Les Echos signalent que le poste de directeur général est "une fonction qui n'a jamais existé dans l'organigramme de la première chaîne" et croient savoir que "le management solitaire installé par Nonce Paolini était de plus en plus critiqué." Quotidien Les Echos mardi 16 juin 2009

"D’emblée, Duroux est bombardé directeur général, soit n° 2 de TF1 alors que, depuis son arrivée à la tête de la Une en mai 2007, Paolini cumulait grosso modo les fonctions de Patrick Le Lay et d’Etienne Mougeotte partis depuis, respectivement, on ne sait trop où et diriger le Figaro. Dégringolade. C’est un gros poisson qu’a ferré là Paolini mais il faut dire que TF1 est dans la panade. La semaine dernière, elle a touché un plancher d’audience encore jamais atteint depuis la privatisation en 1987 : 24,7 % de parts de marché, contre 27,2 % en mai 2008."

"Mais déjà, hier soir, un concurrent ricanait : «La seule chose que je me demande, c’est combien de temps Axel va mettre à bouffer Nonce.»"

Libération mardi 16 juin 2009

Parmi nos (nombreux) contenus sur la dégringolade de TF1, vous pouvez par exemple lire notre dossier Ferrari, un courant d'air à TF1.