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Guerre, vagues : pourquoi les métaphores nous captivent

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je n'ai plus droit aux restaurants, alors merci de nous servir une chronique aussi nourrissante que succulente. Des douceurs comme celle-ci, j'en redemande sans modération !

Oui, effectivement, une immense partie du langage est métaphorique. Quand Daniel à la fin dit que la chronique est "éclairante", c'est aussi une métaphore finalement. Et effectivement, c'est assez incroyable de se rendre compte du pouvoir de la langu(...)

Très intéressante chronique !

D’où l’importance de ne pas confondre le compliqué et le complexe.

Un plat de spaghettis, ça n’a rien de complexe, mais c’est irrémédiablement compliqué, au point de relever du chaos gordien, induisant des solutions fausse(...)

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Merci pour votre chronique très intéressante et ô combien nécessaire !


La métaphore permet de condenser les analogies et les comparaisons. On les prend pour argent comptant tout en sachant qu'on a affaire à des fictions (Ou non ? on en arrive à douter...) D'où leur caractère frappant et émotionnel. (Perelman)


Une prochaine chronique sur la logique des passions et des valeurs (la guerre par exemple) utilisés dans le discours émotionnel du président Macron ? 


Merci! 

Merci beaucoup pour cette chronique effectivement ... éclairante

Le char de l’État navigue sur un volcan !


Alors si vous croyez qu'on a le temps de batifoler dans les métaphores, vous vous mettez le doigt dans l’œil.

Merci.

Mais si je coupe le son de la vidéo, je ne comprends rien.

Traduction : l’effet de supériorité de l’image, c’est par rapport au texte. Pas par rapport aux mots.

Si je fais toute une conférence avec des visuels, sans aucun texte, et sans parole, il y a de fortes probabilités pour que personne ne retienne l’information. A part : carré, triangle, rouge, vert.

Autre chose, sur la page expliquant l’effet de supériorité de l’image, l’exemple est donné de la supériorité d’un pictogramme sur l’information textuelle. Or, pour avoir longuement travaillé des pictogrammes, il arrive très souvent que certaines notions soient impossibles à exprimer en image.

Par exemple, les notions abstraites, ou... complexes. ?

Ex : au jeu dessiné, c’est gagné, dessinez le néant. Vous avez une minute...

Je crois qu’on compare les carottes aux stylos.

L’image doit se comparer aux paroles, pas au texte (qui est une information en grande partie visuelle).

La vue se compare à l’ouïe.

L’image aux sons.

Je souligne ceci parce que ce n’est pas la première fois que j’entends que les informations visuelles sont largement supérieures aux informations auditives. Alors, je ne suis pas spécialiste, mais demandez donc à des spécialistes du son. J’avais lu que 70% des informations que nous avons, passent par le sens de l’ouïe.


Voilà, c’était ma courte réflexion du jour.

et "in french" ça donnerai quoi ?

non mais sans déconner, aucun rédactionnel et 5 références en anglais !

c'est pas du télétravail, c'est pas du travail non plus !

merci de vous casser un peu le cul ou d'aller bosser en amérique

Très intéressante chronique !

D’où l’importance de ne pas confondre le compliqué et le complexe.

Un plat de spaghettis, ça n’a rien de complexe, mais c’est irrémédiablement compliqué, au point de relever du chaos gordien, induisant des solutions faussement simples.
Parce qu’il faut bien admettre que la réponse d’Alexandre le Grand est une forfanterie imposée par autorité, ne résolvant strictement rien…

A l’inverse, le réseau autoroutier d’un pays est à juste titre qualifié de complexe, alors même qu’il est très simple à comprendre, puisqu’il se décrit avec 4 ou 5 types de voies, du communal à l’autoroute.
Autre exemple, pour atteindre presque n’importe qui des 8 milliards d’êtres humains à la surface de la planète, il me suffit de 5 informations : Pays, région, ville, rue, numéro, c’est tout.

Question :
La métaphore guerrière de Macron relève-t-elle du complexe aisément maîtrisable, ou d'un compliqué ingérable ?

Je pense que le repérage des nœuds gordiens dans les discours pourrait être un outil de décryptage tout à fait pertinent.


Stimulant ! on en redemande, merci

Excellent , merci 

Super chronique ! 

Une suggestion de lecture : "Metaphors we live by" de Lakoff et Johnson. Les deux linguistes montrent que les métaphores ne sont pas limitées comme on le croit à un usage rhétorique ou poétique, mais qu'elles structurent tout le langage (et donc la pensée). Ça explique notamment que "complexité" soit un mot lui-même métaphorique. En fait c'est le cas d'une immense partie des mots qu'on emploie. Passionnant. :-) 

je n'ai plus droit aux restaurants, alors merci de nous servir une chronique aussi nourrissante que succulente. Des douceurs comme celle-ci, j'en redemande sans modération !

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