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Commentaires

Pourquoi Matignon doit m'écouter

Il y a des mots, mieux vaut les chuchoter on ne sait jamais des fois qu’on serait sur écoute.

Derniers commentaires

Merci Anne Sophie pour votre belle chronique !
"La Vie des Autres " Allez le voir ceux qui l'on raté !!!
Citation : " il n'y a pas que la panne de micro qui me brouille sérieusement l’écoute. "

Là, vous touchez le fond de la quille.
La vraie vie ! Ah ben oui, c'est que cet été, abreuvé d'infos, j'ai failli passer à côté d'une affaire d'abus de faiblesse, de relations entre une personne âgée et une autre beaucoup moins, d'écoutes téléphoniques, de fuites etc.
C'est ici et c'est du lourd...
Avant encore Les hommes du président, Conversation secrète (The Conversation), 1974
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/e/e0/Theconversation.jpg

avec sa fin si inquiétante:
http://gentlebear.files.wordpress.com/2008/06/8095-the-conversation.jpg
La seule chose qu'ils devraient écouter,c'est le grondement du peuple en marche...L'écouter et l'entendre!
merci pour cette chronique très riche,votre humour et le clin d'oeil aux asinautes.
merci pour cette , encore une fois, belle chronique
il est fait reference à la fameuse "chronique de rentrée" pour sa contrepeterie de tres haute voltige
MAIS , si cette "chronique de rentrée" fait reference à mes yeux c'est encore une fois pour le visuel qui n'a aucun rapport avec le texte, sa vocation assumée etant d'allécher le chaland qui serait tenté par une lecture diagonalisée

encore ! encore !
Merci pour cette chronique, mais ils ont raison, Hortefeux et les autres, n'est-ce pas, ils n'écoutent pas, ils utilisent les enregistrements informatisés des appels par les FAI, donc à strictement parler on ne peut rien leur reprocher. La loi est toujours en retard sur la délinquance, c'est bien connu.

http://anthropia.blogg.org
Mais et l'écoute de marine alors ?
Demandant à consulter tout récemment un oto-rhino (oto-rhino-laryngologiste), la secrétaire médicale s’est étranglée, a marqué un long silence et sur un ton inquiet m’a demandé tout doucement : « c’est bien le service O.R.L. que vous demandez ? »

Je l’ai rassuré et… je ne prononcerai plus ce gros mot d’un autre temps.
Puisque cette chronique s'attache aux mots : je me demande si l'expression "comme à l’accoutumé" qu'on trouve dans le dernier paragraphe n'exige pas un féminin systématique ("à l'accoutumée").
En parlant "d’écoutes sous-marines", quel lien ont les termes de marine "écoute et écoutille" ? Ne me dites pas que j'utilise de grosses ficelles et de sacrés nœuds pour semer la confusion dans votre sympathique chronique.
Pour l'aspect espionnage, mon exemple le plus ancien : les oreilles de Denys

Souvenir numéro 2 : il me semblait bien qu'il y avait au un hebdo intitulé "Aux écoutes"

Souvenir 3 : c'est dans Pulchérie de Corneille, acte II, sc 1 que Martian dit à Justine :
"J'écoute la raison, j'en goûte les avis
Et les plus écoutés sont les plus mal suivis"
Ce qui qualifie fort bien la constance dans l'erreur si bien relevée par Anne-Sophie (je parle des dirigeants successifs qui ont promis vainement la même chose - "Video meliora proboque, deteriora sequor", comme dit un légionnaire dans Astérix chez les Goths)
Ah Anne-Sophie, n'écoutant que mon désir de briller en société, je ne peux manquer de vous signaler l'absence dans votre chronique des écoutes de voiles, familières encore aujourd'hui aux plaisanciers, qui ne sont pas sans rapport avec le sujet puisque leur nom provient effectivement de leur fonction d'espionnage des vibrations de la voile permettant de ce fait de les ajuster au mieux pour le fonctionnement optimum du navire.
Il ne vous échappera que cette analogie maritime suffit (à ses yeux du moins) à justifier les "manoeuvres" de "l'équipage" qui nous "gouverne".
A voté !

Le bonheur c'est simple comme une chronique !

Et pour la semaine prochaine, une spéciale « veilleur » ? ( autre forme d'« écoute participative » - pas mal le concept, non ? C'est de moi, enfin je crois - sur Internet ) : http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=9247
Ouah !!! on dirait que j'suis prem's ? En fait, j'ai un truc sérieux à dire. Anne-So nous conseille :"... de lire cette chronique dans votre tête, si c’est trop dur vous pouvez suivre les lignes avec votre doigt ou, mieux, avec une règle ça sera moins salissant pour l’écran, mais tâchez de rester muet, on n’est jamais trop prudent.

J'espère qu'elle a conscience de s'adresser de ce fait, même humoristiquement, à l'élite des lecteurs de ce forum. Car de nombreuses études ont montré que seule, une minorité de ceux qui savent lire sont capable d'explorer l'écrit sans oraliser (bouger les lèvres en lisant silencieusement), ni même subvocaliser (entendre les mots dans sa tête). Je me suis personnellement intéressé de près à ce problème lorsque j'étais en activité. Je ne vois aucune raison pour que l'état des choses se soit amélioré dans ce domaine.

C'était un communiqué du ministère de la désespérance nationale.

:-(
Tout le monde vous écoute et vous lit avec attention, anne-sophie :)

Une petite remarque :

écouter dans le sens général « je prête attention aux sons et je leur attribue une valeur, un sens » est d’un emploi récent, un petit siècle finalement. Il s'est forgé avec l'apparation de la radio, des disques, de la télé. Encore aujourd’hui, le mot suit la technologie.

En dehors d'un "a" surnuméraire (décidément, vous et les aaahhhhhh...), c'est un peu plus d'un siècle, la première émission radio digne de ce nom datant de 1900 (il y eu un précédent en 1899).
Et vous passez sous silence les phonographes (1877) et autres gramophones (1886), c'est-à-dire les possibilités d'enregistrer, de capturer et de reproduire les sons, qui ont commencé à habituer le public à tendre l'oreille vers une source différente de son contenu.
Quand on y pense, alors que nous sommes maintenant sans arrêt entourés de musique et autres messages sonores, c'est encore une évolution importante de l'homme, que d'accepter de recevoir un son et sa signification sans ne plus être dépendant de son origine première. Non ?

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