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Etat d'urgence : "la com' des préfectures est totalement verrouillée"

Même si le sujet a été provisoirement chassé de la Une des journaux par les élections régionales, la France vit toujours sous le régime de l'état d'urgence : des perquisitions sont effectuées, des gens sont assignés à résidence à leur domicile sur simple demande du gouvernement ou de la préfecture sans que la justice ne puisse dire son mot sur le sujet. Comment les journalistes qui s'intéressent au sujet enquêtent-ils ? Comment s'informent-ils auprès des intéressés et de l'administration ?

Derniers commentaires

Peper grill Suite

Ci joint extrait annonce du restaurant sur site communautaire Al Kanz

"Une petite salle pour changer bébé a été prévue, ainsi qu’une signalétique à la fois pour la salle de prière pour hommes et à la fois pour la salle de prière pour femmes".

Alors restaurant persécuté ou lieu à surveiller?
Plus compliqué en tous cas que l'approche simpliste du journaliste du Monde
TF1 a réussi à trouver le seul cas de perquise où le perquisitionné n'était pas là, trop forts les mecs.
Vous aviez raison, D.S..
Manifestement, selon le Canard Enchaîné de ce mercredi 16 décembre, le Bataclan était sujet à des menaces terroristes depuis 2010.
Une information judiciaire avait même été ouverte le 13 juillet 2010 et un juge d'instruction avait été désigné pour enquêter sur ce projet d'attentat, dont les propriétaires du Bataclan n'auraient jamais été informés.

C’est à creuser, mais apparemment, nos gouvernements successifs n’ont pas jugé utile de protéger le lieu. :(
Vous aviez lu ça chez lundimatin ? Notre premier ministre s'enquiert de savoir si interner préventivement les fichés S dans des camps est légal ou non... Le gouvernement (enfin son compte Twitter) essaie de se justifier comme il peut.
Et au passage, je découvre ce média qu'est lundimatin.
Saut erreur de ma part, j'ai l'impression que le plateau est passé à côté du fait que des policiers ont ouvertement reconnus qu'ils en profitaient pour boucler des affaires de dealers. Cazeneuve a du coup fait un rapprochement douteux entre terrorisme y trafique (ce qui n'est certes pas impossible, mais encore faudrait-il que ce soit bien du gros trafique qui soit démantelé...). Bref, j'ai l'impression qu'on est là dans un bel abus de l'état d'urgence, et pas grand monde pour se soucier de supposés dealers (personnes supposément munis de droits).
Bravo aux asinautes qui ont placé le message hallucinant de maximilien en tête de gondole.

Un message qui nous dit qu'il faut au moindre doute perquisitionner meme si à 99% ça ne donne rien et traumatise les personnes

inecrédibeule....
Je trouve ce forum bien pessimiste.
Alors que nous apprenons ce soir dimanche que le Front National ne dirigera aucune région.
Foin de quelques petites bavures ici ou là, fi de quelques menues atteintes à nos droits fondamentaux, nous pouvons nous réjouir : le fascisme n'est pas passé!
Et le cas dune assignation reposant sur une denonciation calomnieuse d'un ancien employeur (Veolia)
L'homme se refuse à fustiger les policiers
http://delinquance.blog.lemonde.fr/2015/12/11/etat-durgence-trois-semaines-dassignation-a-residence-pour-une-meprise/

Détail plus qu anecdotique : des policiers venus en perquisition se sont interrogé sur un 'barbu' ... Une représentation de Léonard de Vinci ...

Incroyable mais vrai!
Hâte de découvrir l'émission
J'indique un lien, s'il n'a pas encore été discuté, qui interroge sur la réflexion qui preside au suivi des perquisitions manifestement disproportionnée :
http://delinquance.blog.lemonde.fr/2015/12/09/etat-durgence-le-serrurier-nous-la-bien-dit-en-ce-moment-on-narrete-pas/

Une telle attitude portée à la connaissance du public mais venant de Chine ou de Russie, les médias s'en empareraient : ça doit se passer à une trop faible distance de nous ... Pour intéresser les editocrates ...
Qu'est-ce qu'une dictature ?

Un Etat qui laisse ses sujets vaquer à leurs occupations, travailler, faire ses courses, conduire les enfants à l'école... et même se divertir dans des lieux autorisés.

Un Etat qui les convoque régulièrement à des élections afin qu'ils puissent accorder leur suffrages à des partis dont ils savent à l'avance qu'ils ne changeront rien à leur conditions de vie.

Les associations professionnelles, voire les syndicats, sont autorisés à négocier des questions de détail.

Les manifestations sont tolérées dès lors qu'elles ne gènent pas les autorités, mais interdites et réprimées dans le cas contraire (car bien évidemment elles troublent "l'ordre public", ce que démontrent toujours les images diffusées à la télévision).

Le sujet peut librement voir, écouter ou acheter la presse autorisée, laquelle privilégie les faits divers et relaie sans véritable esprit critique les messages du pouvoir (politique et/ou économique).

La police fait respecter l'ordre et protège les sujets. Pour cela elle dispose d'une grande liberté de moyen, notamment pour combattre les opposants, qualifiés de " menaces pour l'ordre public", d'"agitateurs" ou de "terroristes".
Dans certains cas elle peut procéder à des internements ou à des rétentions ou des assignations à résidence pour les besoins de la procédure ou des raisons de sécurité.

Nouvelles technologies oblige, les sujets peuvent surfer sur le Net ou les réseaux sociaux, mais les services de l'Etat disposent pour des "raisons de sécurité" de diverses techniques d'écoute et d'intrusion, voire de blocage.

La Justice est très autonomes pour les délits de droits communs. Il n'existe pas de "délits politiques" mais des "affaires sensibles" ou "portant atteinte à la sûreté de l'Etat". Dans ce cas, le rôle du juge se limite généralement à prononcer la sentence, à partir d'un dossier de police.

Un tel Etat s'auto-définie très souvent comme une "république" éventuellement "fédérale", parfois qualifiée de "démocratique" ou de "populaire".

Ses dirigeants sont toujours au service du "Pays" et de son "Peuple".

Vive la République, Vive la France !
Hollande n'a jamais été élu pour ses qualités (il faudrait les chercher sans grande chance d'en trouver une seule) mais plus simplement pour se débarrasser enfin du très répugnant Sarkozy...

Faire semblant d'être surpris de la suite de l'histoire, c'est d'un comique renversant !

Les pouvoirs socialistes ont toujours et partout suivi le même chemin :

- Élus quand l'exaspération du peuple écrasé par la droite le pousse à croire aux boniments de gauche.

- S'empressant de trahir les promesses de campagne et de conduire le pays à la faillite.

- N'hésitant pas à faire la poche du peuple pour financer ses javas incessantes et payer ses innombrables fonctionnaires inutiles.

- Empruntant chaque jour des dizaines de millions pour payer les domestiques (Ponctionnaires)

- Se radicalisant et organisant un état policier, sans se gêner, pour détruire les locaux et la vie de citoyens honnêtes. Y compris chez les opposants les plus pacifiques...

- Et finalement ouvrant un boulevard aux nazis dans des pays excédés par le laxisme, le pillage et l'insécurité !

Quoi de nouveau ?

PG
Ce petit mot en guise de témoignage car je suis hélas un peu traumatisée ce soir, 12 décembre... J'étais dans le métro, je vois un jeune homme se faire malmener par une dizaine de flics, je le reconnais il fait partie des jeunes militants écolos que j’ai déjà filmés, je descends alors du métro pour filmer la scène, je me fais alors encercler et prendre le sac, contrôle d’identité, "flasher" ma carte d’identité, insulter, traiter d’extrémiste, de faschiste, de "RIEN" et bien sûr arracher la caméra... je dis que je suis documentariste et qu'à ce titre je documente le réel, mais comme je n’ai pas d’équipe de cinéma autour de moi, je suis donc "rien"… Ils réclament une carte de presse, la carte de presse, ça c’est vraiment la chose à avoir en ce moment sur soi!!! Je leur dis que je fais mon travail de cinéaste indépendante et que j’ai même un contrat d’auteur dans la poche (!), mais ils s'en fichent, pas d’équipe et pas de carte de presse, donc ils s'en fichent,je suis "rien", ou plutôt si, je suis une extrémiste, "une fasciste", répètent ils plusieurs fois à l'envie! Ils sont eux "une équipe "blanc black beur"... Et par un drôle de bricolage intellectuel ils arrivent à la conclusion que je suis fasciste parce que j’ai pris des images d’eux "une équipe "black blanc beur" … A eux dix, ils sont « les droits de l’homme » incarnés et moi je suis une extrémiste !! Je leur dis que j’ai le droit de faire des images d’eux puisqu’ils représentent "le visage de l’Etat" et que je ne savais pas que la loi avait changé récemment! Alors ils se tournent vers le pauvre militant malmené ( je ne sais pas son nom) et lui disent que je ne lui ai pas demandé son droit à l’image à lui non plus !… Le jeune dit qu'il est très content que je sois là et il me remercie d'avoir voulu filmer!!! Episode où on atteint des sommets croquignols! Ils me donnent alors un violent coup dans le genou pour m'obliger à m'asseoir sur le banc du métro! Je leur propose de flouter leurs images mais ils m'arrachent la caméra dont ils déchirent au passage la courroie et effacent toutes les images de ma carte video. J'ai aussi dans mon sac "un masque " blanc pour que les personnes que j'interviewe puissent éventuellement le mettre si elles ne veulent pas que je filme leurs visages. Ils sortent triomphants le masque de mon sac en y voyant là, la preuve que j'appartiens bien à un dangereux réseau!!! Ils disent qu'ils vont me ranger dans la catégorie "?" ( j'ai oublié le nom!) ils me laissent finalement partir non sans m'avoir redit que j'étais une fasciste!!! Etc etc Je passe sur d'autres détails joyeux!
j'ai sans doute été bêtement imprudente mais bon... petit moral ce soir... ça "urge" sec...
Ensuite, vous êtes bien gentil d'avoir invité un journaliste du Monde mais tout ce qu'il sort, ce sont déjà des affaires sorties par les médias sociaux. D'ailleurs, la fleur de l'investigation sur les bavures de l'état d'urgence ne vient pas de lui mais des premiers à avoir été sur la brêche comme la Quadrature du Net, le CCIF ou d'autres nouvelles venant du milieu alternatif. Donc après, que plusieurs organisations aient commencé à remuer les réseaux sociaux sur ces affaires innacceptables dans une démocratie qui se respecte, Le Monde s'est réveillé pour ne pas passer une nouvelle fois comme la Pravda de service. Mais après avoir dit cela, il est bien que Le Monde continue, c'est déjà cela et bien mieux que la feinte ignorance TF1.
Comment peut-on avoir confiance en la commission de contrôle parlementaire de l'Etat d'urgence quand elle est présidée par Jean-Jacques Urvoas, celui qui a mit notre vie privée légalement sous l'oeil "bienveillant" de l'Etat avec la loi renseignement et plus particulièrement avec les boîtes noires sur nos données personnelles. Aucune confiance bien entendu et nous savons bien qu'avec lui, on sera encore dans la compol. Pensez-vous sincèrement qu'Urvoas pourrait s'élever contre des mesures mises en place par ses amis Cazeneuve et Valls ? Le jeu de duppes est là. Dommage de ne pas l'avoir dénoncer dans l'émission https://twitter.com/JJUrvoas/status/674825204334469121?ref_src=twsrc^tfw
rien à ajouter à cette émission excellente, sauf ce que j'ai déjà écrit ailleurs, il faudrait indemniser les victimes des abus, par exemple l'état devrait rembouser les portes défoncées au pepper grill.
Je vais rajouter un commentaire que Maximilien ne manquera pas de traiter de "lamentable".
Qui osera donc dire à haute et intelligible voix que François Hollande et son gouvernement ont purement et simplement utilisé les attentats terroristes ainsi que leurs morts et blessés à des fins de répression politique brutale et sauvage à court terme contre ceux qui, en particulier, leur reprochent d'avoir parjuré ses promesses de campagne?
Etait-ce par crainte de l'état d'urgence, ou par une quelconque auto-censure, que les intervenants ont autant policé leur langage pour décrire cette corruption abominable et particulièrement lâche de la République?
A titre d'exemple, le fait d'admettre sans coup férir que toutes ces perquisitions "musclées" (en fait inutilement brutales et violentes) n'ont été faite, de façon dite assumée, que pour laisser la possibilité aux forces de sécurité de se concentrer sur les "vrai" terroristes dans l'état de guerre auto proclamé anticonstitutionnellement par le président de la république. Président lui même garant de notre constitution. Me permettrez vous de m'arrêter sur l'image à ma lamentable façon : Et pendant que toute cette bande de casseurs en uniforme dévastaient près de 2000 logements sous l'égide attentif de préfets particulièrement zèlés, que ne s'occupaient-ils des terroristes assassins?
Très bonne émission merci.
Attention cependant :
- le site s'appelle contre-attaque(s) et non pas contres-attaques
- pourquoi présenter Sihame Assbague comme "activiste" et non comme militante : ce terme d'activiste, traduction de "activist", commence à être systématiquement utilisé alors que nous avons le terme français "militant"
- j'avais déjà signalé combien je regrette que même sur @si, où le sens critique est pourtant élevé, soit utilisé systématiquement le mot "communauté" pour parler des musulmans (Justine le fait à plusieurs reprises). Pourquoi utiliser ce terme qui exacerbe une dimension de l'identité supposée créer automatiquement une appartenance commune, plutôt que simplement parler "des musulmans". Idem pour les juifs (je crois que j'avais déjà souligné cet aspect pour l'émission concernant les juifs de Créteil où le mot "communauté juive" ne cessait de revenir y compris chez Daniel si je me souviens bien).
Cynisme vs. naïveté. Qui dit état d'urgence dit bavures. C'est consubstantiel. Quand vous menez des centaines d'interventions en quelques jours (2600 en 1 mois), à partir d'informations parfois imprécises, parfois fausses, les bavures semblent inévitables. Ceci dit, elles doivent être limitées, corrigées après-coup quand c'est possible. On ne peut à la fois critiquer la police et les services de n'avoir pas empêché les terroristes d'agir (je ne vois d'ailleurs pas cette critique dans les commentaires), en partie parce que notre dispositif juridique freine l'action de la police (et c'est très bien en temps de paix), et critiquer les mêmes quand ils s'efforcent de rattraper leurs "erreurs" (aucun filtre n'est parfait), de mettre leurs fichiers à jour, de vérifier sur place les informations reçues.
Se mettre aussi un instant à la place des policiers en action. Tel restaurant est dénoncé comme un repaire de salafistes. Le temps est compté (quelques jours après le carnage de Paris). Vous y allez en sachant que l'opération sera peut-être dangereuse. Donc vous y allez en force.
Lamentable tous ces commentaires.
Il y a entre 20 et 30 personnes qui partent ou qui rentrent de Syrie chaque semaine, certain d'entre eux avec des idées de massacre dans la tete, et on va nous parler d'un resto perquisitionné avec 3 portes cassés.
Il n'y a pas obligatoirement le temps pour des enquétes appronfondies
En temps de guerre, il faut au moindre doute, perquisitionner, controler les personnes, meme si à plus de 99% cela ne donne rien, et traumatise les personnes qui ont subit ces faits.
Il est tout à fait normal que des zadistes soient mis en résidence survéillés. Il ne faut pas que nos forces de l'ordre perde leur temps avec ces gens la.

10 mn de retard pour nos forces de l'ordre sur un lieu de massacre cela peut faire des dizaines de morts en plus.

Ceci ne m'empeche pas de dénoncer l'intervention de Sarkozy en Libye, l'intervention en Irak de Hollande, ou les bombardements en Syrie qui ont été approuvé par l'ensemble des groupes parlementaires (écologiste, PC compris)
Justine pouvez-vous dire si l'expression un peu surprenante d'activiste pour qualifier votre invitée a été souhaitée par elle ou choisie par l'équipe d'ASI, l'activiste brave la loi, parfois de façon violente et ce terme à mon sens est connoté ; ne fallait il pas dire militante ?
J'avoue que j'ai fait partie, au lendemain des attaques, des naïfs qui pensaient que l'état d'urgence était nécessaire pour neutraliser les personnes radicalisées susceptibles de commettre des attentats.
Les témoignages lus dans le Monde depuis m'ont quelque peu douché... Je me sens trahi par un gouvernement qui profite de la peur pour faire le ménage chez les écolos / anars de tous poils et empêcher toute manifestation.
J'ai entendu plusieurs personnes rappeler qu'au Danemark, au lendemain de l'attentat contre des centaines de jeunes progressistes, le gouvernement avait fait le choix de plus de démocratie et de plus de liberté. A méditer.

Merci pour cette émission.
Perquisitions gardes à vue et assignations à résidence insensées ... complètement indignes d'une démocratie, auxquelles il faudra un jour ajouter toutes les "mesures de sécurité" qui évoquent plus volontiers un concours de bêtise.
Au nom de la lutte contre le terrorisme on est en train de constituer le plus grand catalogue de la connerie nationale en ce moment !

Y a-t-il un "observatoire" des mesures de sécurité ?

Merci pour l'émission, des invités dont il est intéressant de découvrir le travail.
Heu Daniel, ce soir voici les messages qui s'affichent sur 2 des 4 vidéos :
Échec de la connexion sécurisée La connexion avec le serveur a été réinitialisée pendant le chargement de la page. La page que vous essayez de consulter ne peut pas être affichée car l'authenticité des données reçues ne peut être vérifiée.
Bon, en plus j'ai une connection Orange en campagne, pourrie le soir avec 0,2 Mbps en descendant (download quoi) ce qui pour de la vidéo n'est pas terrible et donc je dois abandonner.
En tout cas, le conseil d'état a soutenu l'état, est-ce si surprenant ?
Au fait la collecte pour la TVA où en êtes-vous ?
Bon courage pour la suite
Résumé glaçant, nous allons regarder l'émission en famille. Attention @si vous allez vous attirer les foudres du Conseil d'Etat...
Merci pour l’émission.
Ce week-end, c’est la fin de la COP 21 et des élections, peut-être que le gouvernement aura moins besoin de faire son cirque
et de faire briller les chiffres.
Espérons qu’ils lèvent le pied.

Tout ce qui se passe depuis le 13 novembre me peine comme c’est pas possible.
Mais ça passe mieux avec l’humour de Justine.
:-D
De la barbarie policée :
Comment pouvez-vous encore employer l'expression de "perquisition musclée", même entre guillemets, même si l'expression est dite consacrée, même et justement pour ces raisons, pour parler d'une intervention brutale et violente de la police?
très bonne émission mais je l'attendais la semaine dernière
L'état d'urgence ? Pour faire oublier les tas d'urgences ?
Très beau plateau d'invités, qui fera rager les haineux. Je regarde de suite.

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