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Affaire Depardieu : "Il faut une vidéo pour qu'il y ait une réaction"

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Bonsoir,


Dans l'extrait de l'émission de "C dans l'air" que vous avez diffusé, Raphaëlle Bacqué mentionne une archive filmée sur le tournage de "Sous le Soleil de Satan" de Maurice Pialat qui montre les gestes déplacés de Depardieu sur une actrice. Na(...)

Emission très intéressante, à propos de Depardieu accessoirement mais surtout de ce qu'elle révèle du monde du cinéma et du monde médiatique en général, de l'omerta...

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Bonjour, j’ai regardé à nouveau une série française qui s’appelle « Drole » sur netflix. 

L’une des heroïnes se lance sur scène avec un sketch dans lequel elle parle de l’equitation. Demandant notamment à l’audience :

 « pourquoi croyez vous que les petites filles veulent toutes faire du cheval », expliquant notamment comment son clitoris frottait sur la scelle ce qui lui avait donné son 1er orgasme.  Je n’ai pas pu m’empecher de penser aux images de depardieu et du cheval.  Qu’est ce qui fait que ca passe dans drole et pas dans le contexte de complement d’enquete ? 

L'EHPAD du 7e art nous as pondu sa tribune en totale roue libre; même maintenant que le soutien peut avoir des conséquences sociales; ils et elles sont fier-es de rouler sur les victimes avec comme seul argument "c'est un grand acteur et un gars sympa il était pas comme ça". Plus rien à dire sauf à protester que "non mais quand même". Ce n'est bien sur pas qu'une question de génération mais ceux là ont définitivement fait leur temps. On s'étonnera pas d'y trouver Bertrand Blier (dont j'ai pourtant une affection pour certains de ses films); qui n'as jamais caché sa violente misogynie dans son cinéma.

Le épiciers et les politiques neolibéraux ont tellement galvaudé le droit , que la seule solution pour les progressistes et les réactionnaires , c'est le fascisme . Et personne pour regarder ses responsabilités en face , par opportunisme , par bétise , par idéologie .

Mediapart et son grand chef chevalier blanc donneur de leçons ....

 Enfin pas pour tout le monde.... 

Malheureusement, c'est comme ça pour beaucoup de sujets : violences policières, violences sexistes et sexuelles, actes racistes, etc.


S'il n'y a pas de vidéo, il n'y a pas d'affaire. Pour la justice française, il y a des infractions pour lesquelles les témoignages suffisent et d'autres pour lesquelles même les vidéos semblent à peine l'être.

Toute personne qui a travaillé sur les tournages avec Depardieu a assisté à ces propos . Il ne les a pas caché ouvertement mais il s'est caché dans un système qui les a accueilli. Depardieu n'était pas seul dans ces outrages. C'est un homme malade qui attend qu'on l'arrête. Mais le système préfère l' omerta. Que se remettre en question. Quand un tournage se termine on "casse" (tout est fini). Sauf les black list.

Merci pour cette émission fouillée, rigoureuse, avec des invitées ultra compétentes. 

Merci à ASI d'exister... et d'oser dépasser la sacro-sainte heure d'émission, celle-ci le valait bien.


Merci à toutes celles et ceux qui ont dénoncé, pour tenter d'arrêter le(s) monstre(s).

Merci aussi de ne pas vous contenter du cas "Gégé" et de montrer que le problème concerne aussi tous ceux et celles qui le laissent faire... 

Chaque fois je suis renvoyée à Dorothée Bussy et à Neige Sinno, qui nous répètent que les agresseurs agissent ainsi avant tout "parce qu'ils le peuvent...".


Pour aller un peu plus loin encore dans les mécanismes de domination, il y a ce blog ci :

https://blogs.mediapart.fr/dr-bb/blog/041023/inceste-4-systeme-d-oppression-patriarcale-et-pratiques-incestueuses

À ce niveau, Depardieu c'est pathologique, il aurait fallu inviter Gérard Miller.

"Le masque et LA plume" dis-donc :^


rien à ajouter. Ah Si, pour paraphraser De-Niro : "F**k Depardieu.


A vous les studio



Super émission, merci !


Et voici l'exact opposé, la réaction du dimanche contre le-vilain-tribunal-médiatique.


Sur les quatre invités, trois CV qui laissent peu de place au doute : l'inénarrable Tristane Banon, et deux avocates ayant défendu ou conseillé MM. Beigbeder, Ruggia et Maalouf (rien que ça !) - la quatrième invité servant de caution mollement progressiste. 


Au programme ? Remise en cause du reportage de Complément d'enquête et démontage en règle de Mediapart et de Libération pour les enquêtes sur les affaires Ruggia et Maalouf. Mention spéciale à l'argument du "mais on ne sait pas qui a tourner ces images en Corée du Nord" en guise de défense Depardieu. Un grand moment de radio.


Ou comment réussir à s'entourer de quatre femmes pour défendre les pauvres males riches et célèbres.

La méthode Marc Weitzmann dans toute sa splendeur. "Signe des temps", une émission qui n'a jamais aussi bien porté son nom, du BFM radiophonique.


Et deux heures plus tôt, sur la même antenne, M. Brice-le-couturier expliquait qu'une cohabitation avec l'extrême-droite ne serait pas si terrible que ça. 


Bon dimanche sur France Culture !


 


Je n’avais pas vu l’émission et effectivement, les images et paroles reprises ici sont très gênantes.

Cependant, je me souviens d’un reportage au JT, je crois qu’il s’agissait de France 2 à l’époque, sur le tournage du film de Ferrara à propos des insanités de DSK, Depardieu était aussi gênant dans sa façon de faire le gamin à jouer à cache cache avec le reporteur tenant la caméra, il m’avait choqué, c’était assez puéril, d’autant que personne ne l’arrêtait.

Mais, au fil de la discussion sur votre plateau, j’ai repensé à la réputation, et l’expérience vécu, de Jean-Pierre Mocky qui ne cessait de gueuler avec des mots grossier sur ses tournages. Peut-être est-ce le même principe qui agissait, ne pas se rebeller, tout au contraire, se dire que c’est Mocky, comme il se dit c’est Depardieu ; une espèce d’acceptation, à près tout, il faut bien bouffer, et puis ça fabrique de la légende, des souvenirs…

Sinon, j’ai lu ce matin la petite tribune dans le JDD signée de la fille et les autres membres de la famille de Depardieu. Oh bien sûr, il est parfois lourd, grossier, etc, mais ce n’est pas un mauvais bougre, il est un gentil garçon. En gros, le contenu.

Juste m'inscrire en faux sur l'affirmation tant de fois entendue : à l'époque de sa sortie et pendant bien longtemps, le film Les valseuses était vu comme un chef-d’œuvre célébrant la liberté iconoclaste de ses protagonistes. Personne n'y voyait problème, dit-on. Eh ben moi, 20 ans en 1975, adepte depuis toute petite de l'égalité souhaitable des droits des femmes et des hommes, j'ai TOUJOURS été révoltée par cet hymne à la liberté...  des mecs arrogants, méprisants et misogynes, (parmi tant d'autres films célébrant la toute puissance des mecs sur les filles), tant ça correspondait dégueulassement à ce que je constatais ici et là autour (et pas qu'autour) de moi. Sans avoir revu Les valseuses depuis des lustres, une scène me revient toujours en mémoire, terrible, d'autant plus à gerber que nulle part dans mon souvenir le propos ne semble critiqué, mais plutôt présenté comme drôle, "libre"  : au fond d'un bus ou d'un train je ne sais plus, Brigitte Fossey agressée  en train d'allaiter son bébé et par-là dans l'impossibilité de rétorquer ou se défendre, scène qui m'a toujours paru si représentative de l'oppression masculine que tant de mères subissent sans moufter pour ne pas affoler leur(s) enfant(s)

Ça me gêne un peu, la hiérarchie établie par Marine Turchi selon qui le témoignage des plaignantes doit toujours être plus important que les images montrant Depardieu tel qu'il est. Ça revient à dire, c'est devenu un dogme depuis metoo : "la femme ne ment jamais".  Attention, je ne dis pas que les femmes qui témoignent contre Depardieu mentent. Je me dis seulement que si dans son milieu du cinéma (encouragé par celui de la presse) on avait prêté davantage attention à ce que Depardieu montrait de lui même, au lieu de porter "le génie" au pinacle et le faire tourner tant et plus sous prétexte qu'il était bankable, ce qui s'est transformé en une sorte d'encouragement, peut-être qu'il aurait été empêché de nuire.


Cette émission est une très Belle synthèse de l'intégralité du travail d'ASI.


L'émission sur le Festival de Cannes en constitue une jolie introduction.


Tout d'abord, la petite séquence sur Complément d'Enquête pouvait montrer un malaise de la part de M. WALECKS quand il pose sa question. Il était plus à l'aise face à Jacques VENDROUX sur le Qatar ou BOOBA sur HANOUNA.


Le film Cyrano avait déjà été un peu analysé dans Post-Pop le 26 avril 2020.  La domination ne faisait que perdurer sur le service public. D'ailleurs, il est possible de se rattacher à cet article d'André GUNTHERT du 22 mars 2020.


Dans plusieurs films aussi, il peut avoir un comportement déplacé :


Inspecteur La Bavure avec Dominique LAVANANT ;


La Chèvre avec Corynne CHARBY ;


Le comte de Monte Cristo de Josée DAYAN dans lequel il dit à Bertuccio "Il me faut une femme" ;


Astérix et Obélix contre César avec Laetitia CASTA ;


Le Placard illustre aussi une séquence ultra patriarcale.


La liste n'est évidemment pas exhaustive.


Patrick SEBASTIEN peut montrer un soutien sans faille pour DEPARDIEU en raison de la conclusion de Madame VINCENT dans son article. Merci à Elle pour ce travail.

Il ne faut pas oublier que de nombreuses Femmes en tenues légères restent présentes sur son plateau.


La séquence sur Jack LANG illustre sa nécessité de paraître pour garder la tchatche devant les micros et les caméras. 


La petite réaction de NAGUI ne fait que confirmer ce que Madame Rose LAMY dit dans son excellent ouvrage Défaire le discours sexiste dans les médias. (Merci à Vous, Madame BOCK pour cette recommandation).


Cela illustre la domination patriarcale des médias et la complaisance de ces derniers. 


Ensuite, Madame Camille NEVERS est admirable et très courageuse par ses prises de position en employant Je et en refusant d'aller voir Jeanne du BARRY. Cela est surprenant que la médiatrice de Radio France ne s'investisse pas davantage sur les questions de sororité. Le véritable travail de médiation se fait donc sur ASI. Merci à Vous donc Loris, si vous me lisez. 


Madame MANZONI va donc aussi poursuivre le travail de GARCIN. Elle servira d'objet pour déconstruire le travail liminaire de Mediapart sachant que BEIGBEDER fait aussi partie du Masque et la Plume. CQFD ?


La dernière séquence sur Emmanuelle DEBEVER peut confirmer la conclusion de DS dans ce Matinaute du 12 septembre 2023.


Enfin, les questions complémentaires pouvant se poser à ASI sont les suivantes :


Est-ce qu'un Post-Pop comme celui consacré à Bébel sera consacré à DEPARDIEU ? 

Il peut y avoir des similitudes entre les Deux;


Est-ce qu'un Sur la Planche invitant Mathieu SAPIN aura lieu ?


Guillaume et Julie ont dû aussi souffrir de leur père, très sérieusement.


Merci à Vous donc profondément Madame EL MOADDEM pour votre implication et votre investissement pour l'élaboration de cette émission.

Emission remarquable qu'il faudrait rendre gratuite, comme beaucoup d'autres sur ce site, bien sûr. La domination masculine y est très clairement étudiée à travers le cas de Depardieu. Je suis par ailleurs consternée d'apprendre que Camille Nevers ne fera plus partie de l'équipe du Masque et la Plume et sera remplacée par une autre critique qui a écrit sur W Allen et Polansky. La reprise en main de cette radio publique ( abreuvée de publicités désormais) n'est sans doute pas un hasard: il s'agit bien de "gaslighter" une parole féministe, comme dirait Hélène Frappat dans son livre magistral.

Dans mes souvenirs, G Depardieu aux US, c'est le film Green Card, l'espoir franchouillard (et du gouvernement français) d'un Oscar à Hollywood. Lorsque G Depardieu est rejeté par Hollywood, c'est un revers pour le ministère de la culture français face à l'entertainment Hollywoodien.


Plus récemment, Johnny Depp aussi s'est fait rejeté par Hollywood et Disney. Jack Sparrow ne fait plus rire, sauf Maïwenn et les parfums Christian Dior. L'époque a-t-elle vraiment changé ?

Les films Les Valseuses, Calmos, Buffet Froid, Tenue de Soirée (plus récemment, Le Bruit des Glaçons) : odes à la masculinité toxique ? À l'époque, bousculer la moralité bourgeoise était bienvenu (les personnages féminins faisaient plus parties du décor qu'elles n'étaient instigatrices d'un destin personnel). Aujourd'hui, l'époque semble plus encline à revenir à une forme de tranquillité, plus individuelle que bourgeoise me semble-t'il. Aujourd'hui, les personnages féminins sont aussi beaucoup plus déterminants dans les scénarios.


Dans les films de Bertrand Blier, Miou-Miou, Isabelle Huppert,… ont joué des rôles vraiment osés bien que les scènes étaient burlesques, même pour les années 1970-1980. C'était sûrement plus facile pour les rôles masculins.

Le Gégé est encore dans les Valseuses. Au-delà du cinéma et de sa personne, nombreux sont celles et ceux dans la confusion de l'art et du cochon - Matzneff, Le Maire, Griveaux, Bedos, Beigbeder, Hanouna...  qui forment la partie visible, prétendument dorée, d'un mépris qui s'observe au travail et en politique. 


Gégé n'est qu'une  des incarnation de l'époque à deux balles. Il synthétise ce qui caractérise l'illusion des apparences d'un monde superficiel - fait de bling bling et de rapport de forces de roquets,  de com' et de marketing politique de M - qui maintient dans l'ignorance du fond de la caverne.


Le succès d'un Gégé, et d'autres, interroge le manque de discernement, l'absence d'esprit critique, la paresse intellectuelle d'un petit monde qui le fabrique et se rassure dans la médiocrité. La misère du débat politique en France - réduit à du buzz, des clashs, des effets d'annonces éphémères - fait pareillement le succès de l'extrême-droite. Le Pen est à la politique ce que Gégé est au cinéma, Bolloré aux médias, Arnault à l'économie, Macron à l'Elysée, Poutine à la Paix, Netanyahou au respect de la dignité humaine, Von der Leyen à l'Europe, Biden aux Nations-Unies, Xi Jingpin aux droits humains,  ...  


L'histoire contemporaine montre que la sélection des cons s'est faîte très pointue. L'actualité donne l'impression d'être parvenu à un degré de perfection chimiquement pure. Cela n'excuse pas le Gégé mais il ne faut pas que ce cas individuel masque l'inertie qui permet la con-sécration de beaucoup d'autres dont la nocuité est catastrophique. 


Rien de neuf depuis Aristophane. Au moins. Il y a cependant un frémissement ; mais il ne vient pas d'en haut, des consacrés.

Bonsoir,


Dans l'extrait de l'émission de "C dans l'air" que vous avez diffusé, Raphaëlle Bacqué mentionne une archive filmée sur le tournage de "Sous le Soleil de Satan" de Maurice Pialat qui montre les gestes déplacés de Depardieu sur une actrice. Nacira mentionne que l'équipe d'Arrêt sur Images n'a pu retrouver l'extrait. Il s'agit en réalité d'un court reportage réalisé pour la mythique émission "Cinéma, Cinémas", sur le tournage de "Police" (1984): 

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/cpb8405528507/pialat-17eme-jour-de-tournage-du-film-police


On y voit effectivement Depardieu toucher les seins  et les fesses d'une actrice non-professionnelle, gestes qui semblent ne pas avoir été prevu dans le scenario. C'est assez évident au vu de la surprise de l'actrice non-professionnelle et de sa gêne. On voit ensuite Pialat et Depardieu mettre la pression sur cette femme qui ne se "laisse pas suffisamment aller". 

Il serait intéressant d'avoir le point de vue de Sophie Marceau, protagoniste féminine de ce film, qui à l'époque avait refusé de participer à la promotion du film. Pourquoi refuser de participer à la promotion d'un film qui a connu un certain succès en salle ?

Ce commentaire n'est en rien un jugement artistique sur ce film. Il vise simplement à clarifier une référence approximative et à poser une question. Le monde du cinema savait à propos de Depardieu et de longue date. Comment le boy's club a pu perdurer aussi longtemps à la la vue et au su de tous ? Qu'est-ce qui permet une telle impunité ? Malgre l'admirable oeuvre de Pialat, il est aussi évident que les realisateurs ont laissé faire, voire ont participé à cette ambiance toxique qui a permis et permet certainement toujours l'inacceptable. 


Emission très intéressante, à propos de Depardieu accessoirement mais surtout de ce qu'elle révèle du monde du cinéma et du monde médiatique en général, de l'omerta...

J'ai d'ailleurs du mal avec l'expression "monstre sacré". Même ceux qui pensent que c'est un très bon acteur (dont je ne fais pas forcément partie) devraient reconnaitre que c'est un bon acteur mais pas irremplaçable. Ils y  a d'autres très bons acteurs... Le fait de porter si haut des personnes est la porte ouverte à toutes les dérives. Si un film avec Gérard Depardieu assure les entrées, alors, combien de producteurs, de réalisateurs, de financeurs ne seront pas trop regardants sur le personnage (voire l'extrait de Quotidien).

Je pense qu'il faut s'interroger en tant que spectateur sur ce qu'on recherche dans un film. Est-ce qu'un nom d'acteur connu même si on l'aime bien en tant qu'acteur est un gage suffisant pour aller voir un film au cinéma ?

Peut-être des Depardieu séviraient moins si ils ne faisaient pas partie d'une sorte de caste des monstres sacrés (qu'on ne peut donc même pas égratigner).

On pourrait dire la même chose du monde politique, du monde du foot, de certaines grandes entreprises...


Bref, j'ai du mal à trouver les mots pour expliquer ce que je veux dire ce soir...

J ai regardé "complément d enquête. Au bout de 10 mn connaissant la suite accablante d un pauvre type à la dérive je me suis rendu compte qu il me volerait mon temps. Je suis passé à autre chose.

Machine à fric, machine à provoc, machine a excès, gros dégueulasse. Je suis juste triste car Cyrano de Bergerac reste pour moi un film hors norme  

Deux articles sur Depardieu, maintenant une émission. Rien de plus intéressant dans l'actualité ?

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