Dans les prises d'otages, les journalistes qui traitent de la captivité de leurs confrères sont-ils parfaitement libres de ce qu'ils écrivent ? Les otages journalistes sont-ils mieux traités médiatiquement que les humanitaires, ou les expatriés qui travaillent pour des entreprises ? Et surtout, le pouvoir tente-t-il d'intoxiquer l'opinion, en annonçant précipitamment de bonnes nouvelles non vérifiées ? C'est une hypothèse... Cette émission est disponible en intégralité ici. |
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