Amir aux Francofolies : un récit fait d'amalgames et d'angles morts
Au cœur de ce mois de juillet, alors que les festivals musicaux se succèdent, l'un d'eux s'est retrouvé au cœur de l'attention médiatique pour des raisons bien plus politiques qu'artistiques. Alors que le chanteur franco-israélien Amir était prévu à l'affiche du festival des Francofolies de Spa, en Belgique, une campagne d'appel à sa déprogrammation et au boycott a été initiée par des compte militants belges de soutien au peuple palestinien, suivie par la prise de parole publique d'artistes également programmés à Spa. En France, l'affaire a fait l'objet d'une large couverture médiatique, parsemée d'amalgames et d'approximations, voire de fausses informations.
Un appel au boycott d’organisations militantes
Remontons aux sources de cette polémi...
Il vous reste 96% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous