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Des internautes mécontents font plier Orange

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... si la supercherie à été découverte c'est que l'iPhone d'apple c'est un espèce d'"ordinateur" qui fait également téléphone, il y a autour une grande communauté d'utilisateur habitué à tester les matériels, à publier les bancs d'essais... orange à sous estimé les acquéreurs et à cru que le seul discours marketing suffisait... bien fait...
Pas réellement surpris par cette histoire ; les opérateurs n'en sont pas à leur première arnaque.
Il est en revanche plus étrange qu'Orange n'ait pas anticipé le fait que, concernant l'iphone, le piège allait se remarquer et... buzzer. La cible visée par l'iphone est tout de même, au moins en partie le "geek" (ceci dit, non péjorativement), du moins l'utilisateur assez intéressé par les hautes technologies pour y mettre beaucoup d'argent. Il me paraît clair que vu le buzz qu'avait créé l'iphone et l'attente qu'il suscitait, notamment chez un grand nombre de blogueurs parmi lesquels certains "influents" ou qui bénéficient d'une expertise sérieuse dans le domaine, la supercherie allait se savoir et être percée à jour. Mais bon...
A force de presser Orange , le débit du jus a augmenté....
Oui....

attention à ne pas amalgamer tout les opérateurs, car personnellement depuis un peu moins 6 mois je suis chez SFR, avec un portable équivalent au Iphone, avec un forfait 'illimitics',
et je n'ai aucuns problèmes (pour l'instant).

et pour moi, c'est évident que l'utilisation d'internet via un téléphone portable n'est pas la même que via un ordinateur! c'est pas fait pour télécharger des fichiers énormes, ça n'aurait pas vraiment d'intérêt. Chez SFR aussi, je crois qu'ils limitent le total à 500Mo, mais il me semble juste d'interprêter cela comme une limite pour que les gens n'abusent pas (là, pour le coup, leur 'communiqué officiel'/contrat est acceptable), mais c'est tout.
En plus, je rajouterais que je crois avoir compris que si ils limitent, c'est pour que tout le monde puisse profiter d'un débit acceptable, sinon, alors on construit pleins d'antennes dans les villes et on se prend un maximum de superbes bonnes (ironie...) ondes dans la tête et le corps : eh oui, faut savoir c'qu'on veut!

Alors, Oui, sûrement que Orange abuse/a abusé en limitant trop les échanges, et du coup n'est pas intègre vis-à-vis du service rendu à ses clients
mais faut savoir que de toutes façons, même en 'temps normal', les débits sont 'limités' en quantité totale, voir en débit direct.

d'ailleurs, le greoupe 'Ten' avait lancé voici un moment déjà une offre avec 'internet illimité' en précisant bien (en petit caractères sûrement, mais de toutes façon faut toujours les lire, au moins un minimum) que il y aurait des limitations si ils relevaient que tel client abusait en prennant toute la bande passante.

Le problème se fait moins sentir via une connexion à domicile via Free, Numéricable, Orange, ... mais existe tout autant!!!
(et d'ailleurs, FranceTelecom via Wanadoo, abusait également en bridant trop les débits).
@ Fan de canard

"C'est une information lisible dans n'importe quel journal, je ne vois pas où est le décryptage."

Décryptage ? Simplement le chemin d'un forum isolé, à la radio et à la "grande presse" pour quelques mécontents qui font bouger une grande entreprise. Voilà, rien de plus, rien de moins.

A la fin, j'indique que j'ai contacté Orange pour vérifie, ce qui me paraît l minium, mais là n'est mon propos, mon propos c'est ce cheminement de l'info....
D'ailleurs en temps qu'abonné Orange j'ai reçu le dernier dépliant qui vente les dernières offres.

Et à ma grande surprise le smartphone de la grande pomme (l'iPhone) n'y apparaît pas.
Enfin ça c'est juste une anecdote.

Par contre étant un utilisateur de Mac, je comprends l'engouement du public pour l'iPhone (les produits Apple sont vraiment au dessus du lot, même le petit MacMini), mais Orange ne respecte que très rarement ses promesses (comme toute multinationale).

D'après ce que j'ai lu par ci par là, Orange ne débriderai pas totalement le débit, ils ont juste décidé de l'augmenter.
Et choses plus étrange ceux qui vont acheter un iPhone dans les prochains jours auront plus de débit que ceux qui l'ont acheté à sa sortie.

Chez Apple ils doivent commencer à se mordre les doigts d'avoir choisi Orange comme revendeur exclusif...
" Contacté par @si, le service de presse d'Orange confirme jeudi 28 août que le débit sera relevé pour tous les abonnés iPhone le 15 septembre prochain. Reste à savoir si la vitesse réellement fournie correspondra aux attentes des possesseurs d'iPhone 3G qui s'estiment lésés. "

La France respire enfin.
Me serait plutôt attendu à lire ce genre d'articles dans UFC-Que choisir ?.
C'est une information lisible dans n'importe quel journal, je ne vois pas où est le décryptage.
Une petite précision toutefois, le débridage du réseau 3G n'a pas été annoncé pour les titulaires d'un forfait origami star (internet illimité) alors que beaucoup de gens ont choisi ce forfait relativement peu onéreux (28 euros par mois si on a moins de 26 ans). Donc les actions ne vont pas stopper pour autant pour faire plier Orange (et avoir ce qui est contractuellement dû). [edit: voir message ci dessus]

Pour informer les ASInautes sur ce téléphone de "riches", sachez qu'il est disponible à partir de 28 euros par mois et 200 euros à l'achat soit 872 euros pour 2 ans. Brandissez votre calculette et calculez le montant de votre forfait + téléphone. Vous aurez peut-être des surprises. Ah oui, pour ce prix là, Orange promet 2 heures de communication, internet est illimité, la télé aussi (super...) et les sms sont illimités le soir ainsi que le weekend.

Juste pour tordre le coup à quelque rumeurs tenaces...

Il est aussi utilisable sur le réseau SFR qui, lui, n'est pas bridé. Les gros clients peuvent avoir une ristourne (450 euros il me semble) et les offres illimythics sont un franc succés pour les amateurs d'internet mobile.

Je souhaiterais que ce message soit considéré comme des chiffres, non de la publicité, en espérant ne pas être modéré.
Une petite vidéo en anglais mais ô combien instructive. Celle-ci montre la différence de temps de chargement des pages web sur l'iphone entre ce que l'on voit dans la pub et ce qui se passe la vie réelle.
lien : http://www.youtube.com/watch?v=oaN1Nz1Dyls
A noter que l'iphone ne dispose pas de la technologie pour capter le réseau 3G+ (protocole HSDPA), celui-ci ne supportant que le 3G tout court (protocole UMTS) beaucoup plus lent.
Voir sur le site d'apple : http://www.apple.com/fr/iphone/features/wireless.html
Mais bon, je dis cela mais je peut me tromper...
Pas du tout surpris par cette nouvelle infamie de France Télécom qui a gardé tous les bons réflexes du "sévice public" les ayant abrités pendant d'année : un total mépris de l'usager et un sens du racket très développé grâce aux facilités mortifères du monopole !

Je ne suis pas client (ni tenté) par l'iPhone, par contre lorsque j'ai souhaité passer à l'ADSL il y a 6 ans le FAI que j'avais contacté m'avait d'abord répondu "oui" pour m'écrire 8 jours après que "l'opérateur historique" les avait informés que mon adresse n'était pas raccordable (Paris intra-muros !!!)

Je me suis donc tourné vers Wanadoo, l'ancêtre d'Orange qui s'est empressé de me raccorder (il y a des petits miracles, parfois) moyennant un tarif mensuel de 5 €uros supérieur à celui du premier FAI que j'avais sollicité... Bonjour la concurrence déloyale !

Pour tout arranger Wanadoo m'indique que le modem était offert, mais les promesses n'engagent que les andouilles qui les écoutent : je suis allé chercher l'objet à la Poste, contre remboursement (150 €) et on m'a affirmé que je serai remboursé... Dans une autre vie, sans doute ! Au bout de 3 mois j'ai téléphoné au service commercial qui m'a froidement indiqué qu'il y avait certainement un document à renvoyer dans la boîte de mon modem et que si je ne l'avais pas fait j'étais un gros nul ! Il n'y avait naturellement aucun document destiné à être renvoyé dans la boîte, et s'ils avaient été (un minimum) honnêtes ils savaient qu'ils m'avaient envoyé ce modem, il était donc facile de rembourser d'une façon ou d'une autre (j'accepte les chèques ou même les déductions sur factures)…

Mais des clous : ils trouvent visiblement que mon argent est mieux dans leur poche que dans la mienne, et comme ils sont les plus forts il n'y a pas débat !

L'histoire ne s'arrête pas là, hélas !

Il y a un an je me suis propulsé chez Orange, en ayant soupé de payer un débit de 1 Mo pratiquement au prix du 18 Mo + Tél Internet illimité + TNT (tous avantages que le service commercial n'avait pas jugé utile de me proposer)

Donc Livebox… Une Livebox, deux Livebox, trois Livebox, quatre Livebox, cinq Livebox…

C'est fragile ces petites bêtes-là, je ne sais pas si vous avez remarqué (on sent la bonne affaire pour le fabricant et l'opérateur, avec tous ces échanges gratuits !)

Et chaque fois 2 jours ou plus sans Internet (ni téléphone) un temps fou de réinstallation (2 ordinateurs en réseau à reprogrammer) parfois nécessité de faire intervenir un "vrai" informaticien pour réparer les âneries des techniciens Orange (ceux qui font signer un accord pour une facture de 100 € au cas où le client serait en faute avant même de regarder le matériel !) Ne parlons pas du temps infernal passé avec la hot line – au "prix d'une communication locale" !

Enfin lors du dernier changement de Livebox (juillet), plus de téléphone Internet… La hot line s'est donc arrangée pour déprogrammer l'accès Internet du premier ordinateur, puis du second avant de déprogrammer la Livebox donc le clignotement lamentable s'est révélé irréversible – pour les connaisseurs celle-ci était une Inventel, mais j'avais expérimenté la Sagem sans davantage de succès !

Les plaisanteries les plus courtes étant non seulement les meilleures mais aussi les moins longues, j'ai fait venir un VRAI informaticien, avec un modem ADSL Netgear, il a consacré 2 heures à reprogrammer ce que la hot line Orange s'était ingénié à déconfigurer et m'a laissé moyennant 300 €uros une installation qui fonctionne parfaitement (sans téléphone ni TNT toutefois).

La Livebox étant en location (3 € par mois) je me suis donc propulsé dans le magasin Orange de mon quartier. Où je me suis fait envoyer sur les roses : "Votre contrat ne permet pas de reprendre votre Livebox"

Ecœuré j'ai contacté le service commercial auquel j'ai réclamé 1.500 €uros pour l'ensemble des préjudices et du temps perdu… Réponse dans quelques jours, on peut toujours rêver !

Ceux qui ne sont pas clients Orange ne connaissent pas leur bonheur, et pour ceux qui envisageraient de le devenir je conseille plutôt de se casser les deux bras, les deux jambes et d'attraper une bonne scarlatine pour couronner le tout… À mon avis c'est beaucoup moins douloureux !

***
Orange limite à fond, comme l'aurais fait les deux autres car toute ces histoires d'illimités ne sont pas très bonne à long terme pour leur profits cela donnent des mauvaises habitudes aux consommateurs, comme avoir des offres concurrentielles bon marché, quelle horreur ! pire en plus faut renouvelé son matériel pour répondre à la demande ! Faudrait pas exagérer, les consommateurs se sont bien contenté de forfaits coutant la peau de yeux et un service minable pendant plus de dix ans, pourquoi faudrait ils changer maintenant ? (internet est décidément un vrai plaie ! Encore à cause de lui cette histoire la)
Sans doute une des plus grandes erreurs stratégico-commerciales d'Apple. Attendez que l'exclusivité Orange tombe, et l'iPhone sera vraiment un bon produit utilisable à la hauteur de ce qu'il mérite. Orange ne sont même capable de le fournir en version 32 Go (le plus intéressant) et se trouve en rupture depuis le lancement.
Orange à fait de l'iPhone un produit d'appel et tout le monde tombe dans le panneau... Apple s'est trompé et rattrapera bien vite son erreur vers la fin d'année.
Quand on connaît la médiocre qualité d'orange en service internet, je ne comprends pas que les gens se soient jetés sur un produit en exclusivité ! Les monopoles ne sont jamais bons !
Étant donné la clientèle de l'Iphone (y'en a surement ici, je vais me faire des amis), j'ai quand même un peu de mal a me sentir solidaire de ce "scandale"...
C'est un peu comme si on me parlait d'une pétition contre Mercedes parce que le porte gobelet est défectueux.

Ça fait quand même plaisir de voir que le Net est aujourd'hui suffisamment pris au sérieux quand à son pouvoir de nuisance pour que les grandes firmes y prêtent attention.
Vos illustrations me font bien plaisir :)
En effet, si vous avez testé le site d'@si sur iphone vous vous êtes rendus compte qu'il était très difficile de le consulter.
Il est même impossible à lire sur un Téléphone sous Windows Mobile comme les HTC.

Daniel, pensez vous créer une version ultra light pour ces appareils spécifiques ?

Voici de bons exemples : http://iphone.lci.fr/ ou http://wap.airweb.fr/serv/DLequipe
Ces sites sont au bon format pour tous les types de terminaux numériques : Iphone, Windows Mobile, BlackBerry...

L'idée est lancée :-)
A part peut-être pour certaines professions, je ne vois pas l'intérêt de pouvoir consulter internet avec son téléphone portable. Voilà donc un problème qui m'indiffère totalement... A côté de ça, on ne voit pas grand monde protester contre le coût prohibitif de la connexion fixe où une soit disant concurrence permettrait aux consommateurs d'avoir les prix les plus intéressant. Même chose pour les abonnements de téléphone portable. Et que dire de la qualité des téléphones eux-mêmes... Bref, un jouet de plus pour faire du citoyen un bon consommateur. Mais attention, parfois même le consommateur se rebiffe !
Un des intérêts de l'Internet sur le téléphone est notamment la disparition du SMS (une des plus grandes arnaques de ces dix dernières années), puisque l'on peut s'envoyer des mails, illimités en nombre de caractères et au coût bien plus réduit (quasiment gratuit pour un e-mail avec simplement du texte).
Au Japon, par exemple, le SMS a été remplacé par l'e-mail depuis de nombreuses années.

Mais il semblerait que nos trois opérateurs chéris aient du mal à se séparer de leur poule aux oeufs d'or...

A part peut-être pour certaines professions, je ne vois pas l'intérêt de pouvoir consulter internet avec son téléphone portable. Voilà donc un problème qui m'indiffère totalement...


Dans le cas présent, l'usage fait le besoin en fait. Perso, je trouve que lire @si pendant que j'attend devant les caisses du supermarché, ca fait passer le temps un peu plus vite.


A côté de ça, on ne voit pas grand monde protester contre le coût prohibitif de la connexion fixe où une soit disant concurrence permettrait aux consommateurs d'avoir les prix les plus intéressant.


En ce qui concerne Internet, on a en fait en France un des marchés les plus compétitifs (et les moins chers)
Comparez avec les offres belges par exemple.
Ceci dit, le nombre d'acteur a beaucoup baissé depuis quelques années et le risque est non nul de retrouver la situation du mobile, surtout que 2 des acteurs majeurs de l'accès internet sont aussi dans le marché mobile...

PS : concernant @si sur iphone, ca serait deja sympa d'utiliser le code dailymotion compatible iPhone, qui permet de lire les videos en h264 plutot que de passer par l'appli flash

lire @si pendant que j'attend devant les caisses du supermarché, ca fait passer le temps un peu plus vite.


Au prix de l'iphone, ça fait cher l'attente...


En ce qui concerne Internet, on a en fait en France un des marchés les plus compétitifs (et les moins chers)
Comparez avec les offres belges par exemple.


Ce qui ne veut pas dire qu'on paye l'abonnement à sa juste valeur. De toute façon quand on voit qu'ils ont tous alignés leurs prix, on ne peut pas croire que la magie de la concurrence fait réellement baisser les prix.




C'est un peu comme si on me parlait d'une pétition contre Mercedes parce que le porte gobelet est défectueux.


Oui voilà, pareil :-)




Pas du tout surpris par cette nouvelle infamie de France Télécom qui a gardé tous les bons réflexes du "sévice public" les ayant abrités pendant d'année : un total mépris de l'usager et un sens du racket très développé grâce aux facilités mortifères du monopole !


Je ne suis pas si vieux que ça et j'ai pourtant souvenir d'un temps où les agent des PTT était de vrais conseillers et pas des agents commerciaux. Mais voilà exactement ce qu'a réussit la droite : faire croire que les privatisation ne peuvent qu'être bénéfiques puisque de toute façon, le service public c'est nul... LA méthode : prenez un service public, transformez-le petit à petit jusqu'à ce qu'il ressemble à une entreprise privé, enfin, critiquez en public ce service public qui ne fonctionne pas (et pour cause !).

Ce qui ne veut pas dire qu'on paye l'abonnement à sa juste valeur. De toute façon quand on voit qu'ils ont tous alignés leurs prix, on ne peut pas croire que la magie de la concurrence fait réellement baisser les prix.

Je ne suis pas si vieux que ça et j'ai pourtant souvenir d'un temps où les agent des PTT était de vrais conseillers et pas des agents commerciaux. Mais voilà exactement ce qu'a réussit la droite : faire croire que les privatisation ne peuvent qu'être bénéfiques puisque de toute façon, le service public c'est nul... LA méthode : prenez un service public, transformez-le petit à petit jusqu'à ce qu'il ressemble à une entreprise privé, enfin, critiquez en public ce service public qui ne fonctionne pas (et pour cause !).


Quilès a qui vous faites remonter le péché originel était membre du parti socialiste et ministre sous le gouvernement Rocard.
La défense du service public de téléphonie dont vous agitez l'étendard est un peu vaine, et probablement pas moins que de prétendre faire remonter toutes déficiences de France Télécom à ses racines de monopole réglementé comme votre contradicteur plus bas dans cette discussion.
Personne ne sait ce qu'aurait donné les services modernes de télécommunication dans le cadre du monopole d'un service public, s'ils auraient été meilleurs ou pire que les prestations actuellement vendues par les opérateurs privés, cette situation n'ayant finalement jamais existé. Cette petite dispute est et restera donc largement théorique.
Il y a cependant quelques points sur lesquels il est difficile de passer comme de simples différences d'opinion.
En premier lieu le prix de la minute de conversation à l'age d'or des PTT était stratosphérique par rapport à aujourd'hui et d'une manière générale le niveau de marge de l'ex-monopole public faisait baver d'envie les plus cupides des entreprises privés (à part peut-être LVMH, et encore).
De plus les acteurs privés vendant actuellement des services de télécommunications sont des entreprises côtés tenues à des obligations sur la communications de leurs résultats opérationnels ; même si on sait pas tout et qu'il y a de la marge pour des interprétations, on peut quand même affirmer raisonnablement que les prix pratiqués en France ne sont pas scandaleusement chers et que si les opérateurs en questions ne sont pas particulièrement à plaindre, il ne génèrent pas des profits indécents sur les télécommunications fixes sur le dos de leurs clients.
D'autre part avec la disparition du métier originel des PTTs, le statu quo n'était de toute façon pas une option, quel que soit la faction en place au gouvernement.

Enfin même s'il s'agit ici d'un point beaucoup plus subjectif, vous me permettrez de me féliciter que les télécommunications ne soit pas actuellement un service public pour des raisons qui n'ont rien à voir avec le support ou la qualité de la prestation : il me parait plus sain, dans une société démocratique, pour l'équilibre des pouvoirs que le moyen essentiel utilisé par ses citoyens pour communiquer entre eux ne soit pas fourni par un acteur unique contrôlé par l'Etat.
Ayant un rapport assez indirect.
Mercredi Bloomberg s'est pris pour Elkabbach et a accidentellement publié la nécrologie du principal VRP du gadget dont il est question dans l'article - et accessoirement président d'Apple, Inc - le bien connu Steve Jobs.
Apparemment la journaliste en train de mettre à jour la dite nécrologie (corvée des périodes de vacances ?) aurait commis une erreur de manipulation dans son outil.

L'erreur à été réparée rapidement mais quelques petits malins ont été suffisament rapides pour conserver la copie du document.
vous me permettrez de me féliciter que les télécommunications ne soit pas actuellement un service public /.../ : il me parait plus sain, dans une société démocratique, pour l'équilibre des pouvoirs que le moyen essentiel utilisé par ses citoyens pour communiquer entre eux ne soit pas fourni par un acteur unique contrôlé par l'Etat.

Mouais, le service publique c'était valable quand la république éduquait, nourrissait (et protégeait) ses "enfants", maintenant faut croire qu'on est en dictature, ou quelque chose du même acabit, puisqu'il faut se méfier de l'état qui ne peut rien nous apporter de bon...
"Quilès a qui vous faites remonter le péché originel était membre du parti socialiste et ministre sous le gouvernement Rocard"

Et alors, quel est le rapport avec la discussion ? La gauche aussi est responsable (et coupable) de la casse du service public. Pourquoi cette précision ?

"La défense du service public de téléphonie dont vous agitez l'étendard est un peu vaine"

C'est votre avis. Personnellement, je continue de croire que certains domaines (poste, télécommunications, transport ferroviaire, éducation, administration...) doivent être du ressort de l'état parce que les objectifs que je leur donne sont contradictoires avec l'idée de profit. Pour autant, je ne dis pas que les choses étaient parfaites avant. Mais, il est vain de croire que les privatisations des entreprises de service public vont aller dans le sens des citoyens puisque les "entreprises côtés" sont "tenues à des obligations sur" les bénéfices et non sur la qualité et la pertinence des services dont ils ont la charge.

"il me parait plus sain, dans une société démocratique, pour l'équilibre des pouvoirs que le moyen essentiel utilisé par ses citoyens pour communiquer entre eux ne soit pas fourni par un acteur unique contrôlé par l'Etat."

Est-il plus sain que tous les moyens de communication soient entièrement dans les mains du capital, dont les objectifs ne sont pas le bon fonctionnement d'un état, l'accessibilité pour tous les citoyens quels que soient leurs revenus, leur situation géographique ?
D'autre part, dans un état démocratique les citoyens peuvent faire pression sur un gouvernement qui se servirait de ses monopoles pour son propre compte, alors qu'il est très difficile de faire pression sur une multinationale dont les dirigeants peuvent ne pas se trouver sur le territoire national.

Et alors, quel est le rapport avec la discussion ? La gauche aussi est responsable (et coupable) de la casse du service public. Pourquoi cette précision ?


je recite l'un de vos messages précédents :

Mais voilà exactement ce qu'a réussit la droite : faire croire que les privatisation ne peuvent qu'être bénéfiques puisque de toute façon, le service public c'est nul

Les changements de statuts des PTTs puis de France Telecom et les étapes successives de sa privatisation partielle (je vous laisse la formulation "casse du service public" qui vous appartient) ont traversés les alternances et les clivages politiques. Cette précision vient donc à rappeler qu'on peut les porter au débit ou au crédit (selon sa vision de la chose) de l'ensemble des partis dits "de gouvernement" contrairement à votre remarque la décrivant comme une "réussite" de la droite.


C'est votre avis. Personnellement, je continue de croire que certains domaines (poste, télécommunications, transport ferroviaire, éducation, administration...) doivent être du ressort de l'état parce que les objectifs que je leur donne sont contradictoires avec l'idée de profit. Pour autant, je ne dis pas que les choses étaient parfaites avant. Mais, il est vain de croire que les privatisations des entreprises de service public vont aller dans le sens des citoyens puisque les "entreprises côtés" sont "tenues à des obligations sur" les bénéfices et non sur la qualité et la pertinence des services dont ils ont la charge.

En premier lieu, votre énumération comporte des oublis, cruels dans le contexte actuel, ceux de la fourniture d'énergie et de l'assurance maladie.
En outre cela manque de cohérence ; naturellement que l'administration, de même que la police et l'armée sont des fonctions régaliennes qui ne peuvent être abandonnées par l'état même dans une vision ultra-réduite de son périmètre. L'éducation ne fait pas l'objet d'un monopole d'état, en outre on pourrait contester cette vision du service de transport qui met à part le monopole du service public ferroviaire, par rapport au transport aérien et à la route.
Les obligations des entreprises côtés sur leur communication financière, auxquelles je faisais allusion (qui ne sont pas celles sur les bénéfices qui sont plus ou moins imposés par leurs actionnaires ou sur la qualité de service qui sont plus ou moins imposés par leurs clients) sont des obligations réglementaires qui nous permettent d'avoir des informations sur le niveau de profit qu'elles réalisent. Vous détournez les expressions de ces phrases pour aller dans un autre sens, sans répondre à l'objection fondamentale que je vous apportait quand vous prétendiez :

(...) le coût prohibitif de la connexion fixe où une soit disant concurrence permettrait aux consommateurs d'avoir les prix les plus intéressants (...)

Vous pouvez croire que votre connexion vous coûte un prix prohibitif, cependant je vous faisais remarquer que les données factuelles dont nous disposons ne permettent pas d'affirmer que le coût qui vous est facturé est complètement disproportionné par rapport au coût supporté par la société qui vous fournit le service.
A l'inverse le coût des communications sous le monopole historique des PTTs a à une époque atteint des niveaux proprement scandaleux. Que vous le vouliez ou non, le monopole public s'est payé plus grassement que les rapaces du privé. Ça n'est certes pas une fatalité du service public et rien ne dit que les coûts n'auraient pas pu baisser de manière importante dans le cadre d'un monopole réglementé (on ne peut pas faire le même reproche par exemple à EDF et à la SNCF sur la même période), cependant force est de constater que les prix ont baissé en suivant l'ouverture à la concurrence. J'espère donc vous comprendrez d'une part que la nostalgie de la grille tarifaire des PTTs ne soit pas unanimement partagée et que d'autre part je juge votre argument sur les prix trop élevés dans le secteur concurrentiel comme (avec une indulgence certaine) "faible".
Enfin vous avez laissez de côté le fait mes remarques sur la disparition (technique) du métier historique des PTTs qui de toute façon obligeait le pouvoir politique à agir, soit en préparant l'ouverture à la concurrence soit en étendant de manière importante le périmètre du monopole public. Sur les missions historiques du monopole public et en particulier la couverture du territoire et la péréquation tarifaire, on fera remarquer quand même, que d'une part elles ne sont pas exclusives d'une forme juridique "administration exerçant un monopole public" - elles peuvent être imposés par voie réglementaire - et d'autre part FT semble ces dernières années beaucoup plus velléitaire que ses concurrents pour s'en écarter.


Est-il plus sain que tous les moyens de communication soient entièrement dans les mains du capital, dont les objectifs ne sont pas le bon fonctionnement d'un état, l'accessibilité pour tous les citoyens quels que soient leurs revenus, leur situation géographique ?
D'autre part, dans un état démocratique les citoyens peuvent faire pression sur un gouvernement qui se servirait de ses monopoles pour son propre compte, alors qu'il est très difficile de faire pression sur une multinationale dont les dirigeants peuvent ne pas se trouver sur le territoire national.

Le quatres plus gros opérateurs de télécommunications sur le marché sont des sociétés françaises (FT, Cegetel, Bouygues et Illad) ; le fait de les voir comme un tout "Le Capital" fait partie de vos présupposés idéologiques, c'est votre droit. Pour ma part je considère que le fait de pouvoir choisir d'être client de l'une ou l'autre de ces sociétés participe à ma liberté d'une manière que je rapprocherais, même si elle n'est pas identique, de celle de disposer d'une presse sous capitaux privés. Je ne souhaiterais pas que la fourniture d'information soit le monopole exclusif de l'état, pour des raisons similaires. Le réseau est un moyen de communication trop critique en terme d'impact sur les libertés individuelles pour le laisser sous contrôle étatique.

A l'inverse le coût des communications sous le monopole historique des PTTs a à une époque atteint des niveaux proprement scandaleux.


Ce que j'apprécie particulièrement avec cet argument éculé, c'est la mise sous le tapis de 3 éléments non négligeables :

1) le rapport prix/performances des technologies actuelles qui n'a actuellement absolument rien à voir avec celui de la fin des années 80

2) En rapport avec précédemment, la technique de téléphonie a des contraintes différentes de la technique informatique ( intégrité de service, liaison double sens en temps réel et ne l'oublions pas, fourniture de l'énergie au récepteur pouvant être autonome en fixe ).
- Effet d'aveuglement : La baisse du coût de la techno informatique, notamment avec l'émergence du gigantesque marché grand public, ne s'est pas directement répercuté sur les technologies téléphoniques ( au niveau volume de vente par exemple, de plus, un serveur téléphonique est un peu plus complexe au niveau matériel qu'un serveur informatique ).
- Effet de contournement. Pour éviter la tarification "voix" ( avec ses avantages et contraintes ), l'idée d'utiliser les flux de données et de reconstituer la voix au petit bonheur la chance si le débit du réseau le veux bien a émergé ( au moins vers 1995 ), ce qui permet maintenant aux aficionados des "box" de profiter parfois du forfait "consonnes" ou "reverbe" en fonction des phases de la lune et de la reproduction des crocodiles du nil ( bref, ces effets ne sont pas prédictibles). On en arrive donc maintenant au principe de "voix sur IP" qui est une aberration technique ( confort, intégrité de service ) mais une réussite commerciale. Pour donner un ordre d'idée : 3 fibres optiques en téléphonie pure suffiraient sans problème à passer TOUTES les communications voix de la France entière.
Le visiophone fibre à Biarritz, vous vous souvenez ????

En revanche pour tout ce qui est "sans fil", tout cela est moins évident... quoique...

3) Le plus gros du coût, c'est à dire les infrastructures est passé ( pour le moment... ) Les travaux gigantesques de raccordement au niveau national du début des années 80 pour le téléphone automatique. Etant encore très éloigné de la retraite, je me rappelle de l'opératrice, qui permettait, ce qui n'est toujours pas au point pour l'utilisateur moderne, la commande vocale du n°. Habitants de la Lozère, ne comptez pas trop sur l'augmentation des capacités de communication ( la plupart des liaisons ADSL en distributions finales utilisent des lignes qui sont enterrées depuis 30 ans, ne l'oublions pas trop : Les aïeux construisaient parfois costaud sans se préoccuper du coût à court terme, un peu comme la 2cv ou la cathédrale Notre Dame si on veut )



Que vous le vouliez ou non, le monopole public s'est payé plus grassement que les rapaces du privé. Ça n'est certes pas une fatalité du service public et rien ne dit que les coûts n'auraient pas pu baisser de manière importante dans le cadre d'un monopole réglementé


Imaginez : vous êtes à la fin des années 80, vous sortez d'une grande école, vous incorporez une société d'état qui perçoit des revenus ( Telecom, énergie, autoroutes, etc.. ) et vous revoyez de temps en temps vos "camarades" se trouvant dans la hiérarchie d'une grosse société privée pile à l'époque où les rétributions de ces derniers s'envolent. Un complexe d'infériorité monétaire a pris naissance. C'est le tournant dans le changement de paradigme des sociétés nationales ( Les directeurs se métamorphosent en "managers" ). Il ne prend pas forcément sa source dans le "politique", mais dans la strate se situant juste en dessous : la direction de ces sociétés, qui garde une influence importante sur le politique car elle a la "crédibilité" du "spécialiste " dans le domaine concerné voir même parfois une faculté "visionnaire". A cela, vous saupoudrez un peu de cynisme ( il paraît que ça peut être"tendance" ) et le virage est pris.

Le reste est de la littérature.

Maintenant, s'il était resté quelques considérations politiques depuis 20 ans ( c'est à dire dépassant l'année comptable en prévision ), les bases de réflexions sur l'organisation de systèmes structurels lourds sur un territoire étendu et non homogène ne se trouvent pas forcément sur google mais ont donné lieu à certaines thèses en sociologie, économie, sécurité, sûreté, stratégie ( au sens national dans son ensemble et non seulement économique comme ce terme est maintenant beaucoup trop rattaché ), qui sont souvent fort pertinentes ( et loin d'être uniquement Françaises ) mais pas vraiment dans l'air du temps.

1) le rapport prix/performances des technologies actuelles qui n'a actuellement absolument rien à voir avec celui de la fin des années 80

C'était vachement cher pour l'époque. En particulier le maintient d'une grille tarifaire consistant à matraquer sur les "longues" distances (dont la "longueur" fait sourire aujourd'hui) alors que depuis des années les coûts opérationnels étaient assez homogènes. J'ai eu l'occasion de remarquer à de nombreuses reprises combien cette politique commerciale a provoqué une rancoeur profonde chez une certaine frange des (ex-) clients de FT, qui aujourd'hui encore sont assez prompts à lui reprocher tout et n'importe quoi, souvent contre toute logique. C'est un phénomène assez générationnel, qu'on retrouve pas à mon sens chez les personnes agées (qui créditent souvent FT d'une vague aura de "service public", là aussi souvent contre toute logique) ni chez mes propres contemporains. Plutôt dans votre classe d'âge en fait.
Je pense que le souvenir de cette politique commerciale a beaucoup plus plombé la cause des zélateurs du "service public" de télécommunication que les sorties peu inspirées de leaders politiques de droite essayant de recycler leurs clichés idéologiques au service de la privatisation du secteur.


2) En rapport avec précédemment, la technique de téléphonie a des contraintes différentes de la technique informatique ( intégrité de service, liaison double sens en temps réel et ne l'oublions pas, fourniture de l'énergie au récepteur pouvant être autonome en fixe ).

Ouais ouais bien sûr, l'intrégrité de service et le temps réel, tout le monde s'en fout pour ses applications informatiques, c'est certain (soupir). Enfin, je suppose que chacun voit midi à sa porte.
La fourniture de courant au terminal, de toute façon les postes passifs ont été éradiqués par des gadgets répondeurs-standardiste-sans-fils-avec-250-sonneries-et-écrans-couleurs, quand on raconte qu'il est possible de faire des téléphones qui n'ont pas l'alimentation séparée, la plupart les gens restent la bouche ouverte avec des yeux ronds - et encore plus quand ils sont jeunes. En pratique ça sert à rien.


- Effet d'aveuglement : La baisse du coût de la techno informatique, notamment avec l'émergence du gigantesque marché grand public, ne s'est pas directement répercuté sur les technologies téléphoniques ( au niveau volume de vente par exemple, de plus, un serveur téléphonique est un peu plus complexe au niveau matériel qu'un serveur informatique ).

Qu'est-ce qui faut pas entendre quand même. Qu'est ce qu'on fabrique de plus compliqué aujourd'hui qu'un ordinateur ? ça existe encore des "serveurs téléphoniques" qui ne soient pas des ordinateurs ?


- Effet de contournement. Pour éviter la tarification "voix" ( avec ses avantages et contraintes ), l'idée d'utiliser les flux de données et de reconstituer la voix au petit bonheur la chance si le débit du réseau le veux bien a émergé ( au moins vers 1995 ), ce qui permet maintenant aux aficionados des "box" de profiter parfois du forfait "consonnes" ou "reverbe" en fonction des phases de la lune et de la reproduction des crocodiles du nil ( bref, ces effets ne sont pas prédictibles). On en arrive donc maintenant au principe de "voix sur IP" qui est une aberration technique ( confort, intégrité de service ) mais une réussite commerciale. Pour donner un ordre d'idée : 3 fibres optiques en téléphonie pure (...)

Déjà si c'est sur de la fibre optique, c'est plus de téléphonie pure ; la téléphonie pure c'est de la voix comme courant électrique basse fréquence dans un fil de cuivre.
Sinon c'est déjà de l'informatique, des données numérisées, encapsulées, des ordinateurs qui font du routage. Que ça soit de l'IP ou de l'ATM est un détail d'implémentation. Le Kilo-octet de voix est un Kilo-octet comme un autre.


(...) suffiraient sans problème à passer TOUTES les communications voix de la France entière.

Vous avez pas compté mes soeurs dedans :-)


Le visiophone fibre à Biarritz, vous vous souvenez ????

du tout ; c'était avant ou après le mandat de VGE ?


3) Le plus gros du coût, c'est à dire les infrastructures est passé ( pour le moment... )

Ben ça revient là, on est à la fin d'un cycle avec le cuivre, c'est le début du suivant. Et puis si on laissé tranquille la boucle locale pendant longtemps, il y a quand eu pas mal de travaux sur les "grands axes".


Les travaux gigantesques de raccordement au niveau national du début des années 80 pour le téléphone automatique. Etant encore très éloigné de la retraite, je me rappelle de l'opératrice, qui permettait, ce qui n'est toujours pas au point pour l'utilisateur moderne, la commande vocale du n°. Habitants de la Lozère, ne comptez pas trop sur l'augmentation des capacités de communication ( la plupart des liaisons ADSL en distributions finales utilisent des lignes qui sont enterrées depuis 30 ans, ne l'oublions pas trop : Les aïeux construisaient parfois costaud sans se préoccuper du coût à court terme, un peu comme la 2cv ou la cathédrale Notre Dame si on veut )

"C'était mieux avant" (remonter à Notre Dame, c'est pas pousser un peu, quand même ? non ?)


Imaginez : vous êtes à la fin des années 80, vous sortez d'une grande école, vous incorporez une société d'état qui perçoit des revenus ( Telecom, énergie, autoroutes, etc.. ) et vous revoyez de temps en temps vos "camarades" se trouvant dans la hiérarchie d'une grosse société privée pile à l'époque où les rétributions de ces derniers s'envolent. Un complexe d'infériorité monétaire a pris naissance.

A la fin des années 80, je rentrais au lycée, votre traumatisme de la feuille de paye je pense pas que ça soit pas ma génération, en tout cas ça ne me parle pas (je n'ai jamais travaillé durablement dans le secteur public ni vu mon salaire mis sur orbite géostationnaire).


(...)
Maintenant, s'il était resté quelques considérations politiques depuis 20 ans ( c'est à dire dépassant l'année comptable en prévision ), les bases de réflexions sur l'organisation de systèmes structurels lourds sur un territoire étendu et non homogène ne se trouvent pas forcément sur google mais ont donné lieu à certaines thèses en sociologie, économie, sécurité, sûreté, stratégie ( au sens national dans son ensemble et non seulement économique comme ce terme est maintenant beaucoup trop rattaché ), qui sont souvent fort pertinentes ( et loin d'être uniquement Françaises ) mais pas vraiment dans l'air du temps.

Pourquoi une telle statégie est forcément au sens "national" (et pas régional, ou continental...)

(On est en train de dériver vers un méchant hors-sujet ; le forum bistrot n'est toujours pas créé ?)

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