La défense du ministre de l'Intérieur, interrogé par Patrick Cohen ce matin sur France Inter sur le silence des autorités suite à la mort de Rémi Fraisse dans la nuit du 25 au 26 octobre lors d'affrontements avec des gendarmes (@si faisait le point sur les révélations du Monde et de Mediapart ici), tenait en trois points.

1. "Dimanche matin, la gendarmerie considérait que la grenade n'était pas à l'origine de la mort"

Tout d'abord, les premières informations dont il dispose dimanche matin, données par la direction générale de la gendarmerie, faisaient bien état d'un mort et du tir d'une grenade offensive. Mais "la gendarmerie co...