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Commentaires

Fausse journaliste : le "piège" du film "Omerta" sur les trans

Plusieurs spécialistes de la transidentité estiment avoir été "piégés" par Amélie Menu, YouTubeuse conservatrice au discours anti-féministe et réalisatrice du film "Trans, la confusion des genres" qui a utilisé une fausse identité pour recueillir leur témoignage en présentant une version trompeuse de son projet. Enquête.

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Théorème du "ni de - ni de", aussi connu sous le nom de théorème du "et de - et de":

Toute personne qui se prétend "ni de droite ni de gauche", ou "et de droite et de gauche", est intrinsèquement, profondément et irrémédiablement de droite.


Mais quelle(...)

Excellent article, édifiant sur la fange médiatique. 

Entre opinion personnelle, théories fumeuses, confusionnisme et manipulations, cette Menu vit une existence bien misérable.


"Je suis ni de gauche ni de droite [mais je suis] conservatrice conva(...)

Ah les réactionnaires, qui n'ont rien d'autre à faire que de s'occuper de la vie des autres, tellement la leur est sans intérêt, et de les dénigrer.

Cela me rappelle la petite ville d'où je viens, ou les commères étaient aux fenêtres, derrière les rid(...)

Derniers commentaires

Comme d'autres l'ont déjà dit, des journalistes qui utilisent une fausse identité pour infiltrer des structures sur lesquelles ils veulent enquêter est assez courant...

Et il ne me semble pas que ça ait toujours provoqué une réflexion négative d'ASI...

Le fait que la cause defendue par la personne qui mène cette infiltration n'est pas suffisant pour affirmer que ce qui est bien ailleurs ne l'est pas dans ce cas... 

Vous auriez été un media d'opinion, je ne dis pas mais vous êtes censés analyser de façon objective le traitement de l'information...

Soit l'infiltration n'est pas acceptable et pour personne, soit elle est acceptable et on ne doit pas faire de distinction en fonction de l'orientation politique...

Désolé mais les trans sont une secte et il est donc normal de les infiltrer.

Je vous invite à contacter l'association Yponomi.

Des dizaines de jeunes filles sont tombées dans le piège trans via les réseaux sociaux : 12-15 ans, mal être d'ado, coming out lesbien, scarifications, coming out trans, fausse tentative de suicide, fugue pour être accueillie par des maisons trans, où on leur promet de la testostérone et une ablation des seins. Le scénario est toujours le même.

Réveillez--vous ! Enquétez ? c'est une horreur absolue.

LGB = émancipation = liberté sexuelle = très bien

T = pas cool = dysphorie du genre = trouble mental = les plaindre oui, accepter le prosélytisme trans, non

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Oui on peut leur parler, les écouter, les plaindre mais pas les laisser nuire au nom d'une idéologie et d'une soi-disant théorie du genre. La Suède et la Finlande, très avance sur le sujet, légifèrent. La question est : qui recrute sur les réseaux sociaux ? Je ne peux pas croire que des vieux trans qui sont des personnes en souffrance fassent du prosélytisme sur tik-tok. 

Je ne suis pas d'extrème droite. Je suis le père d'une jeune ado perdue.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Pauline Bock, toujours de l'excellent travail.
Merci !

Merci pour cette enquête documentée... 

Avec toutes ces identités frauduleuses, curieux que la trans-identité soit dénoncée comme menaçante... Me demande bien quel diagnostic poserait un psychiatre... 

Les méthodes malheureusement habituelles de l'extrême-droite, quoi...

Désolé d'aller à contre-courant (je n'apprécie pas particulièrement cette Amélie Menu), mais il me semble que de nombreux journalistes d'investigation (ex : Cash investigation, mais pas que) utilisent eux aussi ce genre de subterfuges pour faire parler des gens : caméras cachées, embauches sous une fausse identité pour connaître les méthodes de certaines entreprises, etc... Et je trouve ça nécessaire. C'est parfois la seule manière d'obtenir un discours de vérité. En disant qui l'on est, on obtient souvent un discours aseptisé ou une présentation enjolivée.


Il y aurait problème à mon sens concernant cette Amélie Menu,  si elle avait déformé les propos recueillis, si elle les a tronqués, sortis de leur contexte. Est-ce le cas ?


On me rétorquera qu'on doit pouvoir refuser de participer à un documentaire réactionnaire ou d'extême-droite. J'en conviens. Mais bizarement, on ne se pose jamais cette question s'agissant des documentaires de médias classés à gauche. Les grands groupes sujets des enquêtes n'ont pas envie non plus d'apparaîre dans un documentaire qu'ils considèrent d'extrême-gauche...

 

conservatrice convaincue, penchant désormais pour des modèles bien plus traditionnels".  

Kindern , Kuche,  kirsche (  enfants cuisine eglise) comme ses copains  nationaux socialistes , ou  Gilead ..; qu ' elle nous raconte  !!!

Après la post-vérité, la trans-vérité ? Formidable, comme dirait le camarade Marcel !

diffusé par le nouveau média pro-russe Omerta


la transphobie est vraiment devenue le front de la guerre idéologique que livrent l'extreme-droite et les fascistes. au cas où c'était pas évident. De "ouin j'ai peur d'être agressée dans les toilettes par des trans" à la guerre mondiale declenchée par la russie et au fascisme nativisme sauce US il n'y a qu'un pas apparement.

La cour de cassation s'est déjà prononcée en faveur de la diffusion d'images obtenues par tromperie : un journaliste candidate à un poste sous une fausse identité et fait des images en caméra cachée. Cela au nom de la liberté de la presse et du droit à l'information. Méthodes probablement tout aussi douteuses et peu déontologiques que celles d'Amélie Menu, mais le résultat obtenu a constitué, pour la Justice, une vraie information : mauvais traitements dans une maison de retraite ou un abattoir. Le plus souvent l'anonymat des personnes filmées par caméra cachée est préservé par floutage, mais il est arrivé, notamment pour un médecin, que les personnes "abusées" soient identifiables.


La question qui se pose alors pour ce reportage est de savoir si des personnes en train de se regarder le nombril, filmées par une journaliste mettant en scène son changement de coupe de cheveux, constitue une information.

Théorème du "ni de - ni de", aussi connu sous le nom de théorème du "et de - et de":

Toute personne qui se prétend "ni de droite ni de gauche", ou "et de droite et de gauche", est intrinsèquement, profondément et irrémédiablement de droite.


Mais quelle horreur cette bande-annonce ! Racoleuse comme pas possible avec son ton intimiste sur le mode "take the red pill" et découvrez l'horrible vérité. Et la dernière phrase, "les miens" ? Qu'elle s'occupe du bordel dans son propre cerveau, ce sera déjà bien.

Ah les réactionnaires, qui n'ont rien d'autre à faire que de s'occuper de la vie des autres, tellement la leur est sans intérêt, et de les dénigrer.

Cela me rappelle la petite ville d'où je viens, ou les commères étaient aux fenêtres, derrière les rideaux, vous ne les connaissiez pas, mais elles, elles vous connaissaient. Et se faisaient des tas d'idées sans rapport avec ce que vous étiez...

Avec des intentions tellement louables....

Excellent article, édifiant sur la fange médiatique. 

Entre opinion personnelle, théories fumeuses, confusionnisme et manipulations, cette Menu vit une existence bien misérable.


"Je suis ni de gauche ni de droite [mais je suis] conservatrice convaincue, penchant désormais pour des modèles bien plus traditionnels." 

Réactionnaire donc. On vous reconnait à vos méthodes douteuses, toujours.

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