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"Emily in Paris", une boulangerie contre "Le Parisien"

Dans le 5e arrondissement de Paris, la Boulangerie moderne est devenue un lieu de pèlerinage. Et pour cause, elle est un des lieux emblématiques de la série à succès "Emily in Paris", produite par Netflix. Un commerce désormais assiégé par les touristes étrangers… et les journalistes. Un article du "Parisien" a particulièrement mis en colère les gérants de la boulangerie, les accusant de vendre leur croissant à 2,20 euros (c'est faux).

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"des viennoiseries évidemment achetées par ASI afin d'éviter tout conflit d'intérêts".
J'aurais jamais pu travailler à ASI. J'étais trop vénal lorsque j'étais jeune journaliste à La Voix du Nord. À l'issue d'un reportage à la brasserie Jeanlain je sui(...)

Eh oui, on l'appelle Maurice "l'Incorruptible" Midena.  Mais à la lecture de la légende de la dernière photo (qui m'a bien fait marrer), "Thierry Rabineau et ses galettes pas encore cuites", je me suis dit que si les galettes avaient été cuites,(...)

Par conscience professionnelle vous devriez acheter un croissant ou un pain au chocolat toute les semaines pour verifier si les prix sont stables, le journalisme ca demande des sacrifices.


Derniers commentaires

Doctorant à la Sorbonne Nouvelle, j'ai mangé dans cette boulangerie 3/4 fois par semaine pendant de longues périodes. C'était le meilleur rapport qualité prix du quartier pour 6/7 euros. Effectivement, les produits sont bons et certains relativement originaux (les petits pain reblochon/lardon à 1 euros sont très très bons). Ceci dit, il est vrai que la patronne, très présente, fait montre d'une politesse assez artificielle et n'est pas tendre (il m'est arrivé d'avoir un peu de peine pour certains employés). La présence des touristes était parfois perceptible mais la boulangerie était de toute façon pleine tous les midis quoi qu'il arrive (à la fin j'y allais vers 11h pour ne pas faire la queue.

Voilà, très content d'avoir une expertise personnelle sur un sujet aussi important.

Les pains au chocolat minuscules et très chers, et très bon, ça existe à Paris. 

Et c'est connu que la très grande majorité des boulangeries parisiennes, même les boutiques anciennes, sont des centrales de cuisson. 

Très peu fabriquent leur pâte feuilletée et donc leurs viennoiseries, et le pain pareil. Tapez dans un moteur de recherche, les revendeurs de surgelés pour boulangerie pâtisserie pullulent.

Les éclairs au chocolat trop calibrés: c'est des en kit. Les fonds de tartelette livrés en carton de 100, fabriqués comme des petits gâteaux sablés, le nappage plein d'additifs, etc.


Si le boulanger est en péril c'est plus à cause de la série netflix (qui ferait monter les prix de l'immobilier.., ou a minima donne envie d'un pied à terre à Paris aux étrangers) qu'à cause de l'article du journal.

Le gros risque est qu'un gars lui fasse des propositions d'achat de son fond de commerce. Pour vendre des pains au chocolat hors de prix et surgelés.

 Le Parisien,a depuis quelques mois  un problème avec la vérité des faits,un peu comme le Point.:-)

2,80 euros le pain au chocolat ? C'est de toute façon beaucoup moins que ce que coûte au contribuable le groupe des Echos, propriété du milliardaire Bernard Arnault dont fait partie le Parisien et qui touche 15 millions d'euros de subventions publiques comme nous l'apprend cet article de Mediapart. 15 millions! Je trouve que c'est cher payé le papier pour emballer le poisson!

Toute ma vie, j’ai identifié des erreurs (quelquefois majeures) dans les articles de presse sur des domaines que je connaissais tres bien. Cette histoire de boulangerie que vous décortiquez n’en est que la n-ieme preuve. 


C est la même chose, quel que soit le sujet. Donc sur celui  que vous ne connaissez pas, il est aussi  truffé d’erreurs ou d’inexactitudes. Que vous ne pouvez pas détecter. 


On est en France où il n’y a plus de journalisme de qualité ! (hormis peut-être le Canard. J’exclus même Mediapart dorénavant.)

Wow on est rassuré, affaire de la plus haute importance...

perso dès la photo croissants , ( pain chocolat) j ai bondi  car moi  CHOCOLATINE, pain chocolat = pain + du chocolat, pas même fabrication ni consistance; n mème tarif et            votre pain chocolat de vitrine impossible de changer chocolat ou pain car tout  simplement viennoiserie; au boulanger vous achetez un bon pain bien cuit croustillant, vous achetez un chocolat de votre choix....... et rien n empêche achat d une très bonne chocolatine une vrai pas raplapla industrielle., cela sera très bon.

un vrai boulanger vous fera bonne chocolatine, et le pain au chocolat, une baguette convenable et une tablette chocolat dans votre placard peut faire l affaire a tout moment, votre bêtise me gonfle

"Pain au chocolat"... mouha Ha ha !! CHOCOLATINE !!!!!  Ces parisiens ne connaissent même pas le nom des bonnes choses ! 🤪


(Pardon, je sors...)

Comment leur faire confiance à propos du réchauffement climatique, de la politique de Macron, du nombre de chômeurs (et tant d'autres), quand ils ne sont même pas capables de faire un reportage honnête sur une boulangerie du Vème arrondissement de Paris? 

Mou ah ha ha ha ha !!!!

C'est le pain au chocolat aux amendes qui coûte 2.20 euros !

+
La séquence tirée de la série prouve qu'il s'agit bien d'un gros navet !


Par conscience professionnelle vous devriez acheter un croissant ou un pain au chocolat toute les semaines pour verifier si les prix sont stables, le journalisme ca demande des sacrifices.


En plus c'est une "célérusse"! "

Ben merdalor! Ils sont partout! Ils ont même envahi "NOS" croissants. MDR :-)

Bon, je sors....

Cela me rappelle une question posée à Jean- François Copé sur le prix des pains au chocolat. je crois qu'il avait donné un prix soit plus bas , soit plus élevé  que le prix moyen.

"des viennoiseries évidemment achetées par ASI afin d'éviter tout conflit d'intérêts".
J'aurais jamais pu travailler à ASI. J'étais trop vénal lorsque j'étais jeune journaliste à La Voix du Nord. À l'issue d'un reportage à la brasserie Jeanlain je suis reparti avec deux bouteilles de bibine offertes par le patron de la brasserie. Bien sûr, j'ai regretté cette faiblesse. J'ai trainé ce remords (sentiment douloureux, accompagné de honte, que cause la conscience d'avoir mal agi) pendant toute ma carrière.

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