Facebook et les médias : 20 ans après, la douche froide
En février 2004, un jeune étudiant de Harvard nommé Mark Zuckerberg créait son réseau social, "the Facebook". Vingt ans plus tard, la plateforme a bien failli engloutir internet et "tuer les médias" à coups de partenariats bancals. Second épisode d'un récit de la lune de miel au goût amer entre "Zuck" et les médias.
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Derniers commentaires
Rester chez Apple ou Microsoft ou Adobe ou etc ... comment faire quand le système numérique se limite à quelques grands acteurs du domaine ?
Alors il reste Linux mais bon courage pour l'implanter à grande échelle sans une volonté politique forte.
Qui osera jeter son mac à la poubelle ?
Aujourd'hui, inutile de penser que le nombre d'abonnés sur une plateforme de réseaux sociaux ait une quelconque signification d'audience. En tant que lecteur de presse en ligne, j'ai supprimé la plupart de mes comptes de réseaux sociaux parce que le modèle par abonnement a atteint ces plateformes (qui continuent de collecter des données personnelles à des fins de ciblage publicitaire). Youtube fonctionne comme Twitch et TikTok. Facebook adopte à peu près le même modèle. La plateforme X, n'en parlons pas. L'avenir est aux plateformes de messagerie interpersonnelles et aux formules par abonnement pour la consultation sans pub de contenus en ligne (contenus à la qualité variable). Reste pour les médias «sérieux» à financement exclusivement par abonnements, les newsletters directement dans la boite mail ou la messagerie et les podcasts pour se faire connaître et garder le lien avec le lectorat. Les flux RSS aussi sont une manière de conserver un lien pour peu que leur usage se démocratise.