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"Donner du sens au son, c'est aussi parler de l'industrie musicale"'

Commentaires préférés des abonnés

discussions très superficielle . (limite branchouille)


les éléments manquant dans le débat qui sont pourtant centrales, très légèrement (et maladroitement) abordé par Maurice Midena


quel role joue "l'intelligence artificielle" dans l'evolution (...)

C’est bien qu’il y ait une évolution de la sensibilisation à la musique et au son grâce à des contenus sur le web, et parfois, à la télé.


Je me souviens qu’il y a… euh… longtemps, une interview à la télé de William Sheller qui m’avait donné espoir, ma(...)

Une émission surement pas inintéressante pour les profanes qui ont pu découvrir à quoi ressemblait un logiciel de MAO et ont pu se familiariser avec les vocables de l'univers de la production musicale contemporaine. 


Par contre, pitié, pas de "V2(...)

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Bravo pour cette émission. Super choix de sujet et d’invités !

par contre un bémol quant à votre postulat de départ.  les "songwriters", ça existe aussi chez les anglo-saxons (ex David Gray ). La France n'en a pas le privilège ;)

ce qui est bien tordu aussi avec la MAO, c'est que ce qui est super mode, c'est de reproduire les circuits de son  des studios des années 70. avec le soufle et tout et tout. Precisement ce que dans les années 80, on cherchait à gommer pour avoir un son qu'aujourdui on trouve froid. Sur les pré amplis micro, ils mettent une lampe apparente pour montrer que ce n'est pas un transistor à la con. Et tout le monde se gratte le sboub en tournant les boutonts à la mode en se disant "ptain chuis une bete, chuis creatif" alors qu'on ne fait que répondre à un dogme bien alimenté par l'industrie du home studio qui est énorme. 


et parfois y'a un gus qui fait un truc d'hyper mauvais gout par rapport aux dogme du moment ("ptain, j'me kiff, chuis sur-créatif") et là, si un prodeu à le bon paquet de million à mettre là dessus, ça devient rapidement le nouveau dogme.

tout le monde copie, du coup l'industrie sort des banques de son qui vont bien, tout le monde achète, donc tout le monde fait la même chose, ça devient donc grave ringard et on passe à un autre super branchouille nouveau son wesh wesh...






Du coup, impossible d'ecrire des articles sur Vulfpeck, ou les 4/5 des morceaux sont instrumentaux ?

À tous ceux qui sont intéressés par la vulgarisation de la compo musicale, courrez voir/écouter les excellentes chroniques de l'animateur radio suisse Pierre Do : https://www.youtube.com/user/pierredotv

Par exemple, cette analyse du style de William Sheller, en sa présence et avec un remix de... Ayana Kamura ! https://www.youtube.com/watch?v=6dnxIl-HFWc

Et donc vous avez réussi à parler 1h08 sans aborder les "classics albums", documentaires produits entre autre par la BBC, pendant les années 90, et qui sont à mon humble avis de musicien, du très bon boulot (avec des musiciens et des producteurs qui donnent le contexte, expliquent leur processus créatif et font même écouter des pistes isolées dis donc:

https://en.wikipedia.org/wiki/Classic_Albums

On en trouve pleins en entier sur Youtube, par exemple:

Deep purple: Machine head:
https://www.youtube.com/watch?v=qOPcQW59MEg

Et hooo bahhh tiens, Songs in the key of life de Stevee Wonder:
https://www.youtube.com/watch?v=CClqS7EJogQ

Une émission surement pas inintéressante pour les profanes qui ont pu découvrir à quoi ressemblait un logiciel de MAO et ont pu se familiariser avec les vocables de l'univers de la production musicale contemporaine. 


Par contre, pitié, pas de "V2 l'été prochain" avec les mêmes invités !


Puis le son, c'est pas que la musique hein. Surtout dans le monde de l'audiovisuel.


J'imaginais qu'il était question dans l'émission de la façon dont le son est "traité" à la TV notamment.

Mais pas que !  La compression outrancière à la radio, dans les pubs; le manque d'éducation à l'écoute; l'impact que tout ça a sur l'apprentissage cognitif des enfants, etc.


Bref ce ne sont pas les angles qui manquent pour aborder le son dans les médias, sans pour autant faire appel à la même team Radio France Youtube...

J'ai rien de personnel contre eux, mais par exemple la chroniqueuse de France Inter n'avait pas l'air franchement prête à critiquer négativement la "radio filmée" qui est pourtant selon moi un exemple éloquent quant à la perception du son dans les médias.

super thématique, merci !

Des blancs entre eux qui badent la production de Daft Punk et méprisent la production de Aya Nakamura, des discussions technologiques d'experts jargonneux, gnagnagnagnagna. Bref , mieux vaut écouter musicfeelings tv sur you tube et rappeler que parler du son , sans parler des artistes , des émotions, du contexte historico -politique des créations  c'est comme parler pour ne rien dire. Insupportable homo œconomicus technologicus.

Il me souvient d'une (courte) interview de Christophe qui, sur la fin de sa vie, disait s'intéresser maintenant "au son". 

J'aurai eu plaisir à l'entendre en intégralité.

Merci. Je viens de mieux comprendre l'ensemble des précédents articles et émissions (que je n'avais généralement pas appréciés, justement et a contrario) de Maurice Midena. Il semblerait qu'il s'attache au travail des "jeunes journalistes", leurs (dé)formations, leurs limites, à ce qu'ils peuvent ou ne pas faire, aux interstices dans lesquels ils peuvent apporter quelque chose... Quant à cette émission en particulier, j'ai vraiment apprécié l'originalité du sujet, le choix du plateau et la fluidité de la présentation.

C'est un cliché de dire qu'il y a en France un culte du texte et de l'auteur. Beaucoup de grands succès de la chanson française ont des textes dont il serait facile de se moquer si on les séparait de leur musique ("il me dit des mots d'amour, des mots de tous les jours, et ça m'fait quelque chose" ou "au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit, il y a tout c'que vous voulez aux Champs-Elysées" ce n'est pas de la grande littérature...)


Par ailleurs, et pour autant que je sache, ce n'est pas la France qui a réussi à convaincre l'Académie suédoise qu'un auteur-compositeur (Dylan) devait être considéré comme un grand écrivain et méritait de recevoir le prix Nobel de littérature...


Quant à ce que dit Mathilde Serrell sur le culte du génie touché par la grâce, qui remonterait selon elle au 16ème siècle et qui serait spécifiquement français, cela me semble complètement inexact : la réflexion sur le génie et son inspiration potentiellement divine remonte dans la pensée occidentale à Ion de Platon (donc au IVème siècle avant J.-C). Elle n'a rien de spécifiquement français.

Insipide.

discussions très superficielle . (limite branchouille)


les éléments manquant dans le débat qui sont pourtant centrales, très légèrement (et maladroitement) abordé par Maurice Midena


quel role joue "l'intelligence artificielle" dans l'evolution de la musique. (j'entend par intelligence artificielle, tout ce qui etait pris en charge par l'humain et maintenant par la machine.( la machine qui remplace le travail humain peut donner lieu à une analyse marxiste)

les "défenseurs" des nouvelles technologies ont toujours cet argument de tres courte ue: (la machine n'est pas un probleme si la créativité humaine guide la machine.

peut on on imaginer que la litterature aie recourt à l'equivalent de ces outils? Ca donnerait quoi? 


les logiciels de batterie , les sons eux même (les algorythme, le traitement des sinusoïdes par les synté.

les sampleurs qui "capture " un son pour l'etalloner sur un clavier, et donc le jouer au clavier (la fameuse basse dont les rappeur parle me semble avoir été joué au clavier) pluttot qu'a l'instrument lui même.


les boucle de batterie pré-enregistrée auquelles au rajoute des breaks plutot qu'utiliser un batteurs qui va mettre de la sensibilitée sur chaque note en fonction de ce qu'il entend. et surtout qui va participer collectivement au groove par -interaction-. la rythmique des head hunters ou de l'orchestre de james brown groovera toujours plus que ces reproductions par ordinateur car les musiciens jouent ensembles.


les banques de son pour sampleur a theme.: par exemple dessin animé walt disney, filme horreur, calme, etc...


Tout ce que cela enleve d'humanitée à la musique ( theme traité de maniere tres "legere" par un intervenant qui dit en gros "du moment que l'homme est créatif, peu importe l'outil")


il y à des logiciels de violons par exemples qui proposent des centaines de mélodies "épiques" ou sombres ou lumineuses.


Tout ça REMPLACE l'humain. 


peu etre qu'un jours on se rendra compte qu'en terme de groove, d'interaction, de puissance rythmique, de créativitée, entre le quintette de Miles davis dans les année 60 et la production actuelle, ON A QUASIMENT TOUT PERDU .


par contre des site comme thoman ou woodbrass qui vendent tout ses outils se gavent , explosent.


le métier de musiciens de studio à en grande partie disparue. 


l’environnement sonore, l'habillage d’antenne est insupportable.


les musique de films sont hyper formatée. (comparez un Hitchcok, donc compositeur arrangeurs de renom, symphonique, grand studios etc.. à un thrilleur actuel. banque de son, symphonique artificiels etc.. 


bref, encore beaucoup de choses à dire sur ce theme.



par contre des site comme thoman ou woodbrass qui vendent tout ses outils se gavent , explosent


Je ne connais pas, mais je me souviens que quand j’étais allée écouter ce que fait l’intelligence artificielle AIVA, dont voici le morceaux « I am AI », dans la section commentaire, une femme demande l’autorisation pour utiliser ce morceau pour sa chaîne Youtube, et le responsable AIVA répond qu’il faut leur demander une licence, alors que l’IA AIVA apprend en enregistrant toutes les partitions de musique existantes, donc c’est AIVA qui devrait demander les autorisations pour toutes les partitions.

tu touches le probleme cruciale de la notion de propriété intellectuelle .


dans un monde civilisé, les inventions individuelles devraient être considérée comme le fruit de la création humaine. car c'est ce qu'elles sont. 

les creations sont toutes collectives. sans l'influence de tes prédécesseurs, tu composes quedalle.


leurs cadences magiques n'appartient à personne puisque tout le monde l'utilise depuis toujours . (dison depuis l’époque classique)

les musiciens de studio se sont mis à la MAO... de nos jours, il faut être polyvalent et savoir à la fois jouer de l'instrument, faire la prise de son, le mixage, le mastering


et paradoxalement, (ou non) il y a un regain d'intérêt depuis quelques années pour les formations aux métiers de la musique et du son (je le tiens du CFPM, qui a plusieurs centres de formation en France, et qui est pris d'assaut depuis le 1er confinement)


au passage, s'il y a des fans de Mylèèène par ici, je vous recommande ce podcast, dans lequel des passionnés décortiquent son univers, y compris musical (du compositeur Laurent Boutonnat, essentiellement, mais pas que) https://histoiresdemf.com/


les musiciens de studio se sont mis à la MAO... de nos jours, il faut être polyvalent et savoir à la fois jouer de l'instrument, faire la prise de son, le mixage, le mastering


ben non. un tout petit nombre . et heureusement.


vous etes en train de dire sans esprit critique que la technologie à vidé la musique de sa substance, au KLM.

non, je dis que les musiciens continuent de jouer et de créer, mais qu'ils sont obligés de se diversifier : à moins d'avoir un activité non artistique à côté (ca existe aussi), ça passe par apprendre à se servir des outils numériques, pour être plus autonomes aussi...


composer et produire de la musique pour la pub, par exemple, ça peut aider à payer les factures (c'est très ingrat et c'est une lutte pour être rémunéré)


et c'est pareil dans d'autres métiers comme la traduction...


c'est pas de gaieté de cœur, mais le numérique est devenu incontournable (jusqu'à quand ? allez savoir...)

mais j'ai envie de croire au retour en force de la musique acoustique ne nécessitant aucune amplification, je suis même à fond pour ! j'ai mes djembés, mes dunduns et à la force des bras, on peut se faire entendre de loin ! et certaines nuances rythmiques ne sont même pas transcriptibles sur partition, alors encore moins reproductibles par un algorithme - un grand djembefola du Mali appelait ça le "sentiment" ;)

on ne se comprend pas, c'est pas grave. il faudrait s'entendre sur le mot "créer". 


(il existe des Km de banques de samples de Djembé, avec tout les paternes joués avec du "sentiment" qu'on declenche avec une touche du clavier -trigger-) 


et le probleme dont je parle n'est pas acoustique vs amplifié .


c'est HUMAIN vs MACHINE

effectivement, on ne parle pas de la même chose...


le grand argument des concepteurs d'algorithmes, c'est de dire que l'IA n'est pas destinée à remplacer l'humain, mais à lui servir d'outil pour gagner en efficacité, lui éviter certaines tâches fastidieuses et nanani... en pratique, ça sert surtout à justifier des  licenciements, des baisses de rémunération, et en plus, ça entrave la créativité


il n'empêche que derrière une machine, il y a toujours un humain


les samples de djembé, ils ne sont pas apparus comme par magie dans les logiciels de MAO ;)


et le "sentiment" dont je parle ne peut pas être reproduit avec une touche de clavier... pas de la même façon, en tout cas, pour une oreille avertie (là, on touche à un autre problème - la merdification auditive)

Oui on est déjà plus d’accord. 

Pour le djembé , je parle de boucle jouées par un instrumentiste donc avec du sentiment à priori. mais il y a une force irreproductible liée à l’´interaction . La construction collective de la musique pendant que le tempo défile ne peut se faire avec un instrument préenregistré. Ou en rerecording . Hors plus rien à part le jazz et le classique n’est enregistré comme ça . 

- Igorrr & Ruby My Dear - Alain - YouTube 


- Aphex Twin - Girl/Boy Song - YouTube 

- Nanou2 - YouTube 


- Northstar - YouTube 


- Dengue Dengue Dengue - Pua ft. Penya [On The Corner] - YouTube 


- 05 Fingathing - Head to Head [Fingathing Federation] - YouTube 


Allez, plus anciens quand même aussi, genre à peu près même période que les J.B.'s qui ont été cité, c'était pas des ordinateurs (quoique) mais en tout cas on pouvait appeler ça des "MACHINES" :


- Moroder - Chase (Theme From Midnight Express) (Synthesizer Greatest Vol.1 by Star Inc.) - YouTube 

- Space Art - Onyx - YouTube


Bref, l'instrument n'a jamais fait le musicien, depuis les percussions corporelles de nos ancêtres jusqu'aux "bank" de samples mainstream.


Dans l'art une seule chose devrait compter, l'intention. Dans la musique  par exemple : vouloir faire du pognon et être renommé, adulé, gratifié et passer à la TV et la radio, ou bien du "son" qu'on aimerait soi-même écouter, qui n'existe pas encore et qu'il ne reste plus qu'à créer.


Bref, l'instrument n'a jamais fait le musicien, depuis les percussions corporelles de nos ancêtres jusqu'aux "bank" de samples mainstream.


doucement doucement...ces inventions et leurs exploitation dans la musique de merde commerciale branchouille débilisante  est très récente , je ne serais pas surpris que toutes ces productions atroces disparaissent aussi rapidement qu'elles sont apparues.


ce qu'on peut exprimer avec un instrument, genre en bois, est, heureusement infiniment plus riche que tous ces sons morts.  encore quelques degrés de réchauffement et on entendra plus parler de toutes cette quincaillerie infâme pour inculte. 

J'entends tes arguments, je partage la plupart. Mais ils se placent dans le champs de la sensibilité.


Plus pragmatiquement, en nuançant quelque peu, ne confonds-tu pas là outils et intentions?

No. Non , je connais tout ça de très près et je prétends que l’outil conditionne l’intention . Beaucoup de  musiciens ne maîtrise pas d’instrument. Ils n’ont pas appris à «  faire sortir d’eux même » de la musique . Ils n’ont pas appris par leurs pairs.

En gros ils n’ont pas appris la musique .ils ont établi un lien directe entre leur créativité et l’ordinateur. Ils ne sont pas passé par la case -musique- 

Ça ce paye 

si non David Getta et charlie Parker sont tout les deux d'excellents musiciens.

ben oui, mais c'est trop long d'apprendre à jouer d'un instrument, et encore plus long de le maîtriser suffisamment pour arriver à ça :

input (tripes) -> instrument -> output (musique)


moi, dans les percus mandingues, ça m'a pris 15 ans pour que mes premiers solos de djembé sortent tout seuls (et c'est conforme à ce que disent les maîtres djembé africains aux débutants)


alors il faudrait presque distinguer la musique naturelle de la musique artificielle... même si la seconde découle de la première ;-)

je pense que la seconde découle de l'ouverture d'un marché au "amateur". 

tout le monde peut se payer un studio "beringer" . pour moins de 2000 boules. 


les producteurs ont divisé les couts de folies. plus rien à payer pour la production, tout dans la promotion, pub de merde,

de plus en plus de pub sur face de bouk du genre: tu aimerais composer mais tu n'es pas musicien? ce logiciel est fait pour toi"


vouloir faire croire que la musique est accessible à tous sans effort, du coup Sandrine Kiberlain et 2lie Semoun sortent des disques de merde.(Elie semoun cha

 

chante des bossa je crois, nan mais je reve...)



On en revient à:

, plus le publique à des oreilles de merde, plus l'industrie peut sortir des trucs à tres bas cout et les vendre à des pigeons incultes

 Mais ils se placent dans le champs de la sensibilité.


non.

objectivement, on peut expliquer (en partie ) ce qui fait qu'une musique à plus de valeur qu'une autre. certes, cette pratique à des limites mais si il s'agit de comparer des merdes commerciales à Bach, on est très très loin de cette limite. 

Juste : merci beaucoup pour ce choix de sujet, la qualité du plateau, son équilibrage, la progression :) C'était très intéressant et agréable à écouter !

Super émission qui soulève, à mon humble avis, de vraies questions telle que bidouiller des ordinateurs, regarder des fréquences est-ce encore de la musique ? Qui a fait mixage de rock (donc musique jouée par des êtres humains et non des machines saura qu'on regarde plus qu'on écoute) ; avec l'exemple ultime du clap fait avec les mains ! (waouh l'effort d'extraction du numérique !) et de la ligne d ebasse sur laquelle personne ne s'apesantit (2 notes dirais-je).

Petit bémol, qui prouve bien que nous sommes en France, sont ciblés le chanson française et le rap. Passez le Rhin ou la Manche et bizarrement il existe encore une scène rock (diffusée même dans les medias mainstream) dans laquelle la musique prend souvent l'ascendant sur le fond du texte... Pour notre douce contrée, Allez jeter une oreille attentive à Inhumate par exemple, son et textes y sont traités au même niveau dans une approche certainement inchronicable sur France Inter (la fameuse radio d'Etat ainsi que la surnommait votre boss et qui me semble maintenant servir la soupe des labels et des pontes de l'industrie musicale mondiale).

Florent Garcia chez ASI?

Je vais regarder l'émission. :-)

C’est bien qu’il y ait une évolution de la sensibilisation à la musique et au son grâce à des contenus sur le web, et parfois, à la télé.


Je me souviens qu’il y a… euh… longtemps, une interview à la télé de William Sheller qui m’avait donné espoir, mais pas pour longtemps : William avait réussi à caser quelques mots concernant la musique (à propos de Trenet). Incroyable ! Et pourtant, je regardais à peu-près tout les programmes sur la musique populaire.


Bon, j’avais la chance durant ma jeunesse que ma platine vinyls fonctionnait mal, elle tournait trop lentement, alors j’écoutais Stevie Wonder et Miles Davis au ralenti, ça laisse le temps d’analyser. :D


Merci pour l’émission, malgré les longs solos d’une invitée, qui ne m’intéressaient peu.

Et même sur ASI, la chronique sur le son et la musique de Jean-Stéphane Guitton n’a durée que 3 tours…

(Et elle n’est même pas dans le grenier ! 🙄)

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