Procès du "Canard" : récit des derniers jours d'audience
"Arrêt sur images" assiste au très attendu procès du "Canard enchaîné", inauguré ce mardi 8 juillet. Les faits reprochés ? D'étranges paiements faits par le journal à la compagne du dessinateur Escaro, qui laissent soupçonner l'existence d'un emploi fictif. Dans le rôle du lanceur d'alerte : le journaliste du "Canard" Christophe Nobili. Dans le rôle des accusé·es : le couple Escaro et le duo d'anciens directeurs du journal, Michel Gaillard et Nicolas Brimo. Récit des deux dernières journées au tribunal.
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Commentaires préférés des abonnés
J'ai lu le Canard pendant 35 ans.
J'ai cessé de le lire, il y a 4 ans.
Compte tenu de ce que l'on sait maintenant, je me contenterai d'un commentaire fictif.
Très déçue par le témoignage de Dominique Simmonot qui me semblait plus exigeante sur le respect des valeurs.
Je n'achète plus le Canard depuis la révélation de cette affaire, même si je le lis à ma médiathèque, mais avec beaucoup plus de circon(...)
Déjà en 2013
Derniers commentaires
Je lis le « Canard » depuis 65 ans (eh oui !).
J'ai la nostalgie de Valentine de Coin Coin, Jérôme Gauthier, et Clément Ledoux,. J'ai été stupéfait d'apprendre plus tard que sous ces pseudonymes se cachait une seule personne : Pierre Châtelain-Tailhade.
J'avais peu de divergences de vues avec le Canard avant l'affaire Escaro. Je suis aujourd'hui déboussolé par de nombreux points de désaccord.
D'abord, le peu de place consacré à Gaza et à la Cisjordanie par le journal. Des organismes sérieux considèrent qu'Israël commet un génocide.
Le Canard prétend que son rédacteur Frédéric Haziza est attaqué pour sa judéité alors que c'est pour ses attaques régulières, notamment sur X, de ceux qui défendent la Palestine, et sa complaisance vis-à-vis de ceux qui nient les crimes israéliens.
De même pour les actions courageuses de Rima Hassan, qualifiée de "Lady Gaza".
Mélenchon est, certes, critiquable, mais les critiques sont parfois injustes. Le Canard met en parallèle sa critique ancienne du régime iranien et sa déclaration récente, interprétée comme un soutien, alors qu'il condamnais, à juste raison, l'attaque israélienne.
J'espère que mon journal préféré saura se ressaisir à l'issue de ce procès.
Déjà en 2013
Très déçue par le témoignage de Dominique Simmonot qui me semblait plus exigeante sur le respect des valeurs.
Je n'achète plus le Canard depuis la révélation de cette affaire, même si je le lis à ma médiathèque, mais avec beaucoup plus de circonspection qu'auparavant.
Ne savent-ils pas que la confiance se perd vite ...
J'ai lu le Canard pendant 35 ans.
J'ai cessé de le lire, il y a 4 ans.
Compte tenu de ce que l'on sait maintenant, je me contenterai d'un commentaire fictif.