Les trois commentaires, présents à l'heure où j'écris, sont ronchon. Ils dénigrent asi. Style, les p'tits jeunes, on va n'en faire qu'une bouchée, we don't shot the sheriff, he is gone, lonesome.

Mon commentaire numéro quatre dans l'ordre d'apparition(...)

Je ne pense pas que ASI soit à mettre dans le même panier que tous les cancres des télés/journaux que vous citez, à ma connaissance ils ne font pas partie de la clique d'éditocrates et de pseudo-journalistes à la pogne des puissants, qui déversent le(...)

Tout ça est intéressant mais est-ce que l'on ne s'éloigne pas de ce qui faisait la spécificité d'ASI. L'image.

Il fut un temps où ASI travaillait à partir de l'image, du décryptage des images qui n'était pas fait ailleurs.

Et puis petit à petit, l'imag(...)

Sur sa photo promo,16 personnes,4 femmes. :-)

Je ne comprends pas très bien. 

C'est l'entreprise qui a fait un don? Dans ce cas s'ils avaient mentionné son poste d'élu vous auriez critiqué le mélange des genres et la pub pour l'élu. 

Si c'est la collectivité publique qui a fait un don c'est de la pub gratuite pour l'entreprise

La conclusion de l'article explique tout. 

Depuis que j'ai compris que le journalisme est essentiellement la diffusion de communiqués de presse, je me pose moins de questions sur les choix éditoriaux.

Les trois commentaires, présents à l'heure où j'écris, sont ronchon. Ils dénigrent asi. Style, les p'tits jeunes, on va n'en faire qu'une bouchée, we don't shot the sheriff, he is gone, lonesome.

Mon commentaire numéro quatre dans l'ordre d'apparition, pour dire que c'est un article intéressant sur un phénomène de la presse écrite pas simple à décortiquer, et faire remarquer que ce n'est pas nouveau que "arrêt sur images" n'est pas à prendre au pied de la lettre, mot par mot. 

Et tous les vieux contenus qui parlaient d'images, liées à l'actualité (contrairement au monsieur qui fait fureur avec des couleur, cité dans un commentaire) sont encore consultables, si on a du temps!

Déjà donner avec l'argent des autres, c'est un usage dont on a pris l'habitude. Mais qui est la porte ouverte à des " coups bas", politiques, économiques, marketing... 

Il me semble que la misère serait moins tolérée sans le charity business. 

"n'encouragez pas la mendicité" était affiché dans les vieux métros de Paris, encore présents au début des années 1980. Pourquoi? Parce que l'état assumait un rôle social et ce n'était ni de droite ni de gauche, c'était contre l'église! 

Chambre économique, chambre de commerce, c'est pas mon monde.. Ce que je sais c'est qu'une entreprise ne peut pas recevoir des dons. La chambre économique est donc une asso 1901 d'intérêt publique, mais est-elle dans son rôle là? Dans ses objectifs déclarés? Donner une centrale photovoltaïque à un pays en guerre? 

Et ne pas mélanger ses rôles, chef d'entreprise & maire adjoint, ce n'est pas afficher l'un ou l'autre séparément dans un article, c'est éviter que son entreprise n'interfère en politique. Pour complaire commercialement? Pour complaire politiquement? Qu'importe, je ne crois pas que cet étalage soit bon. Qu'il donne sans le dire ou qu'il ne donne pas. C'est trop suspect son affaire.

Tout ça est intéressant mais est-ce que l'on ne s'éloigne pas de ce qui faisait la spécificité d'ASI. L'image.

Il fut un temps où ASI travaillait à partir de l'image, du décryptage des images qui n'était pas fait ailleurs.

Et puis petit à petit, l'image s'est éloignée, ASI aborde aujourd'hui les médias, les petites histoires médiatrices en n'ayant plus ce filtre qui faisait la différence. Et logiquement ASI ressemble aux autres médias.

Pelé vient de mourir, et sur les photos inondant les médias, 2 couleurs, le bleu et le jaune de sa tenue de footbaleur brésilien… 2 couleurs qui inondent les médias depuis le 24 février et la guerre en Ukraine. 

Intéressant de parler de couleurs dans une société où elle est partout.

Vous avez un spécialiste en France qui fait autorité, Michel Pastoureau, pas une fois il n'a été invité chez ASI.

Tout ça pour dire que dans le titre ASI il y a image et que ce serait bien de ne pas trop l'oublier…