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Au Liban, des médias vibrants de colère

Les explosions au port de Beyrouth ont entraîné une centaine de morts et plus de 5000 blessés, et des attaques en règle contre les dirigeants de la part des éditorialistes libanais, alors que le pays est enlisé dans une grave crise économique. Revue de presse.

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Vous avez oublié de préciser dans l'article - ou ai-je mal lu ? - que L'Orient le Jour permet de consulter son site gratuitement


Il y a de très bons articles notamment sur le bateau pourri flottant sous pavillon moldave (pour des raisons fiscal(...)

Macron va-t-il réquisitionner l'appartement parisien de la famille Hariri (quai Voltaire, me semble-t-il), longtemps occupé à titre gracieux par ce grand politique intègre qu'était Chirac, et le vendre aux enchères pour financer une partie de l'aide (...)

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Evidemment que l'événement est atroce, révélateur de tout un système et on est solidaire des libanais. Le problème n'est pas là. Il est précisément dans ce qui est tu par les médias, c'est à dire le contexte diplomatique régional,le système politique libanais dont les français, il faut bien le dire, se contre-balancent royalement en plein été .. Et dont les médias estiment qu'il est inutile de s'y attarder..tellement c'est "compliqué le Moyent-Orient"... 

La venue du président français aussitôt après l'explosion (en chemise blanche immaculée) me rappelle irrésistiblement celle de Sarko juste après Fukushima...


Au fait le Protectorat français sur le Liban n'a t-il pas été aboli ?


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Il y a de très bons articles notamment sur le bateau pourri flottant sous pavillon moldave (pour des raisons fiscales ?) d'un armateur russe vivant à Chypre (pour des raisons fiscales) ayant sa société immatriculée aux Îles Marshall (USA - pour des raisons fiscales) et qui a fini par couler tout seul.


Beyrouth a été détruite par la corruption mais aussi le dumping fiscal que promeut le néolibéralisme qui explique qu'un paquet de bateaux pourris incapables de rester en mer viennent déverser leurs cargaisons dans des ports où les abandonnent leurs propriétaires.


Beyrouth illustre dramatiquement comment le " marché " - la mondialisation des spéculateurs - fait des profits de bouts de ficelles qui ont pour effet de détruire une capitale et sa population. Les esclaves - 40 millions dans le Monde - font moins de bruit quant ils disparaissent.


Et Macron qui va faire le beau sur un tas de décombres d'un modèle qu'il promeut pourtant !


Compte -t-il soutenir les milliardaires Libanais avec l'argent (des pauvres) de la réforme des régimes de retraite et de la régression sociale qu'il impose en France depuis qu'il est au pouvoir ?


On n'a pas entendu Bernard Arnault ni Vincent Bolloré ni Carlos Ghosn.


Les milliardaires ont démontré qu'ils n'ont aucune utilité sociale lors de l'épidémie. Il n'y avait que des premiers de corvée sur le pont. Les premiers de cordée étaient en vacances, peinards, à l'abri.


Avec le drame de Beyrouth, ces mêmes premiers de cordée inutiles montrent qu'ils ne sont même pas solidaires entre eux. Personne pour les regretter, en somme. Preuve que la majorité peut rétablir les impôts à 80% sur les plus riches. Une compagnie de CRS devrait suffire à mater une manif de milliardaires. Non ?


Macron va-t-il réquisitionner l'appartement parisien de la famille Hariri (quai Voltaire, me semble-t-il), longtemps occupé à titre gracieux par ce grand politique intègre qu'était Chirac, et le vendre aux enchères pour financer une partie de l'aide humanitaire ?

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