Volée de reproches pour deux enquêtes sur l'IA : "Cash" répond
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Alors autant la critique du gars de numerama semble etre aveuglement pro-tech et ne comprends rien aux enjeux politique et societaux derrière l'informatisation des service publique,
autant celle de next semble legitime, vu quils ont enquete eux aussi (...)
Oui Numera reprend les éléments de langage du lobby de la tech analysés sur ASI par l'excellent Thibault Prévost. Pour le coup, cash investigation documente bien ces travers.
Lunaire la "critique" de Numerama, en effet. Tropisme totalement techno-gaga. Du véritable service après-vente de l'industrie. Faut quand même être sacrément malhonnête pour soutenir que l'IA ne repose pas sur l'exploitation des travailleurs du sud. (...)
Derniers commentaires
La critique de Numérama tente vainement de dire que l'IA n'en est pas tant qu'elle n'est pas générative.
Cela permet au monde de la tech de mieux faire passer la pilule, afin de minimiser les dangers de l'IA non générative, peut-être moins graves que la seconde, mais tout de même assez importants pour... en parler autant qu'on le devrait.
Merci,pour l'article et des commentaires.
Vous n'allez pas massacrer le travail de l'équipe d'Elise Lucet, seuls journalistes qui tiennent la route à la télé. Vous avez remarqué qu'on lui réduit son temps d'antenne, tout prétexte est bon. Autrefois, elle passait le jeudi soir et le mardi (une fois par trimestre?) pour cash investigation, maintenant toutes ses émissions sont reléguées au jeudi et dès qu'il y a un soit-disant événement important, c'est suprimé! Alors son travail est important, et, tant pis s'il y a eu unpetit problème. De plus je reprendrai la critique d'un asinaute: faut quand être sacrément malhonnête pour soutenir que l'IA ne repose pas sur l'exploitation des travailleurs du sud.
Heureusement qu'elle est là, car les gens qui ne regardent que la télé ont grâce à elle un autre son de cloche.
Alors autant la critique du gars de numerama semble etre aveuglement pro-tech et ne comprends rien aux enjeux politique et societaux derrière l'informatisation des service publique,
autant celle de next semble legitime, vu quils ont enquete eux aussi sur le sujet mentionné, et que a fortiori une mention, ne seraitce que par soutiens entre gens de la profession partageant des objectifs communs, aurait été bienvenue !
Oui Numera reprend les éléments de langage du lobby de la tech analysés sur ASI par l'excellent Thibault Prévost. Pour le coup, cash investigation documente bien ces travers.
Lunaire la "critique" de Numerama, en effet. Tropisme totalement techno-gaga. Du véritable service après-vente de l'industrie. Faut quand même être sacrément malhonnête pour soutenir que l'IA ne repose pas sur l'exploitation des travailleurs du sud. Minable.
Vu de très loin, sans aucun argument à avancer, mais avec une sensibilisation à la fabrique du doute par les lobbies des grandes entreprises, j'aimerais connaître d'où parlent les journalistes de Numerama.
Pour connaitre un peu (et de loin - via des connaissances) le milieu (de la presse tech) - et en tant que lecteur de ladite presse tech. Une grande homogénéité dans les profils des journalistes tech (en France) : des hommes, jeunes, très souvent blancs, bien souvent sans aucune formation journalistique, qui arrive dans le métier par le biais d'une passion d'enfance/adolescence, technophiles (voir techno-gaga), très peu (voir aucune) culture politique, très peu (voir aucun) recul critique, croyance en une présupposée neutralité de la technologie.
Le tout associé à une culture de l'infotainment et à un traitement de l'information qui patauge dans un mélange des genres flirtant parfois avec le publireportage, la com et/ou les relations-presse (sans forcément que cela soit conscientisé - absence de réflexion sur les pratiques).
Pas l'intention de tirer sur l'ambulance, ni de pointer du doigt l'auteur du papier en question, mais voici ce que dit sa bio sur le site Numerama (car j'estime que ça illustre bien le constat) : "Depuis tout petit, X est fasciné par le secteur des nouvelles technologies. C’est Steve Jobs et ses emblématiques keynotes qui lui ont appris l’anglais, à une époque où il passait ses week-ends à bidouiller l’ordinateur de son grand-père".
Après attention : toute la presse tech n'est pas à jeter, loin de là. Il y a des journalistes et des rédactions qui font très bien leur boulot. Mais c'est loin de représenter la majorité de la profession. Bref, comme la presse généraliste quoi.