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Agression à Paris 19e : le crack, c'était des craques

Au lendemain de l'agression du 9 septembre sur les bords du bassin de la Villette, le Parisien évoque dans quatre articles différents la thèse d'un agresseur toxicomane. Une thèse fragile, qui s'écroule dès le lendemain, mais qui n'est pas pour déplaire au maire du 19e arrondissement de Paris.

Commentaires préférés des abonnés

Allez au bout des choses: il ne suffit pas de pointer ce qu'ils disent/écrivent faussement pour faire du buzz et chauffer la haine (ici c'était la drogue, mais ça pouvait aussi être les migrants -hein, zozo?- voire les "fous"). Il faut aussi parler d(...)

Non mais n'importe quoi a ASI , vous doutez , vous questionnez , vous enquêtez, vous essayez d'éclairer vos lecteur avec des elements vérifiés  .... sans blague vous croyez que les journalistes n'ont pas autre chose a faire ?

Vos interventions aussi, qui contrebalancent agréablement la déferlante d'autres interventions démoralisantes. 


Dans les années 80, je travaillais dans une maison d'enfants qui accueillait des jeunes en grande difficulté, y compris psychiatriques(...)

Derniers commentaires

par contre demander au maire si qu il y ai des personnes border line au niveau psy, ne le derange pas. Que cette attaque aurait pu ouvrir le debat sur l acceuil en psychiatrue, au fait que le sdf rue d Hautpoul sois lui aussi dans un etat border line, qu il vive depuis au moins 4 ans au meme édeoit de cette rue du 19 eme, ca dernage pas l elu ...ce gars ne tuera personne a part lui meme.. et si ca avait ouvert le debat sur l acceuil des refugies qui viennenet de vivre l horreur qui sont donc traumatise et que cet edile laisse a la rue, voir detruit leur peu de bien ? ca aurait pu venir dans cotre conversation, mais non restons bien bobo Plenel, il a menti , il,a cite des conneries, c est tout, par contre le confronter avec ses propre actions inhumaine envers les plus faible , les malades en psy, ca vous vous en foutez vous, vous j habitez pas dans les endroits ou il y a en meme temps, des drogues, des migrants, des ssf tres mal en point... on laisse ca aux pauvres.

Allez au bout des choses: il ne suffit pas de pointer ce qu'ils disent/écrivent faussement pour faire du buzz et chauffer la haine (ici c'était la drogue, mais ça pouvait aussi être les migrants -hein, zozo?- voire les "fous"). Il faut aussi parler de ce qu'ils taisent


- La manière lamentable dont sont prises en charge les addictions et ceux qui en sont victimes (oui, je parle des drogués, premières victimes de leur addiction)

-  La honte que constitue le (non) accueil des migrants, y compris de ceux qui ont légalement droit à cet accueil (mineurs isolés-ou pas, demandeurs d'asile)

- Le délabrement inouï de "nos" structures de soins psychiatriques qui aboutit à laisser dans l'errance ou en prison ceux qui ont besoin et droit à des soins, en faisant par ailleurs des victimes plus souvent que des agresseurs. 


Il y a là de quoi faire (mais qui s'y colle?) trois reportages grand public sur trois plaies de notre société qui dit une chose et en même temps fait le contraire.

Merci Cultive, décidément j'approuve - j'aime ;) - chacune de vos interventions


Migrants : à écouter sur Là-bas si j'y suis (abonnés)

Psychiatrie : sur l'indigence de nos structures, écouter/lire Ruffin

Vos interventions aussi, qui contrebalancent agréablement la déferlante d'autres interventions démoralisantes. 


Dans les années 80, je travaillais dans une maison d'enfants qui accueillait des jeunes en grande difficulté, y compris psychiatriques. Il n'y avait (déjà!!!) pas de place pour eux à l'hôpital quand ils étaient en crise grave. 


Plus tard, mais il y a longtemps quand même, sur un "point d'écoute psychologique " communal, j'ai reçu un certain nombre de personnes qui auraient dû être prises en charge par le CMP local et qui erraient, elles aussi, créant des troubles de voisinage que les gens ne savaient pas gérer, se mettant en danger pas des comportements bizarres, ou simplement restant dans une souffrance intime invisible. 


Sans compter les enfants gravement atteints (suspicion d'autisme par exemple) pour qui le CMP enfants n'avait "pas de place". 


Toute l'énergie qu'on n'a pas mise là dedans, on la met aujourd'hui dans la répression... et on laisse toujours l'enfance à l'abandon. "Un jour l'enfant prend une arme, balles sur l'ambassade attentats grenades..." avait écrit Renaud, il y a bien longtemps aussi, avant d'embrasser un flic.

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Non mais n'importe quoi a ASI , vous doutez , vous questionnez , vous enquêtez, vous essayez d'éclairer vos lecteur avec des elements vérifiés  .... sans blague vous croyez que les journalistes n'ont pas autre chose a faire ?

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