Welcome to New York : l'art de récupérer les mauvaises critiques
Dans une campagne de publicité, notamment relayée par le quotidien gratuit 20 Minutes dans son édition du 23 mai, Welcome to New York joue la carte du film "qui ne laisse pas indifférent" : "particulièrement captivant" pour les uns, il s'agirait d'un "mauvais téléfilm" pour les autres.
Sauf que la publicité joue également sur les différences de critique entre les médias anglo-saxons ("Welcome to New York"), plutôt positifs, et les médias français qui n'hésitent pas à qualifier le film de navet ("Welcome to France").
Welcome to New York, réalisé par Abel Ferrara, s'inspire de l'affaire du Sofitel (Dominique Strauss-Kahn)
Si globalement la réception a bien été plus favorable à l'étranger, le film est pourtant loin de faire l'unanimité. The Telegraph y voit par exemple un flop "superficiel et prétentieux" et The Economist précise que la bonne performance de Depardieu "n'est pas suffisante pour sauver le film". Surtout, les spectateurs sont pour l'instant les plus durs avec une moyenne de 1,9 étoile (sur 5) sur Allocine et 5,1/10 sur IMDb.
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