU FEU ROUGE PENDANT DES HEURES.

ATTENTION A LA BARBIERISATION DE ASI !!!
En fait, je crois que pour qu'asi retrouve de la pertinance, il faut qu'il fasse de l'écriture sous contrainte. C'est divin pour s'obliger a "sortir du champs" et retouver un angle interessant.

La contrainte que je propose a asi pour sa prochaine émission : que le sujet n'est aucun rapport, ni pres ni de loin avec Hollande.


Pitié.........................

(C'est même généralisable a tous les articles de DS, sur un temps donné, disont 1 semaine. Je vous jure, je suis sur que ca vous ferait un bien fou. Enfin, ca NOUS ferait un bien fou, au moins)
Emission dont le sujet etait pas d'un grand interet... D'ailleurs la periode electorale, globalement m'a paru donné un "cru" d'emissions du meme acabit.
Ce qu' on peut esperer d'une emission de critiques des medias, c'est quelle sache prendre le recule necessaire a son analyse, et quand ces memes medias soulevent des themes/sujets/commentaires qui n'ont que peu d'interet, inutile de passer 1h dessus, en 5 mn le decryptage est fait, c'est plus un sujet pour une chronique humouristique de Porte...
Le probleme des medias , c'est qu'ils sont moutonniers, je pourrais attendre de votre emission autre chose qu'un "traitement cdansl'air", qui fait mine de prendre du recul mais qui au fond plonge dedans, en donnant un grand echo a ces sujets inutiles.

Vous etes a cours d'idees ?

La critique des medias peut autant se faire en abordant ses "pleins" que ses "creux", la critique de ce qui est dit et ce qui aurait ete interessant d'etre dit sur la place publique, au lieu d'etre le enieme mouton dans une chaine de construction mediatique : l'evenement (ou pseudo-evenement), les reactions/commentaires sur l'evenement, et les commentaires sur les premiers commentaires, intervenir en fin de chaine, n'enlevera en rien, l'inutilité de l'information d'origine.

J'espere qu'Hollande ne mettra jamais de chapeau rond ou de cravate fuchia, j'ose pas imaginer l'emission que ca donnerait....
J'ai lâché au bout de 20 minutes.

Aucun intérêt.

(même l'heure passée avec Sieffert n'est pas terrible).

Vous manquez de recul quand il s'agit de traiter l'actualité immédiate.

Je regarde pas @si pour regarder la télé.
Emission plus intéressante, sans doute, que le sujet. Donc il fallait la faire.
C'est un angle intéressant sur la semaine que nous venons de vivre.

Sur le " jeans " de C. Duflot, si d'habitude elle ne se présente pas ainsi quand elle est invitée dans des émissions ou spectacles, c'est en effet très limite. Mais bon...

Sinon, la photo du nouveau gouvernement doit réjouir Giscard :
avec tous ces pantalons en aCcOrDéOn au premier plan !

http://www.lexpress.fr/pictures/633/324538_la-photo-de-famille-du-gouvernement-de-jean-marc-ayrault-5e-a-g-au-1er-rang-avec-a-sa-gauche-francois-hollande-17-mai-2012-a-l-elysee.jpg

Laurent Fabius, par exemple, semble tenir à informer qu'il a du tissu à revendre !

Ce qui me fait souvenir de la photo officielle (et coûteuse car d'un grand photographe) AVANT RETOUCHE du Pdt Sarkozy, avec les manches de son costume aux plis multiples si disgracieux.

J'espère que ces nouveaux ministres ne seront pas en short sur la photo dans cinq ans..:+)
j'ai eu du mal à regarder l'émission jusqu'au bout car la hollandomania c'est pas mon truc;
en fait la fin de l'émission est bien et les langues se délient;
oui il faut des contre pouvoirs;
j'ai trop souffert de la pensée unique lors de l'ère Sarkosy;
je ne voudrai pas avoir une autre pensée unique lors de l'ère Hollande;
si seulement les lègislatives pouvaient sortir beaucoup de député(e)s verts et front de gauche pour
contrebalancer le pouvoir du PS !
car si ce quinquennat échoue ... au moins il y aura 1 responsable: le PS;
une des premières mesures suggérée par ce gouvernement est la retraite à partir de 60 ans pour ceux
qui ont travaillé tôt ( avant 18 ans ?) mais les conditions ne sont plus les mêmes: les annuités "non
travaillées" ( tiens tiens le VRAI TRAVAIL ) ne seront plus comptées; par "non travaillé" on entend l'année
du service militaire, les congés maternité, les périodes de chômage ...;
ce fait m'a fait réflèchir sur les limites du gouvernement Hollande-Ayrault;
en tous les cas, Hollande fait aussi très bien le service pour la campagne législatives du PS !
Le problème de la "critique des média" c'est qu'elle se sent visiblement obligée de suivre les média sur ce genre de non-sujet qui contrairement à ce qu'on prétend n'ont rien de nouveau et qui ne mériteraient qu'un gros "RIEN A BATTRE". Bref, encore une émission dont je ne vais regarder que 10 minutes avant de zapper.

(au moins cette semaine il y a Maja, ouf)
Séquence 1 : Ribes répond à "la sémiologue", sans dire madame, encore moins son nom. Personne, sur le plateau, ne l'a appelé " le metteur en scène". Quel mépris !

Séquence 2 : J'ai bien écouté, JMR a parlé de "simiologue". Lapsus intéressant, non ?

Séquence 3 :Je me suis arrêté, malgré la pertinence des deux autres invités.
Cécile Duflot en jean... rien de surprenant si elle prend reellement le RER... non? en tout cas, pas rebelle ou en uniforme à l'américaine.. Moi en tout cas, j'ai rigolé pendant cette émission :) c'était très léger, on a bien répété qu'on allait pas être dupe.. à suivre ! bon week end!
Bizarrement, quand j'ai entendu le mot "NORMALITUDE", j'ai senti que j'allais me faire chier.

Sincèrement, c'est quoi cette émission ?
Pour décrypter la cérémonie d'investiture de François Hollande, le début de l'émission n'aurait il pas suffit ? (en remplacement de la chronique de Didier Porte)

Je respecte la volonté de Daniel Schneidermann de renouveler sa déclaration d'intention visant à exercer un contre pouvoir qu'il avait déjà émis dans l'article de 9H15 "Un pays respirable, mode d'emploi", mais de là à faire cette émission indigeste pour la placer une seconde fois, j'avoue avoir été déçu.
Pas par la déclaration. MAIS PUTAIN C'EST QUOI CETTE ÉMISSION ???????
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH

Si Christophe Barbier avait été là, j'aurais cru voir C DANS L'AIR avec Hollande au pouvoir. (je ne suis pas sur de la comparaison, n'ayant pas vu cette daube depuis longtemps)
Même si il y a eu quelques passages vaguement probants, voir la sémiologue communicante analyser les messages qu'envoient la couleur des slips ministériels et écouter l'historien qui avait l'air de vouloir présenter les cérémonies sur TF1 habiller le storytelling de l'investiture d'un discours vide et ennuyeux m'a donné l'impression de regarder une mauvaise émission de télévision.

Je présume que l'empressement de DS,qui était dans les starting-blocks, souhaitant analyser et décrypter les premiers signes de la communication élyséenne, afin de marquer son indépendance aura donné cette émission anecdotique et usante.
Elle ne prouve ni indépendance ni assujettissement mais simplement un panurgisme passager que la digestion de l'évènement va certainement guérir.

PS, l'historien avait quelques bonnes anecdotes, mais je suis de mauvaise foi.
Après 10 minutes. C'est quoi ces conneries ? Si quelqu'un ne respect pas les feux rouges, sans raisons valables (type course-poursuite) on lui met une amande, et s'il continue on lui retire le permit. Je trouve cette discussion ahurissante.
Ribes est rigolo avec sa «signologie» et sa fausse incompréhension du symbolisme des mises en scène. Pour un homme de théâtre, difficile d'y croire. En fait Hollande c'est mise en scène bobo, faussement amateur, comme les cafés parisiens faussement en travaux ou en ruine.

Mais Daniel avec son contrepouvoir fait une erreur. Le contrepouvoir n'est pas l'opposition, et là Ribes peut avoir raison, d'autant que ce n'est ni Hollande ni le PS qui ont le pouvoir en France, mais toujours les banques et les grands spéculateurs, les capitalistes pas le peuple. Le nouveau gouvernement n'a pas encore montré de quel côté il va pencher. On s'en doute, mais ce n'est pas encore déclaré. On peut donc encore, en prenant le parti du PS penser être dans le contrepouvoir.

Le contrepouvoir ne se décrète pas, il s'appelle aussi la pensée critique.
Le corps divin du roi qui monte après sa mort, n'importe-quoi madame la sémiologue,
le corps divin du roi, ne meurt pas, c'est justement celui qui reste après sa mort, qui ne monte pas, et qui sera incarné par le corps physique de son successeur, celui-là même qui prend la pluie.
L'historien aurait pu relever.
sur ASI, il y eu la période Front de Gauche, voici venue la période PS
émission plate , je ne partage pas du tout le gout prononcé de Daniel Schneidermann pour la politique
pour la première fois sur ASI j'ai l'impression de voir du TF1 ou de France 2 dans l'analyse
passer une heure à debriffer les 3 signes politiques que hollande nous donne à manger est franchement décevant
je ne comprends pas l'admiration béate de Daniel qui sait pourtant qu'on ne peut faire une analyse apres une semaine sur des déclarations d'intention
peut etre cette émission aurait eu un sens dans un ou deux ans mais là.......
j'adore ce site pour sa capacité à nous faire approfondir les sujets, à poser des vraies questions
Dites donc Laure, c'est quoi ce pantalon au fait, on voit pas bien ?
J'aimerais réagir (et c'est la première fois !) à la définition du mot "normalité" ,sujet de votre dernière émission;
A mon avis,il manquait dans ce débat un invité (ce qui n'enlève rien à la qualité des autres invités, qui par leurs analyses, leurs arguments ont su éclairer les premiers reflets de ce quinquennat , sans oublier l'enthousiasme réjouissant de jean-Michel Ribes !)
Pourquoi , Mr Schneiderman, n'avez -vous pas invité à votre débat un psychologue ou un psychanalyste , ou n'avez-vous pas abordé le thème de la "normalité" sous cet angle?
Je reste persuadé, en effet, que F. Hollande s'est qualifié de candidat normal simplement parce qu'en briguant la présidence, il se présentait comme une personne équilibrée, ayant réglé ou dépassé ses problèmes personnels, dont le comportement n'a plus besoin du regard des autres, de leur sympathie ou de leurs applaudissements pour exixter...
En cela, il s'opposait à N. Sarkozy qui dans ses discours, ses comportements, ses décisions, a pendant cinq ans affiché sans pudeur les excès d'une personnalité narcissique ou égotiste, donnant l'impression de se mettre en scène pour un show perpétuel qui attend les applaudissements,
se déplaçant sur les lieux d'accidents ou de faits divers, entouré de caméras (pour réconforter les familles ou continuer le spectacle ?).Pendant ce quinquennat, nous avons subi les fantaisies théâtrales d'un personnage en quéte d'équilibre,qui me laisse penser que son goût du pouvoir fut plus une sorte de thérapie personnelle qu'une démarche au service d'un pays...
Alors ça si je m'attendais à avoir ça ici aussi. Le jean symbole des rebelles, patati et patata.
Hep : le jean, c'est un vêtement couvrant, dont certaines coupes sont assez chics et qui symboliquement quand on le porte indique ... pas grand chose !
Personnellement, j'ai quatre pantalons, dont 3 jeans. Le reste c'est du panta plus ou moins courts, puisque je vis au soleil. Ces jeans ont été achetés pour ne pas me peler lorsque je viens sur le continent. Ils ne sont pas fragiles. Ne bougent pas si je ne les mets pas. Et c'est tout ce que j'ai pour me rendre dans ma famille et aussi pour mes déplacements professionnels - formations, conférences, etc ...
Je n'ai pas de tailleurs, et je n'irai pas m'en acheter un, même pour un concours. Cécile Duflot n'était pas en train de passer un examen. Elle a le poste. On lui demande un travail de ministre et pas de se déguiser en ce qu'elle n'est pas. Faut arrêter avec le symbole du jean. On n'est plus dans les années 60. Et qu'on puisse avoir des conversations aussi surréalistes en 2012, alors moi, ça me sidère, gravement !
On a l'impression qu'elle s'est pointée en bermuda et en savate deux doigts !
bonne émission
j'aurais apprécié plus de participation de l'historien et du semiologue avec plus de comparaisons historiques
Hors sujet: OK, parlons de "signes" et "signaux": comment interpréter ce qui s'est passé hier soir: Merkel recommande à la Grèce d'organiser un referendum, toute la classe grecque hurle à l'ingérence, Merkel dément, les Grecs confirment... Gaffe? Erreur de jugement? Malentendu?...
Il y'a quelque chose qui me tracasse depuis un mois.
Je me permet de vous soumettre une suggestion.
Et si vous faisiez une émission qui ne soit pas archi-chiante?
Vous savez un peu comme vous faisiez avant.
Dites?
Sujet pas très intéressant, invités inintéressants pour ne pas dire plus... Bref, je me suis bien fais chier. Mais c'est sans doute parce que je ne peux pas encadrer les traditions quelles qu'elles soient, les rituels et autre conneries du même genre.
Il est vrai aussi que la passation de pouvoir m'indiffère au plus haut point. Je n'attends qu'une chose, c'est de voir comment ce nouveau gouvernement va se comporter face aux premières difficultés.
Et franchement, quand je pense qu'il va bientôt falloir gérer l'explosion de l'Europe et donc la sortie de l'euro, tout cela me paraît d'une futilité sans nom.

Pas glop non plus de nous imposer en longueur au début de l'émission l'investiture du monarque Sarkozy : images toutes aussi dégoutantes qu'un mariage princier.

Sinon, toujours au début de l'émission, on dirait (je ne vais pas vérifier) que Laure Daussy ne suit pas Anne-Sophie Jacques sur twitter...
C'était marrant d'ailleurs : comme Laure a appuyé démesurément sur le mot "élu", j'ai tout de suite pensé qu'elle allait faire référence à son tweet du 14 mai. Mais non... Désolé donc pour toi, Laure, mais Anne-Sophie te range désormais parmi les "crétins" :

Le tweet (ou retweet) en question :

Au milieu des moutons ? RT @Protectionnisme : "président élu" m'exaspère aussi, mais "détecteur à crétin", je garde ! http://www.lalettrevolee.net/article-le-president-elu-105122592.html
"Hollande respecte les feux rouges de la République" Si tous les grands dirigants faisaient de même ça simplifierait grandement la vie des snipers .
Jean Garrigues! Je ne savais pas qu'@si faisait maintenant son marché sur le plateau de c dans l'air...
Vous me copierez cent fois : je suis contre, je suis contre, je suis contre...
A part ça, émission très intéressante et instructive. Invités de choix.
Hihi… Depuis quelques jours, DS veut absolument nous (se) convaincre qu'il garde sa liberté de penser et de critiquer. Du coup tout est bon ! C'est touchant !
Merci pour cette émission.

Il est vrai qu'il était étonnant de voir le metteur en scène attitré considérer que les cérémonies officielles laissent au hasard des détails symboliques comme la place des conjointes, de la famille, ou encore le port ou non du collier de grand maître de la légion d'honneur ; voire de nier que la nature du pouvoir consiste en un contrôle son image.
A sa décharge, il est aussi certain qu'il est délicat de décrypter ce qui relève ou non d'une intentionalité, à l'image du jean de Cécile Duflot.


L'émission a bien montré le processus de légitimation sous-jacent au cérémonial. Que ce soit par les réseaux d'opposition avec l'ancien président, ou ceux de convergence avec les figures présidentielles historiques, on saisit bien la nécessité pour le nouveau président de s'inscrire dans une lignée afin que l'éclat passé luise encore dans le renouveau des personnalités.
J'ai été étonné en ce sens que l'historien invité sur le plateau ne mentionne pas le jeu permanent traverse ces cérémonies d'investiture, jeu entre mémoire et histoire. La mémoire sélectionne les éléments du passé, les magnifie, là où l'histoire combat activement cette sélection afin d'en souligner l'arbitraire ou les enjeux d'une telle manipulation. Il a d'ailleurs conclu brièvement qu'il s'attachait à réhabiliter la IIIe République et l'audace de ses politiques, et son léger rictus laissait entendre qu'il venait de dévoiler son inclinaison en faveur de Hollande, péché d'historiens s'il en est.

Par ailleurs la sémiologue a admirablement bien souligné que ce processus de légitimation passait tout autant par la proximité avec la foule, le respect citoyen de l'espace urbain, que par le souci narcissique de renvoyer aux électeurs une image positive de leur représentant. Et cela, à deux niveaux. D'abord par le corps réel, celui qui a mainci, celui qui affronte la pluie. Ensuite par le corps symbolique, celui qui traverse centralement et debout la tempête et les champs élysées(on aurait envie d'ajouter "Tu marcheras sur l'eau"...).


La question que pose très bien à la fin de l'émission Daniel est en effet de déterminer jusqu'où le pouvoir peut aller dans le contrôle de son image. A quel moment en effet le pouvoir va-t-il vouloir masquer le réel par ses images? A quel instant le pouvoir ne va-t-il plus supporter qu'il n'a d'autre choix de changer ses désirs plutôt que le monde, et qu'il ne lui reste plus pour sauver la face qu'à tronquer d'images la réalité?

Cependant, j'aimerais faire une remarque pour le prochain quinquennat sur les probables rapports entre @si et le pouvoir. Au fond, le pouvoir triche avec les images car il se sent menacé dans sa légitimité. Celle-ci lui vient des conséquences de ses décisions. Mais précisément, la nature de la décision politique est aléatoire. Le politique n'est jamais certain que sa parole sera suffisamment perfortative. Il n'y a qu'à l'IEP que l'on croit qu'il existe une science politique. L'expérience montre que le pouvoir ne peut avec précision dire de quoi demain sera fait. Il peut recourir à l'oracle, aux prévisions économiques modernes, mais il encourt sans cesse le risque d'être contredit par les faits. Aussi tend-t-il à les masquer lorsqu'ils dévient de ses espérances.
En sera-t-il de même avec Hollande? Peut-être pas tout à fait. J'aimerais émettre une hypothèse en ce sens. Depuis la crise économique de 2008, la question d'un pouvoir devant apparaître comme sachant a émergé comme une thématique essentielle de la société civile. Comme en témoigne le mouvement des indignés, nous sommes dans l'après mur de Berlin, et les réponses aux crises politiques ne sont plus fondées sur des alternatives binaires et absolues(le monde capitaliste contre le monde communiste). La société civile semble avoir compris que le pouvoir ne peut par essence être "sachant". C'est d'ailleurs ce qui fait la force et la faiblesse des indignés que d'avoir détruit l'illusion d'un plein savoir du politique sans toutefois n'avoir de voie établie pour l'orienter. En ce sens, je crois que Hollande cherchera peut-être moins que les autres présidents à paraître comme sachant. Il a lui-même décliné le thème de la normalité sur le registre politique et économique: il agira selon les circonstances (façon de s'exuser à l'avance de son impuissance et de son peu d'ambition auprès de ceux qui pourraient le lui repprocher). Par conséquent, s'avouant plus facilement comme non-sachant, il aura certainement moins tendance à masquer d'images son incapacité politique. Mais dans la mesure où le politique, à la différence des indignés, ne peut susprendre son jugement et ses décisions, il est aussi probable que la tentation de retrouver les stratégies de bifdouillage des faits trouvera à son tour droit de cité.



Je me permets d'ajouter: on est étonné de ne pas avoir vu la comparaison du président normal et la vidéo de Giscard recevant au petit déjeuner à l'Elysée les éboueurs, ni ses fameuses invitations à diner chez les français. Je transmets le lien INA: http://www.ina.fr/video/CAF94060313/valery-giscard-d-estaing-et-les-eboueurs.fr.html
Sarkozy non structuré par l'histoire ?
Quelle blague !
Un anticommunisme primaire structuré par son histoire familiale (collaboration paternelle qui aurait justifié le départd e Hongrie ?)
et par les enjeux et oppositions de la guerre froide,
une soumission au mythe de la grandeur coloniale,
ce président là était soumis à une autre mythologie historique que celle de la seconde mondiale
celle de la guerre froide et de la décolonisation,
ainsi qu'une modification (certes légère mais palpable socialement) des rapports de classes après guerre ...

Mais cela ne fait pas de lui un président enfant de la télé et anhistorique ...

Pas plus qu'Hollande d'ailleurs
dont le font de la pensée réformiste est tout à fait liée à la nécessité de survie de l'idéologie socialiste
au seins d'oppositions elles aussi nées de la guerre froide ...

Deux présidents nés d'une nouvelle séquence historique donc
mais certainement pas anhistoriques ...
Un échange de haute tenue - sauf à un moment, vers la fin, où l'on croit entendre quelqu'un se moucher dans son micro...
Avec en prime, un petit voyage dans le temps (images d'archives, mises en perspective, évocation de la troisième République, etc.)

Il m'a semblé qu'on prenait parfois un peu de hauteur, pour observer tout ça...
Merci messieurs-dames !

En passant, j'ai apprécié l'espèce de bienveillance mutuelle entre la sémiologue et l'historien, tous deux finalement assez complémentaires...
Et même Jean-Michel Ribes, qui va s'en prendre plein la gueule ici... alors qu'il ne s'est pas forcément limité - pas toujours - à des propos de "courtisan".

Un seul exemple : cette idée toute simple selon laquelle il s'est senti français, pour la première fois de sa vie, sous Sarkozy...
Au-delà de la "pose", ce qu'il dit n'est pas inintéressant; car le phénomène est peut-être bien plus général, et surtout bien plus important qu'il n'y paraît.

(et ce n'est qu'un extrait, parmi d'autres plus subtils, mais qu'il serait beaucoup plus laborieux pour moi de noter)

J'ajoute, pour défendre encore un peu Ribes, et quitte à m'éloigner méchamment du sujet, qu'il fut à mes yeux un grand auteur, du temps où il bossait avec son copain Roland Topor...

C'est d'ailleurs la raison pour laquelle, malgré son agaçante suffisance, malgré sa générosité de dame patronnesse, et surtout en dépit du RIDICULE dont il s'est littéralement couvert à l'Elysée depuis, je ne peux pas me résigner à dire trop de mal de lui !

... Mais plus généralement, juste une question :

Lorsque @SI parle de Hollando-mania, sommes-nous d'accord que l'expression désigne ici un machin surtout fabriqué par la Presse ?
Et qu'en réalité, les sentiments d'un très grand nombre d'électeurs - satisfaits - sont peut-être un chouïa plus nuancés (et donc, moins vendeurs)... ?

Merci encore pour cette bonne émission
(manifestement produite dans un climat plutôt apaisé...)

NK (l'invité d'Agnès)
Ce qui m'étonne dans l'histoire du "collier", c'est que personne ne remarque sur le plateau que cela ressemble à un simulacre de couronnement.

Je trouve cette cérémonie très déplaisante.
Juste une petite remarque, le grand collier de la légion d'honneur ne peut être porté qu'en habit (un frac). Or depuis VGE les présidents de la Vème ne portent pas le frac lors la cérémonie d'investiture et ne peuvent porter le collier.
Et aujourd'hui discours sur les mérites du Cheeseburger avec Mr Obama ...
Les journalistes n'ont rien d'autre à nous montrer de ces grandes rencontres au sommet ?
ou bien n'y cause-t-on effectivement que de spécialités culinaires locales ...
tout cela devient de plus en plus imbécile;
5 ans de sarkozisme ça aura tout de même laissé de lourdes traces et de très mauvaise habitudes éditoriales ...
Sur la symbolique des 21 coups de canon, M. Merchet donne au détour d'un billet par ailleurs peu intéressant sur l'origine des douilles à blanc une explication claire et intéressante :
http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Investiture-du-President-les-coups-de-canons-etaient-made-in-USA-_a602.html
Cette tradition des salves d'artillerie remonte à l'époque où, pour montrer ses intentions pacifiques, il fallait "vider les tubes" avant l'arrivée du souverain - ou, dans la Marine, lorsqu'un bateau se présentait devant le port. Ces salves sont donc un salut de paix, autant que de soumission. Un peu comme le salut militaire : en portant sa main bien visible au niveau de la tempe droite, le militaire montre qu'il n'est pas armé.

Compte tenu de ce qui se passe en Grèce, où il n'est pas débile de poser la question de la possibilité d'un coup d'état militaire pour "remettre de l'ordre", il n'est pas anodin que l'armée française soit rappelée à sa soumission au souverain, à savoir le peuple, par le biais d'un tel hommage envers son représentant élu (et donc chef des armées).
Vu les temps qui viennent, ça pourra servir (les militaires étant très à cheval sur ce genre de choses, ça a bien plus d'impact que ça en a l'air).
Giscard se rend à pied à l'Elysée le 27 mai 1974 (archives I.N.A. ) http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Passation-de-pouvoir-et-investiture.-Un-rituel-de-la-Ve-Republique-%5Bvideos%5D_39382-2076922_actu.Htm
Roooh, le "Albert Niz" de la journaliste de France 2...
il fallait oser la faire cette émission....
Je comprend qu'il n'est pas facile de trouver un sujet intéressant chaque semaines.
Mais ne peut on pas imaginer, lorsque l'actualité ne s'y prête pas, de faire une émission "historique" sur les médiats, la démocratie, la politique, enfin quelque chose qui nous apprend et donc nous grandi?

Ps: j'ai encore entendu :"hollande a fait une bonne campagne" ... une chanson numéro 1 au top 50 est sûrement un chef d’œuvre.
un gland aurait gagné face a sarko
"Décrypter les signes de l'investiture de François Hollande"... ça fait d'avance saliver, dites donc. Dire que la précédente émission s'intéressait à la "Hollando-mania". Je n'ai pas regardé celle-là, et je ne regarderai pas celle-ci.

(où l'on voit qu'ASI, malgré ses incartades gauchisantes, reste majoritairement une petite boutique de commentaire médiatique sans grand intérêt)
Oh Maja, je vous aime ! "Et vous trouvez que Fabius il est frais !?! " J'ai explosé de rire : ah que c'est bon ! ("sang contaminé", tout le monde a oublié ? Ou tout le monde trouve-t-il ça exemplaire peut-être ?!?)

Bon sinon, blague à part, c'est là incontestablement une très excellente émission, avec un choix des invités particulièrement heureux, une préparation de l'émission apparemment très bien faite, et donc je n'ai qu'un seul regret, corolaire de cet excellent moment intellectuel et parfaitement dans le "contrat" d'arret sur images (à savoir comprendre l'essentiel par l'analyse des signes futiles) : ne pas avoir assez pu profiter plus de ces invités et de leurs visions extrêmement intéressantes, chacun dans leur domaine.
(Bon ok, il y a un certain déficit de parole de Mariette Darrigrand et Jean Garrigues par rapport à M. Ribes, mais tout le monde fut passionnant. Même M. Ribes, oui. Dingue, non ?).

Voilà la confirmation de ce qui me parait évident depuis plusieurs mois : une bonne émission sur @SI est une émission sans éditocrates et sans journalistes "en vue" en tant qu'invités. Il faut avoir des gens qui savent de quoi ils parlent vraiment. Donc, pas de journalistes médiatiques.
et en plus on n'a pas Didier!!!
Qu'est ce que c'est que cette boulimie, Daniel Schneidermann ?!

Si j'avais su qu'on subirait votre hollandocentrisme tous les jours, j'aurais voté Sarko, tiens.
Et puisque je suis pas de bonne humeur, le titre ronflant de sémiologue officielle du paf, ne mériterait-il pas d'être remplacé par celui moins glorieux mais plus juste de conseillère en communication et planneuse stratégique? Elle a une licence de lettres ou quoi?
On veut des vraies émissions!
Je comprends bien que ASI s'interesse à la manière dont les mass-médias ne traitent pas l'information. Mais en focalisant sur l'inutile on risque de devenir ininteressant. Il y a de trop bons journalistes à ASI pour les reléguer à cette tache. Personnellement je cherche dans ASI ce dont je n'ai pas le temps de repérer, un appronfissement de certains thèmes ou un autre regard sur l'information.
Enfin bon, vous restez un trés bon site quand meme...
Un courtisan, qu'il soit de gauche ou de droite, c'est insupportable...

Ribes est un courtisan modèle...

Et un courtisan gauche-caviar, qui a sa petite anecdote sur le SDF en bas de chez lui... Tellement proche du peuple

C'est l'erreur de casting de l'émission !
Jean Michel l'énervant..j'appréhende
ce Ribes quel cabot! normal vu son métier mais quasi insupportable sur ce site!
BAM ! Hollande… encore. Je n'en point plus.
Ribes a été nommé au théâtre du Rond-Point par les socialistes, et a insulté dans une vidéo le candidat du Front de Gauche en le traitant de "clown"...
Quelle légitimité a t'il pour parler sans partialité de François Hollande qu'il a ouvertement soutenu ?
J'aime bien la photo de la vraie fausse famille de Sarko en 2007, surtout quand on sait que le couple était, comme on dit chez Harlequin, "à la dérive".

Comment va faire le grand baudet vomisseur dans les chiottes, maintenant qu'il n'a plus Papa pour nous faire payer sa protection et ses déplacements à l'étranger ?

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