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Second dérapage de Guerlain : le faux scoop de France Info
Le scoop n'en était pas un. Toute la journée de ce vendredi 9 mars, une information sur un nouveau dérapage de Jean-Paul Guerlain a circulé dans les médias, présentée comme un scoop de France Info. Alors que l'ancien parfumeur était jugé le 9 février pour sa sortie raciste du 15 octobre 2010 sur France 2, il a insulté des agents Eurostar d'origine martiniquaise, à la gare du Nord, le 24 février à Paris. L'info a été reprise partout. Mais elle avait déjà été sortie il y a deux semaines. Et pas par France Info.
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Derniers commentaires
"Je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillé", mais les Suisses, quels bosseurs !
Second "dérapage" ? ça signifie qu'il y en aurait eu que deux, et qu'il n'y en aura pas d'autre. ouarf !
Vous vous rendez compte qu'on s'en prend à un vieillard, un enfant, une épouse? Ce n'est pas que ce soit une excuse de leur part, mais de quoi on a l'air?
Le problème doit se situer ailleurs... Un truc insoluble qu'on esquive ainsi.
En pointant un homme en situation de faiblesse pour terrasser le racisme (on ne voit pas bien la portée de ses paroles acariâtres pour qu'il faille lever les boucliers, ils ont risqué quoi?) et un môme qui est un peu anti-papa, donc anti-Sarkoziste comme nous, tope là, ou tout au moins qui nous confirme l'opinion négative qu'on a sur son père. Bon l'épouse, bon.
Le problème doit se situer ailleurs... Un truc insoluble qu'on esquive ainsi.
En pointant un homme en situation de faiblesse pour terrasser le racisme (on ne voit pas bien la portée de ses paroles acariâtres pour qu'il faille lever les boucliers, ils ont risqué quoi?) et un môme qui est un peu anti-papa, donc anti-Sarkoziste comme nous, tope là, ou tout au moins qui nous confirme l'opinion négative qu'on a sur son père. Bon l'épouse, bon.
Merci. J'ai été indignée que le HuffPost reprenne cet info. Pour ma part, j'ai pu lire le papier de S. Bilé sur grioo.com dès le 29 février.
Il suffit d'ouvrir un ouvrage d'histoire des classes de collège d'avant 1950 pour comprendre comment la majorité des personnes âgées de plus de 70 ans pensent la société et l'ordre mondial.
Il y a bien sûr des personnes qui savent s'informer et réactualiser leurs modes de pensée mais il y a toujours des bons élèves qui ont appris leur leçon par coeur ou des personnes isolées et solitaires : celles-ci refusent l'évolution réelle de l'ordre mondial.
Et quand on a construit sa vie sur un mode de vie et des coutumes, aujourd'hui idéalisés : « C'était mieux avant ! » alors plus difficile est la prise de conscience à propos de ce Monde qui change.
Il y a bien sûr des personnes qui savent s'informer et réactualiser leurs modes de pensée mais il y a toujours des bons élèves qui ont appris leur leçon par coeur ou des personnes isolées et solitaires : celles-ci refusent l'évolution réelle de l'ordre mondial.
Et quand on a construit sa vie sur un mode de vie et des coutumes, aujourd'hui idéalisés : « C'était mieux avant ! » alors plus difficile est la prise de conscience à propos de ce Monde qui change.
France-info quelle radio de m...!
Allez, encore un petit troll, pris sur nouvelobs.com, au sujet d’une policière de Élysée :
//Elle a d'abord reçu une bille qui a atterri à ses pieds, puis une tomate, qui a suivi le même trajet, avant d'être atteinte par une autre bille à la joue. Questionnant les gendarmes en poste à l'entrée de l'Elysée, elle a appris que l'auteur des jets n'était autre que Louis Sarkozy, qui jouait dans la cour avec un ami//
Précisons que le Loulou n’a pas cinq ans (où ce genre de couennerie peut se comprendre à défaut de s’excuser), mais quinze ans. L’âge du fils de Péchenard, le copain de papa, quand il n’a rien eu pour avoir insulté un policier. Qui se ressemble s’assemble, dans le mépris des petits.
//La policière a rédigé un rapport administratif mais a indiqué ne pas souhaiter porter plainte//
Pas folle la guêpe. Le chômage, c’est si vite arrivé et si lentement reparti.
//Le directeur du cabinet du préfet l'a ensuite rencontrée avec ses collègues, "les appelant à la plus grande réserve compte-tenu de la période électorale"//
En langage non-diplomatique : vos gueules, tas de minable, sinon j’appelle Guerlain.
//Le président de la République a rencontré vendredi matin la policière pour lui présenter ses excuses//
Heu… c’était pas plutôt au morveux de le faire ? Et chiche qu’il a refait le coup de Cécilia à la dame : « vous comprenez, c’est elle qui l’élève pas moi ! »
En tout cas, heureusement qu’il n’était pas en scooter, sinon, qu’est-ce qu’elle se serait pris dans le pare-choc arrière !
//Elle a d'abord reçu une bille qui a atterri à ses pieds, puis une tomate, qui a suivi le même trajet, avant d'être atteinte par une autre bille à la joue. Questionnant les gendarmes en poste à l'entrée de l'Elysée, elle a appris que l'auteur des jets n'était autre que Louis Sarkozy, qui jouait dans la cour avec un ami//
Précisons que le Loulou n’a pas cinq ans (où ce genre de couennerie peut se comprendre à défaut de s’excuser), mais quinze ans. L’âge du fils de Péchenard, le copain de papa, quand il n’a rien eu pour avoir insulté un policier. Qui se ressemble s’assemble, dans le mépris des petits.
//La policière a rédigé un rapport administratif mais a indiqué ne pas souhaiter porter plainte//
Pas folle la guêpe. Le chômage, c’est si vite arrivé et si lentement reparti.
//Le directeur du cabinet du préfet l'a ensuite rencontrée avec ses collègues, "les appelant à la plus grande réserve compte-tenu de la période électorale"//
En langage non-diplomatique : vos gueules, tas de minable, sinon j’appelle Guerlain.
//Le président de la République a rencontré vendredi matin la policière pour lui présenter ses excuses//
Heu… c’était pas plutôt au morveux de le faire ? Et chiche qu’il a refait le coup de Cécilia à la dame : « vous comprenez, c’est elle qui l’élève pas moi ! »
En tout cas, heureusement qu’il n’était pas en scooter, sinon, qu’est-ce qu’elle se serait pris dans le pare-choc arrière !
Je vois très bien ce vieux tromblon être torché par sa petite fille, son petit-fils ou leurs copian(e)s, histoire de ne pas être servi par des immigrés. Le linge sale lavé en famille...
Faudra prévoir une muselière, parfumée cela va de soi, non mais !!!
Je ne dis rien de ce que je pense d'Intouchables, pour éviter la plume et le goudron
Faudra prévoir une muselière, parfumée cela va de soi, non mais !!!
Je ne dis rien de ce que je pense d'Intouchables, pour éviter la plume et le goudron
Oh oh oh, les journalistes France Info seraient-ils enguerlainés ?
Quant à Guerlainbécile, son « pour une fois je me suis mis à travailler comme un nègre » était non seulement une parole raciste, mais un bel aveu que de toute sa vie il n’a rien glandé, se bornant à vivre de la rente de son nom.
Guelairduncon a toujours sa légion d'honneur. Normal, cet ordre a été crée par un type qui a rétabli l'esclavage.
Quant à Guerlainbécile, son « pour une fois je me suis mis à travailler comme un nègre » était non seulement une parole raciste, mais un bel aveu que de toute sa vie il n’a rien glandé, se bornant à vivre de la rente de son nom.
Guelairduncon a toujours sa légion d'honneur. Normal, cet ordre a été crée par un type qui a rétabli l'esclavage.
Un fauteuil roulant, avec une légère poussée au moment opportun, peut très bien rouler du quai jusque sur les voies.
La prochaine fois pensez-y, amis agents martiniquais de l'Eurostar.
La prochaine fois pensez-y, amis agents martiniquais de l'Eurostar.
Ce ne sont pas des dérapages, ce sont les déclarations publiques d'un vieil acariâtre raciste.
Pourquoi toujours ce terme (journalistique) de dérapage ? C'est d'autant moins un dérapage que ça suit une continuité chez Guerlain.
C'est un discours raciste, point barre.
Pourquoi toujours ce terme (journalistique) de dérapage ? C'est d'autant moins un dérapage que ça suit une continuité chez Guerlain.
C'est un discours raciste, point barre.
Ce ne sont pas des dérapages, Pourquoi toujours ce terme (journalistique) de dérapage ? C'est d'autant moins un dérapage que ça suit une continuité
Merci. Des mois (années ?) que j'en ai marre d'entendre les journalistes parler de "dérapage".
Le Pen, sa fille, Guéant, n'ont pas glissé sur des plaques de verglas, que je sache.
En fait, parler systématiquement de "dérapage" dès lors qu'un propos choquant est tenu ne veut RIEN dire. La première question devrait être : qu'est-ce qu'un "dérapage" et donc s'agit-il vraiment d'un "dérapage" ? Dans le cas de Le Pen ou Guéant, est-ce un "dérapage" ou n'est-ce pas plutôt dans la droite ligne de leur façon de voir le monde (leur façon de conduire leur vie, leur parti) ?
Le Pen et le détail, Guerlain et le nègre fainéant, Séguéla et sa Rollex à 50 ans... ce qu'ils ont dit est en tous points conforme à leur façon de concevoir le monde, leur mode de pensée. Il ne s'agit pas d'un simple écart de conduite (plus ou moins pardonnable selon les cas) mais au contraire, c'est la manifestation de la conduite réelle de la personne.
Alors, "dérapage" par rapport à quoi, à qui ?
De mon 1er paragraphe découle qu'on ne peut considérer ces propos comme des "dérapages" qu'en terme de communication. C'est -à-dire que dans une mécanique bien huilée de pure communication, le "journaliste" croit avoir décelé un défaut de com'. C'est bien le danger de tout analyser sous l'angle de la com' (toutes ces émissions TV où les journalistes se concentrent sur "la forme"...)
Comment les propos tenus seraient-ils des accidents vus qu'ils sont l'essence même de la manière d'être et de penser de la personne concernée ?
Dire de cette personne qu'elle a "dérapé" peut sous-entendre qu'en général cette personne ne se conduit pas de cette manière. C'est presque l'excuser. Or ces "dérapages" sont peut-être des erreurs de com', donc un problème dans la forme du discours (encore qu'il existe des dérapages contrôlés...), mais ne sont pas des erreurs compte tenu du fond du discours.
"Dérapage" peut trop facilement vouloir dire que "les mots ont dépassé la pensée", bref, on s'excuse et on n'en parle plus... Ce qui n'a rien à voir avec considérer ces "dérapages" comme des petits moments de réalité qui échappent à leurs auteurs tout en les révélant au grand jour.
En effet, en matière de communication, on peut parler de "dérapage", en ce sens que l'on exprime quelque chose qui ne se dit pas et qui ne correspond pas à l'image que l'on veut donner de soi. Mais à quoi bon donner autant d'importance à un monsieur qui vieillit très mal, et qui n'a que de l'argent à dépenser? Il suffit de planter son fauteuil roulant dans un coin frais de la gare jusqu'à ce qu'il se calme.
Ceci dit, si Habit rouge n'était pas mon parfum préféré, je le boycotterais... encore une fois, le talent ne garantit pas une belle personnalité.
Ceci dit, si Habit rouge n'était pas mon parfum préféré, je le boycotterais... encore une fois, le talent ne garantit pas une belle personnalité.
Mon commentaire ne traite pas exactement de ce "monsieur qui vieillit très mal". (D'ailleurs qui vous dit qu'il n'a pas toujours été comme ça ?)