"Le Brexit, je l'ai pris en pleine figure"

Arrêt sur images

A propos de l'interminable et lancinant feuilleton du Brexit, qui met à rude épreuve les nerfs des Britanniques et les neurones des journalistes chargés d'en rendre compte, plusieurs questions : les uns et les autres, les journalistes et les politiques br(...)

L'émission
  • Avec
    Eric Albert et Philippe Bernard et Franck Dedieu
  • Presentation
    Daniel Schneidermann et Laura Raim
  • Préparation
    Adèle Bellot
  • Réalisation
    Sébastien Bourgine et Antoine Streiff
Réservé à nos abonné.e.s
A propos de l'interminable et lancinant feuilleton du Brexit, qui met à rude épreuve les nerfs des Britanniques et les neurones des journalistes chargés d'en rendre compte, plusieurs questions : les uns et les autres, les journalistes et les politiques britanniques eux-mêmes, ont-ils une vision claire de la partie qui se joue entre le gouvernement britannique et l'Union européenne, et si oui comment se fait-il que les lecteurs de presse français aient tant de mal à comprendre ce qui se passe. Dernière question : les évidents parti pris, pour ou contre le Brexit, de la plupart des médias, faussent-ils la perception ? Questions à nos trois invités : Philippe Bernard et Eric Albert, correspondants du Monde au Royaume-Uni, ainsi que Franck Dedieu, directeur adjoint de la rédaction de Marianne.

Comme un "chagrin d'amour"

Comment couvrir le Brexit quand on est un Européen convaincu?  Aussi bien Philippe Bernard qu'Eric Albert le reconnaissent : les correspondants du Monde ont vécu le vote en faveur du "leave" comme un "drame personnel"Philippe Bernard espérait même initialement "que les britanniques renonceraient, reviendraient sur leur décision d'une manière ou d'une autre , que tout ça serait enterré avec le temps", avant d'"accepter" cette donne "irrémédiable". Des propos qui font bondir Franck Dedieu : comment souhaiter "enterrer" ce qui est "quand même le vote des citoyens"?  Un parti pris qui explique notamment que l'on identifie bien les "brexiters durs" mais que l'on ne parle jamais de "remainers durs", alor...

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