193
Commentaires

Cecil le lion, une indignation de riches ?

Le lion Cecil nous renverrait-il à la figure notre peu d'intérêt pour nos semblables? Pleurer son sort, n'est-ce pas accorder davantage d'importance aux animaux du Zimbabwe qu'aux Zimbabwéens ? Après la vague d'indignation qui a suivi l'annonce de la mort du lion, tué par un chasseur américain, éditorialistes et journalistes s'interrogent.

Derniers commentaires

sur le sujet :

Pom Poko des Studio Ghibli: https://www.youtube.com/watch?v=HhyanivaogE
( Méfait de la lecture rapide )
Où êtes-vous Consensus ? Nous manquons d'humour par ici. Quand j'écris "nous", c'est pas moi. J'ai rien dit, j'ai rien fait. :))
A la vitesse où les espèces protégées sont décimées dans le monde, malgré les parcs nationaux et autres réserves protégées, il n'y aura bientôt plus d'espèces sauvages sur qui tirer. Viendra alors le retour des temps où des hommes auront le droit de chasser d'autres hommes, pas au nom de la faim mais pour le plaisir de se croire invincibles...L'être humain est fasciné par l'idée de l'anéantissement du prochain, par la mort des autres dans la mesure où il ne croit pas en la sienne ; la mort personnelle étant une question de foi comme disait Lacan...
Aujourd'hui, c'est la journée internationale du chat. Le mien a eu double ration de Sheba.
Avant-hier, journée internationale de la bière, c'est moi qui avais doublé ma dose.
La journée internationale du lion, c'est lundi.
J'espère que les chasseurs attendront au moins mardi pour recommencer à les massacrer.
Les réactions à votre article sont révélatrices de la gêne commune quand un fait divers pose la question centrale de notre rapport à la nature et aux animaux...

Il devient obscène de tuer un animal "noble" car on refuse d'affronter l’obscénité qu'il y a à en tuer des milliards dans les usines pour animaux.
Si tuer des animaux sauvages pour le plaisir est digne, pourquoi s'étonner du reste des malheurs de l'humanité ? Indignation de riches ? Quelle connerie, en toutes lettres. La plus grande victoire de la bêtise humaine est peut-être le dénigrement contemporain de l'indignation. J'en ressens du mépris, ce qui est également condamnable et foncièrement navrant.
Etre lion au Zimbabwe, c'est comme être blogueur athée au Bangladesh.
sinon, c'est quand la fin des points d'interrogation à la fin des titres d'articles ?

(que je n'ai pas lu, le titre seul m'a indigné)
De toute façon, par définition, toutes les indignations qui prennent de l'ampleur via les réseaux sociaux et le suivisme de hashtag, ce sont des indignations de riche
Il n'y a personne ici qui a envie de penser ?????? et de discuter sans passion durant une minute ????????


Ca devient un peu pathétique le niveau sur ce sujet de la chasse , des corrida, de peta , et autre moraliste à deux balles.

Je ne lit rien d'autre ici (et autre forum sur ces sujets ) , que des anecdotes et des propos pseudo spirituelles qui ressemblent un peu à de l'humour à la Le Pen : aucun humour, juste une forme d'agressivité passionnelle et stupide déguisé en humour foireux.
1 / 7 000 000 000 = 1,428571428571429e-10
1 / 30 000 = 3,333333333333333e-5
C'est marrant, ça ressemble à un jeu du cirque où le gladiateur a tué le lion trop facilement: les gens sont-ils mécontents du manque de spectacle?
Je compte lancer une pétition pour que les lions arrêtent de bouffer du paysan zimbabwéen. Elle vaudra aussi pour les tigres mangeurs de paysans bengalis.
Il est grand temps que ces fauves apprennent à respecter certaines règles de notre société civilisée, notamment celle qui veut qu'on ne s'attaque pas à plus faible que soi. C'est trop facile de massacrer un humain, lorsqu'on est puissamment armé de griffes et de crocs.
Et pendant qu'on s'indigne quand un Lion tue 1 personne, les maladies cardiovasculaires en tuent des millions. Et la presse Zimbabwéenne ne semble pas s'en émouvoir...

Voilà, moi aussi je peux mélanger tout et n'importe quoi.
Avoir posté cet article le 6 août 2015... jour de mémoire et de triste constat... banal : le plus grand tueur d'hommes est l'homme (y'a les virus... OK)... Et l'on nous demande de hiérarchiser notre compassion... de placer nos semblables au centre de toutes nos préoccupations, de ne plus nous émouvoir du reste... ce reste si essentiel pourtant... Difficile... Laissons les quelques lions encore sur terre vivrent en paix, si possible loin de nous (s'ils ont encore assez à bouffer ;), car pauvres, riches, intellectuels ou imbéciles, nous avons tous tort...
Cet évenement a certainement affecté de différentes manières ceux qui s'en disent indignés mais on peut supposer que le fait que le chasseur soit un riche dentiste américain (donc triplement sadique-anal) venu se divertir dans un pays notoirement défavorisé pour y chercher de nouvelles "jouissances" n'est pas indifférent pour nombre d'entre eux. Donc, "Indignation de riches" : pas necessairement, et on serait même tenté de penser le contraire.
Je vais vous avouer quelque chose : je me fous du lion Cecil, je me fous des indignés de la mort de Cecil.
Et je me fous qu'on s'indigne de l'indignation sur la mort de Cecil...
D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi je prends la peine d'écrire ça....
Mais tuer un lion reste un sport de riches... Ceci dit ce brave dentiste tue aussi des ours dans son beau pays... Emmanuel Todd va surement nous sortir un livre pour démontrer que ceux qui s'indignent de la mort de ce lion sont tous "Charlie".

(sinon je sais que c'est le mois d'août mais Libé qui accuse la police d'être responsable de la mort d'un garconnet rom en s'avançant peut être un peu vite ça n'interpelle personne sur @si ??
"Des choses m'échappent... Quel était le "statut juridique" de ce lion ?"

Il était protégé, pucé et vivait dans une réserve.

Ils l'ont attiré en dehors, l'ont blessé à l'arc, puis tué au fusil et décapité en dehors de la réserve. Il a été exécuté, non chassé.

Personne ne vis dans les réserves, d'où l'indignation légitime.


Avec leur façon de voir les choses, tuons tout ce qui est dangereux pour l'Homme, ou plutôt tout ce qui dérange notre tranquilité. Tuons tout ces sales requins, ours, coyotes, crocodiles et autres animaux "dangereux"...
Des choses m'échappent... Quel était le "statut juridique" de ce lion ? Etait-ce un lion dans un parc naturel, entretenu par l'Etat zimbabwéen, dans le même genre que les ours ou les loups qu'on essaie de réintroduire dans les montagnes en France ? Ou bien, était-ce un animal totalement sauvage, dans une étendue sauvage, dont l'Etat zimbabwéen ne s'occupait pas plus que cela ? Le chasseur avait-il l'autorisation de tuer ce lion ? Etait-il au courant si oui ou non ?
Tout amalgamer, mettre des priorités avant d'autres priorités, réintroduire de la concurrence sur des sujets au delà de nos preoccupations quotidiennes, c'est faire le jeu du postcapitalisme et de la virtualisation des choses. l'Homme opposé à la Nature : au XXIe, notre survie doit dépasser cette opposition binaire et contre productive : Les êtres humains d'un coté - qui sont également des mammifères - et le règne animal, les écosystèmes de l'autre, ça permet de se donner bonne conscience (ou de se décharger de sa mauvaise conscience de grand prédateur qui détruit progressivement son environnement) et de ne rien faire, en rester aux mythes d'une Nature généreuse et infaillible, base du colonialisme et des empires occidentaux, russes et japonais du XIXe siècle.

La défense des animaux en voie d'extinction (nous sommes tout de même entrés dans la 6e période d'extinction de masse des espèces vivantes, du fait cette fois-ci de l'activité humaine) n'est pas en compétition avec la défense des droits vitaux pour les adultes et enfants humains, ce sont deux luttes parallèles pour le respect et la dignité, qui parfois se rejoignent.

Et l'espèce humaine augmente de plusieurs millions chaque année, à la différence d'espèces animales qui disparaissent. Pour autant la charte des droits de l'animal n'enlèvent rien à la charte des droits de l'homme, et les paysans et éleveurs des Alpes ou du Sahel ont toujours été confrontés aux autres prédateurs, à part une toute petite parenthèse pour le monde occidental.

Maintenant quel projet pour les futures générations, quel monde, quel type de société veut-on leur transmettre ?? Cette question laisse loin aux les anecdotes sur Cecil, nouvelle marotte du Web (mais la mort de ce lion est un déclencheur, la goutte de trop sur les derives de notre modernité).

Tout dépend si on veut vivre dans un monde façon Blade Runner dans 30 ans, avec des exemplaires d'animaux vivants si rares qu'ils seront devenus des objets de spéculation pour les riches, et le reste de la population, dont les paysans du Zimbabwe ayant rejoint les centres urbains pour cause de sécheresse et changement climatique, entassé dans des villes tentaculaires, surpeuplées et polluées, dans laquelle les rats et les cafards ne seront pas en danger d'extinction...
Ouah ! On ne peut mieux l’exprimer.
Des commentaires de cette qualité devraient être interdits !
Qu'est-ce que vous voulez ajouter à ça ?
En football, ça s'appelle "tuer le match". Florentino nous refait le scénario du match Allemagne - Brésil du dernier Mondial. Au bout de 25 minutes, l'Allemagne menait 3-0 et le match était plié. Rentrez chez vous, y'a plus rien à voir.
C'est con, parce que j'avais l'intention de briller sur ce sujet, mais là, j'ai les jambes coupées.
Je voudrais pas être mauvais joueur, mais tout ça est un peu louche. J'attends les resultas du conrôle anti-doping.
J'ai bouffé du lion, voilà la raison secrète ;)
Non, non, les animaux sauvages sont dangereux, il faut tous les exterminer, d'ailleurs ce doctorant (instruit, donc intelligent) originaire du Zimbabwe l'a bien expliqué.
Quand la terre ressemblera à la planète Mars, nous serons enfin en sécurité. Entre humains, on ne pourra pas se faire de mal, si ?

Allez, je me remets la chanson des Pow Wow :
"Dans la jungle, terrible jungle, le lion est mort ce soir,
Tous les hommes, tranquilles s'endorment,
Le Lion est mort ce soir"
Allez donc expliquer cela aux personnes qui vivent dans des pays dévastés par la guerre civile, la corruption, les pays voisins....
Vous êtes l'exacte démonstration du propos de l'article.

Si vous pensez que les humains sont trop nombreux, ne faites pas d'enfant et consacrez votre vie au développement durable qui englobe le respect des humaisn , par exemple des migrants en France et en Europe (un peu de bénévolat du côté de Calais).
Sur le même sujet, lire Le Pays des marées d'Amitav Ghosh où comment on protège les tigres y compris en tuant les humains qui eux essayent de ne pas se faire bouffer par ces tigres (et de toute façon, ces humains sont des métèques, des nomades, des pauvres, donc ils ne valent rien).
En réalité, parmi les choses qui dérangent fortement certains, il y a l'autre. Et donc ses interrogations, ses amours et surtout ses indignations. Et pour peu qu'elles soient partagées par un grand nombre, pire lorsque cela procède de cette information si librement diffusée désormais qu'internet donne un sentiment de "savoir" à tout un chacun (ce qui disconvient à "ceux qui savent vraiment" et qui ont fait des efforts pour cela), il devient tentant de fustiger le suivisme mondialisé et de dénigrer la qualité des sentiments d'indignation que de si braves et nombreuses foules éprouvent. Peut-être le contempteur se sent-il exclu, ou très supérieur à son semblable... je ne comprends pas vraiment.

Pour ma part, j'ai appris sur internet (puis la presse papier) la mort du lion prénommé ; si célèbre qu'il ait été, c'est le contexte, la manière et la cause de sa mort qui m'indignent et me peinent, mais que faire de ces sentiments "sans aucun doute" téléguidés, fabriqués, non crédible pour qui n'est pas moi, hein ! Il en irait ainsi de toutes les indignations, de tous les combats humanistes, écologiques, qui ne vaudraient qu'après validation de leur authenticité par un comité de moralité sans lequel il serait interdit de s'indigner, de penser...

Il y a évidemment des conditions dans lesquelles la place de l'homme dans la nature exige de définir certaines frontières avec le monde animal, et des intégristes dangereux pour qui l'existence de l'homme compte moins que la croisade qu'ils mènent. Mais est-ce de cela qu'il est question lorsqu'un riche safariste se paie un trophée au prix de la balle d'un fusil à lunette de haute précision, une arme d'assassin ? J'ai vraiment envie d'opposer sa bestialité (!) au malheurs de l'humanité pour ne lui accorder, sans procès, aucune circonstance justifiant cet acte. Et là, je ne parle pas de la chasse telle qu'elle se pratique ancestralement, autre sujet hyper brûlant.
Effectivement. Une cause n'est pas exclusive d'une autre contrairement à ce que l'on voudrait nous faire avaler. L'enjeu est bien de récupérer une vision globale de l'homme (dans la nature, avec les animaux, sur une planète, dans un univers) et non d'encourager cette "spécialisation", fragmentation qui nous rend aveugles à tout ce qui n'est pas notre minuscule bout de compétence, d'espace, de vie. Pour paraphraser les bouddhistes, toute pensée, acte de révolte et de lutte (bon, ils parlent de bienveillance, mais la bienveillance a besoin d'un peu de soutien) amplifie le changement du monde. Alors, oui, nous avons la place pour les migrants, les lions massacrés inutilement par de riches imbéciles, le "1%", la Grèce, la régression sociale annoncée et en cours , l'abattage des animaux à viande, la misère d'une partie du monde en tache d'huile, le bétonnage du monde, le changement climatique... j'en passe et des meilleurs parce que point n'est besoin de microscope pour distinguer nettement les liens qui les unissent. Parce qu'arrêter de voir que tout cela est bel et bien imbriqué, c'est accepter de devenir les fourmis consommatrices et productrices de néant qu'on veut nous voir devenir. Donc soutien à Cecil, haro sur les riches imbéciles au fusil en guise de pénis, aide et ouverture aux migrants et multiplions les rébellions, les luttes. Après tout, il s'agit bien de changer un "système".
Forum ou l'homme est un lion pour l'homme ?
OK OK, baisses saisonnières.
Dans l'ensemble je suis d'accord avec votre analyse, mais il me parait y'avoir une omission de taille dans votre message, qui me derange.

l'extinction de masse est essentiellement du aux consequences de notre mode de vie, le chasseur en est une composante, symboliquement commode, mais ce n'est pas vraiment lui qui est responsable de l'etat de notre nature mais nous tous, la societe, son mode de production/consommation, dans laquelle nous vivons.

Il faudrait pas tomber dans la tentation de faire du chasseur le bouc emissaire pour tout cela, et donc nous "disculper", les consequences de ce que l'ont fait tous au quotidien, fait passer le chasseur pour un amateur dans ce domaine...
Voté.

Je trouve assez détestable la façon dont cette indignation légitime (et disproportionnée, mais aucune réaction face à l'actualité n'a jamais eu de proportion légitime puisqu'elle tient autant à l'affect qu'aux faits) face à la façon dont un individu a utilisé sa richesse pour détruire de façon privée et semble-t-il illégale une bestiole qui appartenait au patrimoine de l'humanité et des zimbabwéens au premier chef est retournée pour être présentée comme un problème "de riches" uniquement.

On comprend l'irritation de certains de ces derniers qu'un lion attire plus les médias et réactions qu'un certain nombre de problèmes qui les touchent de plus près.

Néanmoins, si les espèces disparaissent, s'il n'y a plus de lions, d'ours blancs, de tigres, d'abeilles, etc., c'est au premier lieu la beauté du monde et l'imaginaire de tous les humains qui s'en trouvera appauvri, et ensuite de façon très pragmatique leur survie.

Quand à la question de la cohabitation entre humains et grands prédateurs, c'est une question qui se posent en beaucoup d'endroits mais soyons un peu clairs : si les lions posent un réel problème de sécurité au Zimbabwe, alors que semble-t-il ce n'est plus le cas dans d'autres pays d'Afrique, c'est peut-être également à imputer aux défaillances de l'Etat zimbabwéen et de Mugabe, qui n'a d'ailleurs pas su les protéger ni de famines crasses, ni d'un moment d' inflation démentielle au cours des 20 dernières années (donc autant dire que même si ça s'améliore depuis qu'il n'est plus seul au pouvoir, la sécurité des gens n'a pas été une priorité pendant longtemps).
« Néanmoins, si les espèces disparaissent, s'il n'y a plus de lions, d'ours blancs, de tigres, d'abeilles, etc., c'est au premier lieu la beauté du monde et l'imaginaire de tous les humains qui s'en trouvera appauvri, et ensuite de façon très pragmatique leur survie. »


Pardon Rolleyes, mais je trouve que c’est une vision bien anthropocentrée.
Le gros souci n’est pas la ou les pertes pour les humains.

L’existence des espèces qui sont sur terre se justifie par elle-même. Quels dieux sommes-nous pour décider ou laisser
faire leur extinction par notre faute ?

Pour mémoire, pas pour vous, mais pour ceux qui ne sont pas sensibles à la cause animale, ce lion était un animal protégé.
Protégé de quoi, de qui ?
Eh oui ! des humains ou du désordre provoqué par les humains.

Et Zozo le riche considère qu’il est très divertissant de le tuer.

Il faudrait vraiment qu’humanité rime enfin avec humilité.
Exterminons toute l'humanité, pour revenir a l'etat naturelle , le seul vrai :


Kingsman , secret agent , film plus malin qu'il n'y parrait
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre écrivage se rapporte à votre lecturage, vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois.
ça ne me pose pas problème d'aborder la question du point de vue anthropocentré (ou on pourrait dire humaniste, même si le terme est devenu pédant), plutôt que naturaliste.

Le point de vue naturaliste repose à mon sens sur un présupposé de l'équilibre naturel qui globalement est faux : il n'y a pas de stabilité naturelle à long terme, des espèces mutent ou disparaissent par la faute d'autres espèces ou de changements climatiques depuis que la vie existe. Que l'extinction de masse soit provoquée aujourd'hui par les humains ne la rend pas sur le long terme moins "naturelle" que les autres catastrophes de ce type.

Et il a un autre présupposé : celui qu'en essayant de nous conformer à cet ordre naturel, on reviendra à cet équilibre. Mais on n'en est plus là, ou pour dire les choses autrement, nous avons globalement trop bousillé le monde pour ça. Il s'agit maintenant de sauver ce qu'on peut encore sauver et d'éviter de bouleverser plus irréversiblement ce qu'on a déjà bouleversé irréversiblement. C'est une question de survie pure (et soyons clairs : vu la résistance de notre espèce, si nous nous éteignons en raison de mauvaises conditions de vie, quasiment tout le reste aura crevé avant).

(Ceci étant je veux bien être d'accord sur le fait qu'à côté de cela, il y a toute une question autour des droits et de la dignité de l'animal, et qu'il serait extrêmement limité de n'aborder cette question que du point de vue de leur utilité pour l'homme.)
En tant qu'homme, je vois mal quel point de vue plus sensé que le sien celui-là (ou celle-ci) pourrait raisonnablement développer. Le point de vue de la marguerite est intéressant, mais il faut en passer par notre remarquable intelligence anthropotruquée pour la faire parler (nous z'afons les moyens te fous... etc). En lisant la réponse d'Oblivion, je n'ai pas eu l'impression qu'elle soit très utile dans le cas précis... pardon, Oblivion, hum.
J’entend bien ce que vous exposez et je le respecte.
Et je vais rencontrer quelque difficulté à vous exposer ce que je ressens profondément.

Pour moi, lire cette phrase : « Que l'extinction de masse soit provoquée aujourd'hui par les humains ne la rend pas sur le long terme moins "naturelle" que les autres catastrophes de ce type. » m’est particulièrement insupportable.

J’ai une idée de l’éthique humaine qui ne rentre pas dans ce schéma de pensée. Je rêve que nous soyons capables
de ne jamais considérer un groupe « autre » comme suffisamment négligeable pour l’éliminer entièrement.

Je vais faire péter le point godwin, désolée, mais quelle est la différence, dans la tête d’un humain, entre tenter d’éliminer un peuple et éliminer une espèce, aussi grenouille ou lion soit-elle ?
Éliminer un peuple est-il aussi «naturel» que les «autres catastrophes de ce type» ?

De quel droit ce verdict ? je me répète.

Je sais que le terrain est miné, mais je tente (sans doute sans succès) de faire comprendre que, nous autres, humains,
sommes si fragiles que l’idée de profiter de notre force ne devrait même pas nous effleurer.
quand cette force est utilisée à [large]bon escient[/large], elle devient "profitable" aux espèces ciblées.
C'est une manière disons imagée que de considérer l'emprise de l'humanité comme une catastrophe naturelle, mais rien dans ce fait de catastrophe présenté sous cette forme ne me semble, dans l'idée de Rolleyes, la rendre plus ou moins acceptable qu'une autre. Il est vrai qu'en ce qui concerne les grands changements climatiques millénaires, on se sent un peu démuni. De même, il ne me semble pas dit que le fait que notre présence ait pour effets de grandes catastrophes écologiques nous délie de toute responsabilité pour la raison que nous humains n'influerions (de manière infinitésimale disent certains), que sur l'une des mille évolutions planétaires qui elles se produisent au cours de millions d'années. Je ne lis pas que Rolleyes suppose que peut importe notre responsabilité humaine dans la disparition des espèces terrestres parce que nous ne serions que l'un des micro-éléments de l'évolution de l'univers, ce qui nous ôterait toute responsabilité ou moyen de réduire notre malfaisance naturelle.
le rôle de l'Homme dans la disparition de la biodiversité -tant sur le nombre des espèces, essences que sur les effectifs d'icelles- n'est même plus à cataloguer dans le registre du parasitisme, qui pour le coup participe à l'équilibre des écosystèmes, le parasite ne détruisant pas la proie qui le nourrit., Il serait plutôt devenu de nature cancéreuse : des pans entiers des chaînes alimentaires s'amenuisent et disparaissent, entraînant le cortège funèbre à notre porte et que le grand public relativise encore et toujours (les chiens et chats domestiques ne sont pas concernés).
tient donc , la tout d'un coup l'homme est different de l'animal . .


Et oui la conscience change tout, et un animal n'a pas d'ethique .

Mais non pour vous l'homme est un cancer, pire qu'un parasite, qui pullule .

et bien les gars , vraiment vraiment gerbant vos idées et vos emotions . Bien deguelasse
Wow , comparer une extinction animal à un genocide . Fallait oser . Puis l'humanite a un cancer .

Vous me faites gerber
Serrez mieux les dents en gerbant: il y a encore des morceaux de méchanceté qui passent.
Et du coup ça pue partout sur le forum.

C'est dommage, parce que le débat entre Rolleyes, Oblivion et Bracam est vraiment intéressant, intelligent et courtois malgré des points de vue différents, voire opposés.
aucune mechanceté, au contraire,

une nausée devant vos idée immondes, vos paroles degueulasse, votre vision du monde et de la vie debile.


Vous me faites vraiment gerber , comme des petit nazions me ferait gerber
Ma vision du monde vous emmerde, quant à vos propos, la prochaine fois que vous vous permettez de me comparer à un "nazion" je vous balance au modo. Compris?
C'est pas trop mon genre, mais trop c'est trop.
Je parle des gens qui parle des humains comme un nuisible, et qui compare des pendaisons, des genocides , et autre joyeuseté avec la mort d'animaux .


Et tu peu aller a la moderation , je n'ai pas peur de mes propos, les gens qui soutiennent ses idées sont des petits nazions , dont on ne connait pas bien les intentions, car ils ne donnent jamais leur idee pour les droits des animaux et autre betises , ils ne disent jamais ou ca mene, ni l'ideologie politique derriere tout ca .


Peta en est l'incarnation ONG,
Ce n'est pas vous qui vous revendiquiez d'un certain Vivekananda ?
Citations de Swami Vivekananda sur les animaux. La personne qui a écrit cette page, l'a fait en partageant la même sensibilité que Peta, l'idée assez répandue dans certaines contrées orientales de compassion universelle étendue aux animaux. C'est un "nazion" qui s'ignore ?
Pas du tout, tu l'a tres mal lu , le yoga dit plein de chose assez subtile , et il faut lire le texte complet de vivekananda.


Pour le yogi , l'homme est le seul etre qui peu devenir dieu, et il est en cela a part, mais le yoga pense que tout est connecter, les etre vivant, la terre, les plantes, mais chacune a son echelle de conscience, et dans son ordre d'impoortance .

Pour le yogi , l'homme est superieur aux divinités , car la divinité ne peu plus devenir dieu.

Il est superieur au autre animaux, ce qui ne veux pas dire pouvoir les detruires.

De toute facon renoncer a son pouvoir fait partie de la route du yogi, et le yogi / moine, est vegetarien,chaste (car l'energie sexuelle doit etre recanaliser) , il ne peu tuer meme un insecte, et doit suivre une ethique precise, mais le moine yogi ne desir pas que le monde entier devienne moine yogi
Renoncer a du plaisir par ethique, ne s'applique pas que a la nourriture, et vivre une vie de pureté est un choix personnelle, pas a un droit imaginaire des animaux, qui n'existe que a travers de l'ethique de l'homme.

De plus , c'est le grand paradoxe du yoga, il faut une ethique personnelle exigeante , et en meme temps le yoga dit que il n'y a ni mal ni bien . C'est compliqué le spirituel. comme toute les philosophie elle va dans les paradoxes pour devoiler les nuances et les subtilité
le yogi / moine, est vegetarien

Pourquoi le yogi est-il végétarien ? Pourquoi ne doit-il pas tuer même un insecte ?
Quelle différence avec ceux qui demandent une protection des animaux, à ce qu'on les traite bien, qu'on renonce à notre pouvoir sur eux et qu'on devienne... végétariens ?
La difference Faab, c'est que il s'adresse a des gens qui veulent devenir moine, et vivre entierement pour trouver l'eveil.

Que ce n'est en aucun cas un manuel politique ou de droit , et que si tu lis raja yoga, il te dit que plein de gens peuvent pratiquer a leur echelle, et faire que du Hatha pour etre en bonne santé si il veulent.



Je ne pense pas que tu veuilles imposer la chasteté mondialement????? Hors c'est indispensable pour le vrai yogi

Le renoncement a la viande et du meme ordre, c'est une forme d'acetisme, qui effectivement a une source ethique, mais n'est en aucun cas imaginer que la nature est gentille , ni que l 'homme est une ordure de parasite. De plus tu pense bien que de ne pas manger de viande, mais de hair l'etre humain et l'humanité, n'amene pas a la sagesse. De plus le vegetalisme nouveau, interdit de manger du miel, de porter de la laine , et un tas de truc debile, car soit disant on rend les animaux esclaves .... De plus va dire a un Inuit de ne devenir vegetarien, et sur sa banquise il te prendra pour un fou. Hors Bardot et autre, leur on interdit la vente des peaux de foques qu'il tuait de toute maniere . Heureusement ils ont une derogation apres moulte lutte contre des petit bourgeois bien au chaud

De plus la sagesse et le chemin de la sagesse , se cherche par soit meme, et il se peu que on puisse atteindre l'eveil en etant carnivore , qui sais ,

vivekananda, comme zarathoustra dit renié moi.

Prendre trois vagues extrait , hors contexte , et dire que Vivekananda soutient peta, c'est un peu paresseux tu pense pas ???

PS: faire le bien par peur de la punition est un peu mediocre, embrasser le bien par pur convention est encore pire .
Mais si c'est censé être bon pour le vrai yogi, pour le sage, pourquoi ne pas le recommander à tout le monde et vouloir pousser dans ce sens y compris au niveau du Droit ? Mais, au demeurant, où a-t-on vu des programmes politiques voulant imposer le végétarisme ou des pratiques approchantes (à part en Inde où des nationalo-hindous s'en servent contre les musulmans...) ?

En fait, il y a peu, vous disiez "je suis yogi, et ma copine est vegan", aujourd'hui vous nous sortez du Zarathoustra (celui de Nietzsche, je suppose) et ce qui est sûr, c'est qu'agresser les défenseurs des animaux, les traiter de "nazions" et autres amabilité n'est pas signe d'un grand avancement sur les voies de la sagesse.
En quoi êtes-vous différent de ces gens dont vous dénoncez les excès et qui traitent les autres de criminel, vous qui les traitez de génocidaires en puissance voire de secte apocalyptique souhaitant la disparition de l'humanité ?

P.S. : "Apocalyptique", parce que depuis 2000 ans, ce sont plutôt les pensées religieuses de tradition judéo-christiano-islamiques qui sont du genre "tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens", qui attendent la fin des temps, et se permettent d'accélérer les choses en massacrant ici ou là. Qu'importe la vie ici-bas quand on considère que la vraie vie est dans l'au-delà.
Ben pourquoi par imposer la charia, c'est aussi plein de bon precept moraux . Poussons chacun notre petite ethique personnelle comme loi , faisons mille lois pour tout le monde, interdisons tout . Imposons le bien par la force du glaive .

Oui oui mr les integristes .

Excuse moi , mais les antispeciste et peta ne sont pas des protecteurs de la nature, peta ne fait rien a part des truc debiles qui servent a rien , et je caricature a peine en disant ca .



de plus ceux que j'attaque ici, dise bien pire que peta : comapraison de genocides , de pendaison, souhaite de mort pour les gens dit amoraux (chasseur) ,l'humanité est comparer a des parasites, a du pullullement etc etc .
En gros ce qui a ete dit ici par les "protecteur des animaux", tu remplace chasseur , carnivore, tueur d'animaux, par arabe , juif, noir , ou autre, et tout d'un coup ce n'est plus acceptable du tout , mais si on parle de mechant tueur d'animaux, la bien sur, c'est different, on peu tout dire, car on est des gentille petit protecteur de petite boule de poile toute mignonne .

Vous etes une bande de petit facho, dans la definition meme du mot .

Apres je ne comprend meme plus ton raisonement, je vois pas le probleme avec Nietzsche, zarathoustra et le yoga. D'ailleur Nietzsche dit son admiration pour boudha des le debut de Ecce Humo.

Bref bref bref , ca devient lassant

PS : j'ai deja dit plusieurs fois que en matiere de philo je connais rien, j'aime la litterature et penser . Les quatres philosophe que j'ai suivit, parcequ'il m'ont fait sentir moins seul (on a tous , enfin je l'espere, des sortes de frere ideal, de compagnon de pensée, des amis par oeuvre interposée) , par ordre chronologique personel sont : Descartes, Nietzsche , Zyzek , Vivekananda . J'ai toujours dit que je cite peux d'auteurs, en gros les meme, en economie Lordon (et ma connaissance, assez extensive de l'economie et de la plupart des grands theoriciens), en litterature Dostoieveski et Balzac , et ces 4 philosophes (+ stiegler)
Je ne fais pas de raisonnement, le sujet c'est vous et je cherche à saisir quelqu'un qui se dit "yogi" mais a des attitudes bien loin des sagesses orientales, qui réduit autrui à des sortes d'agent Smith détestant l'humanité et balance de joyeux sophismes (non, on ne remplace pas des mots pour faire dire aux gens ce qu'on veut, "X hait les chasseurs" et "X hait les arabes" ont la structure "X hait Y" mais pas le même sens. Exemple : "GauthierR hait les anti-spécistes", "GauthierR hait les spécistes", "GauthierR hait GauthierR").

Mais, au final, je crois surtout que vous adoptez ici un style "bistrot" à base de tutoiement, d'affirmations péremptoires et de mandales, et je suppose que si ça sème la zizanie sur le forum, c'est qu'on y a plutôt des amateurs de salon, un rien culs serrés, qui ne sont pas habitués à se faire traiter de con et de nazi dans la conversation courante. C'est un peu comme si quelqu'un disait "va't'faire mettre gro et niq ta mère ! Vivekananda, c'est l'top, Nietche power et touche pas au steak de mon pit' !". Quand on n'est pas habitué, ça peut faire bizarre.

Ben ouais, y'a quand même des profs ici, des profs de maths qui rigolent pas avec les nombres complexes, d'histoire qui rigolent pas avec les histoires, de philo qui rigolent pas avec Descartes et l'entendement infini, de français qui comptent les fotes etc., c'est pas la fête à Jojo, sérieux et compétence sont exigés à l'entrée.

Sur ce, pour clore le sujet et comme l'important est quand même l'estomac et ce qu'on y met, le passage de Nietzsche sur Bouddha dans Ecce Homo :

"Le malade doit éviter à tout prix le ressentiment, c'est ce qui, par excellence, lui est préjudiciable, mais c'est malheureusement aussi son penchant le plus naturel. - Le profond physiologiste qu'était Bouddha l'a compris. Sa "religion", qu'il faudrait plutôt appeler une hygiène, pour ne pas la confondre avec une chose aussi pitoyable que le christianisme, subordonne ses effets à la victoire sur le ressentiment. Libérer l'âme du ressentiment, c'est le premier pas vers la guérison : "Ce n'est pas par l'inimitié que l'inimité finit. C'est par l'amitié que l'inimité finit", - cela se trouve écrit au commencement de la doctrine de Bouddha. Ce n'est pas la morale qui parle ainsi, mais la physiologie."

Déverser trop de bile (y compris sur ses adversaires) n'est pas bon pour la digestion.
Dans le genre, il y a chez Spinoza un mantra utile à répéter : "la haine ne peut jamais être bonne".
Tu hallucine complètement faab : sur tout les forum avec comme sujet la défense des animaux, il y a quelques personnes qui imposent une vision immonde des chose, stupide, méchante et agressive, et je leur repond avec la vivacité et la fermeté que de tel propos merite largement.

Sur Vivekananda ou le passage de Ecce Homo, tu m'apprend rien , je les ai lu et relu .

Tu comprend bien mal la sagesse , oriental ou pas, et je connais tres bien mes choix, et pouquoi je les fais , merci de ton petit prechi precha de bistrot.

Quant au tutoiement , dans ma ville c'est la norme, et plutot une marque d'estime et de proximité . Je ne savais pas que le forum d'asi avait le tutoiement interdit ??????????

La ou on est d'accord, c'est que ces petit activiste de salon, qui tiennent des propos degueulasse sous couvert de peace and love, n'ont pas l'habitude qu'on leur reponde , et encore moins avec franchise et sans gands .
PS: ca m'interesse absolement pas d'etre le sujet, ni de parler de moi ,

si Vivekananda t'interressait je continuerais le debat, mais si c'est que mon proces , et que le but c'est d'essayer de prendre ma spiritualité et mon ethique et de la retourner contre moi, je te souhaite bien du plaisir de un , et de deux, fait le sans moi , entre vous , cela ira tres bien, je te conseil de lire les texte integrale, pas trois extraits sur un site de defence des animaux .

je sort pas des truc aussi debile que je suis un mec super bien , mais vraiment les humains quelle parasite de la planette, quelle bete immonde, , mais je dit ca parceque je suis une chochotte qui adore les petit chats, donc c'est pas grave .
C'est marrant, je me sens visée là ... Voilà ce que je dis : tant que les zanimaux ne sauront pas lire, ils ne pourront pas connaitre leurs droits, encore moins les écrire, donc ils n'ont aucun droit. C'est pourtant simple.

En plus les yogi n'ont pas le droit de faire crac-crac, c'est pas étonnant que tu es tout le temps énervé. Bon là d'accord c'est petit, faut pas m'en vouloir, je n'ai pas pu résister.

Ta chochotte préférée, "fleur de lotus".
Je suis tres loin du stade du moine, et ce renoncement la sera le dernier, je serais vegetarien avant cela , chose sur .

Et puis la sagesse est un domaine ou les choses ne sont que recommendation, c'est une exploration tres empirique, et il ne faut pas hesiter a tenter diffement tant qu'on sait voire les impasses.


La chasteté, tout comme la solitude, sont un peu les angles mort du yoga, c'est pas pour rien que l'histoire du christ est souvent un complement, car l'amour de l'autre et le plaisir du partage sont plus chretien.

Si tout le monde est chaste, plus de procreation .....

Hors l'idee du yoga, c'est que de toute maniere sur des milliers d'annee l'humanité atteindra l'eveil collectivement, l'idee de la meditation c'est de faire une partie ou tout les 5000 ou 10000 ou 100 000 ans tout seul en une vie (ou plusieurs si on est boudhiste, mais le boudhisme est un yoga parmit d'autres: les variations sont sur l'after life: re incarnation, ou non ) .

Mystere et boule de gomme
deja il y a seulemment trois extrait de texte, dont un qui se repete sur le tigre . Ca veu a peu pres rien dire hors contexte.

J'ai ete voire le texte de reference, et juste comme ca au hazard , dans le meme texte :

The Yogi says you are to go to the root of all this. Why is there misery in the world? He answers: "It is all our own foolishness, not having proper mastery of our own bodies. That is all." He advises the means by which this misery can be [overcome]. If you can thus get mastery of your body, all the misery of the world will vanish. Every hospital is praying that more and more sick people will come there. Every time you think of doing some charity, you think there is some beggar to take your charity. If you say, "O Lord, let the world be full of charitable people!" — you mean, let the world be full of beggars also. Let the world be full of good works - let the world be full of misery. This is out-and-out slavishness!


... The Yogi says, religion is practical if you know first why misery exists. All the misery in the world is in the senses. Is there any ailment in the sun, moon, and stars? The same fire that cooks your meal burns the child. Is it the fault of the fire? Blessed be the fire! Blessed be this electricity! It gives light.... Where can you lay the blame? Not on the elements. The world is neither good nor bad; the world is the world. The fire is the fire. If you burn your finger in it, you are a fool. If you [cook your meal and with it satisfy your hunger,] you are a wise man. That is all the difference. Circumstances can never be good or bad. Only the individual man can be good or bad. What is meant by the world being good or bad? Misery and happiness can only belong to the sensuous individual man.


Il en decoule cher ami, que le sort de la planette ne tient pas dans des animaux gentille et moraux face a une humanite mauvaise, mais de l'homme dans son rapport a la nature, dans son respet de la nature, et dan sla maniere dont il sais se controller, lui et ses pulsions , et donc etre face a son ethique, et non a des interdit imaginaire et des droit imaginaire a des chose ou vivant qui n'ont aucune conscience et droit autre que d'etre ici et maintenant , dans une forme de meditation. comme le feu est le feu, et le monde est le monde , il ne reflechit pas a sa propre moral, seul l'homme le fait
quant a l'autre reference j'ai meme pas vraiment trouver l'extrait , dans le sens ou il parle de la definition erroner de ce qu'est etre civiliser, dans le sens ou c'est cela n'a rien a voir avec le progres, au contraire, ca a voire avec un truc tres vieux, le controle de soit , :


"The caste system has nothing to do with religion. A man's occupation is hereditary: a carpenter is born a carpenter; a goldsmith, a goldsmith; a workman, a workman; and a priest, a priest. But this is a comparatively modern social evil, since it has existed only about 1,000 years. This period of time does not seem so great in India as in this and other countries. Two gifts are especially appreciated -- the gift of learning and the gift of life. But the gift of learning takes precedence. One may save a man's life, and that is excellent; one may impart to another knowledge, and that is better. To instruct for money is an evil, and to do this would bring opprobrium on the head of the man who barters learning for gold, as though it were an article of trade. The government makes gifts from time to time to the instructors, and the moral effect is better than it would be if the conditions were the same as exist in certain alleged civilised countries. The speaker had asked through the length and breadth of the land what was the definition of civilisation, and he had asked the question in many countries. Sometimes the reply had been given: What we are, that is civilisation. He begged to differ in the definition of the word. A nation may control the elements, develop utilitarian problems of life seemingly to the limit, and yet not realise that in the individual the highest type of civilisation is found in him who has learnt to conquer self. This condition is found in India more than in any country on earth, for there the material conditions are subservient to the spiritual, and the individual looks for the soul manifestations in everything that has life, studying nature to this end. Hence that gentle disposition to endure with indomitable patience the flings of what appears unkind fortune, the while there is a full consciousness of a spiritual strength and knowledge greater than those possessed by any other people; hence the existence of a country and a people from which flows an unending stream that attracts the attention of thinkers far and near to approach and throw from their shoulders an oppressive earthly burden. The early king, who in 260 B.C. commanded that there should be no more bloodshed, no more wars, and who sent forth instead of soldiers an army of instructors, acted wisely, although in material things the land has suffered. But though in bondage to brutal nations who conquer by force, the Indian's spirituality endures for ever, and nothing can take it away from him. There is something Christlike in the humility of the people to endure the stings and arrows of outraged fortune, the while the soul is advancing towards the brighter goal. Such a country has no need of Christian missionaries to "preach ideas", for theirs is a religion that makes men gentle, sweet, considerate, and affectionate towards all God's creatures, whether man or beast. Morally, said the speaker, India is head and shoulders above the United States or any other country on the globe. Missionaries would do well to come there and drink of the pure waters, and see what a beautiful influence upon a great community have the lives of the multitude of holy men.
Then marriage condition was described; and the privileges extended to women in ancient times when the system of co - education flourished. In the records of the saints in India there is the unique figure of the prophetess. In the Christian creed they are all prophets, while in India the holy women occupy a conspicuous place in the holy books. The householder has five objects for worship. One of them is learning and teaching. Another is worship of dumb creatures. It is hard for Americans to understand the last worship, and it is difficult for Europeans to appreciate the sentiment. Other nations kill animals by wholesale and kill one another; they exist in a sea of blood. A European said that the reason why in India animals were not killed was because it was supposed that they contained the spirits of ancestors. This reason was worthy of a savage nation who are not many steps from the brute. The fact was that the statement was made by a set of atheists in India who thus carped at the Vedic idea of non - killing and transmigration of souls. It was never a religious doctrine, it was an idea of a materialistic creed. The worship of dumb animals was pictured in a vivid manner. The hospitable spirit -- the Indian golden rule, was illustrated by a story. A Brahmin, his wife, his son, and his son's wife had not tasted food for some time on account of a famine. The head of the house went out and after a search found a small quantity of barley. He brought this home and divided it into four portions, and the small family was about to eat, when a knock was heard at the door. It was a guest. The different portions were set before him, and he departed with his hunger satisfied, while the quartette who had entertained him perished. This story is told in India to illustrate what is expected in the sacred name of hospitality."
Le leggi di natura fanno sì che, per sopravvivere, le api debbano cooperare, di conseguenza possiedono istintivamente un senso di responsabilità sociale. Non hanno costituzione, né leggi, né polizia, né religione, né morale, ma a causa della loro natura lavorano fedelmente insieme. Di tanto in tanto possono combattere, ma in generale, grazie alla cooperazione, l'intera colonia sopravvive. Noi esseri umani abbiamo una costituzione, delle leggi e una forza di polizia. Abbiamo la religione, un'intelligenza notevole e un cuore con una grande capacità d'amare. Abbiamo molte qualità straordinarie, ma nella pratica effettiva penso che arranchiamo dietro a quei piccoli insetti. Per certi versi ritengo che siamo più scarsi delle api.
(Tenzin Gyatso, XIVe Dalai Lama)
« Ma vision du monde vous emmerde, quant à vos propos, la prochaine fois que vous vous permettez de me comparer à un "nazion" je vous balance au modo. Compris?
C'est pas trop mon genre, mais trop c'est trop. »


Ooooh ! ce serai vraiment dommague de ne plus profité de ses jugement equilibre de grand filosophe modeste !
Tu a fais une fautte: "de ses jugement equilibret"
Essaye de restée vigilente a l'avenire.
Ce qu'a répondu Bracam est exact : quand j'indique que l'extinction provoquée par l'homme est un phénomène "naturel", il ne s'agit en aucun cas de dire que du coup c'est bel est bon et qu'il faut laisser faire, il s'agit surtout d'indiquer que nous faisons partie de la nature, que du fait de notre nombre, nous sommes aujourd'hui un phénomène majeur et donc irréversible : on ne pourra pas revenir à un équilibre extérieur à nous, on doit assumer que nos choix (de destruction ou de protection), par définition, ont un impact massif sur toutes les autres espèces ainsi que sur nous.

C'est une raison de plus pour ne pas laisser faire, de tout notre possible, les extinctions et encore moins les faire sciemment.

Sur la question des espèces et des cultures, de fait, des cultures humaines disparaissent ou deviennent "muséifiées" par l'évolution du monde de la même façon que les espèces animales disparaissent. C'est un phénomène que, je suis d'accord, il faut chercher à enrayer (par l'étude, par la préservation des conditions de vie, etc.), mais, d'une part, il y a une grosse différence entre un phénomène de ce type qui advient progressivement par l'évolution des choses et un qui advient brutalement par le biais du massacre et de la destruction massive, et d'autre part, je dois avouer que cette vision globale me préoccupe un peu moins que la vision individuelle. C'est à dire, l'individu homme, quel qu'il soit, ou l'individu animal, quel qu'il soit (et selon une échelle de droits différente), peuvent-ils vivre une vie digne, libre, exempte autant que possible de souffrance ?
Les deux questions sont bien sûr liées (la dignité de l'existence de l'homme dépend de la reconnaissance de son mode de rapport au monde, et l'animal ne vit plus en dehors de son écosystème), et son donc toutes les deux importantes, j'accorde juste un peu plus d'importance à la deuxième. Pour les hommes, par exemple, je préfère autant qu'un mode d'existence meure s'il n'a plus de sens pour ceux qui le vivaient, même si globalement c'est une perte de diversité.
Bien, je vais essayer de comprendre et réfléchir à ce que vous écrivez le week-end prochain.
Les journées sont usantes. C’est pas facile de réfléchir en fin de journée.

;)
Après un peu de repos, j’ai compris ce que vous écriviez. ;)

J’approuve ce que vous dîtes, d’ailleurs.
Vacances finies ou pas encore prises ? :)
Finies et enterrées au bout d’une seule semaine de labeur.
J’ai pensé à votre phrase dans ce forum :
« De la même façon, on ne laisse pas la façon dont les relations existent dans le monde du travail être entièrement dépendantes du bon sens et de la subtile intelligence des patrons : on rédige aussi un code du travail. »

Au travail, j’ai l’impression de vivre comme un nanimal… :-(
Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
"Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
"Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.
c'en serait presque de l'anthropomorphisme, hein, d'utiliser des animaux pour afficher des réflexions de gens ?!? Sans un doute un fâcheux nasion plus intégriste qu'un djihadiste.
Confondre allégorie et fiction avec le réel : tien un intégriste .


Les apparences les apparences, tout ressemble a tout, tout se vaut, tout se melange,

ho la belle soupe que voila .

Vite vite , Lafontaine , un peu d'esprit vite car je me noie dans cette soupe .
mais pour que l'allégorie puisse passer, il fallait bien auparavant attribuer aux animaux des caractères spécifiquement humains : noblesse du lion, vanité du paon, ruse du renard, fierté du taureau, etc...

Bref, tous des intégristes qui préfèrent voir un génocide que les abattoirs... "nasion" lui-même !!!
J'essaye meme plus de trouver la logique avec toi, ni d'argumenter , c'est tellement delirant et stupide: no comment
Animal on est pas bien.
L'occasion aussi de retrouver la douce voix d'une ex-asienne.
Entre La Fontaine et Manset, la vie semble plus clémente. ;)
Elle me plait bien cette version avec dEUS.
J'avais oublié la phrase finale amusante :
Et si on ne se conduit pas bien,
On revivra peut-être dans un peau d'un humain.
Zut :(

J'ai l'impression de vivre à peu près la même chose en ce moment (rentrée depuis deux jours et l'été est loin, loin !)
Encore plus rapide que pour moi. :(

><><><><
Rolleyes, on est d'accord jusqu'au droit des animaux. Cela n'existe pas , vu qu'il ne comprenne ni la loi ni leur droit, ils sont libre .

Ce qui existe deja, et qui est renforcé souvent, c'est le devoir des humains envers les animaux . Il est interdit par la loi de maltraiter un animal ou de le faire souffrir inutilement .
@GauthierR

vu qu'il(s) ne comprenne(nt) ni la loi ni leur droit, ils sont libre(s) . "

Dois-je comprendre que l'on accède à la "Liberté" si on ne coprend ni la loi, ni 'ses" droits?

(entre parenthèses les corrections orthographiques pour comprendre de qui on parle.)
En tout cas , il faut un minimum de conscience pour comprendre le contrat social, et pour comprendre l'impact ecologique, et avoir une vision du bien et du mal .

Donc ils sont libre de toute regle inventé , et de tout jugement moral .

De toute facon vous savez, ma conclusion de tout ca, personelle , et je trouve la serie Fargo tres claire la dessus , (ca rejoint le yoga):

pas de bien pas de mal,mais de l'amour ou pas d'amour



Vouloir justifer ses emotions negatives, ses haines par ce que l'humanité peu avoir de mediocre, et finalement justifier son absence d'amour, dans un pseudo rationalisme moral, me parrait un proceder tres malhonette, dangereux, et qui ne mene pas loin intellectuellement et spirituellement.

Pour moi les Dhihadistes font pareil mais au moins ils aiment l'humain, tres mal , et de maniere completmeent delirante, mais il ne voit pas dans l'humain un parasite, qui pullule, qui fait des genocides contre les petits animaux tout gentille ,et qui merite la mort , juste par ce qu'il est : un humain


Donc ceux qui deteste les humain et reve de les voire disparaitre, je leur dit, commencer par vous meme, suicider vous, vos amis, vos familles, manger du quinoa puis pendez vous , et foutez nous la paix
"Pour moi les Dhihadistes font pareil mais au moins ils aiment l'humain, tres mal , et de maniere completmeent delirante ".
Sur ce coup si la SDAT vous repère, c'est plus le bannissement du forum que vous risquez, mais carrément la zonzon!
Franchement, vous réalisez ce que vous écrivez, des fois? Vous marchez à quoi? Amphètes, coco, chichon?...
Ou alors, c'est juste pathologique. Si c'est le cas, excusez mon ironie: votre maladie forcerait le respect.
???????????????? ben ecoute je t'invite a porter plainte, car tu est le seul a voire quelque chose d'illegale a dire que lles antispeciste sont des djihadistes mais en pire, car leur vision de base est une haine complete de l'etre humain, alors que l'integrisme religieux place l'homme au dessus de tout, et y voit l'accomplissement de dieu a son image, ce qui est tout de meme un poil plus joyeux que les theorie anti speciste et voisines.

EN gros je classe les idee morbides par hierarchie , et l antispecisme est l'une des pires, avec le transhumanisme, qui sont les deux nouveau isme de notre epoque, dont on ne parle pas assez
ce gars-là enfile les conneries comme si c'était des perles... Y répondre consisterait à s'abaisser à son niveau, la hauteur du caniveau.
"ce gars-là"...
Qui ça, moi?...
C'est claire que faire comme toi et comparer la chasse a du meurtre, la corrida a une pendaison humaine, la mort des animaux et l'extinction a un genocide, de parler de vermine, de parasite, de pullulage humain, etc c'est hyper intelligent .

Palu , je te met dans le top 5 des idiots de ces forum
ça se discute, mais à mon avis on peut parler des droits des animaux.
On parle aussi des droits de l'enfant, et je crois qu'on ne demande pas à l'enfant en contrepartie une connaissance précise de la loi, ni qu'on ne lui accole un tas de devoirs.
La encore tu compare un etre humain a un animal ,

quand un moustique t'emmerde, tu le tue, quand ton gosse t'emmerde tu fait quoi , tu sort la tapette geante pour l'ecraser ????

De plus le contrat social, n'est pas de rendre tout le monde gentille et cool , mais d'avoir des regles du jeux minimal qui permette la vie en commun , tout en se sentant libre et dans le libre arbitre .

Si tu fait de toute ethique la loi, tu rend les choses tres perverse , et tu a rater ton but, l'authorité est la faillite de l'intelligence , et mene que a l'hypocrisie et au pourrissement.


Le contrat social doit etre inclusif de tout le monde, et laisser que les comportement les plus degueulasses dans le champs de la loi.

Si tu pense que on va pouvoir remplacer la gentillesse, la courtoisie, et le bon sens par des loi, tu as une vision un peu fausse de ce qu'est l'homme et la societe humaine .

de plus tu pense bien que les ethiques varie un peu celon sa culture, son environnement, son mode de vie .


et qu'il est plus interessant de s'y immerger, et d'essayer de comprendre , que de condamner du haut de son siege et de sa culture.

Le rapport a la mort dans notre societe est devenue tres malsain car refouler .

Accepter que le monde tourne avec la mort, et que la mort fait partie de la vie, c 'est un truc un difficille pour les utltra materialiste qui ne croit qu'a la matiere et ne vois aucun sens a rien , et pas facile pour tout le monde en general : c'est chouette la vie
Vous mélangez.

Quand on parle de droits de l'animal, on ne dit évidemment pas que les droits de l'homme (ou de l'enfant) s'appliquent tel quel à l'animal. On parle d'une échelle de droits différente, et qui ne sera pas non plus la même pour la vache, la méduse et le moustique.

Quand à tomber sous le coup de la loi, ben si, justement, je trouve que le fait d'éviter des souffrances inutiles aux animaux, de respecter leur droit à la vie (ne pas les tuer inutilement), de leur assurer des conditions de vie décente (légiférer sur des bases en terme de condition d'élevage), ce ne sont pas des choses à laisser à la gentillesse et à la courtoisie, ce sont des choses sur lesquelles on peut légitimement légiférer.
De la même façon, on ne laisse pas la façon dont les relations existent dans le monde du travail être entièrement dépendantes du bon sens et de la subtile intelligence des patrons : on rédige aussi un code du travail.
Le probleme rolleyes, c'est que une loi doit etre egale pour tous, sinon tu entre dans des hierarchy (donc des criteres, donc des normes, donc du fachisme, meme avec les animaux) , sur en plus des millions d'espece, de sous espece .

Et quelle sera ton jugement, : si l'animal est mignon, si il mord, si il pique ,si il vient vers toi, etc

Donc deja c'est impossible dans l'application de l'idee , et en plus tu te retrouvera face au meme probleme: quelle vont etre les criteres etc , donc tu dira que l'homme est completement different des autres animaux, puis les mamiphere, et surtout ceux qui te ressemble (antropomorphisme ).

Donc si tu tue un moustique c'est admis par la loi, mais si tu tue un mamiphere pouf prison. Car quelle seront tes moyens de controle ? et quelle seront les punitions??: donc on va se retrouver dans la meme situation que la prohibition americaine de l'alcool, ou du canabis ici .


Apres comment tu fait? l'animal va porter plainte et se porter partie civile????? la famille de la victime rat ????
En fait l'idée est tellement bête, que ca choque , allez demander a un juriste et il vous expliquera pourquoi .

La vertité pratique c'est que en plus votre idée risque de creer une catastrophe ecologique, car vous allez selectioner pour la nature elle meme:

L'homme se substituant a mere nature, car la trouvant trop amoral.

Une lecon de moral de l'homme a la nature , quelle delire total . et en plus c'est pareil que Monsanto dans le fond .

Vous n'aimez pas la nature, vous etes incapable d'y survivre une journée sans aide moderne, et vous revez de la domestiquer a l'image de vos valeur.

C'est au dela meme du djihadisme dans le fantasme de controle morale
PS: sur ce sujet comme sur aucun autre, j'ai l'impression que l'intelligence s'arrete, que l'emotion enfantine prend le dessus (dans un mauvais sens en plus: coté tyranique et bete de l'enfant) , et qu'on se retrouve devant les plus grosse enormité et manque d'amour et d'empathie. C'est juste completement choquant .
Désolé GauthierR,

Par honnêteté j'ai lu, j'ai essayé de lire ( depuis 3 mois..) en sautant à la marelle pour comprendre au delà des fautes, des erreurs ( Plus haut citant Nietzsche tu nous parles de Ecce Humo alors que c'est Ecce Homo...c'est un tout petit exemple) des diarrhées lexicales dont tu (me) nous affliges. Tu es sur tous les terrains, dans toutes les discussions. Tu sais.

Je n'en peux plus.
Je démissionne
Tu peux solliloquer.

Tente ceci: tu fumes un moustique en écrasant du cannabis et tu te retrouves à parler avec Gilgamesh. Un délice.

Bonne route et porte toi bien.
Evite tous les médecins car aucun ne pourra comprendre l'étendue de tes savoirs. Suspect, tu seras.
Bien a toi ,ravi de t'avoir connu

cultive bien ton jardin
?

Il est où, le manque d'amour et d'empathie ?
Il n'y a pas d'absurdité en soi à créer un droit prenant éventuellement en compte différents types d'animaux, tous de la même façon, attendu qu'on a affaire à différents niveaux de conscience. Oui, ça revient à hiérarchiser (depuis quand ça vous pose problème ?).
Là dessus ceci dit, je ne suis pas très compétente, et ce serai sans doute plus intéressant de voir ce que racontent les différents juristes qui se sont penchés sur cette question (parler d'un droit de l'animal ne présume pas de comment ce droit est constitué et rédigé, ni quels sont ses principes de fonctionnement).

Quant aux défauts que vous voyez à l'application d'un tel droit, vous poussez complètement la logique à l'absurde. C'est d'autant plus bête qu'on a une idée tout à fait claire de la façon dont des lois s'appliquant à l'animal peuvent être appliquées, parce qu'il en existe déjà un certain nombre (de l'ordre de ce que j'ai cité plus haut), en France, par exemple.
Donc, le fait de rendre répréhensible la torture des animaux ne signifie pas que les animaux portent plainte (uh uh uh), mais signifie que ceux qui le font tombent sous le coup de la loi et que quelqu'un ne peut pas décider, par exemple, de passer tout son temps libre à torturer des chats sans risquer des poursuites. Et c'est plutôt une bonne chose.
De la même façon, réglementer les conditions d'élevage indique que les éleveurs ne peuvent pas faire n'importe quoi, sinon ils peuvent être retoqués à l'inspection.

Quand à cette idée d'appliquer un droit que vous avez l'air de décidément mélanger avec les droits de l'homme aux relations des animaux entre eux, vous avez peut-être lu ça sur des blogs des défenseurs de la cause animale anti-spécistes les plus délirants (je suis sympa et je veux bien imaginer que ce n'est pas vous qui avez inventé cette application) mais c'est absurde, quasiment personne dans les défenseurs de la cause animale ne défend ça, et s'il y a bien un truc qu'on est sûr de ne jamais voir dans un droit de l'animal, c'est ça.

Vous êtes tellement échaudés contre les antispécistes qui sont quand même loin d'être un mouvement d'ampleur, et vous voulez tellement opposer reconnaissance de l'animal et reconnaissance de l'homme que vous semblez refuser en bloc de reconnaître la question de la souffrance et de la conscience de l'animal et préférez semble-t-il rester sur la théorie cartésienne de l'animal machine qui a depuis complètement été battue en brèche. C'est de la paresse de la pensée.
C'est exactement ce que je dit rolleyes, le droit existe ,et c'est un devoir, pour l'homme, et non un droit des animaux, qui est impossible a rediger et absurde dans son fondement meme.

Je vous rappelle tout de meme que la chasse a court a ete interdite en angleterre (ce qui est absurde), et la corrida interdit en catalogne, mais que malheureusement ce qui est fait au niveau de l'industrie alimentaire passe dans l'ombre, alors que c'est bien plus grave .

EN gros comme pour le reste , c'est plus facile d'attaquer quelque particulier, un peu particulier, que de tacler les corporation .

On nous couvre d'anecdote sur les mode de vie , loisir de voisin, et tout le monde interdit a l'autre de vivre sa vie celon son ethique, mais par contre le business faut pas toucher .

De maniere general il existe deja suffisament de loi et de devoir et d'amende et peine de prison pour maltraitance animal d'un particulier, mais que dalle sur l'industrie qui nous fait manger de la merde, empoisonne les sol, et traite les animaux comme une unité de production
On est d'accord sur un point, qui est que le plus gros scandale, c'est celui de l'élevage industriel.

Ceci étant, la loi a bien un impact sur ça : quand on légifère sur la taille des cages, sur les conditions de vie minimales, sur l'étiquetage et la traçabilité, sur les modes d'abattage, etc., on atténue l'impact délétère de l'élevage industriel.

Enfin, un droit de l'animal pourrait tout à fait reprendre, renforcer et mettre en cohérence les législations existantes qui font consensus sur l'animal sans représenter une privation de liberté intolérable pour l'homme. Soyons réalistes : en l'état actuel des choses, le risque serait plus qu'un tel droit soit trop limité, plutôt qu'il soit trop étendu.
Je pense qu'on est d'accord sur la plupart des points rolleyes,

juste je dirais que les regles sur l'industrie sont minimal , et ont prit beaucoup de temps a venir , sans compter que partout (tant aux niveaux nationaux que européen) , les moyens mis pour empecher la fraude et la controller; sont une grosse blague.

De plus j'ai l'impression que tu sous estime le danger qu'il soit trop etendu (la protection animal mais n'importe comment et sur des idee de boyscout) , surtout sur les loisirs , car

1- c'est ce que les politiques adorent faire depuis 10 ans , tout sur le sociétal (en general pour foutre la muise) , et rien sur l’économie (ou ils sont perdu comme des petits enfants)

2- L'occidental urbain, a un rapport tres malsain a la nature, a l'anthropomorphisme, etc et juge tres mal les gens qui vivent de la nature .


Voila je dirais nos quelques points de petites divergences

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Devenir
Asinaute

5 € / mois
ou 50 € / an

Je m'abonne
Asinaute
Généreux

10 € / mois
ou 100 € / an

Je m'abonne
Asinaute
en galère

2 € / mois
ou 22 € / an

Je m'abonne
Abonnement
« cadeau »


50 € / an

J'offre ASI

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.