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Commentaires

Drôle d'air de guerre à Goma

Derniers commentaires

Le beau temps m'avait tenue éloignée d'@si... je regrette d'avoir découvert ce reportage aussi tard...
Parce que ça prouve en effet très bien combien il est difficile de s'y retrouver, de ne pas se faire "balader", dans un pays aussi difficile que la RDC, avec des proximités, un passé, des imbrications qui viennent compliquer sacrément le travail d'un reporter sur place, ou un travail d'analyse fait de France...
Tout sauf évident...
Mais compliments, Justine. Vous redorez le blason du "reporter de guerre" avec vos reportages ;o) (bien abîmé avec les "embedded", la Libye et la Syrie maintenant).
Bravo pour ce travail.
Vraiment ma-gni-fi-que !
Souhaitons qu'avec les années et la "carrière" le questionnement intérieur et l'exigence personnelle ne vous quittent jamais - c'est tout le mal que je vous souhaite...
Merci pour votre travail, en tout cas.
Beau travail qui exprime bien la complexité d'un conflit et la complexité du travail de journaliste. Merci Justine.
Merci à Justine Brabant l'anti-robot.
Merci Justine et Dan.
Moi aussi j'avais un peu de mal à comprendre ( c'est habituel ), surtout l'histoire du stage.
Bon, tu es de retour, pour une fois j'avais pigé...
Je fais des progrès
gamma
Article passionnant, aime bien le style d’écriture. Par contre je ne comprends pas bien, Justine Brabant est toujours là-bas ? C’est l’envoyée spéciale d’@si ?
Les articles précédent ‘Bon baiser du Kivu’, et ‘les écrivains-rapporteurs de guerre’, narrant les aventures de Jack London en Corée entre autre, interrogent sans concession et non sans humour l’objectivité du journaliste reporter. La question soulevée à la fin de l’article sur la possible imbrication du journaliste dans le conflit met en lumière des cas de conscience auxquels on ne pense pas vue d’ici. En lisant qu’elle doit parfois se trouver un hélico pour les besoins de son enquête, prendre motos et sac à dos pour une interview, on se rend compte du foutoir logistique que ça doit être, combien il faut être en forme et en vouloir. Chapeau bas pour cet exercice d’introspection, et aussi parce que je la trouve un brin courageuse de s’embarquer dans de telles aventures.
Justine a passé 6 mois dans la région pour ses études, et nous a fait la grâce d'écrire quelques articles pour le site.

Dan - @si
Bonjour Laurent, et merci.

Comme le précise Dan, j'étais six mois en RDC pour mener des recherches pour le compte d'une ONG (et pour finaliser mes études). Je le précisais brièvement dans "Bons baisers du Kivu". J'en ai profité pour partager quelques-unes de mes impressions sur l'enquête en zone de conflit - cela m'a semblé une bonne prolongation de notre série de l'été dernier.

Sur le "foutoir logistique", c'est effectivement un peu du bricolage parfois, mais globalement les chercheurs et journalistes actifs dans la zone sont chanceux de pouvoir compter sur les moyens de la MONUSCO - l'hélico par exemple. J'ai évoqué certains de ces épisodes parce je pense que les conditions d'accès à ce type de terrain déterminent en très grande partie la nature du regard médiatique qui y sera porté. Un autre aspect, par rapport auquel je n'ai pas eu de problèmes, mais qui est très déterminant aussi, est celui du visa. Comme le raconte la correspondante du TAZ, certains reporters couvrent actuellement le conflit "côté M23" car ils n'ont pas l'autorisation d'entrer en RDC.

Voilà voilà ...
Bon dimanche !
Article magistral.
Bon sang c'est pas simple, merci Justine pour ce journalisme de haut vol.
Infiniment éclairant.
Bonjour,

Aï! Je culpabilise un peu car c’est comme vous encouragé à retourner dans une zone de conflit régional de basse intensité.

Malgré tout il faut que je vous fasse un aveu, ma lecture de ‘bon baiser du Kivu’ avait mal démarré car d’entrée vous parliez de « millions de mort. » ! Heureusement par le jeu des liens votre article ‘D’où viennent les chiffrages de mort à la guerre’ m’a permis de repartir sur de bonnes bases. Votre papier sur Goma, s’inscrit dans un dossier très instructif posant plusieurs problématiques : le chiffrage des victimes, comment trouvé les bon interlocuteurs, comment ne pas se faire rouler dans la farine par les différents acteurs locaux, ambassadeur de France y compris, la relation ONG-journalistes de terrain, et montre in fine la nécessité pour le journaliste de posséder des notions d’anthropologie et d’histoire comme en témoigne votre article sur ‘le tribalisme en Guinée’. C'est l'ensemble de ces articles que je te tenais à saluer.
Concernant la MONUSCO j’ai lu que leurs Hélicos ont participé à des frappes contre le M23 il y a 2 semaines (à vérifier)... Bref entre les problèmes de visas et l’activité militaire de l’ONU ça n’va pas être facile d’y travailler. Le mieux à faire c’est téléphoner d’abord à Ban Ki-Moon…
Bien étrange ce conflit.
Merci.
Gamma
Bravo.
Bravo pour ce travail.
trés instructif, très beau papier. Merci.
Merci / Tout est dit les faits / / les problématiques de la médiatisation d'un conflit / Le rôle des uns et des autres / Passionnant et bien écrit/
Bravo
Ah que voilà que vrai, du beau, du bon reportage :-)
merci Justine

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