Pourtant, dans la scénographie habituelle d'un journal télévisé, une intervention en direct d'un journaliste a vocation à marquer un moment d'actualité forte, un sujet "chaud", nouveau, intéressant à mettre en valeur.

Mais les télés se servent aussi des directs pour "égayer" leur JT, changer le rythme de reportages diffusés à la suite. Au risque de faire passer pour importante des informations qui ne le sont pas forcément. Exemple flagrant, donc, avec le journal télévisé de France 2 de vendredi dernier. Au sein d'un même JT, deux directs sans intérêt majeur : outre celui de Chalvron, un autre sur la braderie de Lille...

... qui commençait officiellement le lendemain