"#Parizot à fond derrière #Sarkozy qui lui attaque tous les jours les syndicats:la droite et le #Medef cherchant à proteger leurs privilèges"
vous reprendrez bien un peu de tweet ?attention a l'indigestion .


Je suis pour le communisme
Je suis pour le socialisme
Et pour le capitalisme
Parce que je suis opportuniste

[quote=Daniel S.]Pendant ce temps, Libé se demande sur cinq pages si le gouvernement Valls est de droite. [...] Au total, sur les cinq pages de Libé, pas de réponse à la question.

Libération a déjà répondu à la question le lendemain du discours du Bourget de F. Hollande, début 2012 en titrant "De gauche".
Vous auriez imaginé Le Figaro titrant « De droite » en une au lendemain d'un des meetings de N. Sarkozy ?

Dans le genre truc ancien pas près d'être démodé, comme cette sacrée déconnade des Charlots, il y a Le baron Noir, de Got et pétillon.

Sinistrement jubilatoire, et d'une belle justesse.

Pour défendre Najat Vallaud-Belkacem contre les attaques des connards sexistes et racistes, y compris de ceux qui se réclament de la "droite républicaine", c'est ici.

s richard le patron d'orange,mis en examen pour escroquerie en bande organisée,dans l'affaire tapie,signale qu'e macron est issu d'une famille modeste...modeste par rapport aux 450 millions d'euros reçus par tapie,lui aussi issu d'une famille modeste...

Le PS, c'est la droite complexée! Qui prétexte un "réalisme" pour ne pas pouvoir faire ce qu'elle voudrait pour aider les gens. TINA. There Is No Alternative. Il n'y a pas le choix, c'est la fatalité, le gouvernement est impuissant... sauf quand il s'agit d'être clément avec ses proches et donner l'argent du contribuables aux ultra-riches et aux multinationales.

Un coup d'État longuement annoncé. Voilà, c'est fait.

Si patron sonne archaïquement marxiste, faisons simple.
Un "boss" s'appelle un singe (vieille tradition ...)
Quant au PS, c'est en bas à droite inversé.

Ah, La Controverse de Valladolid, magnifique (télé)film de Verhaeghe et Carrière, avec Marielle, Trintignant, Carmet.
Apparemment très romancé par rapport à la réalité, mais de la belle télé, comme on n'en rencontre guère plus...

Comment ça, c'est pas l'sujet ?

"la gauche, ce sont ceux qui parlent de patrons ; et la droite, ceux qui cherchent des synonymes"

et comment faut-il appeler les patrons de gauche? Je suis sûr qu'il y en a plein et qui font partie de "la vraie gauche"....comme par exemple un certain Schneidermann Daniel, patron d'arrêt sur images.

Si le mot "patron" a une connotation péjorative, est-ce que ce sont des self-hating-patrons?

on dira tout ce qu'on veut, sans les patrons il n'y a pas d'emploi non public ou non parapublic (2/3 des emplois en France serait du type public ou parapublic).
Qu'on s'en prenne aux fonds de pension, aux fonds du pétrole, qui exigent 15% ou plus de rentabilité, aux rentiers de tout bord, je comprends mais s'en prendre aux patrons, je ne comprends pas. Ou alors ce petit tiers d'emplois privés en France plus les 6 millions de précaires, ne méritent pas qu'on s'y interesse? Vous avez vu, ils ne votent plus pour la "vraie" gauche. J'espère bien qu'ils vont entendre la fausse gauche de Valls qui ne déteste pas les patrons, plutôt que ce front national cher aux médias.

Ivan Rioufol a au moins le mérite d'être plus direct et moins hypocrite que Joffrin :

"Le socialisme a donc été enterré, mardi, par François Hollande et Manuel Valls, avec la nomination d’un ex-banquier de chez Rothschild, Emmanuel Macron, en remplacement d’Arnaud Montebourg au ministère de l’économie. Demeure néanmoins l’effroyable imposture de celui qui s’est fait élire en mai 2012 en laissant croire que la finance était son ennemie et que la gauche avait les solutions pour résoudre les crises. Ce mensonge, qui exaspère à juste titre les électeurs abusés et les députés "frondeurs", a fait perdre 23 mois à la France. Je crains qu’il ne soit trop tard pour rattraper le temps perdu. D’autant que le réformisme prêté à Valls ne va pas au-delà du minimum minimorum. Le premier ministre se défend d’ailleurs d’appliquer une politique d’ "austérité", qui a pourtant relancé la Suède et le Canada. Reste, malgré tout, cette bonne nouvelle d’une conversion à marche forcée des héritiers du socialisme historique au pragmatisme économique, qui conduit au libéralisme. Le virage à droite entamé par Hollande rend indiscernables les nuances entre le social-libéralisme à la Valls-Macron et le libéralisme-social à la Bayrou-Juppé. Il laisse deviner de possibles rapprochements. Ce recentrage oblige surtout le reste de l’opposition à accélérer son propre aggiornamento, si elle veut retrouver de l’oxygène. Après l’éclatement de l’union des gauches se pose le défi d’une union des droites. Les relations avec le FN ne peuvent être évacuées en rejouant l’indignation convenue."

Rappelons que les dividendes des actionnaires des entreprises françaises cotées ont atteint des records cette année. Non, vraiment, c'est clair, Marx n'est plus du tout d'actualité.

À ré-écouter l'histoire de l'avant-guerre ou de Napoléon telle que la raconte Henri Guillemin, il est frappant de constater la continuité de l'histoire politique française : Hollande et Valls ressemblent comme deux gouttes d'eau à Thiers, au fond. L'union de la "gauche" avec la droite (réelle, elle) pour défendre les intérêts de la haute bourgeoisie, aux frais du peuple, ce n'est pas un "tournant", ça a toujours été : c'est seulement que la parenthèse de 1936, puis le CNR, nous l'ont fait temporairement oublier.

Toujours cette mauvaise grille. Il faut toujours différencier actionnaire, patron, salarié. Tant qu'on ne comprendra pas que Depardieu payait trop d'impot et Bettencourt pas assez (du point de vue de l'intérêt général et uniquement de celà) on restera loin des solutions, à mon avis. (il ne s'agit pas non plus de disculper qui que ce soit, pas même le salarié).

Sympathique bande son des Charlots, je ne connaissais pas. :)

Sinon ce qui était drole, c'est la standing ovation de Valls en une du monde.fr, et un peu plus bas, autre titre "Valls prévient que les chiffres du chomages de juillet ne seront pas bon". Aucun lien de cause à effet, qu'allez vous chercher, tsss...

Il y a bien longtemps que beaucoup d'entre nous soupçonnaient Valls de s'être trompé de porte. On l'aurait plutôt situé chez Sarkozy. Quoique...quoique. Pour affirmer et cultiver son ambition, il ne lui fallait pas une telle concurrence...Ce qui apparaît nettement c'est qu'il veut être un jour le locataire de l'Elysée. Regardez le, il a changé de tête...le regard dur, la mâchoire volontaire. La droite pourrait même voter pour lui. Sa politique lui convient. De plus en plus cocu, le peuple de gauche!!!
Quant à Libé...

L'étiquette quasi officielle validée et dorénavant utilisée par tous les médias (il faudrait faire la genèse de comment le terme s'impose dans les médias, qui le lance, d'où il remonte, comment il fait contagion), le gouvernement est désormais "social-libéral".
Pourquoi "social" ? Qu'un éditocrate chevronné me décrive ce qu'il peut bien y avoir de "social" dans la politique de ce gouvernement.

Point de vue, images du monde & jours de France... Que de la belle info.

J'ai beaucoup aimé aussi l'introduction par Léa Salamé. En substance : "je veux vous parler de la déclaration d'amour de Valls mais actualité oblige, me voilà contrainte de parler de la mise en examen de Christine Lagarde". Pas facile le métier d'intervieweuse matinale.
C'est vrai que cette semaine de rentrée commence bien : lundi on avait déjà droit à Geoffroy Roux de Bézieux pour la première de la saison.

J'ai pensé la même chose que DS, en découvrant cette photo (que j'ai déjà postée hier), de Gattaz, subjugué, applaudissant Valls, ravi et rose de plaisir.
Les émouvants préliminaires d'une histoire d'amour faite pour durer.

>>Pendant ce temps, Libé se demande sur cinq pages si le gouvernement Valls est de droite.
Libération, Libération ? Ce n'est pas le journal dirigé par Édouard de Rothschild ?
Que le monde est petit....