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Sondages de l'Elysée : l'interview expurgée de Hollande

Encore une promesse non tenue ? Selon Le Parisien de ce jeudi 13 septembre, l'Elysée s'apprête de nouveau à commander des sondages, comme à l'époque de Sarkozy. Une volte-face, selon Le Parisien, qui assure que François Hollande avait promis dans une interview au JDD pendant la campagne que l'Elysée ne commanderait pas de sondages s'il était élu. Problème : la phrase en question ne figurait pas dans l'interview, publiée le 15 avril 2012. Et pour cause : selon nos informations, l'équipe de Hollande avait demandé le retrait de ces quelques mots fatidiques, avant la publication. C'est par l'AFP, qui avait diffusé des extraits de l'interview avant qu'elle ne soit coupée, que la promesse avait fini par fuiter. Un cafouillage expliquant aujourd'hui les tergiversations de l'Elysée ?

Derniers commentaires

Bonjour
Plus ça va plus je réalise que nous n'avons nullement viré le machin. Ce n'était qu'un leurre… à la place ils nous ont mis un "je n'peux pas faire autrement".
C'est marrant, j'ai comme le sentiment qu'on sodomise un peu les diptères, là. C'est qui, on? Ben eux, François et sa bande ; vous... et puis nous. Parce que, "on" (les mêmes) le sait tous que cette tambouille, c'est enfumage et compagnie. Qu'ils se payent notre tronche dans les grandes largeurs. Du coup, ça vaut, à peine, un très petit "vite dit" bien senti. Et on remet pas la tourn'. La flotte est pas fraîche et ça manque de cahuètes.
Ah le mot "tergiversations".

Je sens qu'on n'a pas fini de l'employer à propos de Fromage Mou.
"Mais à l'époque, aucun média n'a relevé la différence entre ces deux versions, sans doute en raison de la longueur de l'interview."

Tsss, tss, tss, comme si vous arriveriez vraiment à nous faire croire qu'il existe des journalistes politiques pour lire plus que la première phrase, que ce soit d'un article, d'une dépêche ou, a fortiori, d'un livre politique...
Ce sont les militants du Parti Socialiste, qui avaient le plus d'espoirs en leur champion, qui risquent fort de tomber le plus brutalement du fraisier.
C'est fou ce qu'il apprend de son prédécesseur, quand même. Quelle fine équipe... on comprend mieux pourquoi ils combattent la gauche et saluent la droite quand elle gagne dans un autre pays.
Question de budget sans doute, il ont dû faire plus court, mais je viens de retrouver la banderole prévue au départ pour la promotion du PS durant les présidentielles:
"[large]Le changement, c'est maintenant que tout devient possible[/large]"


C'était bien plus réaliste, mais beaucoup moins vendeur, il faut bien le reconnaitre.

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