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Trump : une roulette américaine

Chercher désespérément une radio du matin qui ne diffuse pas en boucle la bande-annonce de l'information de demain.

Derniers commentaires

Clinton est de gauche? Comme Hollande? Comme Valls? Tapie? Cahuzac? El Khomri? Duflot? Melanchon? Quel pays étonnant les USA!
Dommage le candidat hors parti Sanders aurait gagné mais l'oligarchie financière voulait du Clinton quitte à avoir du Trump !

Tout sauf un président avec des valeurs de gauche !

Bref vivement une démocratie législative directe pour que le pouvoir politique soit enfin dans les mains des citoyens et non du 1% !
Une magnifique victoire des instituts de sondage et de tous les experts de la politique américaine qui donnait Clinton gagnante "presque" certainement. :)

Personnellement cela ne me fait ni chaud ni froid que Trump soit président, pareil pour Clinton, le président US n'est pas le président du monde, quel qu'il soit il fera toujours passer les intérêts américains avant tout le reste. Pour nous cela ne changera rien que ce soit l'un ou l'autre.
Et pendant ce temps-là, en France...
Des émules de Trump à l'Assemblée Nationale.
http://www.liberation.fr/planete/2016/11/08/est-ce-deja-gagne-pour-hillary-clinton_1527077

"Est-ce déjà gagné pour Hillary Clinton ?"

Article de mardi soir. L'incapacité de la presse française à raconter le réel n'est plus à démontrer.

"Contre toute attente" et "c'est la surprise", déclamé depuis l'entrée en campagne de Trump, resteront les formules phares de son échec.
Impensable, qu'ils disaient, pour exprimer leur incapacité à penser...
Comment comprendre ce qui est en train de se passer si on s'est, à ce point, interdit de voir que ce ne sont pas seulement les clowneries de Trump qui séduisaient des électeurs racistes, sexistes et intellectuellement retardés (la moitié des électeurs US? Même moi, qui ne les porte pas dans mon coeur, je n'irais pas jusque là).
Exemple: toujours pas compris par quels arguments Trump s'oppose au Tafta: dans notre iconographie, certes, le Tafta est bon (quoique...) et ses opposants sont mauvais, mais surtout, le Tafta est favorable aux USA. Alors, pourquoi ce refus parle aux électeurs de Trump, qui sont censés être des patriotards primitifs et bornés?
Une aiguille dans une botte de foin... et encore, on la trouve sur des sites peu recommandables. Sauf... Ignacio Ramonet, relayé, tiens-tiens, par ASI fin septembre. Fin septembre... Et en plus, Ignacio Ramonet s'est bien fait attaquer à cause de ça. Toujours la même connerie comme quoi "faut pas chercher à comprendre", parce que comprendre, ce serait déjà commencer à approuver.
Mais quels sont les motifs de ceux qui essaient de nous intimider pour nous empêcher de chercher à comprendre?
Clump est un épouvantail bien pratique pour tous les trimptoniens. Chuis pas complotiste, mais des fois j'med'mande...
Bonjour
Sans être très original je vomis D. Trump, son racisme décomplexé et sa tronçonneuse à Obamacare qu'il menace d'activer dès son arrivée. Cela n'empêche que les excès pro-Clinton m'écoeurent copieusement. Ce matin, sur France Inter à 8h20, heure de l'interview, il y avait 4 invités pour "analyser" la situation. Ce n'étaient pas des représentants de partis, mais des intellectuels de la société civile. Au moins 3 d'entre eux se sont ouvertement déclarés pour H. Clinton, je pense que le 4ème l'était aussi. Comment peut-on déontologiquement monter un plateau comme ça, à quelques heures d'une élection à couteaux tirés ?
Tiens c'est marrant, votre titre sur votre site "la roulette américaine" est devenu "le sort du monde à la roulette américaine" dans l'un des médias de l'oligarchie que vous dénoncez timidement ici tout en y participant...
Qui a réécrit le titre? Pourquoi?
"Le sort du monde"???
brrr
[large]L'élection du prochain président des Etats-Unis n'a pas lieu ce soir !
[/large]
Elle aura lieu le 19 décembre quand les grands électeurs élus cette nuit éliront à leur tour celui ou celle qui occupera la Maison-Blanche pour les quatre prochaines années.

Certes, l'usage veut qu'un grand électeur vote pour "son" parti.

Mais bon nombre de grands électeurs républicains ont d'ores et déjà annoncé qu'ils ne voteraient pas Trump. Et dans une moindre mesure, certains grands électeurs démocrates ne sont pas très chauds pour voter Clinton. Il se peut que ces votes tombent dans l'escarcelle des "petits" candidats encore en lice (l'écologiste Jill Stein, le libertarien Gary Johnson ou le républicain indépendant Evan McMullin) et manquent aux "grands" candidats.

Qui vivra verra.

PatriceNoDRM
A se demander pourquoi Assange et... Michael Moore sont pour mettre un mega coup de pied dans la fourmilière, et sortir les criminels contre l'humanité qui rassurent les marchés, non pas que Trump soit la solution, mais il est la seule "chance" de faire exploser un système qui nous mène à "l'extinction de l'espèce".
Trump comme Clinton sont des arrivistes, sont dangereux, ont des egos surdimentionnés, sont mus seulement par leur soif de dollars et de puissance, mentent, dissimulent...
Trump est raciste et misogyne, et cache ses déclarations d'impôts.
Clinton a du sang sur les mains, a été de toutes les campagnes mortifères de conquête américaine, prend des millions de ceux qui financent les groupes islamistes (qui ont agi dans Paris souvenez-vous), et représente la garantie que le petit groupe des néocons et des banquiers continuera ses wargames, qu'importe les conséquences pour les peuples-fourmis, "we-came-we-saw-he-died... hahahayarkyark!!!" ...aaahhh so fun...
Et sinon Michael Moore, qui vient de faire un docu réquisitoire contre Trump, a très bien expliqué le vote Trump, sans parler de mur mexicain ni de mains dans les culottes (rien donc pour interesser les medias de masse):
https://www.youtube.com/watch?v=AqHJuRcB-y0
Depuis que Frédéric Lopez a fait son coming out sur France 2, les gros bœufs des réseaux sociaux le surnomment Frédéric Lopette.
Selon mes estimations, sur Twitter, le nombre d'abrutis friands de cet humour de merde, est plus proche de 84 % que de 72 %.
L'homophobie, comme le racisme et la misogynie, est dans l'air temps, portée par des politiciens caricaturaux comme celui qui pourrait bien être élu aux USA dès demain, cet autre qui gouverne sans partage à Moscou, et bien entendu par tous les intégristes religieux, dirigeants ou guides idéologiques, dont l'influence s'étend comme une lèpre sur la planète.
Nous sommes en l'An de Disgrâce 2016.
vivement la fin du suspens et de l'observation de la démocratie à l'américaine pour ramener observateurs et éditorialistes sur notre continent et regarder du côté de la Turquie pour assister à la fin de la démocratie qui se joue là-bas à bas bruit et en l'absence des micros tendus par nos fins limiers....
Etant de la génération d'après guerre, je comprends de mieux en mieux comment A. Hitler est arrivé au pouvoir en Allemagne et que personne n'a voulu voir arriver malgré les alertes !
Cette situation n'est pas réjouissante parce que les mêmes causes produisent les mêmes effets malgré le temps qui passe et les donneurs de leçons a postériori....
A propos du tweet énigmatique sur les probabilités de victoire.

Un sondage consiste à interroger un certain nombre de personnes (choisis, selon les cas, par méthode des quotas, ou plus souvent aux Etats-Unis, par sélection aléatoire). On se retrouve donc avec un échantillon interrogé, qui nous donne au premier ordre un chiffre, que beaucoup prennent comme le résultat du sondage : le nombre de personnes qui voteraient Trump dans notre échantillon, par exemple.

Sauf que ce chiffre est trompeur : comme notre sélection de l'échantillon était aléatoire, il ne sera pas totalement "représentatif" (ce chiffre ne signifie par grand chose en statistiques, c'est pour ça que je le met entre guillemets). Selon l'échantillon effectivement choisi, il y aurait eu une diversité de résultats possibles. Cette diversité peut être estimée, et est souvent rappelée dans le cas des sondages sous la forme d'une marge d'erreur (par exemple : vote Trump 43,5 %, +/- 2).

Mais ce que fait Nate Silver et son site Five Thirty Eight, c'est tenter d'aller un peu plus loin que ça. Il a, au cours des dernières années, développé un modèle de fiabilité des sondages, selon le sondeur, le type de sondage, la taille de l'échantillon, le nombre de jours séparant le sondage et l'élection elle-même, le type d'élections et divers autres paramètres (pour établir ce modèle, il a suivi tous les sondages au niveau national, en mémorisant le score, et en regardant le résultat final de l'élection pour en estimer la fiabilité). En gros, lorsqu'il voit un sondage avec un score comme 43,5 %, il va plutôt estimer, par exemple :

- 2.5 % de chances que le score réel soit entre 0 et 41,5 %
- 17,5 % de chances que le score réel soit entre 41,5 % et 42,5 %
- 25 % de chances que le score réel soit entre 42,5 % et 43,5 %
- 25 % de chances que le score réel soit entre 43,5 % et 44,5 %
- 17,5 % de chances que le score réel soit entre 44,5 % et 45,5 %
- 2.5 % de chances que le score réel soit entre 45,5 % et 100 %

(ça ne sera pas nécessairement symmétrique, et en pratique ça sera beaucoup plus fin, sous la forme d'une courbe continue).

Pour Nate Silver (et d'autres qui appliquent des méthodes similaires), le résultat d'un sondage n'est donc pas un chiffre (ou même un chiffre plus une marge d'erreur), mais une distribution de résultats possibles.

Nate Silver va alors agréger tous les sondages qu'il peut trouver, et cumuler, dans chaque État, les distributions données par chaque sondage, ce qui lui donne une distribution des votes dans chaque État, puisque c'est à ce niveau là que se joue l'élection présidentielle avec le système des Grands Électeurs (là encore, Nate Silver utilise un modèle pour "pondérer" les différents sondages, en fonction de leur date - plus il est ancien, moins il compte - et de leur sondeur - certains sondeurs sont plus fiables que d'autres).

A partir de là, et c'est la partie facile, il est possible d'utiliser une technique de l'industrie pour simuler le résultat du vote. On tire au hasard dans chaque État, à partir de la distribution élaborée, le résultat, et ça nous donne un résultat global en comptant les grands électeurs qui vont à chaque candidat. Cela nous donne un vainqueur. On répète ensuite cette simulation un grand nombre de fois (Nate Silver parle de 10 000 itérations), et on compte ensuite le nombre de fois où Clinton et Trump ont respectivement gagné. Cela nous donne au final cette probabilité qui étonnait Daniel.

En somme, le chiffre donné par Nate Silver et ses imitateurs ne traduit pas une probabilité de victoire dans l'absolu. Il donne la probabilité que tel candidat soit élu, compte tenu de l'information qui est apportée par les sondages, qui est nécessairement partielle (puisqu'ils ont des marges d'erreur). C'est un chiffre plus utile que le taux de votants pour l'un ou pour l'autre, d'autant plus que le système américain fait qu'il est possible de gagner l'élection avec une minorité des voix (cf Georges W. Bush en 2000).

Même en France ça pourrait être utile. Par exemple, un sondage final donnant un résultat pour A de 54 % (marge d'erreur +/- 8) est potentiellement moins favorable qu'un sondage final donnant un résultat de 52 % (marge d'erreur +/- 1). C'est ce que traduit le chiffre donné par Nate Silver.
Pour Daniel Schneidermann : On peut trouver des médias, ils ne sont pas mainstream, qui ne sont pas obsédés par l'élection étasunienne, notamment quatre radios associatives que l'on peut trouver sur le portail Radiobreizh.
http://www.radiobreizh.bzh/
Et en plus on y trouve des sonorités différentes, puisqu'on y parle breton, gallo, français, anglais, etc.
Le genre de médias qu'on ne cite jamais d'habitude sur Arrêt sur image, hélas.
Kenavo
Christian Le Meut
Les intellectuels allemands qui ont applaudi l'ascension de Godwin l'ont fait, comme l'analyse H.Arendt, par délectation masochiste de voir un peintre raté damer - croyaient-ils- le pion aux Thyssen, Krupp, et autres I.G.Farben. Quelques années plus tard, ne restait que la " grosse connerie" ( grosse Dummheit) déplorée par Heidegger. Le seul point commun à Trump et à Godwin, c'est le terreau. Comme quoi, le terreau ne suffit pas, la poudre a besoin d'étincelle, et les médias de 2016 sont paradoxalement moins nocifs que ceux de 1936.
>72% de chances. Qu'est-ce que cela signifie exactement ? Depuis quand les sondages s'expriment-ils en pourcentages de chances ?

Le système politique américains ne marche pas comme en France, c'est un système avec deux étapes et des "grands électeurs". Donc le pourcentage de vote ne se traduit pas directement dans une victoire; il faut envisager les différents scénarios, le nombre de grands électeurs par états, etc. Ce qui donne ces pourcentages de chances.
Le merveilleux, le nec plus ultra est que ces imbéciles (on leur trouve toutes les raisons atténuantes du monde pour leur éviter ce qualificatif), ces abrutis (on leur trouve toutes les excuses du monde pour ne pas le dire), ces misérables gredins (on leur trouve tous les experts du monde pour venir à leur chevet), toutes ces femmes qui vont voter pour un mec qui leur pisse dessus et se vante dans des soit-disant vestiaires de les attraper par la femelle du chat, tous ces gens qui sont terrorisés et s'en remettent à un fou, un milliardaire qui prétend être des leurs sans aucune honte, etc etc etc

et la première chose qu'il fera sera d'anéantir l'Obamacare et de déverser des tonnes d'avantages fiscaux sans aucune contrepartie - puisqu'il n'a énoncé aucun programme - à des milliardaires comme lui qui pour la plupart n'osent même pas se prononcer pour lui, comme dans les familles on évite de citer le cousin dérangé.

Voilà pour qui ils vont voter, pour celui qui va leur retirer la dernière aide à laquelle ils peuvent encore se rattacher.

Et il y a ici des gens pour croire à la fable du coup de pied dans la fourmilière, et il y a des médias pour prendre soudain un peu plus peur de la réalité qui s'approche et pour mettre de la piquette dans leur eau en évaluant les chances que ce fou a d’arriver au pouvoir et détruire les USA, et par ricochet la branche sur laquelle nous sommes. Et ces médias qui posément envisage l'apocalypse comme finalement pas si dramatique.

Il n'est pas nécessaire d'avoir vécu consciemment Gorbatchev mais il suffit par culture, d'avoir vécu Franco, Hitler, pour revivre souvent les moments que vécurent des gens comme Viktor Klemperer car leur mémoire est là, et nous avertit à la moindre folie qui pointe, fusse-t-elle juste celle d'un gentil bonimenteur comme Sarkozy.
Ah ! les anciens des Jeunesses "communistes" ! Quand Daniel Schneidermann écrit "dictature communiste" il n'ose pas dire dictature stalinienne. Le communisme et Staline ça fait deux, sauf, par exemple, pour les nostalgiques de Gorbatchev.
Hors sujet, quoique?

Hier au soir, je lisais et suis tombé sur:

« Laisse onduler à travers toi cette sensation scandée de l’enfance, l’insouciance du temps, l’hilarité du temps, les coups de dés du temps, les pions qui glissent sur l’échiquier, pierre caressant la pierre, poli sur poli, le fin granulé du temps, les hasards et les sautes du temps, le scintillements des sensations du temps. La joie du jeu aussi, et du triomphe. » (S. Zagdanski)

(Pour Aloys von S. Zagdanski est un "disciple" de Lévinas.)
Bravo Daniel, c'est plutôt terrifiant, mais bravo, BRAVISSIMO, pour cet effort salutaire de lucidité!
Il nous reste une bouteille de champagne à la cave.On va la boire cette nuit pour la victoire de Trump. Le système va turbuler. Mais surtout le clan hypocrite de la finance mondialisée, de la guerre et de la corruption va se diviser et s'éloigner du pouvoir. La planète pourrait respirer un air meilleur?On ne sait jamais!. Même si ce sont les ploucs et les sans-dents qui pour une fois ont un peu voix au chapitre.
"... les limites que place notre inconscient au réel imaginable, envisageable, acceptable"
Se souvenir, quand même, que les USA sont le pays où le réel imaginable est souvent inimaginable...
Trump est un bouffon grotesque.
Cela étant, sous ses dehors de respectabilité, Clinton est un danger public pour la démocratie américaine (accointances avec Wall Street démontrées mille fois), et sa politique étrangère est un désastre : elle va continuer d’entraîner ses alliées dans un délire interventionniste au moyen-orient, alimentant le terrorisme sur le sol européen.
Sa position vis-à-vis de la Russie est ridicule, dangereuse et potentiellement facteur de conflit armé (on se fait la guerre en Syrie, déjà...).

Trump est une calamité - la crétinerie revendiquée au pouvoir - mais du point de vue français (uniquement du point de vue de nos intérêts) il n'est pas certain qu'il ne soit pas préférable : il est contre le CETA et le TAFTA, se situe sur une ligne plus proche de la Russie (on n'a pas besoin d'en refaire un ennemi, quelle erreur stratégique pour nous qui sommes à portée de tir) et revendique un isolationnisme bienvenu - ça changerait de la politique des drones et des opérations de police internationale avec morts civiles à la clef, qui font que l'impérialisme occidental est plus haï que jamais, et avec raison.
Quel dommage, cette chronique…

En Europe, une bonne partie de la méfiance des élites pour le vote populaire réside dans l’erreur historique que vous faites qui est de penser que le corps électoral, allemand en l’occurrence, a élu un homme comme Hitler.
Peut-être en est-il capable, mais il ne l’a jamais fait. Les élites, par contre, n’ont pas eu ces précautions.

Ce sont les élites qui ont craqué et finalement offert le pouvoir à Hitler. Plus fort. Quand il est nommé chancelier en 1933, son parti vient de perdre 2 millions de voix et plus de 30 sièges aux législatives deux mois plus tôt. Le peuple se détourne de lui mais c’est le soutien des autres partis qui permet son accession au pouvoir. Son parti ne représente qu’un tiers des voix…

Alors au final, quel rapport avec Trump ? C’est dommage de propager cette vieille lune élitiste.
Trump serait le digne représentant de l'Amérique, un pays de sous-culture...

Pour moi c'est l'inverse je n'ose imaginer l'élection de Clinton, car je dois être idiot :

https://www.youtube.com/watch?v=zF8B90ztcpA

https://www.youtube.com/watch?v=2pV7hjjVEXo

https://www.youtube.com/watch?v=BkV6UpnmrrA

Mais bon sûrement qu'en France un candidat voulant déclencher la guerre contre l'Allemagne, la Russie et l'Angleterre serait défendu par nos chers journalistes avec autant de conviction qu'ils mettent à défendre Mme Clinton.
Je vous confirme que vu d'ici aussi on se heurte à "la limite du réel imaginable" de beaucoup de journalistes
Ah Hitler, on progresse. Je croyais que c'était Poutine, le nouvel Hitler. Y'en aurait-il plusieurs ?
La roulette américaine se joue avec un chargeur plein ...
Les USA sont les maîtres de l' " entertainment", le pays de Disney. Un pitre à la maison blanche, peut-être est-ce le summum de la démocratie.

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