"Suit un reportage qui commence par des images d'incendies de voitures datant de 1994, mais se nourrit surtout des témoignages de jeunes et de plus anciens habitants d'un quartier qui se sentent tous, peu ou prou, « abandonnés »."

"Martine Lignières-Cassou ne peut non plus s'empêcher de s'interroger sur le choix des endroits où TF1 a décidé d'enquêter : Lyon, Lille, la Seine-Saint-Denis et Pau, qui ouvrait la série. « C'est peut-être du hasard, mais ces territoires sont tous dirigés par des socialistes…"

"« Le quartier sensible de l'Ousse-des-Bois n'est nullement une zone de non droit comme le laisse supposer ce reportage et la police y mène toute l'activité et les missions dévolues, comme sur n'importe quel autre endroit de la circonscription. Il ne doit pas être stigmatisé »" estime, de son côté le préfet cité par Sud Ouest. Mais "Saad Isseini, président du centre social du Hameau, lui aussi interrogé devant les caméras de TF1" n'est pas d'accord "« au regard des rushes que j'ai pu regarder, les témoignages d'habitants retenus sont plutôt gentils… Il faut voir la réalité en face, c'est un quartier qui va mal, très mal. Et ce sont les gens de Pau qui s'offusquent du reportage, pas ceux de l'Ousse-des-Bois »".