Gréco est arrivée
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Commentaires préférés des abonnés
C'est un très beau billet, qui donne envie d'écouter les titres auxquels vous faîtes allusion; et les autres ...
Cible atteinte
Merci
Rien a ajouter,,merci
Merci Juliette. Femme libre.
Derniers commentaires
Bien sûr c'était une grande dame de la chanson. Mais...
le côté sophistiqué et sur-joué de ses interprétations me hérissent au plus haut point.
Tout est beaucoup trop calculé. Il me manque de la spontanéité et du naturel.
Entendu il y a quelques minutes sur France 3, dans une émission consacrée à Gréco, un extrait de son interprétation de la Chanson des Vieux Amants de Brel. Inécoutable. Un massacre.
C’est tout mignooooon : je me désolais de ne pas connaître, apprécier, de cen’estpasmagénérationner Juliette Gréco. Puis, soudain, alors que je prononçais les mots « comme un petit poisson », les méandres de mes neurones ont mis la ritournelle-hommage dans ma tête. :)
Bon.
Le soir tombe et l'émotion s'apaise.
Je peux donc féliciter une fois encore le lider maximo pour sa magie des titres.
Quand je l'ai lu ce matin je n'ai pu m'empêcher de penser à ceci.
Parce que Gréco, elle n'est pas arrivée. Elle est partie.
Pourquoi les radios attendent-elles toujours que les artistes de langue française, telle cette grande dame, soient morts pour passer leurs chansons sur les ondes... ?
une bonne nouvelle en chasse une mauvaise :
la cour d'appel de Paris, a rejeté ce jeudi l'essentiel des recours déposés par le camp de Nicolas Sarkozy qui contestait l'enquête sur des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007
Quel beau texte!
Oui, je me souviens d’un soir à la télévision. Je ne sais plus si nous étions encore dans les années soixante-dix, ou dans celle des quatre-vingt naissantes. Mais, tout d’un coup, je recevais en plein cœur, assis sur le canapé familial, le J’arrive de Brel que Greco chantait. Elle avait traversée l’écran. Magistrale dame.
Bonjour,
C'est étonnant comme les avis peuvent varier. "La rose et le réséda" est une merveille, mais chantée par Juliette Greco, pour moi ça ne passe pas du tout: je trouve qu'elle en fait des tonnes et qu'elle sert plus sa caricature que le poème. Trop, c'est trop. Comparez avec la version de Lavilliers, et peut-être serai-je compris.
Ah, ce genre de chronique qui entr'ouvre une porte sur l'intime sensibilité de l'auteur tout autant qu'elle rend hommage : quel talent !
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Un talentueux guitariste ?
Euh, le guitariste ne fait pas poum tchak tchak poum tchak thak.
Il joue sa petite musique de fond.
C'est très beau.
Merci
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Je crois volontiers qu'elle était chaleureuse et j'aime assez le timbre de sa voix.
Mais si j'ose un commentaire un peu sacrilège, elle est quand même un poil trop maniérée pour moi.
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Et puis, commentaire parfaitement futile, mais bon, je lui en ai toujours un peu voulu d'avoir sacrifié un profil de caractère pour arborer un nez aussi quelconque...
hum.... alors si on ose le commentaire futile, je lui en ai voulu d'avoir fichu la frousse de sa vie à l'enfant que j'étais, dans Belphégor ....
Alors une interprète d'après moi très très sophistiquée d'un côté, et Belphégor de l'autre, ont fait que je n'ai pu apprécier que la personne que je devinais, et j'ai beaucoup de respect.
Dans sa jeunesse, elle a été pas mal bousculée par la vie, comme on dit.
Ce ne sont pas le succès et la notoriété qui pouvaient faire d'elle quelqu'un d'autre que ce qu'elle était. Un sacrée bonne femme avec une colonne vertébrale et un cerveau.
C'est tout le 20ème siècle qui se barre et les fans de Juliette en prennent un coup sur le cœur.. J'étais allée la voir à l'Olympia, j'en ai un souvenir impérissable comme d'ailleurs celui de Léo Ferré, au Dejazet, lors de sa dernière apparition. Juste un "rayon de lune" du projecteur sur leur visage, ça suffisait pour partir en voyage dans leurs chansons. Il y a tous les disques vinyl , cassettes et CDs qui nous restent,.. La technologie dans ces cas là a du bon. !!!
MERCI pour ce rappel du "J'arrive", bouleversant...
Je viens deux lire deux rubriques en hommage à Juliette Gréco, dont l'une dans le New York Times
et j'y ai trouvé ces mots de Sartre qui me paraissent étonnamment si exacts pour quelqu'un qui n'était pas poète :
"Gréco a un million de poèmes dans sa voix"
Très bel hommage à la grande Juliette. Avec sa disparition c'est tout une période, celle de l'après-guerre, qui trouve un point final.
Quant au grand Jacques, à part Amsterdam, je ne peux pas, ne veux pas l'entendre. Il me terrasse, me déprime pour le restant de la journée. Même si c' est sublime.
Superbe billet. Merci DS , et un au revoir à l'une des plus grande interprête du 20 ème siècle....
Merci
l'hommage est là
on continuera à l'écouter
comme Barbara
avec cette qualité sonore qui fait qu'on les sait toujours là
Merci
Sur Brel, Brassens il faut voir le film fait sur la rencontre Brel, Brassens, Ferré (Trois hommes sur la photo https://www.youtube.com/watch?v=sAgjH72Pu9Y ) et voir comment Juliette G parle d'eux, en riant aux éclats (vers 38'). Magique ! Salut, Madame !
C'est un très beau billet, qui donne envie d'écouter les titres auxquels vous faîtes allusion; et les autres ...
Cible atteinte
Merci
Merci Juliette. Femme libre.
Rien a ajouter,,merci